Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/01/2018 Grade : [Nomade] Inscrit le 24/10/2005 | Envoyé par Kakita_Kirby le Samedi 18 Décembre 2010 à 16:30 Narnia le voyage du passeur d'aurore (ou un truc dans le genre...): vous avez vu les 2 premiers? si oui alors ce 3ieme opus est comme les 2 précédents en terme de qualité (bon effet spéciaux, histoire qui suit les bouquins etc). Si c'est non, et bien vous vous en passerez facilement si vous n'avez pas d'enfant. C'est donc aussi raciste, intolérant et sexiste que le bouquin ? Vu récemment : Raiponce, des studios Disney. Que du bonheur. C'est drôle et touchant de bout en bout comme un bon Disney. Les chansons par contre sont assez pénibles, excepté "Il a un rêve" qui est à pleurer de rire. Mention spéciale aux sidekicks animaliers Pascal et Maximus. Surtout, ce film reprend toutes les critiques de Shrek de façon assumée. C'est une sorte d'anti Shrek, et rien que pour ça ça vaut le coup d'oeil.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/01/2021 Grade : [Nomade] Inscrit le 30/10/2005 | Envoyé par BorisPreban le Mardi 21 Décembre 2010 à 22:51 Outrage ( Takeshi Kitano )
Deuxième film de Kitano sorti cette année en France, Outrage est la confirmation après le retour en forme operé par Achille et la tortue de la pèche retrouvée de Kitano après une période d'introspections foireuses qui faisait peine à voir de la part du réalisateur de Sonatine ou Hana-Bi. Et si ses deux derniers films sont loin de faire oublier les grands chefs d'oeuvre des années 90, ils sont tout aussi loin de démeriter comparativement à un Dolls ou un Aniki mon frère. Outrage constitue un retour de Kitano au film de yakuza, son genre de prédilection ; après avoir " américanisé " celui-ci dans Aniki mon frère, il s'agit ici de le réduire à sa portion la plus absurde. On est donc face à des yakuzas, beaucoup, se massacrant pendant une heure et demie afin de monter en grade. Aucun n'est sympathique, aucun ne sera vu faire autre chose que tuer ou tenter de survivre, aucun n'hésite à trahir, mentir, manipuler et faire tout ce qui est interdit par le code d'honneur yakuza, la plus grosse ordure semblant être le chef du clan. Si la dimension poétique - les jeux de plage, les musiques de Hisaishi - des débuts est aux abonnés absents, l'humour noir de Kitano est en revanche bien présent et certaines scènes semblent sorties d'un Happy Three Friends tellement la violence y est extrême : au programme, baguette enfoncée dans l'oreille, décapitation, personnage obligé de tirer la langue pendant qu'un autre lui frappe le menton vers le haut, visage balafré, doigt coupé au cutter, tabassages divers et variés, dents sciées... on se retrouve face à une sorte de symphone abstraite de violence gratuite rappelant le Elephant d'Alan Clarke. Les survivants ne seront pas les héros ni ceux qui le méritent, simplement ceux qui ont le mieux su gérer leurs intérêts. Les flics ne valent pas mieux que les yakuzas et une fois la purge operée, les enfoirés qui ont survécu remplacent les morts. Complaisant, trop long, Outrage n'a pas la beauté des meilleurs Kitano mais est un film singulier se plaçant parmi les réussites du cinéaste. L'arme fatale ( Richard Donner ) Un peu comme la saga Indiana Jones, la saga Letal Wheapon est de celles dont l'épisode le plus rarement rediffusé à la télévision est pourtant celui qui se trouve à la fois être le premier et le meilleur. Ainsi, si à partir de l'arrivée de Joe Pesci la saga vire au grand n'importe quoi pas drôle, asseptisé et con comme la Lune, il n'en demeure pas moins que l'original tient toujours la route et demeure un classique du buddy-movie vieillissant relativement bien. Martin Riggs ( Mel Gibson ) est un flic extrémiste et suicidaire depuis la mort de sa femme. Avec son nouveau partenaire Roger Murtaugh ( Danny Glover ), il doit enquêter sur la mort d'une call-girl qui se révèle être en réalité une affaire bien plus grave impliquant les forces spéciales. Richard Donner n'est pas franchement un grand cinéaste mais fait partie de ces artisans capables dans leurs bons jours de produire un résultat tout à fait correct comme c'est le cas ici ; au-delà des moumoutes 80's des héros, les scènes d'action du films sont suffisament tendues pour maintenir l'attention, les dialogues de Shane Black font mouche et Gibson et Glover n'y cabotinent pas encore comme dans les épisodes suivants. Les limites se trouvent plutôt dans un scénario qui si il fait figure de modèle comparé à celui de ses suites reste une enième histoire de duo de flics complémentaires affrontant des méchants très très très méchants qui font la grimace et ne butent jamais les héros quand ils le pourraient ; certains rebondissements laissent un peu dubitatif ( Riggs gardé par un seul type, Riggs le suicidaire qui porte un gilet pare-balles ) et le final nous offre un combat à mains nues uniquement là pour combler le cahier des charges. Qu'importe, si il ne vaut pas tout à fait 48 heures dans le registre, l'Arme fatale reste à l'instar de Rocky ou Rambo le seul film réussi d'une saga qui va très vite s'auto-caricaturer. Les quatre de l'apocalypse ( Lucio Fulci ) Stubby ( Fabio Testi ), joueur professionel, débatrque dans la petite ville de Salt Flat ou le shérif ne tarde pas à le mettre en prison, lui évitant de peu la mort étant donné que les habitants ont décidé d'éliminer à la manière forte tous les bandits faisant déperir leur ville ; épargné comme la prostituée Bunny, le noir parlant aux morts Bud et l'alcoolique Clem, il doit quitter la ville illico presto. Le quatuor tombe alors sur l'énigmatique Chaco ( Thomas Millian ), chasseur efficace qui va vite se réveler légèrement psychopathe. J'aime bien Lucio Fulci mais ce film, si il ne mérite pas non plus l'étiquette d'énorme nanar que certains fans lui collent, est un ratage indigne du talent de son réalisateur, la faute avant tout autre problème à une photo absolument dégueulasse ou tout semble n'être rien d'autre qu'une nuance de vert caca d'oie, y compris les montagnes, et digne de la pire des séries Z. Si le scénario surprend par son sadisme, même pour un spagh ( on a droit à un viol de femme enceinte, un type écorché vif et du cannibalisme, quand même ), l'idiotie de l'ensemble ( Chaco qui laisse tout le monde en vie, l'alcoolique mourant d'une balle dans la jambe ) et son absence de rythme font un peu peine à voir, d'autant que le film, à l'exception de ses cinq dernières minutes, ne va jamais ou on l'attend et que Fabio Testi et Thomas Millian semblent motivés et se démènent pour faire croire à leurs personnages ; la relation entre Stubby et Bunny est assez touchante, Bud est un personnage complètement inhabituel dans ce genre de productions mais l'originalité ne fait pas tout et même le règlement de comptes entre Stubby et Chaco est filmé en dilettante et doté d'une tension absolument nulle ; à noter une musique pop qui s'insère très mal dans le film mais donne un coté psychédélique là encore plutôt curieux. Tentative intéressante mais ratée de fusion entre le western et le cinéma gore, Les Quatre de l'apocalypse fait regretter un autre film atypique plus réussi, le délirant Tire encore si tu peux de Giulio Questi ; Fulci lui-même avait avec son très bon Le temps du massacre donné au genre une oeuvre bien plus aboutie même si ses chefs d'oeuvre se situeraient dans une optique 100 % gore. Mister Majestyk ( Richard Fleischer ) Vince Majestyk ( Charles Bronson ) est un planteur de pastèques qui n'aime pas trop se faire marcher sur les pieds. Quand Bobby Kopas, un jeune mafieux, veut lui imposer de choisir ses ouvriers parmi ses hommes, Majestyk lui casse la figure et se retrouve en prison, ou Majestyk rencontre Renda ( Al Lettieri ), qui a organisé une tentative d'évasion. Refusant de s'associer à Renda, Majestyk se rend avec lui à la police, mais lorsque Renda parvient à s'évader, il lui suffit de faire pression sur Kopas pour qu'il retire sa plainte afin qu'aucun obstacle de demeure entre Majestyk, dont il veut la peau, et lui. Encore un artisan, et un très grand cette fois puisqu'il s'agit de Richard Fleischer, en bonne forme pour ce qui reste un des meilleurs polars mettant en scène Charles Bronson, impérial de coolitude dans son rôle de type à la force tranquille et à la répartie cinglante, individualiste forcené néanmoins doté d'une sympathie discrète pour les pauvres et les immigrés. En gros enfoiré, Al Lettieri est tout aussi formidable de violence et d'idiotie, ses dialogues avec Kopas étant d'une drolerie digne d'un Commando. Le tout manque un peu de rythme et de tension, ce qui peut sembler normal étant donné la nonchalance de son héros, mais on peine à trembler pour un Majestyk ne semblant jamais en danger et affrontant des mafieux idiots incapables d'adopter une stratégie cohérente. Les scènes d'action sont loin de ce que Sam Peckinpah pouvait faire à l'époque mais font preuve d'un savoir-faire tout à faire correct et pour peu que l'on accepte de voir Bronson faire le kéké, le film se suit avec un plaisir réel, la dimension sociale n'étant pas trop surlignée et la relation entre Bronson et la jeune mexicaine ne tombant pas dans la lourdeur. Et mon Dieu ces dialogues ( " Ou est Renda ? " " Là-bas. Raide " ) valent à eux seuls le visionnage, c'était l'époque ou ceux-ci étaient vraiment drôles, la comparaison avec les derniers Stallone faisant mal pour lui. Frankenstein ( James Whale ) Le grand film de ma sélection d'aujourd'hui est donc mon classique Universal de fin de chronique, et si j'ai dit la semaine dernière tout le mal que je pensais du Dracula de Browning, ce Frankenstein réalisé la même année demeure un classique dont le pouvoir de fascination est toujours présent. Le docteur Frankenstein ( Colin Clive ) est obsedé par l'idée de créer un être humain, et demande à son assistant Fritz de lui procurer un cerveau. A la sutie d'un vol de cerveau d'un criminel décedé par Fritz, Frankenstein parvient à créer un monstre, qui échappe à son controle et va semer la terreur dans la ville. Si je trouve un peu superflu la justification de la monstruosité de la créature par le fait que le cerveau soit celui d'un criminel, il faut noter la prestation absolument incroyable de Boris Karloff dans le rôle du monstre, qui entre violence, incompréhension et peur, arrive à humaniser son personnage et à la rendre déchirant. Maltraité par Fritz, méprisé par Frankenstein, la créature ne semble pas plus inhumaine que ses maitres et on se prend à souhaiter sa victoire jusqu'à une scène incroyable ou la créature tue accidentellement une petite fille, conduisant à un lynchage par les villageois déchainés qui ne cherchent jamais le vrai coupable de ce qui arrive et qui bruleront la créature dans un final tétanisant. L'ensemble du casting est très convaincant et si certaines personnages secondaires, notamment l'ami de la fiancée de Frankenstein, sont un peu sous-exploitée, James Whale fait preuve d'un grand sens du rythme, d'une humanité et d'une tendresse envers le monstre sans céder au sentientalisme et d'une intelligence narrative qui forcent le respect. En espérant que mes prochains James Whale, L'homme invisible et La fiancée de Frankenstein, confirment l'excellente impression donné par ce premier film. Boris.
___________________ Je sais pas toi mais moi j'me fends la gueule. |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/01/2018 Grade : [Nomade] Inscrit le 24/10/2005 | Envoyé par Kakita_Kirby le Mardi 21 Décembre 2010 à 23:36 Je ne peux que plussoyer Boris (enfin, je lui avais déjà dit je crois que Dracula puait et Franky roxxait)
D'autant plus que je les ai maté avec les a priori du film Ed Wood, à savoir que le monstre de Frankenstein c'est "juste des grrrr". Bah Lugosi peut se rhabiller. Je me demande ce que ça aurait donné s'il avait accepté le rôle. Un monstre qui écarquille des yeux vides ?
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/01/2021 Grade : [Nomade] Inscrit le 30/10/2005 | Envoyé par BorisPreban le Jeudi 23 Décembre 2010 à 11:32 Je me demandais un truc : est-ce que ça intéressait les gens que je mette des captures d'images des films que je trouve dignes d'intérêt ? Je veux dire, parfois, une image donnera plus envie qu'une longue critique, donc je me demandais si vous, en temps que lecteurs, vous y voyez un intérêt.
Boris.
___________________ Je sais pas toi mais moi j'me fends la gueule. |
Hors Ligne Membre Passif depuis le 03/07/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 22/08/2003 | Envoyé par jokerface le Jeudi 23 Décembre 2010 à 11:55 Oui.
javais commencé a le faire a un moment donné, mais jai laissé tombé, en plus personne ne suivait le mouvement.
___________________ Le 23/02/2017 à 16:10, David avait écrit ... |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 02/05/2019 Grade : [Nomade] Inscrit le 06/06/2005 | Envoyé par Abitbol le Jeudi 23 Décembre 2010 à 11:58 Oui absolument. Et tant qu'à t'emmerder si tu pouvais mettre l'année des films aussi ce serait cool. Je crois que je vais enfin essayer de me mettre à regarder des films pas juste pour passer le temps et me divertir.
___________________ T'as raison. Je vais pas flipper pour ça. La vie continue. |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 14/02/2020 Grade : [Nomade] Inscrit le 03/04/2005 | Envoyé par 150493 le Jeudi 23 Décembre 2010 à 12:09
J'ai bien ri, le film Narnia (I II ou III) qui suit les bouquins? Je crois pas non l'histoire est juste à moitié baclée par rapport aux livres (sans parler du premier livre qui est totalement supprimé) Enfin.....
Oh que oui. 150493, participant peu mais lisant toujours avec plaisir les critiques des films
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 29/03/2023 Grade : [Nomade] Inscrit le 10/12/2005 | Envoyé par gedat le Dimanche 26 Décembre 2010 à 21:02
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/11/2019 Grade : [Sorcier] Inscrit le 11/03/2006 | Envoyé par zwouip le Mardi 28 Décembre 2010 à 14:17 Arnaques, crimes et botanique de Guy Ritchie
Le petit frère de Snatch (même si chronologiquement, il vient avant). Moins connu que Snatch, ce film est exactement dans la même veine, donc il y a de fortes chances que si vous aimez l'un vous allez aimer l'autre, ou l'inverse. L'histoire abracadabrante implique plusieurs personnages tous plus infréquentables les uns que les autres, on se demande assez longtemps quel va être le dénouement tant la situation semble inextricable. Peut-être un peu moins marrant que son successeur. Un bon divertissement, à regarder entre potes. Fenêtre sur cour d'Alfred Hitchcock Un classique du cinéma, que j'ai eu fortement envie de voir rien que pour ma culture personnelle, et je n'ai pas été déçu (C'est plus fort que moi, les classiques il faut que je les voie). Bien plus qu'un simple film de suspense, ce film m'a fait penser à un véritable portrait de la société américaine des années 50. L'histoire, c'est James Stewart qui a la jambe cassée, et qui se retrouve coincé dans un petit appartement en immeuble pendant une semaine. Sa seule distraction est d'épier les voisins, et à un moment il va avoir l'impression que l'un d'eux est un meurtrier. Un des trucs qui m'a frappé en voyant ce film, c'est comme Hitchcock arrive à susciter l'intérêt avec un seul point de vue de tout le film. La seule chose que film la caméra, c'est ce que Stewart peut voir dans sa chambre ou depuis sa fenêtre, et il arrive à construire non seulement une intrigue policière la-dessus, mais aussi toutes les petites intrigues liées aux vies de tous les autres voisins. Fascinant. L'autre chose qui m'a marqué c'est le jeu des acteurs. J'avais lu quelque part qu'Hitchcock dédaignait les acteurs qui n'étaient que des pantins servant le scénario. Ici j'ai vraiment pas ce ressenti : Stewart est très bon (incroyable le jeu du visage qu'il a) et Grace Kelly est bluffante elle aussi. Je me demandais même comment Stewart pouvait refuser la main de Kelly alors qu'elle est bandante quasiment tout le film. Et le dernier truc marquant c'est le travail sur les plans. C'est fou comme on a l'impression que la manière de filmer d'Hitchcock se retrouve dans la plupart des films plus récents qu'on pourra voir, comme s'il avait participé à définir la bonne façon de filmer. Pour les cinéphiles, un film indispensable à voir au moins une fois.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/01/2021 Grade : [Nomade] Inscrit le 30/10/2005 | Envoyé par BorisPreban le Mardi 28 Décembre 2010 à 15:08 Je suis assez d'accord avec ce que tu en dis mais ça a toujours été le grand Hitchcock que j'aimais le moins. Je le trouve moins bouleversant que Sueurs froides, moins tendu que Psychose, moins novateur que Les Oiseaux et moins Rythmé que La mort aux trousses. Il est évident que c'est un classique et que pour des tas de raisons difficilement contestables il a laissé une trace très importante dans l'histoire du cinéma mais je suis un peu méchamment déçu par sa conclusion ; je lui préfère également les variations délirantes et passionantes que De Palma lui fera subir dans certains de ses meilleurs films ( Sisters, Body Double, Obsession... ). Ca reste impressionant de maitrise mais bon, les Hitchcock, c'est comme les Kubrick, on en a tous un qu'on aime, sans doute un peu injustement, moins que les autres.
Boris, pour les dates demandées par Abitbol, ce sera fait et j'ai honte de ne pas y avoir pensé avant, pour les captures, faudra attendre quelques semaines, que je retrouve mon PC habituel pour pouvoir le faire.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/11/2019 Grade : [Sorcier] Inscrit le 11/03/2006 | Envoyé par zwouip le Mardi 28 Décembre 2010 à 15:33 en même temps je peux pas trop le classer parmi les hitchcock que j'ai vu, c'est que le 2e que je vois (le 1e c'était psychose). Mais comme je l'ai dit il m'a plus fait penser à un film qui montre les moeurs qu'à un pur film de suspense. Je vais essayer d'en voir d'autres quand je peux, mais j'ai déjà tellement d'idées de films à voir ^^
le prochain "grand classique" que je me fais, c'est M le maudit de fritz lang
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/01/2021 Grade : [Nomade] Inscrit le 30/10/2005 | Envoyé par BorisPreban le Mardi 28 Décembre 2010 à 15:41 Ah là t'attaques du très lourd. Et qui n'a pas pris une ride en plus.
Boris, bon visionnage
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 29/03/2023 Grade : [Nomade] Inscrit le 10/12/2005 | Envoyé par gedat le Mardi 28 Décembre 2010 à 21:44 +1 sur M le Maudit. Et je suis fan de Arnaques, Crimes et Botaniques aussi.
Puisque le débat sur Inception fait de nouveau rage sur le Vxx, il vaut mieux le déplacer là pour éviter de trop encombrer l'autre. donc je voulais juste répondre à Boris qui m'avait reproché que mon argument comme quoi les armes représentaient le sentiment de danger des protagonistes était fallacieux parce que la peur est plutôt provoqué par l'irrationel. Et bien l'argument principal de mon argumentation était que les rêves étaient nécessairement rationnels dans le parti pris de Nolan, pour nous faire partager le point de vue des personnages. Dans ce contexte, faire ressentir un sentiment de danger est un autre impératif mais qui est subordonné au premier, donc il y a un équilibre à trouver entre les deux. PS: tu as écrit l'article dont tu parlais sur l'idéologie de Saw?
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/01/2018 Grade : [Nomade] Inscrit le 24/10/2005 | Envoyé par Kakita_Kirby le Mardi 28 Décembre 2010 à 21:53 M le maudit en plus d'être génial reste toujour d'actualité. M le maudit te fera frémir à chaque fois que tu entendras Hall of the mountain king et tu te surprendras à le siffler de temps en temps. M le maudit c'est le bien, violez des enfants, mangez des grand mères.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/01/2021 Grade : [Nomade] Inscrit le 30/10/2005 | Envoyé par BorisPreban le Mercredi 29 Décembre 2010 à 02:52 Yep. Ca a été un four monumental et j'ai été accusé de pipeautage. Mais personne n'a repris mon article sur le fond. Boris, j'ai pas dit que la peur provenait de l'irrationel mais par l'inconnu, ce qui est très différent.
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