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gedat

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Envoyé par gedat le Dimanche 01 Février 2015 à 21:04


Le 01/02/2015 à 14:42, Crutch avait écrit ...

Si vous voulez réagir sur un film ou réalisateur, dites le et j'essayerai de faire une critique.

Mullholland Drive & Crash, please!


Dr_Z

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Envoyé par Dr_Z le Dimanche 01 Février 2015 à 21:33


Le 01/02/2015 à 21:02, gedat avait écrit ...
Sinon je suis très intéressé par ton avis de mathématicien sur les raccourcis faits par le film.

Le gros raccourci auquel je fais référence, c'est quand la fin dit que les machines de Turing sont des machines que nous appelons aujourd'hui ordinateurs. Une machine de Turing, c'est en réalité un concept purement mathématique qui formalise ce qu'est un algorithme. Donc si on veut être précis, un ordinateur simule une machine (ou des machines) de Turing. Mais le film n'évoque pas trop les aspects scientifiques de la vie du personnage, donc on s'en sort avec cette erreur. Le boudin du test de Turing, c'est surtout une scène sortie de nulle part dont on a limite l'impression que le réalisateur l'a mise pour se la péter (le protocole du test n'étant pas précisément décrit, on ne peut pas trop parler d'erreur).

Le restes des imprécision est historique (il me semble par exemple que c'est le gouvernement anglais qui a demandé les services de Turing, ou que l'idée de recruter des cruciverbistes n'émane pas de lui), mais je n'en tiens pas trop rigueur au film puisque c'est une quasi-constante des biopics de romancer des épisodes de la vie d'un personnage.

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Le 02/04/2020 à 15:21, Borislehachoir avait écrit ...
Tant que New ne redebarque pas nous sortir des regles de 83 pages avec 6 camps et 9 conditions de victoire cumulatives...

Crutch

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Envoyé par Crutch le Lundi 02 Février 2015 à 13:28


The Swimmer (Frank Perry), 1968
Ned Merrill (Burt Lancaster) sort des bois vêtu d'un maillot de bain et plonge dans la piscine d'une propriété aisée du Connecticut. Accueilli par de vieux amis ravis de le trouver là, il fait part de son intention de rentrer chez lui de piscine en piscine. Au fil des rencontres avec les habitants du comté, Ned invoque un passé commun amical et s'étonne des opinions divergentes de chacun.

Film très atypique, road-movie en maillot de bain qui préfigure thématiquement le Nouvel Hollywood (le film est tourné en 66, avant Easy Rider et Le Lauréat avec lequel il partage la vision d'une bourgeoisie américaine renfermée sur elle même et sourde aux futurs bouleversements ), The Swimmer est surtout une odyssée humaine et cinématographique, par la présence monumentale de Burt Lancaster, star du Hollywood classique, qui joue ici sur son héritage filmique de séducteur (le maillot de bain qu'il porte pendant tout le film est celui de Tant il y aura des hommes de Fred Zinnemann) pour mieux le détruire au fur et a mesure que sa vie qu'il présente comme parfaite est mise à l'épreuve des faits.
Le travail sur l'ambiance est complexe, la séquence d'ouverture quasi animiste est très déstabilisante, et les différentes rencontres au bord des piscines offrent un portrait croisé de la personnalité du héros et de ses fêlures, qui sont celles d'un peuple. Arrivés a ce point, on pourrait craindre le schématisme, le film de scénariste, les personnages-pantins chers à Boris. Je pense que cet aspect est contrebalancé par une mise en scène discrète mais très changeante, sachant jouer sur diffèrent styles (publicitaire, onirique, gothique, réaliste) et un travail sur l'ambiance qui permet de raconter l'histoire, très elliptique, par la mise en scène et le jeu de Lancaster, monumental. Certaines séquences, comme celle de l'enfant ou de la piscine municipale, effectivement peu intéressantes sur le papier, prennent grâce à ce travail une dimension poétique ou effrayante impressionnante.
The Swimmer est un film à voir absolument si vous aimez le cinéma du Nouvel Hollywood et si vous aimez le corps musculeux de Burt Lancaster (J'ai cru comprendre que ça intéressait certains)

Prime Cut (Carnage en vf)(Michael Ritchie),1972
Lee Marvin va défoncer la gueule de Gene Hackman, qui a doublé les mafieux de Chicago pour monter un empire de la drogue et de la prostitution sous couvert d'abattoirs à Kansas City. Et au passage il sauve Sissy Spacek parce que y a pas de petits profits.
Vous aimez Lee Marvin? Allez voir ce film. Vous n'aimez pas Lee Marvin? Allez vous faire foutre.
Non sérieux, c'est un film qui redéfinit la notion de charisme (un peu comme Get Carter avec Michael Caine).
Lee Marvin tabasse des gens, Lee Marvin menace le grand méchant devant ses potes, Lee Marvin va diner avec au bras Sissy Spacek en robe transparente(?), Lee Marvin kicke le bateau de son ex, Lee Marvin fait revenir l'être aimé en 24 heures payement après résultat.
Au passage, certaines scènes sont très bien filmées: l'orage avant la fin est. Sinon, c'est assez impersonnel, mais sans fautes de gout, de la bonne série B. On a aussi une vision de l' Amérique profonde aussi subtile que celle de Délivrance, mais en pire car institutionnalisée (les notables qui achètent des putes droguées comme du bétail).
Très bonne musique de Lalo Schifrin.


Election 1 et 2 (Johnnie To) 2005-2006
Comme tous les deux ans, l'heure est venue pour les anciens de la triade Wo Shing d'élire son nouveau président. Une sanguinaire rivalité se déchaîne entre les deux candidats à l'élection. Lok(Simon Yam), qui bénéficie du respect des oncles, est le favori. Mais son adversaire, Big D(Tony Leung Ka-fai), ne s'arrêtera devant rien pour infléchir le cours des choses, y compris remettre en cause des centaines d'années de tradition des Triades.

Ce dyptique sur les triades m'a paru plutôt laborieux au début. L'épisode 1 s'ouvre sur environ 1 heure de coups de fils et de meetings entre mafieux, et l'ennui est évité uniquement par les excellents acteurs et la scène d'arrestation de Big D. Cependant, la recherche du Sceptre permet de redynamiser le film et donne de très bonnes scènes d'action. Et j'ai été complètement pris au dépourvu par la fin: un des moments les plus forts que j'ai vu depuis longtemps.
Election 2 me semble mieux rythmé, je ne sais pas si cela vient d'avoir vu les deux a la suite, mais au lieu d'un  crescendo comme le 1 ici les séquences s'enchainent plus harmonieusement et les scènes marquantes ne manquent pas, sans tout de fois surpasser l'électrochoc du 1
Thématiquement c'est du lourd. La rétrocession est arrivée, les tueurs romantiques de John Woo sont morts ou en taule, on tue au couteau ou à coup de pierre, les vieux patrons qui sont censés croire à l'honneur sont achetés ou éliminés, et même le gouvernement noyaute les triades pour maintenir le commerce. 
De toute évidence ce qui se fait de mieux en film de mafia dans les années 2000.

Mulholland Drive (David Lynch) 2001
(!!!Mode Cahiers du Cinéma ON !!!) 
Osef du résumé.
C'est un de ces films ou l'analyse fait défaut, ou on a juste envie de citer les scènes marquantes. C'est un patchwork qui fait jaillir les genres cinématographiques (en vrac: film policier, noir, d'apprentissage, d'horreur, d'amour, du complot, fantastique, comédie, mélodrame...) dans sa première partie, pour ensuite les tordre, les dissoudre, les déconstruire dans une deuxième partie en les heurtant, les rejouant, en abandonnant la résolution pour détruire les raccords, les genres, les idées, les images ; le cinéma? Non: il est là le cinéma, dans la démesure d'un objet tellement boursouflé de théorique, d'un flou d'images et de fictions vaines, mais qui jouent, qui rient, qui pleurent, qui baisent, qui meurent, qui pleurent, qui vivent.
C'est une histoire de fascination. Fascination cinématographique formalisée par une fascination devant l'image. C'est sans doute le film où l'union entre le fond et la forme est la plus parfaite.
(!!!Mode Cahiers du Cinéma OFF !!!)
Non, en fait, le deuxième après Commando.

A cause d'un assassinat (The Parallax View en vo)(Alan J. Pakula),1974
Le sénateur Caroll est assassiné devant de nombreux journalistes et l’enquête officielle conclut à l'acte d'un déséquilibré, mort en tentant de s'échapper. Pendant les 3 ans qui suivent,la plupart des personnes qui ont assisté à cet événement meurent à la suite de divers accidents.
La journaliste Lee Carter, témoin du meurtre  pense que ces « accidents » sont en réalité des assassinats déguisés : elle fait part de ses craintes à son collègue Joe Frady (Warren Beatty), mais ne réussit pas à le convaincre. Cependant, quand Lee est victime à son tour d'un « accident » fatal, Joe Frady, persuadé que la jeune femme ne se trompait pas, décide, sans l'accord de son rédacteur en chef, de mener une enquête approfondie...

Chef d'oeuvre du cinéma paranoïaque des années 70, The Parallax View est un film étrange. L'enquête du héros le fait se heurter a un adversaire flou, quasi omniprésent, et sa quette de vérité et de justice est au fur et à mesure rendue dérisoire face à une organisation fantasmatique, ce qui est rendu par une mise en scène scindée en deux parties :avant l'infiltration du héros dans le complot, la mise en scène est assez classique, précise, le personnage mène l’enquête efficacement, au centre du cadre.
Puis s'ensuit une séquence dont je ne dirais rien, mais qui justifié à elle seule le visionnage du film et devrait être montrée dans toutes les écoles de cinéma. Après, la caméra se détourne du personnage, décadré, écrasé par l'architecture et de longs plans fixes ou de lointains panoramiques, dans un monde de plus en plus sombre et désincarné.
Pessimiste, porté par un Warren Beatty atone, ce film sans doute trop théorique est cependant brillant d'intelligence (quasiment tout est exprimé par la mise en scène).
Il est cependant assez daté (la coupe de cheveux du héros a volé mon âme), et il nécessite une certaine connaissance du contexte culturel de l’Amérique des 70s pour être apprécié à sa juste valeur.( tout comme Les Hommes du prèsident ,teasing de ouf) Et la poursuite en voiture est très cheap comparé à ce qui ce faisait à l’époque, c'est le passage le plus faible du film.

La suite plus tard.

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vampire2

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Envoyé par vampire2 le Vendredi 06 Février 2015 à 22:50


Et le fossoyeur de film, vous en pensez quoi ?

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Crutch

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Envoyé par Crutch le Samedi 07 Février 2015 à 19:50


Utilise le bouton Rechercher au dessus de la page à gauche.
Et pour moi, j'en pense pas du mal, parce c'est pas un mauvais bougre et qu'il y a BIEN pire sur le net, mais ça reste très superficiel: suffit d'aller dans une bibliothèque et prendre 3-4 bouquins sur le cinéma et t'en saura autant que lui niveau technique et plus niveau histoire du cinéma.
Et pour la curiosité, son apologie des nanars me semble affreusement banale, alors qu'a l'entendre, c'est un pionnier de la cinéphilie alternative. 

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Borislehachoir

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Envoyé par Borislehachoir le Samedi 07 Février 2015 à 21:55


Pour rebondir ici sur le fait que New ait linké récemment Lecinémaestpolitique, que j'avais lu y a quelque chose comme un an ; autant je m'en souvenais comme une compilations de délires paranos de nanas particulièrement atteintes, autant je crois que ça a encore empiré. Je viens de m'enchainer la critique de Whiplash ( " en essayant de bien jouer de la batterie, il entretient la suprématie du mâle blanc... " ), celle de Django Unchained ( " en présentant un noir méchant au milieu des 254 blancs méchants, il entretient un racisme anti-noir nauséabond " ), celle de Gravity ( " Une femme perdue dans l'espace qui appelle à l'aide = victoire du masculinisme abject " ) et celle sur les enfants loups (sexisme latent car l'opposition loups-humains dans le film est innée et donc on rejette les théories du genre) ; j'ai abandonné celle de Snowpiercer à la cinquième ligne ou on loue le film car il n'y a pas " d'histoire d'amour hétéro " (j'en déduis qu'une histoire d'amour homo est intrinsèquement un plus thématique par rapport à un truc hétéro).

Ces gens sont des putains de malades mentaux, et je pèse mes mots. Ils sont totalement paranos et absolument incapables d'envisager un film autrement que par le prisme de leurs obsessions politiques ; quelque part, ce sont les dignes descendants du code Hays qui pour la bonne morale indiquait toutes les règles à suivre dans la représentation du sexe, de la violence ou des structures familiales. Le seul truc qui me rassure c'est qu'ils sont minoritaires mais quand je pense qu'un mec intelligent comme corum voyait de l'intérêt dans ce genre d'articles, ça me sidère un peu.

Boris.

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Envoyé par Talen le Samedi 07 Février 2015 à 22:51


Ils me rendent malade ces gens du cinemaestpolitique. C'est ce genre de personne qui entretiennent l'intolérance et la pensée unique.
C'est tout ce que je déteste dans l'analyse "sociale". Partir sur sa conclusion et chercher un moyen de l'atteindre avec des exemples, c'est abject.
Et c'est un relativiste pur souche qui dit ça. Tout est merdique sur ce site.
 

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Envoyé par Kakita_Kirby le Samedi 07 Février 2015 à 23:35


Le 07/02/2015 à 22:51, Talen avait écrit ...
Ils me rendent malade ces gens du cinemaestpolitique. C'est ce genre de personne qui entretiennent l'intolérance et la pensée unique.
C'est tout ce que je déteste dans l'analyse "sociale". Partir sur sa conclusion et chercher un moyen de l'atteindre avec des exemples, c'est abject.
Et c'est un relativiste pur souche qui dit ça. Tout est merdique sur ce site.
 

Oui mais toi tu es un mâle blanc hétér... oh wait...

Sinon je suis d'accord avec ton truc. Ils veulent prouver que le film est sexiste, et vont chercher n'importe quelle raison. Mais le plus fort c'est que sur un même film, ils pourraient en vanter les mérites s'ils le voulaient. C'est juste leur excuse bidon pour dire "j'ai pas aimé ce film"
Certains avaient une grille d'analyse marxiste, eux ont en fait une autre. Et comme la grille marxiste, c'est quand même un peu de la merde pour analyser quoi que ce soit.
 

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Envoyé par NewMilenium le Dimanche 08 Février 2015 à 08:16


Nan mais pour toutes les raisons et les cheminements débiles que vous avez bien expliqués, y'a PAS d'analyse sur ce truc.

On a bien fait le tour de bons malades... et encore, hier on s'est regardés "Jesus Camp" , sorti le 18 avril 2007 (1h25min) , réalisé par Heidi Ewing et Rachel Grady. Un bon documentaire américano-américain centré sur les USA et qui ne voit que les USA, évidemment, avec leur vision du reste du monde.
Eh ben ça aussi ça fait bien flipper. Ces psychopathes font des camps d'embrigadement des enfants américains à base de "Jésus t'écoute, entre en transe avec nous mmmmmmmhhhhhhhhhhh".
Et là, pour le coup, en une seule phrase de ma part ils ont tort : ils parlent de tuer Harry Potter, par exemple (que perso je n'ai pas lu, le propos n'est pas là, on s'en fout), parce-que c'est un sorcier; ils disent "à l'époque, on l'aurait tué". Bah non, dans la Bible, "tu ne tueras point". Perdu.

Ils s'y connaissent pas plus en Christianisme que les Islamistes en Islam.

J'attends de voir des Bouddhistes extrémistes, on va rigoler...

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"A quel moment les mecs ont pris la confiance comme ça? On est 66 millions ils sont 577, si y'a baston ça fait 114000 contre 1 quoi, même en admettant que Gilbert Collard soit champion départemental de Karaté on devrait s'en tirer." Pierre-Emmanuel Barré

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Envoyé par Dr_Z le Dimanche 08 Février 2015 à 11:44


Le 08/02/2015 à 08:16, NewMilenium avait écrit ...
J'attends de voir des Bouddhistes extrémistes, on va rigoler...

Tu peux faire des recherches sur le birman qui se fait appeler le "Ben Laden boudhiste". Et tu peux voir comment les musulmans de Birmanie prennent cher à cause de ses soutiens.

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Le 02/04/2020 à 15:21, Borislehachoir avait écrit ...
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Envoyé par Borislehachoir le Dimanche 08 Février 2015 à 21:45




Boris, j'appelle ça un massacre.

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Envoyé par Talen le Lundi 09 Février 2015 à 07:28


Durendal qui ne me plaisait déjà pas beaucoup en critique de cinéma m'avait définitivement perdu à la première minute de sa critique de Foxcatcher.
(Et vu qu'Enthoven a tout mon respect et dépasse de loin ma culture je vais l'écouter lui )

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Envoyé par NewMilenium le Lundi 09 Février 2015 à 10:02


Perso j'écoute personne sur youtube. J'agis par moi-même, je regarde par moi-même, et je me farcis tout de même vos critiques de cinéma et de livres pour plein de bonnes raisons.

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Envoyé par vampire2 le Lundi 09 Février 2015 à 13:33


Le truc de Boris est pas mal ^^

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Envoyé par Crutch le Lundi 09 Février 2015 à 15:55


Les hommes du président Alan J. Pakula (1979)
L'histoire vraie de l'enquête menée par Carl Bernstein (Dustin Hoffman) et Bob Woodward (Robert Redford), deux reporters du Washington Post, qui révéla au grand jour le scandale du Watergate.

Si A cause d'un assassinat était désespéré, Les hommes du président, sortit 2 ans plus tard, en est quasiment l'inverse: l'histoire vraie de journalistes intégrés,surs d'eux et victorieux face aux mensonges du gouvernement.
Film-dossier, porté par un casting 70s en diable (Hoffman et Redford, aka Peter et Steven dans La classe américaine), ou Pakula se démène pour que son scénario aussi passionnant que bavard et peu cinégénique (en gros des mecs qui téléphonent et se font claquer des portes aux nez) reste intéressant: on a des scènes de suspense (les visites à Gorge Profonde), des travellings stylés, des longs plans-séquences montrant le travail lent mais exhaustif des journalistes,et permettent un certain vérisme: les acteurs bafouillent, ne retrouvent pas leur notes,etc.
Le parti pris extrêmement factuel (sauf dans l'intro,on ne décrit que le point de vue des journalistes, les héros n'ont pas de vie privée ni de réelle psychologie) n’empêche pas un certain humour (la méthode d'investigation ultra cash au téléphone, les vieilles tentatives de bluff pour faire parler les témoins) qui dédramatise et rend le film très plaisant à suivre, en attirant la sympathie pour ces deux scribouillards qui renversèrent un président à coups de machine à écrire.  
En résumé,un très bon film, à voir en double programme avec A cause d'un assassinat.

Durendal vs Enthoven 2 fait très mal, mais dans la suite de l’émission, ils analysent Expendables 2 et ça,
c'est >>>>>>>

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