Ne pas sombrer dans le racisme, how to ?

Je rentre dans la case geek sans problème ^^

Preuve 1 : Je suis plus sur internet que sur mon rapport d'essai alors que je suis au boulot, payé.
Preuve 2 : J'ai plus de 800 mangas, plus de 80 livre de fantasy (et que deux ou trois de fantastique)
Preuve 3 : Il me suffit qu'on parle de tuning pour que je sache qu'on parle de game one, j'ai un abonnement à No Life TV aussi
Preuve 4 : Je un bac +3 en électronique et je ne fais pas de tuning
Preuve 5 : Je me contrefous de la politique sauf pendant les élections
Preuve 6 : Je dégaine des DTC et CMB plus vite que mon ombre... irl
Preuve 7 : ...

Je suis geek, je suis gay, je suis rôliste et... Et bien c'est ce que je suis (entre autres choses)

Le 20/03/2013 à 14:52, Weeds avait écrit ...
J'ai cliqué, j'ai vu le nom, j'ai fermé avant que la vidéo ne commence.

Tu le discrédite avant meme de l'avoir vu et pourtant il dit à peu près les memes choses que toi à la page précédente

Le 20/03/2013 à 14:49, Borislehachoir avait écrit ...

NON PUTAIN PAS CYPRIEN BORDEL DE CUL DE POMPE A MERDE ON A DIT QUE CYPRIEN ET NORMAN C'ETAIT BANNI DU FORUM OKAAAAAAY ????



Boris.

C'EST QUOI C'DELIRE

Le 20/03/2013 à 13:05, Talen avait écrit ...

Si je devais donner une définition (ni péjorative ni méliorative) du geek, je dirais :

"Un passionné qui va très loin dans un ou plusieurs domaines lié(s) aux nouvelles technologies et/ou à l'imaginaire."

Je mets un petit bémol sur les nouvelles technologies. Je pense englober trop de monde avec.

Ouais, même Pour préciser ce serait "Passionné qui va très loin dans un ou plusieurs domaines liés aux nouvelles technologies et/ou à un univers relevant du fantastique ou de la science fiction, et qui considère son domaine de manière ludique." (pas sur si il doit être seul à considérer que c'est ludique ou si les autres doivent globalement le considérer aussi).

Ce qui différencie le geek face au nerd et au no-life, c'est son comportement face aux autres. La philosophie du geek, c'est "j'aime quelque chose, tu aimes la même chose, aimons-le ensemble". En découle le fait que deux geeks du même domaine peuvent discuter une journée sans s'arrêter et devenir incompréhensibles pour ceux qui sont autour. Le nerd, c'est "j'aime quelque chose, tu aimes la même chose, c'est cool, on peut l'aimer chacun dans son coin". Le no-life, c'est "j'aime quelque chose, tu aimes quelque chose, tu es à la rigueur digne de mon amitié si tu l'aimes plus que moi, si t'en connais plus que moi, tu me fais pitié sinon".

Dans un autre sens, les rolistes sont un sous-ensemble des geeks, puisqu'on peut définir leurs domaines d'activité : les jeux de rôle. Quant au mec qui tune sa caisse et qui est à la pointe de la technologie, on peut dire que c'est un geek, il est passionné, il va jusqu'au bout, et c'est ludique. Après, de là à restreindre les domaines d'activité du geek à l'informatique de près ou de loin, c'est juste un abus. Si ca l'était au départ, ce n'est plus le cas, on considère bien les rolistes comme des geeks, alors que dans roliste y'a pas une once d'informatique.

Le 20/03/2013 à 17:08, Anastaszor avait écrit ...

 alors que dans roliste y'a pas une once d'informatique.
 

Dit ça à Weeds XD

Le no-life, c'est "j'aime quelque chose, tu aimes quelque chose, tu es à la rigueur digne de mon amitié si tu l'aimes plus que moi, si t'en connais plus que moi, tu me fais pitié sinon".

Je ne suis pas d'accord, ce qui différencie surtout un geek et un no-life, c'est que le no-life n'a pas de vie sociale.

Le 20/03/2013 à 17:08, Anastaszor avait écrit ...

Ce qui différencie le geek face au nerd et au no-life, c'est son comportement face aux autres. La philosophie du geek, c'est "j'aime quelque chose, tu aimes la même chose, aimons-le ensemble". En découle le fait que deux geeks du même domaine peuvent discuter une journée sans s'arrêter et devenir incompréhensibles pour ceux qui sont autour. Le nerd, c'est "j'aime quelque chose, tu aimes la même chose, c'est cool, on peut l'aimer chacun dans son coin". Le no-life, c'est "j'aime quelque chose, tu aimes quelque chose, tu es à la rigueur digne de mon amitié si tu l'aimes plus que moi, si t'en connais plus que moi, tu me fais pitié sinon".

C'est marrant, mais si on prend ta définitions, je suis un gros geek des maths. Si on prend le critère Weedsien, j'en suis beaucoup moins sûr (car par exemple "aimer la SF ou les jeux vidéos non-casual", c'est assez flou).

Sinon, je suis encore d'accord avec Senen face à joker. Car oui, critiquer un article car il n'est pas parfaitement égalitariste sur la longueur, c'est un peu repprocher à un type qui critique l'islamophobie de ne pas assez critiquer la cathophobie.

Mon fou rire du jour :

jeputrefielepatriarcat.wordpress.com/2013/03/28/le-coit-une-aberration-totale-sauf-si-on-regarde-sa-fonction-dans-le-patriarcat/


On est à la limite du fake/troll.

Pinkie pie dit :
mars 29, 2013 à 10:54
Ca m’étonnerait que le plaisir clitoridien puisse remplacer un jour ce que je ressens avec la pénétration mais bon, j’imagine que je suis complétement dominée par le système patriarcal et que c’est pour ça que j’aime ça.

<3 

Je crois que ca résume bien le nihilisme de l'article.

Le titre du site est "Je putréfie le patriarcat", est-ce qu'il y a vraiment besoin d'aller plus loi ?

Allez, je lirai quand même ça après être allé manger.

C'est toujours nous les monstres de toute façon, quoique ce soit ce sera toujours de notre faute ...

Dédicace à l'auteure qui a réussit à nous pondre une grosse blague avec le plus grand sérieux possible.

Or, aujourd’hui, la pilule et l’avortement font que nous n’avons plus ce moyen de négociation possible, nous n’avons plus d’excuses pour refuser le coït aux hommes.

Je suis franchement surpris par cette phrase.
Est-ce qu'elle ne sait pas simplement dire non ou est-ce que tous les hommes sont des violeurs ?

Le 01/04/2013 à 20:22, Pleykorn avait écrit ...

Je suis franchement surpris par cette phrase.
Est-ce qu'elle ne sait pas simplement dire non ou est-ce que tous les hommes sont des violeurs ?

Les deux Pleykorn, les deux !

Un ami a répondu ça en commentaire de l'article :

Je me permets une remarque et une question.

La première remarque est celle du risque. Si, effectivement, les hommes ne courent pas le risque de tomber enceint, le fait est qu’ils courent le risque de voir leur partenaire tomber enceinte. Un risque moins important, pas négligeable pour la plupart des hommes qui se soucient de leur partenaire, mais moins important. Néanmoins risque pondéré par un autre fait : en cas de grossesse, c’est à la femme (et elle seule) de faire de choix de garder ou non l’enfant, le père n’a aucun pouvoir de décision sur le sujet (que ce soit une bonne ou une mauvaise chose est hors-sujet). Au final, le père peut même se voir contraint de reconnaitre l’enfant « dans l’intérêt de l’enfant » (en gros, quand la mère ne peut subvenir seule aux besoins du gosse), et oui, ça arrive chaque année.

Donc le risque d’un coït pour un homme n’est pas nul, moins important, mais parfois tout aussi lourd de conséquences, et sans aucune prise sur ce qui peut advenir en cas de grossesse non désirée.

Rajoutons enfin que, puisque nous parlons uniquement de stérilet et de pilule, l’homme n’a aucun moyen de s’assurer que sa partenaire prend effectivement sa pilule, se retrouver avec « un enfant dans le dos », pour dire communément, est un risque non nul (quelqu’un dans ma propre famille s’est retrouvé dans cette situation, sa compagne lui a caché qu’elle arrêtait la pilule jusqu’à avoir un enfant de lui, il n’est pas resté avec elle mais a reconnu l’enfant et leur verse une pension).

Donc l’équation « coït = plein de risques pour la femme, aucun risque pour l’homme » est fausse, je reconnais que le risque pour la femme est plus important, mais le risque pour l’homme est réel.

Maintenant question, je suis perplexe devant le passage suivant : « Le fait que les hommes savent que c’est dommageable pour nous et uniquement pour nous, qu’ils insistant tant à ce que nous nous soumettions au coït, et qu’ils mettent tant d’énergie à nous faire croire que c’est du sexe, du plaisir, de la libération malgré que le coït soit totalement inutile autant sur le plan du plaisir que sur le plan reproductif (tout plaisir génital chez nous provient uniquement du clitoris et non du vagin, qui est un muscle), est une preuve de l’intentionnalité de l’usage du coït comme outil de démolition des femmes à l’échelle massive. ».

Je suis un homme, je me considère comme relativement ouvert aux idées féministes même si je ne suis pas spécialement engagé dans des réflexions sur le sujet. J’aimerai savoir comment je dois interpréter cette phrase : suis-je supposé avoir l’intention d’user du coït comme outil de démolition des femmes à l’échelle massive, ou ce sont d’autres hommes qui ont cette intention particulière, et si oui, qui sont ces hommes dont, si je relis encore le passage, vous pensez avoir réussi à prouver qui avaient l’intention d’utiliser le coït comme outil de démolition des femmes à l’échelle massive ?

Merci d’avance de votre réponse, et merci également pour cet article qui porte à réfléchir (et ce, même si je suis en désaccord avec une partie de son contenu).

Il n'avait pas fait attention au fait que les commentaires étaient modérés et, évidemment, le sien a été refusé.
Il semblerait que, en gros, si tu as un pénis ton commentaire n'est pas accepté. 

Le site n'est pas seulement feministe, il est aussi foncierement lesbien.
J'ai notamment adore le passage :

les hommes doivent se débarasser de leur érection ( donc de leur identité phallique ) et apprendre à faire l’amour comme les femmes le font entre elles

Je n'ai absolument rien contre les lesbiennes et meme les feministes. Mais quand tu lis des trucs comme ca...