Topic Cinéma

Comment on supprime un post sous MC6 ?

C'est vrai que le film ne convoie aucun "vrai" message, mais les multiples idées qu'on peut en dégager ne sont-elles pas intéressantes ? (Notamment idée = parasite, en fait). Quand à la musique, je crois que c'est extrêmement subjectif mais elle est plutôt bien composée (surtout Time et sa progression d'accords ; le reste est sympathique mais ne se distingue pas tellement)

Je ne trouve pas du tout les idées en question intéressantes non. Quand à la musique, ce n'est pas non plus la première fois ( ni la dernière ) que Zimmer me pompe l'air en plus de s'auto-recycler. C'est un peu comme Horner, un compositeur que je n'aime vraiment pas.

Boris.

Il a fait quoi Horner, de si mauvais que ça ?

Edit : Et en quoi les idées d'Inception sont si peu intéressantes ?

[ Dernière modification par Heptahydride le 25 sep 2010 à 10h52 ]

 A une soirée récente, on a maté le cuirassé Potemkin avec des potes, que j'avais déjà vu avant.
On a parlé un peu de cinéma russe et tout, j'avais un peu bossé dessus pendant l'année passé, en option cinéma (une option parfois dispo en filière L) on avait eu à étudier L'homme à la caméra de Vertov.
Bref, on en a parlé, j'ai voulu le revoir, j'ai commencé par regarder des parties sur youtube : à part un minuscule passage (la vidéo étant en grande partie le passage dans lequel on peut voir la monteuse monter le film), il n'y a que des vidéos avec la musique différente de celle du DVD qu'on avait en cours (le dvd normal quoi)


Le truc, c'est que le DVD qu'on avait avait déjà quelques années, or ils l'ont surement déjà réédité, et il semblerait que la version avec cette musique remasterisée soit la plus courante, sur internet, pas moyen de mettre la main sur la vraie BO, que ce soit avec ou sans le film.
Quelqu'un aurait un lien pour acheter en ligne / dl le film avec la version originale ? J'ai un peu cherché sur google, mais bon, faut avouer que j'ai pas trouvé.

Si Inception c'est vraiment bien. Mais tu n'as pas aimé Shutter Island et tu aime Avatar, donc toi et moi on ne peut pas vraiment se comprendre.

Des fois il y a des films qui font l'effet d'un électrochoc intellectuel. Ca dépend en grande partie de l'expérience du spectateur en dehors du film bien sur, donc Inception n'a sans doute fait que réveiller des concepts qui vivotaient plus ou moins quelque part dans mon esprit, mais n'empêche que cette capacité à être catalyseur est infiniment louable.

On passe d'une vision de la culture qui est anthropocentrée, focalisée sur les individus, à une vision centrée sur les idées, les "mèmes" comme l'appelleraient certains scientifiques, dont les individus ne sont que des réceptacles à la personnalité entièrement définie par les différents mèmes qui en font leur hôte. Ca paraît être du blabla sans intérêt à première vue, mais c'est en opérant un renversement de point de vue comme ça que Kant et Copernic ont fait leur plus grandes découvertes.

J'avoue que Hans Zimmer est assez porté sur l'auto-plagiat, un ami m'a fait faire une écoute comparée de Gladiator et Pirates des Caraïbes et il y a des passages où on est dans les limites du burlesque tellement c'est flagrant.


En parlant de cinéma russe, et pour répondre à ta question Boris, j'avais aussi chroniqué Octobre sur le même site.

Shutter Island sauf si tu y tiens je vais pas revenir dessus là simplement parce que les problèmes que je vois dedans sont vraiment différents de ceux d'Inception. D'ailleurs je les place pas au même niveau, Shutter Island est vraiment mauvais alors que l'autre est juste moyen.

La différence entre Avatar et Inception c'est celle entre un cinéma de mise en scène et un scénario - bof - filmé - mal -. Y a un film qui offre clairement au spectateur ce qu'il a payé pour voir et l'autre qui est un enième film de petit malin qui semble te dire " Y rève ? Y rève pas ? HAHA ! " pendant deux heures tente. Avatar est totalement premier degré et n'as pas peur du ridicule avec son militaire unijambiste qui retrouve une libido avec une nana bleue. Inception, lui, est un film avec un balai dans le cul qui a sans arrêt peur, et qui ne prend aucun risque. Le subconscient selon Nolan, c'est quoi ? Quinze mastards avec des mitraillettes. Ah ben putain on s'éclate dans son subconscient. Si Freud avait bossé sur Nolan il se serait probablement reconverti dans la plomberie ou l'agro-alimentaire tellement l'autre présente la vision la moins intéressante possible du cerveau. Si tu entres dans mon inconscient tu devrais être poursuivi par des diplodocus avec des Codes civils pendant qu'une de mes exs te crève un oeil au compas avant une chute libre sur l'Etoile Noire pendant que Klaus Kinski me traite de mongol. Chez Nolan on a des militaires avec des flingues. Wouhou.

Et cette histoire d'amour ! Qui s'intéresse à ces deux connards ? Parce que oui le Léo là ( qui serre les dents ) et la Marion ( qui semble déterminée à montrer qu'elle est très mal à l'aise dans les films US, cf Public Enemies ), leur histoire d'amour c'est même pas digne de la collection Harlequin ! L'amour fou on se mord, on se griffe, on se viole, on se perd, on se retrouve... là on a " Tu es tellement magnifique que je ne peux pas te réver si magnifique que tu es ". Pourquoi personne ne fait remarquer que c'est HYPER NIAIS ?

Dans l'ensemble émotionellement parlant Inception c'est zéro. Les personnages ils sont ce que leur fonction leur permet d'être et c'est tout. Les affiches genre " Saito, the tourist " résumaient bien ça et Saito restera le " touriste " pendant tout le film. Vous imaginez du Bunuel ou du Suzuki - je prends des cinéastes assez portés sur les délires surréalistes - avec ces personnages là ? Et alors quand on veut que tu comprennes bien une idée c'est le pompon. Ellen Page, elle construit un labyrinthe ? Ben on va l'appeler Ariane ! REFERENCE SUBTILE ! Et Cotillard, on va lui coller la musique de la Môme ! A quoi ça sert ? Ben ça te rappelle qu'elle jouait dans la Môme !

Après comme Inception n'explique rien, on peut interpréter les symboles comme on le sent et faire des théories à la pelle. Mais ça ne fait pas sens, et toutes les interprétations intéressantes sont plus tirées de la tête du gars qui interprète que du film en lui-même. J'ai jamais bien compris en quoi ce genre de fins était quelque chose de positif. Oh les mecs, on avait les mêmes dans les bouquins Chair de poule ! Et quitte à faire des twists, Shyamalan dans Incassable ou Amenabar dans Ouvre les yeux filment très bien et offrent des personnages sensibles et complexes, pas des vulgaires kékés en costard Armani.

Boris.

Sinon moi j'ai été voir Resident evil after life, et ben par moment on dirait qu'il se parodie lui même tellement cest pathétique.

Et bientot jirais voir Saw 7. Haha ^^

Oh, et vous saviez qu'ils veulent faire un film sur ...les schtroumpfs ? Et ca se passera a New York ! Et non, cest pas une blague...

Le subconscient selon Nolan, c'est quoi ? Quinze mastards avec des mitraillettes. Ah ben putain on s'éclate dans son subconscient. Si Freud avait bossé sur Nolan il se serait probablement reconverti dans la plomberie ou l'agro-alimentaire tellement l'autre présente la vision la moins intéressante possible du cerveau. Si tu entres dans mon inconscient tu devrais être poursuivi par des diplodocus avec des Codes civils pendant qu'une de mes exs te crève un oeil au compas avant une chute libre sur l'Etoile Noire pendant que Klaus Kinski me traite de mongol. Chez Nolan on a des militaires avec des flingues. Wouhou.

JUSTEMENT. C'est ça qui fait le génie du film.
Nolan a évité l'écueil de prendre le prétexte comme quoi c'est un film sur les rêves pour se contenter de prendre le LSD comme seule matériel pour écrire son script. Parce que la plupart des gens trouvent l'onirisme bien pratique pour pondre un n'importe quoi indigeste pour lequel il y aura toujours un illuminé pour crier au génie.

Les scènes de rêve font réel parce que tu ne les vois pas rétrospectivement. Quand tu fais un rêve, dans la plupart des cas c'est seulement au réveil que tu t'aperçois que c'était n'importe quoi. Là Nolan nous met à la place des personnages, et pour eux, à part quand l'univers part vraiment en cacahouète, le monde des rêves et parfaitement rationnel. C'est pour ça qu'on a au final un univers très "James Bond", parce que Nolan veut montrer qu'onirisme ne veut pas forcément dire gros trip psychédélique.

Parce que je veux dire, dans l'absolu voir des agents en costume se mitrailler la gueule, c'est quand même plus jouissif qu'un plan fixe de deux minutes sur un éléphant rose. C'est presque génétique, on est programmé pour préférer le premier truc au second. C'est parce que de nombreux cinéastes abusent de cette facilité que les films dans lesquels ça se castagne sont généralement des navets et qu'on aura tendance à se tourner vers le second type de film.

+1 par contre sur Edith Piaf, j'ai trouvé ça ridicule.

Ne confond pas tout. Oui certains connards utilisent l'onirisme pour convaincre un public déja conquis ( tu cibles Burton ou Gilliam ? Allez, avoue ! ) mais après c'est justement le boulot du mec talentueux de rendre tout cela cohérent. Je n'ai jamais rien compris à Lost Highway de Lynch, et je l'ai vu une demi-douzaine de fois, y a des passages complètement fous qui pourtant semblent toujours parfaitement intégrés dans le film, du Dick Laurant mort à l'Homme-mystère sans sourcils en passant par la brune devenant blonde.

Nolan nous met à la place des personnages, mais quels personnages. Etre à la place de ces types sans le moindre intérêt et auxquels il peut arriver n'importe quoi sans impliquer le spectateur, merci bien. Tout est super rationnel, ou pas, quand il s'agit de faire une scène qui fera date ( ou tu sens qu'on te hurle " IDEE VISUELLE " très fort ), t'as une chute de 3 secondes d'une bagnole qui dans la strate d'après fait 40 minutes en apesanteur. J'ai du rater un détail pour un film ou tout est si pensé. C'est là que tu vois que Nolan a peur, en ce qu'il te colle une scène d'action très longue qui n'a rien à foutre là juste pour maintenir le spectateur éveillé. D'ailleurs sa marche, on ne s'emmerde jamais. Mais ça n'a jamais la grâce. Même The Dark Knight, et je me suis fait gueuler dessus ici-même pour ne pas avoir participé au concert de louanges a sa sortie ( vaut mieux pas que je dise ce que je pense de Memento ), avait quelques moments qui retenaient l'attention : le bracage absurde d'intro, le joke sortant la tête de la bagnole sans le moindre son, le camion de pompier qui crame ou encore le tour de magie. Là on attend la prochaine péripétie.

Franchement, jouissif, Inception... Je vois pas en quoi. Tu parles de facilité scénaristique mais monter alternativement 15 strates alors que de toute façon ce qui se passe dans la moitié d'entre elles n'a pas d'importance c'est vraiment embrouiller pour rien parce que oui, Nolan raconte mal, et embrouille plus qu'il n'en faut un récit comme si faire plus complexe faisait plus profond. Mais ça reste des coquilles vides, qui rèvent ou ne rèvent pas, mais sont vides.

Boris.

 J'ai vu Kaboom à l'instant, c'était juste énorme. Mais alors c'était vraiment n'importe quoi. Mais énorme quand même : un tas de répliques géniales, j'ai rigolé du début à la fin, beaucoup de câlins entre adultes consentants, des supers pouvoirs, des moments chelous, et encore d'autres trucs complètement dingue. 

J'ai vu Get him to the greek (American trip) hier, j'ai aimé. Certaine scène sont tout simplement géniales.

Un homme est passé ( Sturges )

Réalisateur assez mesestimé par la critique, Sturges est souvent cantonné à ses films les plus populaires comme Les 7 mercenaires ou La grande évasion qui, loin d'être honteux, sont il est vrai des divertissements assez ordinaires. Sturges a donné le meilleur de lui-même dans le western ( voir les superbes Règlements de comptes à OK Coral et Le dernier train de Gun Hill ), mais avec Un homme est passé, curieux film néo-noir mis en scène comme un western, Sturges réussit là ou on ne l'attendait pas forcément : le film a message.
Un étranger manchot ( Spence Tracy ) débarque dans une bourgade perdue à la recherche du japonais Komako. Les habitants, menés par Smith ( Robert Ryan, toujours impeccable dans un rôle de crevure ) lui font vite comprendre qu'il n'est pas le bienvenu. Nous sommes en 1945.
Spencer Tracy avait déja travaillé sur un film dénonçant le lynchage avec le très beau Fury de Fritz Lang ; ici, handicapé physiquement, il est d'une grande crédibilité dans le rôle de celui qui éveillera les consciences de l'Amérique endormie, malgré une opposition matérialisée en un énorme casting de bad guys ( Ryan donc, mas aussi Lee Marvin déja coolissime et Ernest Borgnine qui se fera défoncer au corps à corps par Tracy dans un grand moment de violence ). et avec au milieu, des villageois qui balancent entre les deux camps. Impeccablement filmé et rythmé le film donne envie de faire taire les anti-Sturges tant celui ci fait preuve ici d'un sens du cadre sensationnel.


La pousuite infernale ( John Ford )

Wyatt Earp, Doc Holliday, les Clanton, OK Corral, je dois vraiment refaire l'historique d'une sage que tout le monde connait déja ? En attendant, on a affaire ici à la meilleure version que j'ai vu du mythe, qui scelle ma réconciliation heureuse et totale avec Ford. Chanson superbe reprenant le titre en VO ( My Darling Clementine ), duo Henry Fona-Victor Mature impeccable, grands moments comme la danse entre Wyatt et Clementine, la mort d'un des frères Earp ou le gunfight final ainsi qu'un personnage féminin étonamment fort en la présence de Chihuahua, la copine de Doc Holliday. Evidemment Ford emballe ça avec la précision des grands jours et passe un très fort sentiment de nostalgie et de tristesse, les couples Earp-Clementine et Doc-Chihuahua étant condamnés à ne pas aboutir. Et un des rares scénarios sur le thème à jouer aussi bien de l'opposition entre les fratries ( Earp/Clanton ) ainsi que de la complémentarité et de l'amitié vache entre Earp et Holliday. Un très grand western.

I'm so so ( Kieslowski )

Documentaire sur le cinéaste polonais Kieslowski ( dont je conseille impérativement les formidables Brève histoire d'amour et Tu ne tueras point ), il s'agit simplement d'une suite de discussions avec le réalisateur sur sa façon de travailler, ses films, son rapport à la censure et à la politique. D'ou un intérêt dépendant principalement de celui qu'on éprouve pour le personnage Kieslowski qui, pour ma part, fut une figure essentielle et attachant du cinéma polonais. Néanmoins le tout manque vraiment d'approfondissement et en plus d'être trop court ( moins d'une heure ), le documentaire donne l'impression d'être sans arrêt coupé au moment ou il devent plus intéressant. Le titre du film vient d'une anecdote du cinéaste, expliquant qu'il a horreur de la fausse bonhommie des américains, répondant " formidable ! " à la question " comment ça va ? ". " Moi, répond Kieslowski, je ne suis jamais d'humeur formidable. Souvent, I'm so so. ". Et malheureusement, je doute que ça fasse une bonne porte d'accès au cinéaste.

Destination finale 2 ( David R Ellis )

Tombé dessus récemment sur une chaine de la TNT et ai été agréablement surpris par le carambolage de départ, spectaculaire et assez bien réalisé. Et si cette histoire de mort poursuivant des trous du cul dont on se fout totalement est conne comme la Lune, le premier mort post-carambolage est suffisament loufoque pour maintenir l'intérêt.... qui ira malheureusement décroissant tant la suite n'est pas à la hauteur. Les morts sont de moins en moins imaginatives, l'intrigue se résoud n'importe comment, évidemment ceux qui fument/boivent/baisent crèvent les uns après les autres mais ce qui sauve le film du ratage absolu est son humour débilo-cartoon, avec la question que se pose le spectateur à chaque fois, " euh, quelle mort à la con il va avoir lui ? ". Moins naze que je le pensais.


Destination finale ( James Wong )

Un obscur tacheron était donc responsable du premier film, que je décide de voir au vu de la relative bonne surprise constituée par le suivant. Et évidemment le 1 nest pas à la hauteur, tant il se prend au sérieux ( à l'inverse de sa suite ) et n'arrive jamais à filer des morts un tant soit peu excitantes. Le crash de l'avion est mille fois moins réussi que le carabolage du 2, on doit se farcir le tétard de héros apportant la vérité aux adultes dubitatifs mais les personnages sont un peu moins pongoliens que dans la suite, et quelques moments sont plutôt réussis comme la mort de la prof ou l'étranglement dans la baignoire. Mais bon c'est quand même vraiment médiocre.


Destination finale 3 ( James Wong )

Bon là c'est n'importe quoi, y a plus de lien narratifs avec les deux premiers, ça pue le déja-vu avec son crash de grand 8 pas si mal mais sentant l'épuisment d'une franchise déja pas bonne au départ, l'héroine est la plus canon de la saga mais c'est filmé avec les pieds, l'intrigue est encore plus conne que dans les épisodes d'avant et c'était pas évident ( MOUHAHAHA le coup des photos révélatrices de comment tu vas crever ), y a du cul bien racoleur avec la scène des deux poufiasses dans le sona, les secondes rôles sont tous plus insupportables les uns que les autres, les morts sont nulles, bref, c'est pourri, et je suis vraiment con de m'être enquillé trois épisodes de cette saga mais bon, j'en connais qui ont vu tous les Saw...



12 hommes en colère ( Lumet )

LE revisionnage qui fait plaisir ; ayant un très bon souvenir de l'histoire de ces 12 jurés débattant du procès auquel ils viennent d'assister, j'ai pu me concentrer d'avantage sur la mise en scène dicrète mais néanmoins fabuleuse de Lumet ou tout semble calculé au millimètre près ; à y regarder de plus près, c'est rempli de grands moments de cinéma comme la tirade raciste ou, dans le cadre, les jurés se placent tous dos à celui qui parle ; les discussions entre Fonda et les autres jurés remplis de tension ; ce gros plan sur Fonda qui pour répondra à la question " est-il innocent pour vous ? " répond tout simplement " je ne sais pas ". C'est un chef d'oeuvre du huit-clos dont les personnages sont écrits et joués avec brio ; j'aime particulièrement le personnage du deuxième jur convaincu par Fonda, qui entend les autres expliquer le lien entre vie dans un ghetto et culpabilité avant de répondre, mal à l'aise, " j'ai passé ma vie là-bas ". Autre personnage très intéressant, l'avant-dernier juré à changer d'avis, qui sera l'opposition la plus constructive et intelligente à Fonda. Si vous accordez un tout petit peu de crédit à ma parole, oubliez toutes les conneries que je peux raconter et allez voir ce film.


Boris.

je suis vraiment con de m'être enquillé trois épisodes de cette saga mais bon, j'en connais qui ont vu tous les Saw... 

Tu crains, t'as même pas fais l'effort de regarder le quatrième. En 3D en plus.

Surtout que c'est le réal du 2 ( clairement le meilleur épisode pour moi ) qui est derrière, donc quelque part, j'aurais mieux fait de m'y coller que de me taper le troisième. Mais là je sature.

Boris.