kakkhara Hors Ligne Membre Inactif depuis le 09/07/2024 Grade : [Légende] Inscrit le 13/03/2004 4235 Messages/ 0 Contributions/ 468 Pts | Envoyé par kakkhara le Lundi 03 Septembre 2007 à 19:44
Au contraire je suis pas fan de la fin (surtout niveau réalisme).
Je ne voudrais pas contredire quelqu'un qui aime las vegas parano, mais alors là je suis contre. Tu as le dorit de ne pas être fa de la fin, bien qu'à mon humble avis elle soit exceptionnelle, surtout le passage immonde spoilerisé par izzi.
Mais parler de manque de réalisme, là par contre non : le film entier n'est pas du tout réaliste : c'est une esthétique plastique de chaque instant, un côté géométrique comme un jardin à la francaise, où chaque élément de chaque scène parachève le tableau qu'elle constitue.
Ce qui est finalement assez incompatible avec le réalisme qui voudrait au contraire un film à la platoon (et encore dirais-je)
___________________ "_Je joue attirance mortelle sur mon pisteur invisible et je t'attaque avec.
_ouais, j'ai pris 1
_ok ..."
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skulldog Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/09/2014 Grade : [Druide] Inscrit le 22/02/2005 1112 Messages/ 0 Contributions/ 47 Pts | Envoyé par skulldog le Lundi 03 Septembre 2007 à 20:56
Sinon je suis allé voir Paranoïak au cinéma, pas du tout prémédité ce film:
Mouais sa reste classique une histoire de serial killer alors que le heros, assigné a residence, trompe l'ennui en matant ses voisins ( voisines le coquin ). Un peu de suspense, d'angoisse et de cliché mais bon sa se regarde.
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kakkhara Hors Ligne Membre Inactif depuis le 09/07/2024 Grade : [Légende] Inscrit le 13/03/2004 4235 Messages/ 0 Contributions/ 468 Pts | Envoyé par kakkhara le Lundi 03 Septembre 2007 à 21:00
ca me fait penser à fenêtres sur cour tout ca skulldog
___________________ "_Je joue attirance mortelle sur mon pisteur invisible et je t'attaque avec.
_ouais, j'ai pris 1
_ok ..."
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corum Hors Ligne Membre Inactif depuis le 03/12/2019 Grade : [Nomade] Inscrit le 28/06/2004 2881 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par corum le Lundi 03 Septembre 2007 à 21:01
J'ai aussi du mal à comprendre le reproche réalisme à Full Metal Jacket : le film n'est pas fait pour être réaliste, ça me paraît clair.
Sinon, j'ai vu Hana bi dans un contexte difficile, et c'était vraiment bien
J'ai aussi été au cinéma pour voir 4 mois 3 semaines 2 jours. Ma critique sera en deux points :
- ça vaut le coût
- ça donne très envie de faire du tourisme dans la Roumanie de 1987.
___________________ "car le style pour l'écrivain aussi bien que la couleur pour le peintre est une question non de technique mais de vision" Marcel Proust
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blue-monday Hors Ligne Membre Inactif depuis le 13/11/2007 Grade : [Nomade] Inscrit le 29/12/2005 226 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par blue-monday le Lundi 03 Septembre 2007 à 22:56
Au sujet de Las Vegas Parano...
@ Soutzeverc, pour les précisions qu'il m'a demandé.
Ce film est absolument tout (pour ceux qui ont de l'imagination) sauf futile. Il est la chronique, ou plutôt le témoignage d'un journaliste célèbre du magazine Rolling Stone, à savoir Hunter S. Thompson, ici joué avec un mimétisme bluffant par Johnny Depp.
C'est une adaptation du livre du même nom ; un livre que Thompson a rédigé au même moment où son journal lui demandait de faire un reportage sur une course de moto qui a lieu chaque année dans le désert du nevada. Thompson est un journaliste singulier, il pratique le journalisme gonzo, à l'instar de Lester Bangs le légendaire critique rock (le plus grand surtout). Le journalisme gonzo est une émanation beatnik elle-même reprenant certaines pratiques des surréalistes ; c'est à dire écrire dans un état second, et uniquement dans celui-ci, bref abuser des drogues puis essayer d'écrire.
Pour bien comprendre Las vegas Parano (si tant est que "comprendre" puisse avoir un sens dans cette histoire), il faut se replacer dans le contexte historique et sociologique de l'époque que raconte Thompson.
On est en 1971, Nixon est au pouvoir, il est considéré comme un démon par certains intellectuels (Philip K. Dick romancier de science fiction lui-même perfusé de drogues) ; la guerre du Vietnam a toujours lieu (d'ailleurs c'est la première fois qu'une guerre est ouvertement couverte médiatiquement par des journalistes non encore contrôlés par l'armée), et durant cette année vont mourir, Jim Morrison, Jimi Hendrix et Janis Joplin, trois des plus illustres représentants du rock'n roll. Du feu des sixties, il ne restera bientôt que des cendres. 1971 c'est tout simplement la fin de pas mal d'illusions pour tout une jeunesse et pas mal d'intellectuels tous symboliquement "nés" en 1967 (summer of love, le début des hippies tout ça...l'avénement des drogues, du LSD surtout, l'année du rock).
On est donc en 71, et là ou le film de Giliam est captivant, c'est qu'il retranscrit avec génie (oui l'adaptation est géniale, c'est la copie visuelle du bouquin) tout le malaise de Thompson qui lui-même est en train de raconter de façon prophétique la fin des idéaux d'une génération. Qu'est-ce qu'il cherche le Thompson ? Le rêve américain. Il profite donc de son reportage dont il se fout royalement pour faire un tour à Las Vegas, qui selon lui est l'incarnation de ce fameux rêve américain. Las vegas, un kyste urbain et de néon, au milieu de rien, au mileu du désert ; on a déjà là l'incarnation architectural de ce rêve (partir de rien.....etc..) ; ensuite à Vegas, si tu as de la chance, tu peux être milionaire aux jeux (enfin c'est comme ça que c'est vendu dans les casinos) ; c'est un peu la reproduction moderne de l'ancienne quète de l'or au far-west, si tu as de la chance de trouver le bon filon, tu peux être milionaire. Donc Las Vegas, c'est à la fois sur la forme et le fond, LE rêve américain.
Mais c'est un rêve de merde, ou plutôt la modernité en a fait de la merde.
En 67, les hippies ont inventé un truc, ils ont prôné un retour au sensible, c'est à dire au plaisir simple de la sensation et uniquement cela. Les drogues étaient à l'époque perçues non pas comme aujourd'hui comme un échappatoire vers des paradis artificiels, mais plutôt comme des vecteurs et des amplificateurs de ces sensations. Ce retour à la nature dans lequel sont souvent caricaturés les hippies, traite aussi de cela : se débarraser de l'acquis pour ne se consacrer qu'à l'inné, à l'essence même des choses, soit là encore la recherche de sensations comme finalité.
L'amour constitue une partie de cette finalité.
Là ou ça se gâte, c'est que ce mouvement a rapidement emporté une partie de la jeunesse de pas mal de pays occidentaux, sur les pentes de nouvelles révolutions : "un nouveau monde est possible !" "Faites l'amour pas la guerre !" "aux chiottes les ainés !" ; bon pour résumé les sixties ont amenées pas mal de choses cuturellement (le rock, le pop art) et socialement (les drogues et la libération sexuelle).
Il n'est donc pas étonnant qu'aux Etats-Unis, ces mouvements de contestation aient été particulièrement féconds, puisque ce nouvel élan de vie porté par tout une jeunesse, s'incarnait très bien dans l'image du rêve américain où tout peut être possible, une vie meilleure etc. Mais là où ça déconne, c'est que le rêve américain, c'est d'abord un rêve individuel, certes porté par tout une nation, mais ça reste individuel ; or ces mouvements de contestation prônaient au contraire une image collective de celui-ci, une nouvelle société (aaahhhh les communautés de l'amour chère aux hippies !).
Dans Las Vegas parano, Thompson cherche le rêve américain avec l'esprit renouvelé des années 60, il a du vécu, il a fait parti de cette révolution culturelle et sexuelle ; bref il est du sérail, mais c'est un journaliste, en enquètant sur ce fameux rêve américain avec ses propres représentations du dît rêve, il prend du recul (et oui même avec un abus festif de drogues, d'ailleurs la voix off est là pour nous signifier ce recul), et perd ses illusions.
Cette révoulution des sixties, c'est que du vent : les technocrates sont toujours au pouvoirs et ce sont toujours nos ainés ; les drogues sont considérées comme un fléau pire que les armes à feu, la jeunesse comme des délinquants paumés éloignés de Dieu ; bref il n'y a que les jeunes qui ont prit le train quand la société toute entière est restée figée sur le quai de la gare. A ce titre le passage du séminaire anti-drogue est significatif.
Thompson dépeint en fait un monde qui n'a pas bougé, immuable et ce malgré la fin des sixties qui prométait un changement radical des mentalités ; bref il y avait de l'espoir et pas mal de gens y ont cru, y compris Thompson, mais la société elle, non.
Alors que reste t-il de ce rêve américain tant recherché par Thompson ? du fric, du conformisme réactionnaire, bref rien de surprenant, et c'est pas l'avènement du rock et son cortège de révolutions qui a changé les choses.
Mais en cherchant bien, il est resté une chose : la drogue. Certes elle n'est plus l'arme des révolutionnaires hippies, elle ne sert plus l'objectif de changer les mentalités pour fonder une société nouvelle et sensible. La drogue est simplement devenue, une arme pour fuir un monde incapable de se transformer. Alors quitte à être incapable de changer le monde, il reste la capacité d'en changer la perception de celui-ci, et ce gràce aux substances illcites.
Et c'est pour ça que Las vegas parano est si outrancier ; la surconsommation de drogues est une terrible fuite en avant de Thompson et de son avocat ; faire que la perception de ce monde aille le plus loin possible dans la folie, que les drogues montrent ce que la société a toujours été : des dinosaures dansant sous des spotlights et forniquant sur des canapés (allégorie splendide d'un monde archaîque et fier de l'être).
Autre image forte : La fameuse chanson "white rabbit" des Jefferson Airplane, soit l'hymne par excellence des hippies ; chanson qui raconte un trip au LSD ; chanson tant aimée par un Benicio del toro en pleine agonie (en pleine de descente) dans sa baignoire remplie d'eau, et celui-ci qui souhaite mourir électrocutée en écoutant ce morceau : quoi de plus belle image que celle d'un hymne ayant berçées une génération d'utopistes, sacrifié avec un de ses apôtres dans un pseudo-suicide glauque.
Bref un film brillant, qui embrasse tout une période historiquement riche, et ce de façon jubilatoire, avec le sourire, mais avec un sourire de supplicié, celui des hommes qui savent qu'il font parti de l'histoire ancienne, emportant avec eux leurs espoirs et un rêve.
Putain ! je crois que je viens de faire ma meilleure chronique ! Et pourtant Las vegas parano n'est pas un de mes films préférés...
J'espère Soutzeverc que j'ai éclairé ta lanterne.
Merci à ceux qui auront euent le courage de me lire.
[ Dernière modification par blue-monday le 04 sep 2007 à 10h00 ]
___________________ blue monday, misanthrope ? Affirmatif ! Anarchiste ? No comment !
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Soutzeverc Hors Ligne Membre Inactif depuis le 25/10/2013 Grade : [Nomade] Inscrit le 06/06/2006 208 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par Soutzeverc le Lundi 03 Septembre 2007 à 23:23
Wow...
Ben là je suis complètement sur le cul hein. Rarement vu une remise en contexte aussi précise. Enfin bref bravo et merci beaucoup.
Merci à kakkhara aussi.
___________________ "Encore un Méditéranéen le SoutBite je suppose" - Une star d'un soir.
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Thank Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/12/2010 Grade : [Nomade] Inscrit le 13/09/2007 256 Messages/ 0 Contributions/ 3 Pts | Envoyé par Thank le Lundi 17 Septembre 2007 à 14:15
'Me suis matté Bad Taste hier
Ca vaut bien la trilogie du Seigneur des Anneaux. Prochain délire de Jackson: Braindead, on verra.
Sinon pour Bad Taste c'est du grandquignolesque dans ce qu'il y a de plus primaire, et qu'est ce que c'est bon: Aliens diformes et crétins, scénes gores plus drôle que térrifiante, Jackson qui remet constemment un bout de cervelle dans sa boîte crânniene grace à une ceinture, la maison-fusée, ect... Enfin c'est génial.
Aprés c'est sur que pour aimer faut être un profond débile comme moi, ou un amateur de ce style: la caméra souffrira un peu du peu de moyen, et les Aliens, même si ils sont hilarant (Mention spéciale pour leur gros cul), font un peu latex.
Finalement un bon film comme on les aimes quand il s'agit d'oublier un peu nos soucis et de claquer des grosses barres pendant 1h30.
[ Dernière modification par Thank le 17 sep 2007 à 15h09 ]
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Tsan Hors Ligne Membre Inactif depuis le 14/12/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 07/12/2002 6171 Messages/ 0 Contributions/ 229 Pts | Envoyé par Tsan le Lundi 17 Septembre 2007 à 20:09
Encore plus quand tu vois le périple que ça a été pour Steve jackson ...
si tu tiens à respecter l'ordre chronologique de ses films il faut d'abord voir "meet the feeble" ... énorme et trash ... un pur bonheur.
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Thank Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/12/2010 Grade : [Nomade] Inscrit le 13/09/2007 256 Messages/ 0 Contributions/ 3 Pts | Envoyé par Thank le Lundi 17 Septembre 2007 à 20:15
Le 17/09/2007, Tsan avait écrit ...Encore plus quand tu vois le périple que ça a été pour Steve jackson ...
si tu tiens à respecter l'ordre chronologique de ses films il faut d'abord voir "meet the feeble" ... énorme et trash ... un pur bonheur.
Noté
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Thank Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/12/2010 Grade : [Nomade] Inscrit le 13/09/2007 256 Messages/ 0 Contributions/ 3 Pts | Envoyé par Thank le Jeudi 20 Septembre 2007 à 03:07
Ca y est! J'ai matté Braindead! Et alors là...
ENORME!
Avec Bad taste c'était le grand délire, mais là c'est de la folie furieuse. Et quel folie!
J'avais pris mon pied en mattant Bad Taste, et là Peter Jackson en remet une couche avec un film encore plus déjanté et gore, j'ai rarement eu de tels fou-rires pour un film: les scènes avec le bébé sont toutes simplement énorme; les zombies sont tous plus crétins et diformes les uns que les autres, le curé qui Owned les zombies avec du Kung-fu et en jurant comme le pire des impie ( ), la mère à la fin... Du pur bonheur (Les seins et le gros cul , elle fait tout de même legerement penser à la reine pondeuse Alien). De plus n'oubliez pas qu'en mattant le film vous serez incollable sur la reproduction des zombies.
On ne peut s'empecher de se rappeler Ash dans Evil dead (En particulier le 2) quand on voit le perso principal (Mention spéciale quand il se ramène avec la tondeuse pour "tondre" du zombie ).
Un trés trés bon film dans son genre (Le meilleur?), que je recommande à tout ceux qui veulent passer un pur moment de bonheur (Toutefois à ne pas mettre sous les yeux de tout le monde, oui oui c'est assez gore, et la scène où la mère renvoi son fils dans son "utérus" à la fin est assez dérangeante).
Enfin voilà, un exellent film à regarder d'urgence!
[ Dernière modification par Thank le 20 sep 2007 à 03h09 ]
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Tsan Hors Ligne Membre Inactif depuis le 14/12/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 07/12/2002 6171 Messages/ 0 Contributions/ 229 Pts | Envoyé par Tsan le Mercredi 26 Septembre 2007 à 20:52
En allant querir "300" (dans son format si large ... tendance stéroide anabolisant) ... je me suis arrêté dans mon ciné pour voir :
"28 semaines plus tard".
bon j'ai pas vu le 1er ... mais celui là m'a bien plus. Le scénar à l'habilité de détourner les codes classiques des films de zombies puisque les méchants ne sont pas ces pauvres latres assoifés de notre sang mais les "gentils militaires" qui ne font pas de détail.
Bref dans ce survival nos héros devront survivre a l'autre ... l'Homme ... ... ...
Et en plus l'image a de temps un temps un ptit côté granuleux à des années lumières d'un film de zombies (notament le début, tout début qui m'a fait croire à une erreur de salle) qui fait bien plaisir, avec quelques trouvailles graphiques et/ou visuel (le baisé de la mort, un bain de napalm & un nuage de gaz et ses étranges habitants, la course poursuite dans dans un metro avec une lunette de visé infrarouge)
Mais surtout n'oubliez pas de prendre vos médicaments si vous avez le mal de mer ... mon dieu que cette image bouge.
Par contre pour les acteurs on repassera.
On l'aura compris, j'étais pas convaincu au début mais alors là j'ai bien aimé (ce qui m'a décidé c'est la mauvaise critique dans télérama )
Edit : et je termine pile poil pour le début de doctor who ... si c'est pas beau.
[ Dernière modification par Tsan le 26 sep 2007 à 20h58 ]
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kakkhara Hors Ligne Membre Inactif depuis le 09/07/2024 Grade : [Légende] Inscrit le 13/03/2004 4235 Messages/ 0 Contributions/ 468 Pts | Envoyé par kakkhara le Jeudi 27 Septembre 2007 à 13:33
bah ce que tu en dit c'est exactement le même topo que 28 jours plus tard.
Tout ce qui est avec les militaires c'est énormissime tout simplement. A noter la reprise partielle du film dans planète terreur de rodriguez.
28 jours plus tard, c'et tout simplement une première partie banale mais super sympa, et après une moitié de film de crescendo de pure violence horrifique jusqu'à l'apothéose finale, servie par une musique qui n'est elle même que la personnification du crescendo musicale et absolument rien d'autre
c'est grand. surtout à voir les fins alternatives
kakkhara, 28 semaines plus tard est sur ma liste de films à voir, merci tsan
___________________ "_Je joue attirance mortelle sur mon pisteur invisible et je t'attaque avec.
_ouais, j'ai pris 1
_ok ..."
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Tsan Hors Ligne Membre Inactif depuis le 14/12/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 07/12/2002 6171 Messages/ 0 Contributions/ 229 Pts | Envoyé par Tsan le Jeudi 27 Septembre 2007 à 16:03
La BO de "28 semaines plus tard" ne m'a pas marqué plus que ça ...
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jokerface Hors Ligne Membre Passif depuis le 03/07/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 22/08/2003 4551 Messages/ 0 Contributions/ 7 Pts | Envoyé par jokerface le Jeudi 27 Septembre 2007 à 23:01
Kung Pow
Bon ben j'ai fini par le regarder. Et comme l'avait dit Abitol, ya de bons passages (le combat contre la vache, les rats ninjakus) , mais ça reste lourdingue.
Le doublage doit y être pour le plus gros morceau de déception. J'ai déjà vu des extraits de vieux films dont le doublage avait été refait pour le fun, mieux réalisé qu'ici. D'ailleurs des fois je me suis demandé si c'etait pas carrément le divix qui déconnait (un chien ouvre la gueule et l'aboiement est perçu 2 secondes après, le tout entre 2 dialogues synchro).
Sans compter que je soupçonne les doubleurs d'avoir improvisé certaines répliques, on les entends hésiter un peu trop longuement pour que cela soit fait exprès. Alors leur méthode quand ils ne savent pas quoi dire comme chute à une vanne, c'est de faire aaaaaaaah ou yaaaaah. Mais au bout de la 25 ème fois ça lasse.
Quelques bon effets visuels quand même, l'integration dans les vieux films de kung fu est bien faite, même si l'acteur principal à le charisme d'une huitre passée au micro onde.
Globalement : Bof, je suis plus ennuyé qu'amusé, mais tout n'est pas à jeter.
Joker, dans le genre parodie , je préfère de loin Hot Shot.
___________________ Le 23/02/2017 à 16:10, David avait écrit ...
Mon papa me disait : "on n'écrase par les fourmis, fils"
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jokerface Hors Ligne Membre Passif depuis le 03/07/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 22/08/2003 4551 Messages/ 0 Contributions/ 7 Pts | Envoyé par jokerface le Lundi 08 Octobre 2007 à 20:42
Tain, ya plus que moi qui poste ici ou quoi ? Oo
Le nombre 23
Sympa, sans plus. Jim Carrey est pas mal, a part que le doubleur VF qui fait sa voix doit avoir fumé 3 paquets par jours sans filtre depuis l'âge de 6 ans. Le film dans son ensemble essaye de suivre une certaine ligne de l'histoire, même si des fois ça s'embrouille un peu. Le twist final est bof , quasi prévisible etant donné que la révélation ne peut tourner que autour d'un des personnages à l'ecran, et ils sont pas nombreux. Sans compter que tout est fait pour nous aiguiller vers l'un ou l'autre, mais pas assez pour que ça fasse mouche. Mais ça reste interessant à voir quand même.
Les simpsons
Avec toutes les bonnes critiques que j'avais entendu, il me fallait bien le voir à un moment donné. Les simpsons, je connais depuis que je suis petit, mais j'ai jamais vraiment accroché. Des fois les gags et les répliques me font sourire, et j'hésite à rire franchement...mais non, ça passe pas encore cette fois là. Alors j'attends le prochain truc marrant, qui sera ou juste un peu mieux, ou pas du tout. Pareil, je l'ai trouvé sympa mais sans plus.
Transformers
Film 100 % amerloque,sans compter qu'on trouve un peu près toutes sortes de clichés : Grosse bagnoles, potiches à gros seins, black de service, ptit gars futé, gros moche intellectuel, houlàlà faut s'accrocher Heureusement qu'il y a les robots.
Les robots d'ailleurs, que j'ai trouvé carrement sous exploité, j'avais vraiment l'impression qu'il yen avait que pour les acteurs. Vous connaissez Independance Day ? Ben vous prenez le même, avec un peu moins de de patriotisme, les robots gentils en plus,et le tout servit à la sauce teen movie.
Le pire c'est que moi j'aimais bien les transformers, je suivais les épisodes quand j'etais môme. Mais là, aucune nostalgie non. Et je vous parle pas des mouvements de caméra convulsivo épileptiques lors des combats. C'est con, parce que c'est ce qui en sort de mieux.
Je l'ai vu sur mon pc, et pas au ciné. La qualité des effets doit rendre mieux sur un ecran géant, j'aurais sans doute plus apprecié, mais le portefeuille en avait décidé autrement.
Bon c'est pas que de la merde quand même (moi j'aime bien Independance Day , je le trouve pas ennuyeux ) mais cest pas un chef d'oeuvre non plus. Ah, et la fin est ce qui m'a plut le plus, car c'etait sans doute la scène qui se rapprochait le plus d'une transition avec l'animé. Voilà
___________________ Le 23/02/2017 à 16:10, David avait écrit ...
Mon papa me disait : "on n'écrase par les fourmis, fils"
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