Hors Ligne Membre Inactif depuis le 29/12/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 09/04/2003 | Envoyé par Wamarano le Jeudi 29 Juillet 2004 à 12:34 Pas mal, mais c'est Zanzan ou Zarzan?
sinon, on voit bien la différence entre les murrgs et leur chef
___________________ L'Homme est un Mouton pour l'Homme.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/12/2005 Grade : [Sorcier] Inscrit le 11/05/2004 | Envoyé par zargost le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:08 Alors voila mon perso.
Alors pour c'est caractéristique :
Force : 9
Endurance : 8
Agilité : 7
Sagesse : 1
Magie : 3
Charisme : 2
Voila le petite histoire personnelle de Ratha :
Alors, tout a commencé à sa naissance, il est né d’un père très brave qui était chevalier et d’une mère qui ne travaillez pas. Au début il était normal comme sa famille (il n’était pas encore un zombie). Un jour son père alla à la bataille et ne revint plus. Rahta et sa mère était désespérés ils pensaient qu’il ne reviendrai jamais. Quand Ratha eu ses 18 ans, il parti à la recherche de son père. Quelques jours de marche plus tard, il découvrit un château et il entra. Dans le hall d’entré du château, il vit les 2 fameuses épées de son père et il les ramassa. Ratha était maintenant sur que son père était à l’intérieur, mais mort ou vivant ? Il continua à avancer dans le château quand tout à coup il vit une salle et il entra. Dans cette salle, il vit son père enfermé dans une cage et accoter de la cage un mage très puissant. Le mage transforma Ratha en zombie et il l’envoya très loin d’ici. Quand Ratha découvra qu’il était un zombie, il commença à s’énerver et tua un grand nombre de personne. Mais quelque jour plut tard, il se rendit compte que ce qu’il faisait c’était très mal. Il décida alors de retrouver son père et de vaincre le mage pour rompre le sortilège.
Voila vous en pensez quoi ?
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 04/10/2011 Grade : [Seigneur] Inscrit le 10/04/2004 | Envoyé par shadowblue le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:10 2 défaut :
- c'est peut être un peu court - pas de rapport avec Draco, mais c'est à killer de dire ce qu'il en pense... Sinoon killer, killmana le mien est bon ou pas ?
___________________ "Chercheur de petites bêtes" - rambo59310
"la citation est l'intelligence du pauvre" - Oscar Wilde http://zhatan.over-blog.com/ |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/12/2005 Grade : [Sorcier] Inscrit le 11/05/2004 | Envoyé par zargost le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:16 Alors j'ai réctifié l'histoire..
Voila le petite histoire personnelle de Ratha :
Alors, tout a commencé à sa naissance, il est né d’un père très brave qui était chevalier et d’une mère qui ne travaillez pas. Au début il était normal comme sa famille (il n’était pas encore un zombie). Un jour son père alla à la bataille et ne revint plus. Rahta et sa mère était désespérés ils pensaient qu’il ne reviendrai jamais. Quand Ratha eu ses 18 ans, il parti à la recherche de son père. Quelques jours de marche plus tard, il découvrit un château et il entra. Dans le hall d’entré du château, il vit les 2 fameuses épées de son père et il les ramassa. Ratha était maintenant sur que son père était à l’intérieur, mais mort ou vivant ? Il continua à avancer dans le château quand tout à coup il vit une salle et il entra. Dans cette salle, il vit son père enfermé dans une cage et accoter de la cage un mage très puissant. Le mage transforma Ratha en zombie et lui dit :
« Ah, ah ah seul Draco peux me vaincre.»
Et il l’envoya très loin d’ici. Quand Ratha découvra qu’il était un zombie, il commença à s’énerver et tua un grand nombre de personne. Mais quelque jour plut tard, il se rendit compte que ce qu’il faisait était très mal. Il décida alors de trouver Draco et de vaincre le mage pour rompre le sortilège et retrouver son père.
Voila c'est mieux ?
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.......................................Zargost......................................
...................................Fun card Maker................................
[ Edité par zargost Le 29 jui 2004 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 27/06/2007 Grade : [Sorcier] Inscrit le 20/07/2004 | Envoyé par MaGoS le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:22 Voilà mon histoire :
Voilà l’histoire de Rakna le guerrier solitaire.
Rakna vivait avec sa famille dans le fond des bois. C’était une famille très pauvre. Seul le père travaillait . Il se nourrissait de pain et de toute autre chose qui leur tombait sous la main. Rakna lui ne se sentait pas malheureux comme ses parents. Il disait que le principal était de vivre en paix et avec sa famille. Il allait souvent se promener seul dans les bois. Mais un beau soir de printemps ou il faisait ni trop chaud ni trop froid, Rakna et ses parents entendirent un bruit venir de la forêt. Ils décidèrent de sortir de la forêt pour voir mais la tout se passa très vite. Rakna vit des hommes cagoulés ( surement des bandits) tout détruire et tout brûlez chez lui. Et puis il vit alors sous ses yeux une chose horrible : les hommes venaient de tuer ses parents devant lui ! Rakna décida de s’enfuire pour evité de se faire tuer comme ses parents. Il se dit alors de venger la mort de ses parents en lutant contre les malfrats. Il décida d’apprendre les arts martiaux. Il alla donc voir le vieux sage du village.(je suis un poete !) Il lui expliqua ses besoins et le sage accepta de lui apprendre les arts-martiaux et le maniment de l’épée. Apres de longue année de dur entreinement, Rakna décida de partir exploré le monde pour le debbarassé de tout ce malheur et que ce monde ne soit plus que amour et paix ! Mais un jour il entendit parler d'un certain Draco. Un tres mechant qui terrorisait tout le monde. Il decida donc de partir a ca recherche pour en finire avec ses acte diabolique.
FIN
Voilà j’espere que mon histoire vous plaira !
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[ Edité par Anacronum Le 29 jui 2004 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 29/12/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 09/04/2003 | Envoyé par Wamarano le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:38 Voila la version révisée par moi du sentier de la forêt:
Moi(Killmana),Al'Rod, Jellina, Elvana, Groumpf et Trefi s'engouffrèrent dans le vaste masse de racines et de branches qui constituaient le sentier des arbres. Apparemment, tout semblait très calme....vraiment trop calme. [pour innover un peu je vais faire des dialogues...] Elvana : Mmmh...ce silence...aucun bruit d'insecte...ni de chant d'oiseau... je n'entend pas la voix des arbres...ou plutôt, je n’entend qu’un sombre chuchotement, la forêt est inquiète, elle murmure de peur. Je pense qu'il se passe des choses étranges. Killmana : Je le pense aussi, le vent souffle du nord, ce qui signifie qu'il balaye les esprits défunts...ce qui est mauvais signe. Groumpf : Moi sentir...renifler....l'odeur du sang et de la sueur.... Jellina, en tête de groupe s'arrêta devant un arbre apparemment déchiré par une hache. Jellina : Venez voir, je viens de trouver un tissu déchiré.....il a le même symbole que celui d'Elvana.... Elvana : Comment? Fait voir. Elvana pris le morceau, et y glissa ces mains pour y voir du sang caille par la chaleur et par le temps....elle prit tout de suite l'air angoissée Elvana : Ce blason....ce sceau....c'est celui de mon frère. tous en cœur sauf Elvana : Ton frère?Il est passé par ici? Jellina : Regardez, là, il y a des flèches, et là ! Il y a eu des combats violents ici. Elvana : Il a sûrement dû être attaqué pendant qu'il faisait la chasse avec ses hommes...je dois le retrouver. Groumpf : Je sentir odeur sang ! Regarder sur sol ! Trace sang. Al’rod : Il y a des blessés, mais dans quel camps ? Killmana : Mmmh...ça ralentira le parcours mais si c’est pour sauver quelqu’un, je te suis. Jellina et Al'Rod : Je viens aussi. Le groupe suivi donc Groumpf, qui lui-même suivait les traces de sang, le nez dans la fange. Mais aux bout d’une vingtaine de sontèndepat (c’est la mesure pour les distance la-bas, une sontèndepat équivaut environ à 1km), Groumpf grogna (ou du moins il grogna plus fort que ses grognements habituels). Elvana : Qu’est ce qui y’a ? Groumpf : Suivre trace de sang être de plus en plus dur, odeur devenir très très faible, et en plus moi sentir grosse odeur de rat mort partout sur chemin. Elvana : T’inquiètes pas, ça c’est ton odeur… Groumpf : Toi insulter moi ! Toi puer avec ton produit empoisonné ! Moi être courber dans boue puante pour frère à toi depuis 3 heures (j’ai pas trouvé de nom bien pour une nouvelle mesure) et toi insulter moi ! Groumpf va trancher tête à toi ! Al’Rod, qui voulait éviter tout conflit (enfin, il veut surtout préserver son gagne-pain et sa vision féérique) se precipita vers l’avant de la file et retint le gobelin qui s’appretait à jaillir sur l’elfe. Elvana : Désolé, je ne voulait pas t’insulter, c’est sortit tout seul. Groumpf : Moi pardonner toi si toi baiser mon pied ! Sinon ! (il fit un geste expressif qui montre en général l’envie de ne plus jamais voir quelqu’un et qui mime l’égorgement). Elvana : Alors là, tu rêves, je suis désolée, mais je ferais jamais ça, c’est répugnant ! Jellina : Je voudrais pas vous déranger, mais il y a un bléssé qui nous attend ! et puis, l’odeur provient peut-être des ravisseurs de ton frère. Al’Rod : Elle à raison, Elvana est désolée, elle te promet de ne plus recommencer, hein ? (il s’adresse du regard à l’elfe, qui après un semblant de réflexion acquiéça.) Il faut sauver son frère. Après un petit moment, l’air résigné, il émit un grognement négatif, mais il repris tout de même la route. Al’Rod repris sa place dans la file, puis il s’adressa en murmurant à Jellina : Al’Rod : Merci de m’avoir aidé, ils sont incoruptibles, même dans des situations critiques. Elle ne répondit pas, continuant à se débattre contre la végétation, toujours plus dense. La troupe continua donc dans un profond silence entrecoupé des grognements régulier de Groumpf ainsi que du bruissement des feuilles et du craquement des branches qui rendaient l’avancée toujours plus difficile. Le parcours était affreusement monotone même pour Elvana. Jusqu’au moment ou Groumpf dit « Stop » en s’arretant brusquement. Groumpf : Nous arriver. Elvana : Il a raison, vous avez remarqué ? La végétation est de plus en plus clairsemée, j’ai vu d’autres pistes qui ont croisé la nôtre, et puis je sens l’odeur dont parlait Groumpf, nous devons être à proximité d’un village. Mais ses habitants ne sont pas des humains : les pistes sont larges et l’odeur est vraiment trop forte… Trefi :Je proposer que nous surveiller le village pour examiner la situation et faire un plan. Le village abritait des créatures mi hommes mi singes, apparement, elles préparaient une grande fête et personne ne fut surpris de voir une marmite géante, d’une taille propice à acceuillir des corps humains. Elvana : Créatures immondes....je vais les tuer ! Killmana : Je ne vois pas l'esprit de ton frère défunt...il n'est pas mort. Elvana : S’il n’est pas mort, nous devons le trouver. Trefi : Regardez, eux préparer prisonniers elfes, les elfes être enfermés dans une grande hutte bien gardée, mais elle être à l’écart, nous pouvoir entrer dans la hutte, nous pouvoir faire sortir prisonniers sans être vus. Elvana : Je tire des flèches dans les gardes puis on y vas, ok ? Un léger bruit sifflant se fit entendre avant que quelqu’un puisse répondre ; le garde s’écroula sans bruit après avoir entendu une seconde flèche qui toucha son camarade de plein fouet. Furtivement, nous entrâmes dans la hutte. Un homme, d'une très belle beauté et ayant les même cheveux blancs que ceux d’Elvana se reveilla. Il était couvert de blessures et était ligoté à un poteau. Elvana : Kal...Kal mon frère...est-ce que tu vas bien?Que s'est t'il passé? Kal, frère d'Elvana : J'ai été attaqué par une bande de créatures sauvages, les murggs, pendant que je faisait la cueillette des herbes médicinales....ils sont dangereux, on doit s'en aller. Ils vont bientôt nous emmener. Elvana : Ne t'inquiètes pas je vais te ramener chez nous...je vais te sauver... Al'Rod : On nous encercle!!!!!!!! La hutte fut complètement cernée par une horde d’hommes singes furieux. Leur roi Zanzan cria avec fureur. On était pris au piège. Zanzan, roi des murggs : Rendez-vous, humains, pour que l'on ai de la viande fraîche!!! Les murggs attendaient sûrement que l'un d'entre nous sorte pour lancer l'attaque. Un long silence ce fit entendre, jusqu'a ce que Groumpf commence a réagir : Vite, vous détacher frère à Elvana et les autres guerriers elfes, moi attaquer. Il frappa tellement fort la porte que sa hache traversa la porte ainsi que le singe derrière. Sans quitter non plus la hutte, il se lança alors sa hache devant, comme à son habitude. Il coupa la tête du murgg sur le chemin. Il avait créé un passage, on sonna la charge. Les murggs extrement nombreux, mais pas extraordinairement forts. Trefi pouvait les exploser facilement, Groumpf les décapitais par 3, Jellina les découpait de la même façon, Elvana et Kal combattaient ensemble avec les dagues de l’aîné, quand à moi, je volait au dessus de ce macabre théâtre, en fendant les crâne par les airs. A force, les cadavres pullulaient. Mais ils étaient si nombreux, et nous commencions à être dispersés, séparés par de nombreux murrgs. Leur nombre venant au combat était critique. Pour chaque membre du groupe, il y devait y avoir pas moins de 100 murggs. Killmana : Nous ne pourront pas les tuer comme ça!!Comment faire..... Le roi approcha Jellina par derrière, mais il était si massif qu’elle eu le temps de se retourner et de faire valser Cylade vers l’immense singe. Le coup d’épée porté férocement par la paladine traversa le murrg de droite à gauche, ouvrant un long sillon dans son poitrail. Aussitôt, elle fut violement frappée par le roi, à présent dans une rage dévastatrice. Elle s'évanoui à cause d’une telle puissance de frappe et fut emmenée par quelques murggs. Non!!!Aussitôt Al'Rod m’interpela, puis il me montra les corps de Jellina inerte, je fon da alors sur les porteurs, les massacrant en quelques coups. Jellina tomba par terre, comme si elle était dans un coma profond. Al’Rod avait aussi appelé Groumpf et Trefi qui me rejoignèrent en perçant l’immense masse de murrg nous séparant. Killmana : Si on tue le roi, on tue tout le monde!On se le fait a 3!!! Al’Rod : Je ramasse Jellina pendant que vous combattez le roi ! Mais apparement, le violent coup de Jellina n’avait réussi qu’à enrager le roi murrg. Du côté d’Elvana et de son frère, les combats étaient sanglants. Kal, bien que gravement bléssé était un virtuose du combat au poignard(épée courte de 14 centimètre) et les murggs tombaient comme des mouches. Ayant vu le roi Zanzan assommer Jellina puis résister farouchement à nos coups, ils nous rejoignit en esquivant les murggs sur le passage. Le roi singe était aussi fort que rapide. [On peut voir sa puissance avec ces caractéristiques :] Zanzan, roi des monkeys force : 15 endurance : 20 agilité : 10 magie : 1 charisme : 1 Nous avions beaucoup de mal à le battre. Kal nous rejoignit et le poignarda sur le pied évitant de justesse un violent coup. Le singe hurla, mais une nouvelle fois repartit au combat de plus bel. Al'Rod qui portait à présent Jellina en lieu sur, fut surpris par un croc en jambe (pour Radical) et s'écorcha le genoux, et il ne parvenait pas à se relever. Le roi rugit de plaisir et balança son coup de pied à une vitesse incroyable....Al’Rod allait sûrement mourir........tué par le coup....mais.....bam ! Kal pris à la place d’Al’Rod en sautant sur lui et succomba au coup du roi Zanzan et tomba raide mort, le corps broyé. Elvana : Grand frère!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je ne perdis pas une seconde et pris cette occasion d'inattention pour sauter sur la tête de Zanzan. J’enfonça mon épée et lui fendit le crane en un seul coup. Le sang gicla et lui aussi tomba raide mort. Groumpf tua quelques autres murggs, alors que les autres se retiraient du combat pour fuir. Elvana : Grand frère, t’inquiète pas, je suis là ! Je vais te sauver ! Kal : Non, keuhf keuhf (il tousse) c’est trop tard… (il dégluti de l’hémoglobine) je vais mourir, mais je le ferais heureux, porté par ton amour. Tiens, prend ceci en mon souvenir, c’est le talisman que père ma transmis avant de mourir, mais je n’ai pas eu la chance de pouvoir faire de même, je veux que tu le transmette à ton tour à mon futur neuveu… Elvana : Je le ferais, aie confiance en moi, je t’aime. Kal : Remercie tes valeureux amis, je suis fier de toi ! Sa tête, que tenais sérée contre elle Elvana se relacha, l’elfe fondit en larmes. Nous avions gagné, mais a quel prix. Nous nous réunissâmes devant le corps de Kal...et nous passâmes la nuit a veiller sur le corps. L'aube se leva, la forêt repris vie. Apres la fuite des murggs, les oiseaux chantaient, le bruissement des arbres reprenait de plus bel. Pendant la nuit, nous avions sur ordre d’Elvana de creuser une tombe dans un coin paisible. Al'Rod pris sa coutelle(couteau courte de 10 centimètre) et la posa en guise de croix elfique. Je fis une prière pour que son âme repose en paix. Sa tombe était en place de sorte que l'on la voit à la sortie du sentier. Une lumière dorée ornait la fin de son périple dans la foret. Jellina : euhm....mes sincères condoléances Elvana, j'ai fait ce que j'ai pu. Elle fit le premier pas vers la sortie. Elle était accompagnée de Trefi, pris d'un air triste. Groumpf : Groumpf pas content, si lui vivant, lui aurait été bon guerrier à nos côtés. Il arracha des fleurs et les posa brutalement sur la tombe du défunt. Il rejoint Jellina et Trefi. Il ne restait plus que moi et Al'Rod. Killmana : Ne reste jamais avec le même souvenir, car celui-ci est maintenant le passé de notre avenir....(je sais ça rime) Et je quitta le lieu. Al'Rod : Euhm...comment te dire ça...si il ne s’était pas dévoué pour me sauver, il serait encore vivant et moi mort, mais ça aurait été mieux pour toi...enfin… j'aurais dû m'interposer...enfin, je suis vraiment désolé. Et Al partit, la tête basse. Elvana, en silence, incanta un doux chant de lyre. De ce fait des fleurs plus belles que les autres fleurirent sur la tombe de son frère. Elle sécha ses larmes, mit fin à ses sanglots et nous rejoignit, pour l'avenir....... [le talisman augmente notoirement le mana vert, et l’agilité.] [sur le champs de bataille, on a ramassé divers items comme des pièces d’or, des amres et armures et de la bouffe, on pourra les utiliser plus tard.]
___________________ L'Homme est un Mouton pour l'Homme.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/10/2008 Grade : [Sorcier] Inscrit le 26/08/2003 | Envoyé par le_gentil_killer_de_mage le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:39 po mal mais personne ne m'a dit ce qu'il pensait des Fc murggs, alors que c'est important. Voué
les histoire son po mal mais
GRRRRR
Dites mois à quel tache vous voulez être afecté (illsutration, fc maker, scénar ou dialogue !!!)
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/12/2005 Grade : [Sorcier] Inscrit le 11/05/2004 | Envoyé par zargost le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:44 fc maker
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 27/06/2007 Grade : [Sorcier] Inscrit le 20/07/2004 | Envoyé par MaGoS le Jeudi 29 Juillet 2004 à 13:55 pareil fc maker
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 26/06/2007 Grade : [Druide] Inscrit le 31/12/2002 | Envoyé par necros le Jeudi 29 Juillet 2004 à 14:31 pas fc makeur
sinon y a quand même un truc qui cloche énormément dans le passage avec les murggs : comment se fait il qu'Elvana et Kal ne connaissent pas plus leur existence que ça ? Je veux dire, si ils ont eu le temps de se construire un village et de former une petite armée et aussi d'avoir une hiérarchie, ça veut quand même dire qu'ils sont là depuis un certains moment, alors vous allez quand même pas me dire que les elfes locaux sont mongoliens au point de ne jamais avoir remarquer leurs présence auparavant ? surtout qu'ils sont loin d'être discrets…
Moi je pense franchement qu'il faudrait changer en substance ce passage : plutot que de dire que les murggs sont apparus comme ça, comme par enchantement, il serait plus logique (et scénaristiquement interessant) de dire qu'il s'agit d'une race qui "cohabite" avec les elfes depuis un certain temps déjà, et qu'ils ont déjà eut de violentes altercations (un peu comme les rivalités entre nains et orcs/gobs dans les montagnes, à moindre échelle quand même). Vous en pensez quoi ?
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 13/10/2007 Grade : [Nomade] Inscrit le 15/05/2004 | Envoyé par Kossuth le Jeudi 29 Juillet 2004 à 14:33 c'est pas le plus important mais bon!!(moi non plus chui pas très important ) et pis les murggs sont bien sauf que le clan est pas fort mais c'est normal....
bon et voila toutes les versions sans fautes d'orthographes, avec un ptit bonus a la fin
Groumpf
Moi Groumpf, moi avoir dormi longtemps dans grotte. Cailloux tombés sur tête à moi. Moi mal, mais après moi savoir que moi doit trouver Draco. Cailloux avoir dit moi, Draco encore sur terre, mais caché. Moi doit trouver ami gobelin pour chercher Draco. Cailloux avoir aussi dit tête à moi que métal de Draco très bien, très solide (comme cailloux mais mieux). Ca quête à moi, mais moi raconter vous vie à moi (même si moi avoir mal à la tête).
(Narrateur prend relève, moi pas assez intelligent)
Oyez, oyez, nobles aventuriers, veuillez ouïr les aventures du grand Groumpf, roublard gobelin et philosophe à ses heures (mais c'est pas souvent).
L'origine de son existence remonte à sa naissance, car oui, il naquit de l'amour (ou presque) que se portait (à coup de hache) Kret'impf, son père et valeureux couard gobelin, et la douce Kon'asspf, sa chère mère qui mourut malheureusement à la naissance du pauvre Groumpf (sa hache est mal passée… quoi ? Mais bien sûr que si, manant, les gobelins naissent avec leur hache !).
Ensuite, c'est à l'âge tendre de trois ans que Groumpf à fait ses premières armes, en livrant farouchement bataille avec ses compagnons contre leur instructeur. Celui-ci y a laissé la tête, d'un coup bien porté de Groumpf. C'est aussi en ce jour que Kret'impf versa une larme d'émotion. Groumpf venait de se tracer une route vers la gloire gobeline.
Quelques années après, alors que Groumpf avait perdu toutes ses dents de sang (nous c'est de lait, eux de sang, je n’invente rien !) pour laisser la place à une belle rangée de dents tranchantes et bien jaunes, Il fit offrir un présent magnifique à Groumpf : une hache à double tranchant, elle était sublime et n'avait jamais été encore utilisé (en plus c'était le dernier modèle XKR562 manche en bois de chêne de 80cm, la taille d'un gobelin, et avec le chiffon dans le bas du manche pour essuyer les lames et avec la superbe signature dorée de la Goblin's Forgenoirmpf). Sans plus attendre, Groumpf alla l'essayer, mais chuta du haut de la falaise. C'est alors que Draco lui-même le rattrapa (au début c'était parce qu'il avait faim) puis le dragon métallique le déposa sur le sol.
Pendant plusieurs années Groumpf erra, allant de krosia aux villes humaines, arrachant toujours au passage quelques vies de sa hache. Mais un beau jour, un tremblement de terre vint perturber sa marche (c'était du magnitude 6 au moins), et la terre s'ouvrit sous ses pieds. Il chuta lourdement sous une voûte rocheuse, puis la terre se referma, entraînant la chute de pierre dans la prison de Groumpf.
Certains disent aujourd'hui que Groumpf a été puni par la terre pour avoir massacré de nombreux elfes (il en avait 25631 à son tableau de chasse), d'autre disent qu'il n'est pas mort, et qu'il erre encore dans la forêt de Llanowar, d'autre encore s'en foutent complètement.
Voilà, mesdames et messieurs, j'ai fini de vous conter son histoire, je vais maintenant passer parmi vous pour récolter vos nobles et généreux dons. Eh, mais partez pas, eeeeeh !!! Revenez, j'ai d'autres histoires, j'en ai pleins !!! Ouuuah… bllaf, scrouicht, gniark gniark gniark !!! Moi tuer toi, moi plus avoir besoin toi, moi plus mal à tête.
(Moi reprendre service)
Si toi gobelin, toi venir avec moi, et moi donner or à toi, mais si toi pas gobelin, moi avoir hache qui coupe bien. Si toi arriver au bout de quête à moi, toi avoir une surprise et toi avoir peut être écaille Draco si moi aimer bien toi et moi généreux.
Et à présent, place à l'aventure ! (Parce que moi jambes engourdies alors moi mal à tête à moi et moi massacrer toi)
Allocution des reste du narrateur : ceci était un moment de philosophie de la part de Groumpf. Scrouitch ! Toi taire, moi fort, moi massacrer toi elfes (parce que elfes crétins finis) si toi pas content toi mourir quand même !
Vos nobles et généreux dons sont toujours… Scrouitch, srcrach, frrrrrrrich, crac, ouaïlle, yahaaa… Schkrlorjhk ! Toi être mort ! Toi plus parler. C'est pas vrai, c'est pas vrai…
Je m'excuse auprès des lecteurs, car comme vous le comprendrez bien, la violence de ce texte est indépendante de notre volonté, et pour protéger les plus sensible d'entre vous, nous passerons les prochaines minutes sous silence.
(5 minutes plus tard)
C'est-pas-vrai-yarghar-krak-boumpf
Moi chui Groumpf et je dors à l'auberge d'un patelin. J'ai mis des affiches pour recruter des compagnons pour chercher draco. Le matin je me lève et je descends dans l'auberge. Je demande à l'aubergiste de m'amener à bouffer. Des gens son là pour le voyage. Et soudain l'elfe apparaît devant Groumpf. Et là groumpf sort son couteau et te chope une cuisse (joli bien appétissante !!!) et veut te la bouffer en félicitant l'aubergiste pour son choix !!! Après t'explique que tu viens avec lui parce que au moins t'es intelligente et voilà et groumpf l’est pas content !
Le soleil venait de se lever sur le petit village de *VILLAGE*, et le chant du coq n'avait résonné il n'y a que quelques minutes, mais une étrange et joyeuse agitation perturbait le silence de la place du marché. Plus particulièrement, de nombreuses personnes, majoritairement des personnes biens bâtis, faisaient la queue sous l'insigne de l'auberge du dragon vert. On apercevait sur certain mur des affiches collées grossièrement où il était écrit en mauvais *gluk'luhk (langue au pif)* :"Tou avanturier veut quête vien aube oberge du dragon" et le tout était signé par la main d'un gobelin du nom de Groumpf.
A l'intérieur de l'auberge, un petit groupe de badaud était venu assister au recrutement. Parmi les personnes attendant, certaines paraissaient extrêmement effrayantes, d'autres attiraient l'œil, bref, tous était différent.
Devant les aventuriers, se trouvait une table où arrivait la file qui commençait dehors, près d'une petite fontaine sculptée. Assis à cette table, un gobelin. Groumpf.
Il scrutait les parages d'un œil mauvais, puis enfin l'aubergiste arriva et questionna le gobelin sur la composition de son déjeuné, mais trop occupé, Groumpf grommela en guise de réponse. Le patron de l'auberge se retourna et pris d'autre commande, sans insister.
Groumpf commença alors à évaluer les candidats au voyage jusqu'à Draco, mais ce que certain ne savait pas, c'est que les critères de Groumpf pour être pris étaient mortels pour les défaillants.
Le premier à se présenter était un garçon de campagne du nom de Géradon Défass qui avait laissé tomber la ferme pour mener une vie plus palpitante. Groumpf se leva, et saisit ça hache. Géradon en fit de même avec son épée forgée grossièrement par le forgeron du village, un vieil homme sénile. Il ne fallut qu'une trentaine de seconde, c'est-à-dire le temps qu'ait mit Géradon à dire "Xolug necta Sploutynas Térare" (nan je ne veux pas mouriiiiir en gluk'luhk) pour lui trancher la tête. Une mare de sang se déversa sur le sol, rendant mal à l'aise certains clients qui dégobillèrent leur déjeuné.
A ce moment, un tiers des candidats au voyage décampèrent à toute vitesse, oubliant leurs affaires et abandonnant les objets lourds.
Ensuite vinrent une demi-douzaine de jeunes gens n'ayant pas froid aux yeux. Mais leurs âmes n'étaient pas honnêtes et ils crurent bon d'attaquer Groumpf ensemble.
En effet celui-ci, énervé par l'attitude de ses adversaires, bondit d'un coup sur la droite des jeunes. Groumpf sauta alors hache en avant vers le plus proche. C'était une femme d'une vingtaine d'années, un homme l'aurait épargné, mais pas un gobelin. Groumpf abaissa son arme sur le crâne de la jeune femme, le fracassa et la découpa et deux parties jusqu'à l'abdomen. Les boyaux se déversèrent sur le sol, amenant les mouches noires et les vers nécrophages.
Groumpf se retourna et balança sa hache d'un geste circulaire sur un autre de ses adversaires. L'arme fut lancée avec tant de puissance, qu'elle continua sa route dans les airs après avoir fendit un crâne, pour finir largement enfoncée dans le ventre d'un autre. Les trois autres jeunes personnes s'enfuirent et Groumpf poussa un rire rauque.
Il se retourna pour s'asseoir afin de se reposé, et devant lui était debout une elfe au teint doré. Elle était assez grande pour une elfe et était uniquement vêtue d'un pagne de soie elfique. Elle souriait et attendait avec impatience. Groumpf la regarda et se lécha les babines, tout en laissant paraître ses dents jaunies par le temps.
"Merci, Aubergiste, moi content avoir laissé toi choisir manger de moi. Vous avoir lu dans pensées à moi.
_ Hein ! Comment, rétorqua l'aubergiste, ah oui d'accord."
Groumpf saisit alors la cuisse huilée de l'elfe et voulut mordre dedans. L'elfe la retira violemment et commença à s'énerver :
"Espèce de malaaade !!! Je suis pas ton casse croûte ! Hurla t'elle alors de tout son souffle. C'est alors qu'un homme intervint.
_Sais-tu que les elfes de sa race sont très rusés ? Elles ne s'enduisent pas seulement d'huile pour paraître plus belles et luire à la lumière, cette huile est un produit mortel, élaboré avec les plantes les plus dangereuses de toute la Krosia. Je veux dire, de L'Estilath bleu, qui fait succomber quiconque en avale même une infime quantité dans d'atroces douleurs, je veux aussi parler de la Kralitine cornu, qui fait fondre l'estomac et qui donne d'affreuses convulsions, assura l'homme, nommé Al'Rod.
_Si toi dire vrai, toi être brave et toi éviter mort de moi. Toi venir avec moi pour donner conseil moi. Et toi elfe, si toi être là pour Draco, toi combattre avec moi, lança Groumpf.
_Et comment, je vais me frotter à toi, mais prends garde à mes flèches, chacune d'elles pourrait en finir avec ta vie".
Il ne restait que quelques personnes dans l'auberge, donc les trois quarts étaient là pour le voyage. Chacun retenir leur souffle. Groumpf bondissait dans tous les sens pour esquiver les flèches ardentes de l'elfe, à une vitesse incroyable. Il fonçait de temps en temps vers celle-ci, mais ne frappait pas, il ne faisait qu'esquiver. Mais tout à coup Groumpf s'accrocha le pied dans une latta qui dépassait au planché, et chuta lourdement. L'elfe banda son arc et tira, mais la flèche n'avait pas encore fait la moitié du chemin entre l'elfe et Groumpf qu'une boule de feu vint la détruire. L'elfe rebanda l'arc, mais Al'Rod intervint à nouveau pour empêcher l'acte de l'elfe. Groumpf se releva, s'avança vers l'elfe et lui annonça un peu à contrecœur qu'elle était prise. L'elfe annonça aussi son nom : Elvana Galuisef.
Groumpf se tourna alors encore un peu et vit un autre gobelin. Celui-ci portait un habit de mage, et entre ses mains brûlait une sphère. Groumpf l'invita également à faire parti du voyage.
Le gobelin alla se rasseoir à sa table, car l'aubergiste servait son vrai repas. Des légumes à la vapeur. Groumpf était effaré. Il ne compta pas jusqu'à trois (il ne sait pas compter jusqu'à trois mais bon) pour le tuer. Et vit alors un petit tonnelet qu'il s'empressa d'aller chercher. De la bière, et sa préférée de la bière blanche.
Dehors, une étrange animation attira l'attention du groupe fraîchement formé. En peu de temps, une vingtaine d'hommes et de femmes armées de fourches rentrèrent dans l'auberge, et une violente bagarre éclata. Le sang coula à flot et Groumpf fut encore plus énervé par le fait que Le mage gobelin du nom de Trefi avait bu toute la bière du tonneau. Le petit groupe tirait des flèches et des sorts dans les villageois alors que Groumpf donnait de violent coup de hache dans tous les sens. Après le passage un peu violent de l'elfe et les deux gobelins, Al'Rod fouilla les poches des cadavres et récupéra tout l'or et les bijoux.
Ils sortirent ensuite tous les quatre dehors, laissant un tas de ruine à la place de l'auberge. Ils s'avançaient vers la forêt et s'apprêtaient à quitter le village, lorsque déboucha en trombe une jeune femme transpirante et haletante :
"Bon, bonjour, je ne suis pas trop en retard, pour, pour le voyage avec Draco ?
_Nous faisons parti du groupe qui part, annonça Elvana Galuisef, et tu arrive pas trop tard je pense, mais après la bataille, Elvana montra à la nouvelle arrivante les ruines fumantes de l'auberge.
_Que, que s’est-il passé? Questionna la femme.
_Pas grand-chose, répondit Trefi, Groumpf était juste un peu énervé à cause… d'une gaffe. Mais c'est pas non plus ma faute, je ne peux pas résister au parfum de l'alcool ! Et c'est aussi la faute des villageois.
_Oui, en fait c'était juste une bagarre, rien de plus, conclut Al'Rod, mais vous, qui êtes vous ?
_Je suis Jellina Kell Manir, Paladin de l'Ordre, fille de… de mon cher papa Galentur Desta (on s'en fiche le nom c'est qu'elle ment). Je voudrais partir chercher Draco car des troupes ennemies sont aux frontières de mon pays, et avec l'aide de l'acier de Draco…
_Bien, toi pouvoir venir avec nous, acheva Groumpf".
La jeune fille bondit alors de joie, mais Groumpf pensa alors qu'il serait préférable de s'arrêter dans une autre auberge du village pour faire d'avantage connaissance que dans la première. De plus il allait ainsi pouvoir boire cette bonne bière.
Un peu plus tard, alors que le soleil était au zénith, le groupe d'aventurier, mené par Groumpf quitta l'établissement et se dirigea vers le nord, où ils pourraient prendre un bateau, par un chemin cahoteux bordé par la forêt. Au bout de quelques heures de marches monotones animées par les seuls récits de chacun, Groumpf s'arrêta, renifla dans le vide, puis sans rien dire, bondit dans un arbre où il trancha le bras d'un elfe arboricole. Celui-ci tomba lourdement sur la tête d'Elvana qui hurla sur Groumpf. Celui-ci ne s'en contenta guère mais affirma que l'elfe arboricole les suivait depuis un petit moment. Les aventuriers continuèrent encore plusieurs heures sur le chemin, jusqu'à une petite clairière très verte. La nuit tombait, et le groupe avait omis d'acheter des provisions. Ils avaient bien les tentes, mais rien à manger. Elvana se mit à l'écart pour rentrer en communion avec sa mère Gaïa (c'est la mère de tous les elfes). Les autres membres du groupe cherchèrent du bois et allumèrent un feu au milieu du petit camp monté dans la clairière. Au bout d'un moment, une belle biche vint à la rencontre d'Elvana, et lui lécha le visage. L'elfe sortit alors de transe et emmena la biche aux autres pour leur montrer son nouveau compagnon. Tous voyaient la biche comme un bon repas. Elle était un peu grassouillette et semblait assez jeune. La viande serait parfaite. La biche resta en compagnie d'Elvana, qui reprit sa transe. Pendant ce temps, les autres (sauf Jellina) attrapèrent la biche en silence, et, après lui avoir sectionné la tête, la firent rôtir. Peu après, Elvana ressorti de transe, et apercevant les autres dévorer sa biche, poussa un hurlement audible sur toute la planète. Mais elle se résigna plus tard, et mangea un morceau de chair.
Lorsque je me suis levé ce matin, personne d'autre n'était encore levé. Pourtant, l'astre lumineux avait déjà émergé d'entre les arbres depuis une bonne heure. Je décidai donc de tirer mes compagnons de leur sommeil à grands cris et à coups de pied. Je prenais un malin plaisir à abattre l'arbre où dormait Elvana Galuisef, excepté le fait qu’elle tomba lourdement sur mon visage, qui vira au violet, en passant par le vert et le rouge, écrasé par le poids de l'elfe. Après une vive explication pendant laquelle je reçus une gifle, et après avoir démonté le campement, nous partîmes à travers les bois. Au bout de longues heures, le soleil était au zénith et le ventre de Jellina se mit à gargouiller.
"-Heu… *Grmblemegrouble*, excusez-moi, mais, j'ai horriblement faim, déclara alors La paladine, gênée par les cris que poussait son estomac.
- Faim ?!? Maintenant ? Nous avons pourtant mangé ce matin, et hier soir, répondit Al'Rod, étonné.
- Ca vrai, nous manger biche hier (Elvana me fixa d'un regard méprisant), et écureuils dodus ce matin, affirmai-je, tout en me léchant les babines.
- Tu mangeras ce soir, en même tant nous, car nous pas pouvoir nous arrêter tout le temps, précisa l'autre gobelin, Trefi, tout en feuilletant un vieux grimoire qui l'accompagnait depuis le départ de Merkuurohkrôm.
- Elvana trouver nous animaux ce soir. Elle bon appât, conclu-je, en me baissant pour éviter une autre gifle de l'elfe, apparemment irritée."
Nous nous remîmes alors en route. Au bout de quelques instants, les arbres s’épaissirent autour de nous, créant une sorte de prison. J'avais beau donner des coups de hache de toutes mes forces dans les troncs, ceux-ci ne faisaient que pousser de plus belle. Trefi et Elvana voulurent à leur tour enflammer les arbres, mais rien n'y faisait. Killmana décida de voler pour voir ce qui se passait aux alentours, mais le feuillage trop dense stoppa son ascension. Nous décidâmes alors d'escalader les arbres par le tronc, là où les branchages et feuillages se faisaient moins denses. L'elfe et Al'rod grimpèrent sans problème, tout comme Trefi et Jellina. Killmana m'aida à monter sur la première branche, car j'étais trop petit pour l'atteindre en temps normal. L'ange passa derrière moi, et je tranchai les branchages pour qu'il ait plus d'aisance à passer avec ses grandes ailes.
Arrivé en haut, Elvana pris la tête du groupe, suivie de près par Al'Rod, puis par moi, Jellina et Trefi. Pour sa part, Killmana préférait virevolter au-dessus de nos têtes. La plupart des arbres sur lesquelles nous marchions étaient des Rehn'Noh, dont les fruits empoisonnés, les Veoâttuhr, servaient à créer l'huile d'Elvana, comme me l'avait dit Al'Rod. Après une heure de marche pénible et éprouvante à la cime des arbres, j'aperçus à ma droite un Rehn'Noh assez grand pour y dresser un camp. Al'Rod, Killmana et moi-même nous mîmes à abattre des branches pour créer un plancher, puis nous dressèrent le campement. Pendant ce temps, la paladine et l'elfe descendirent jusqu'au sol dans une obscurité quasi-impénétrable (à part pour Elvana qui, comme chaque elfe, voit la nuit comme le jour).
Une fois au sol, Jellina demanda à Elvana :
"- Pourquoi te proposer pour la chasse ? Je pensais que tu étais contre la mort des animaux.
- Je n'ai rien contre cela, il faut bien se nourrir, répondit l'elfe. Je ne veux pas que cet horrible gobelin massacre les animaux que j'affectionne…
- Je te comprends, je… J'ai vécu la même situation (là il faut voir si on met ce passage). Il faut que je t'avoue quelque chose Elvana, j'ai confiance en toi et je sais que tu ne le répètera pas aux autres. Il faut que j'en parle à quelqu'un. Le… Le poids à supporter est trop lourd.
- Tu peux en effet me faire confiance. Qu'est ce qui te tracasse, ma jeune amie.
- Je… Je ne suis pas la fille de Galentur Desta, je suis la fille du roi d'Arcunik, et je me suis échappée. J'avais un ami, il se nommait Par'Tirunjour Senrethour (ils formaient le Boïllezbahnde avec 2 amis) dont j'étais amoureuse, et mon père… M'avait promise à un autre, un grand paladin Lo'Réhal.
- D'aaacord… (quel ma-gni-fi-quol nom)
- Et… Mon père m'a dit un soir : "Je te marierai à Lo'Réhal, parce que tu le vaux bien, et pas à ce chanteur bon à rien."
- Je vois, je vois… (quel déconneur ce roi)
- Je…Dis-moi, tu m'écoute des fois.
- Mais bien sûr. Je comprends tout à fait ton chagrin, mais je ne sais pas du tout pourquoi tu t'es enfuie. Ton père doit être inquiet.
-J'ai… J'ai craqué. S’en était trop. Je vis enfermée tout le temps, je n'avais jamais mis le nez dehors. Je…
- Calme-toi, tout ira bien avec moi. Attends un instant (elle colla son oreille au sol) Quoi ? (Des sangliers déferlèrent face à elles) Couuuuuuuuurs !!!
- … (elle ne pouvait plus bouger, son corps agité par de violents sanglots)"
Elvana bondit alors sur la fugitive, la faisant lourdement chuter sur un tapis épineux. Les sangliers épargnèrent Jellina, mais il n'en fut pas ainsi pour l'elfe. Celle-ci avait du sang sur la jambe, ainsi qu'une profonde plaie causée par la défense d'un animal.
Jellina se retourna, mais reçu un coup sur le crâne. A son réveil, deux créatures bleues se tenaient debout. Soudain elles se transformèrent, pour devenir de parfaites copies des deux femmes.
Un peu plus tard au campement, Killmana commença à s'inquiéter et pour ma part, je commençais également à me faire du souci. Peut de temps après, Jellina et l'elfe apparaissaient enfin parmi nous. Elles s'avancèrent et je commençai à les interroger :
"- Pourquoi vous pas avoir viande ? Nous faim, nous manger humaine si vous pas avoir nourriture !
- Nous avons raté les proies, il y a eu des Globards nains et des Karmifels. Hélas, ils nous ont échappé.
- Des Karmifels, vous échapper ? S'interrogea Al'Rod, ces animaux sont aussi lents que des limaces de Méphidross !
- Heu… oui c'est possible, répondit l’un des change-formes, mais, ceux là étaient très rapides. Et puis zut (le premier change-forme pris l'apparence d'un dragon et le second d'une Gorgone pour nous impressionner. Al'Rod recula et parti s'abriter derrière un tronc, tandis que j'attaquai, aux côtés de Killmana. Je portai un coup qui aurait du être fatal à la tête du dragon, mais celui-ci ne ressenti rien. Je frappai à nouveau, mais rien ne s’ensuivit. Al'Rod m'affirma alors que tout n'était qu'illusion. Je lançai alors un violent coup dans le flanc droit de l'animal féroce. Il poussa un cri plaintif et reprit son apparence brumeuse. Je l'achevai d'un coup sur le crâne. L'adversaire de Killmana était bien plus rapide que le mien, et esquivait tous les coups. Mais au bout d'un long moment, il fatigua et Killmana lui trancha un bras. L'archange voulait l'achever, mais Al'Rod intervint alors :
"- Ne le tue pas, lui seul peut nous conduire aux femmes.
- Nous nous en sommes tirées, poussa la voix de Jellina, et Elvana est en bas.
- J'y vais, comme je vole, ça ira plus vite.
- Moi garder être bleu, dis-je."
Peu après, Elvana était de nouveau parmi nous, et apercevant le change-forme tentant de nous fausser compagnie, décocha une flèche enflammée, qui traversa le crâne de la créature et alla finir sa course contre un arbre. Puis l’elfe sombra dans un sommeil étrange, la fatigue avait eu raison de son courage. Quand elle se réveilla, soigné par Al'Rod et Killmana, elle se mit à tous nous remercier. Nous laissions derrière nous les grands Rehen'Oh, empruntant la route qui menait au port Figaro.
Al’rod
J’arrivais donc à une auberge, devant laquelle une affiche attira mon attention : «Avanturié chairche otre avanturié pour partir a la rechairche de draco». Soit c’est une mauvaise blague d’un gamin, soit c’est un aventurier con comme un gobelin, toujours en est-il que j’ai été piqué au vif et décide d’entrer.
Je suis tout de suite surpris par la taille de l’amoncellement de cadavre qui se trouve à l’entrée, et je ne tarde pas à en trouver la source : un gobelin à l’air stupide et infâme se tient au comptoir, tenant une elfe aux attributs assez… avantageux… par la cuisse. Je le vois se lécher les babines, comme s’il se préparait à en faire son repas, aussi décidais-je d’intervenir. Je me glissai derrière lui et lui adressai la parole. Ainsi, le gobelin fut forcé de lâcher prise pour pouvoir me parler (à moins qu’il ne souhaite attraper un bon torticolis des familles, mais je ne pense pas). Le gobelin, qui se dénommait Groumpf, me demanda pourquoi je venais interrompre son repas, et je me mis à le baratiner comme quoi les elfes s’huilaient le corps et se parfumaient à l’aide de plantes empoisonnées, noms compliqués à l’appui, et très vite le gobelin fut persuadé que j’avais raison et m’embaucha comme conseiller (c’était donc bien lui qui avait posé cette affiche).
L’elfe, rancunière, remarqua alors qu’elle postulait pour le poste, et encocha aussitôt une flèche sur son arc ; le gobelin fit un sourire à vous en glacer le sang et ne se fit pas prier pour dégainer sa hache. Le combat qui suivi fut le combat de la violence contre la grâce, de la laideur contre le calme. Groumpf sautait dans tous les sens avec une agilité déconcertante pour un membre de son espèce, mais ressemblait malgré tout plus à une brique verte qu’à autre chose. L’elfe glissait doucement, enfin c’est l’impression que me donnait l’incroyable élégance de ses mouvements. Elle ne s’arrêtait que pour décocher une flèche enflammée, et reprenait aussitôt son ballet envoûtant. Un seul coup de hache du gobelin aurait pu la couper en deux, mais à chaque fois qu’il tentait une attaque il était obligé d’esquiver les flèches de l’elfe et de fait ne parvenait jamais à portée. Finalement, comme il passait près de moi je tendis nonchalamment le pied pour qu’il se vautre par terre (il restera toujours persuadé qu’il avait trébuché sur une latte saillante). L’elfe décocha une flèche pour l’achever, qui fut détruite en plein vol par un jet de magma. Elle se préparait à en décocher une autre mais cette fois ci je fit barrage pour l’empêcher de passer, et elle se résigna à ne pas tirer. Groumpf aussi se résigna à accepter Elvana Galuisef (c’est son nom) dans notre petit groupe, et il invita d’office le shaman gobelin qui lui avait sauvé la mise.
Peu après un ange entra, tant bien que mal avec ses grandes ailes, ce qui provoqua la stupeur des quelques clients de l’auberge encore entiers. L’ange, dont les traits étaient à forte connotation masculine, vint tout droit vers moi et me demanda si j’étais celui qui s’occupait de la quête pour trouver Draco. Je lui répondais franchement : «j’ai l’air d’être assez débile pour faire autant de fautes par mot ? C’est le gob qui s’en charge». Sur ce, l’ange, qui se dénommait Killmana, demanda à faire partie du groupe, et Groumpf lui annonça l’inévitable épreuve : le combat. Seulement, autant le premier combat s’était joué à un doigt (enfin plutôt à un orteil), autant celui-ci ne dura pas même une minute, et fut probablement le combat le plus stupide que je n’ai jamais vu : le gobelin bondit vers l’ange pour le découper, et celui ci s’envola pour éviter l’attaque. Mais il avait mal évalué la hauteur du plafond, et se cogna la tête. Résultat, il retomba sur Groumpf qui, en fin de bond, fut incapable de l’éviter, et celui ci se retrouva bloqué sous l’ange qui le couvrait de toute son envergure, son épée s’étant en plus trouvée par le plus grand des hasards juste sur la gorge du gobelin qui, pensant que son adversaire venait de réaliser une technique aussi incroyable qu’imparable, abandonna sur le champ et invita Killmana à venir dans le groupe.
À ce moment là, l’aubergiste intervint avec le repas qu’avait commandé Groumpf, sauf que Groumpf ne savait pas lire et avait commandé sans trop le vouloir un bouillon de légumes, la recette 100% végétarienne qui plus est. Enragé par la vue des légumes cuits et par ses deux précédentes défaites, il trucida l’aubergiste en n’émettant aucun autre son que des affreux hurlements. Au même instant, une troupe de villageois en colère s’invita dans l’auberge pour casser du gob, mais à vrai dire se furent les gobs qui cassèrent des villageois. Killmana était encore trop sonné par sa «victoire» pour se battre et Elvana lançait de temps en temps à contre-cœur quelques flèches, en se plaignant continuellement de la stupidité des gobs, tandis que je tournoyais autour du champ de bataille comme un vautour pour récupérer quelques bourses. À la fin, quand nous nous sommes décidés à partir (il n’y avait plus rien à trucider), j’avais en petit pactole que j’avais bien du mal à ranger dans les innombrables poches que cachait ma cape noire de voleur professionnel (avec le sigle de la guilde des voleurs de Danelf dans l’une des doublures). Nous nous apprêtions à prendre la route vers le nord quand une jeune fille essoufflée à l’air de riche qui veut faire pauvre (c.a.d. de riche habillée simplement mais avec des bijoux luxueux et un maintien très éloigné de celui des amoureux de la bêche) arriva en courant vers nous. Elle nous demanda si nous pour une quête quelconque et si il restait de la place dans le groupe, mais malheureusement pour elle Elvana lui indiqua qu’elle arrivait après l’orage. Elle parvint toutes fois à convaincre Groumpf qu’elle serait d’une aide précieuse, et que de toutes façons tout ce qu’elle voulait s’était de partir vite fait du royaume et qu’elle quitterait le groupe si elle s’avérait être un poids inutile (quoi que je devinai à l’incroyable qualité du pommeau cisaillé de l’épée qu’elle portait à la ceinture qu’elle n’avait sûrement rien à envier aux autres en termes de combativité), et comme Groumpf hésitait (d’autant plus qu’il était de bonne humeur après ce massacre), j’achevais de le convaincre en lui glissant à l’oreille qu’au cas où, elle ferait un délicieux encas, et pas empoisonné contrairement à l’elfe.
Nous nous mîmes donc en route tous les six, vers la forêt au nord puisque Groumpf, notre leader, quoi que nous fûmes quatre à être d’accord pour inverser les rôles à la première occasion, en décida ainsi. Le cortège commença donc la traversée, avec Groumpf à sa tête, Trefi le shaman gobelin à ses cotés, Jellina Kell Manir, la jeune fille de tout à l’heure qui à un nom à rallonge, avec l’ange Killmana, alors que l’elfe Elvana Galuisef et moi-même fermions la marche, elle parce qu’elle ne supportais pas vu d’un être aussi infâme qu’un gob, moi parce que je supportais beaucoup mieux la vue d’une jeune d’une aussi attrayante créature. Au bout d’un petit temps de trajet, Elvana nous interrompit, car c’était l’heure de sa séance de méditation avec Titania, et qu’elle tenait à la faire vu que c’était probablement la dernière fois qu’elle en aurait l’occasion. Nous la laissions faire, et celle ci se mit presque aussitôt en transe. Peu après une biche toute mignonne apparue d’on ne sait où. Elvana sorti de sa transe pour la gratouiller un peu puis retourna dans sa communion avec la nature.
La moitié du groupe s’élança alors vers la biche pour la tuer et la découper, et quand l’elfe eut finit, elle eut la très désagréable surprise de nous trouver en train de faire cuire la biche à la broche, et dut même (horreur suprême) en manger un bout pour calmer son estomac qui crie famine.
Après le repas, comme la nuit tombait, nous nous couchâmes au bord du feu mourant, pour être frais et dispos pour une affronter le lendemain avec encore plus d’énergie !
THE GREAT JOURNEY
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Au sein du palais de Ylluisir, la jeune princesse Jellina tente d’échapper à ses propres sujets. Elle en a assez de cette vie soit disant de conte de fées, elle veut de l’action, de l’aventure, mais saura t’elle s’affirmer suffisamment pour endurer ce qui l’attend ?
Les pas de Groumpf le mènent jusqu’à un petit village, et Groumpf a bien l’intention d’y recruter de l’aide pour sa quête. Groumpf ignorait quelle chance il avait eu en venant ici. S’il avait su lire, il aurait pu voir à l’entrée du village que celui-ci s’appelait Mairkuûrhokrauhme, ce qui signifie «le village des héros» dans le patois local. Se guidant à l’odeur, il rentre dans l’auberge du village, véritable repère d’aventuriers, et ne perd pas de temps avant de graver dans le bois du mur un schéma représentant une créature aux épais biceps entourées d’autres créatures plus petites du même style, combattant une grosse créature lombriquoïdale, avec comme titre : «Bra for chairch bra osi for pour trouvé drako», puis commande une chambre et va se coucher.
Le lendemain, Trefi aurait bien envie de se reposer après avoir tant marché, et ça tombe bien puisqu’il arrive au village de Mairkuûrhokrauhme. Il reconnaît sans mal l’auberge locale, et entre sans remarquer l’étrange graffiti inscrit à coté de la porte. Sentant la bonne odeur de la bière blanche, sa boisson préférée, il s’empresse d’en prendre au comptoir et passe toute la nuit à finir les stocks de l’auberge. Au champ du coq, un irrésistible besoin le pousse à partir aux toilettes.
C’est le moment ou Groumpf se réveille, espérant que son annonce aura attiré du monde. Et, effectivement, les nouvelles sont allées si vite qu’en une nuit seulement l’annonce était parvenue jusqu’en Djamuraa, et des aventuriers de dizaines d’origines différentes se présentaient devant lui. Groumpf annonça les règles : seuls ceux qui pouvaient lui tenir tête au combat pourraient partir avec lui. Le premier à se présenter était un jeune fils de fermier, peinant à tenir une lourde épée en bronze grossièrement forgée. Groumpf fut presque ému par cet humain encore plus suicidaire qu’un canonnier orc, puis se contenta de faire tournoyer sa hache à la hauteur du cou du prétendant. Sa tête vola jusque dans les bras d’un autre larron qui s’enfuit terrorisé, juste après avoir laissé une flaque jaune et puante à l’endroit où il se tenait, et la gerbe de sang que la tête déversa sur son trajet se répandit sur bien des candidats, dont plusieurs partirent en courant, certains ayant une telle nausée qu’ils ne purent retenir leur petit déjeuner.
Ne restait maintenant qu’une petite dizaine de jeunes gens fougueux, mais malhonnêtes car il crurent pouvoir venir à bout du gobelin ensemble. Ils l’encerclèrent, prêts à l’appréhender ensemble comme si c’était une vulgaire bête féroce, mais Groumpf n’était pas de cette avis. Il sauta par-dessus le plus petit d’entre eux et, vif comme l’éclair, se retourna aussitôt après et porta un violent coup de hache sur son échine. Le jeune homme tomba comme un pantin désarticulé, ce qui eut pour effet de faire reculer les autres mauvais joueurs, abasourdis. Mais Groumpf n’avait pas l’intention de leur laisser le temps de se remettre de leur émotions. Il charge un autre prétendant. Celui-ci a juste le temps de lever son épée pour se protéger le visage, mais c’est inutile, car Groumpf ne visait pas le visage. Sa hache s’enfonce profondément dans le ventre de son adversaire, puis ressort en entraînant avec elle les boyaux du malheureux.
Il entendit alors un cri. C’était une jeune femme qui était, elle aussi, candidate. Elle était tellement effrayée par la violence du combat qu’elle était incapable de bouger. Groumpf se dirigea vers elle, ravis de pouvoir transpercer une fraîche jeune fille. Un de ses compagnons tenta de s’interposer, et parvint même à porter un coup au gobelin. Mais il avait si peur et ses bras tremblaient tellement que son épée ne déchira même pas le vêtement ensanglanté du gobelin. Ce ne fut pas le cas de la hache de ce dernier, qui le découpa dans le sens de la verticale, de bas en haut. Les deux morceaux du valeureux guerrier tombèrent tout juste dans les bras de la jeune demoiselle, dont le hurlement fut audible jusqu’à la côte. Peu importait pour Groumpf, il lui porta un puissant coup du revers de sa hache, lui broyant le crâne, faisant jaillir ses yeux comme des diables de leur boîte, yeux qui roulèrent jusqu’au dernier opposant à ne pas être mort ou en train de s’enfuir, agenouillé et demandant pardon à Groumpf en pleurant.
Malheureusement pour le jeune homme, Groumpf n’est pas du genre à s’émouvoir. Son coup de hache parti du sommet du crâne jusqu’à éventrer complètement le peureux. Déjà les charognards et les mouches venaient se repaître de ses entrailles mises à l’air.
Satisfait de s’être tant amusé, Groumpf décide qu’il est temps de manger un morceau. Il va s’asseoir à une table vide et commande au serveur un plat au hasard sur la carte. Ne sachant pas lire, il ignore encore ce qu’il a commandé : un court-bouillon végétarien à la sauce du chef, sachant que le chef a attrapé on ne sait quelle maladie et est remplacé pour la journée par sa grand-mère hypochondriaque, aussi l’aubergiste, en apprenant du serveur la commande du gobelin, crois bon d’avertir son client de la situation. Or, c’est à ce moment là qu’Elvana rentre dans l’auberge.
Au départ elle était entrée parce qu’elle avait un petit creux, mais en voyant les cadavres mutilés à l’entrée, son instinct de justicière lui a clairement fait savoir que ces crimes ne devaient pas rester impunis. Et quand elle vit le gobelin avec sa hache encore ensanglantée, elle ne mit pas longtemps à comprendre qu’il était responsable de tout cela. Elle le tuerait donc puis irait trouver celui qui a gravé cette publicité à l’entrée pour qu’elle puisse partir avec lui à l’aventure. Voyant l’elfe se dirigeant vers lui en même temps que l’aubergiste, Groumpf comprend la chance qu’il a : il a commandé de l’elfe ! Et vif en plus, Ô joie ! Tout excité, il attrape la jambe d’Elvana. «Merci bien pour ce délicieux repas ! » Remarque-t-il à l’encontre de l’aubergiste. Celui ci ne sait que répondre, mais bon après tout mieux valait ne pas lui chercher de noises, après tout il venait de descendre seul une dizaine de valeureux guerriers.
C’est à ce moment là qu’Al’Rod entra dans la place, interloqué par le graffiti et l’amoncellement de cadavres à l’entrée. Il ne fut pas long à analyser la situation : le message sur le mur ne pouvait être l’œuvre que d’une créature ayant le QI d’un gobelin, or il n’y avait qu’un seul gobelin dans la salle, et celui ci était en train de tenir une magnifique créature. Le voleur pensa qu’il pourrait faire d’une pierre deux coups : avec un zeste de baratin, il pourrait se faire enrôler sans risques et sauverait en plus la demoiselle en détresse (qui n’a jamais rêvé de sauver une demoiselle en détresse ?). Il se dirigea donc vers Groumpf, et lui adressa la parole en se plaçant derrière lui, de façon à ce que le gobelin soit obligé de lâcher prise pour pouvoir lui parler sans se tordre le cou.
«Al’Rod — Holà brave gobelin ! Qu’alliez-vous donc faire là ?
Groumpf — Groumpf manger elfe, et homme à la cape noire pas lui empêcher parce que sinon Groumpf faire gicler tête à lui !
Al’Rod — Vous pourrez me faire gicler ce que vous voulez, mais d’abord je dois vous avertir d’une chose. Regardez bien la peau de cette créature sylvestre : ne dirait-on pas qu’elle brille ? C’est à cause d’un onguent dont les elfes s’enduisent. Une pure coquetterie. Mais, ce que vous ignorez sans doutes, c’est que les cosmétiques elfiques sont faits à base de plantes dont la consommation est extrêmement dangereuse ! Jugez plutôt…»
Al’Rod passa son index sur la jambe d’Elvana puis le porta à sa bouche. Il se tordit aussitôt après de douleur, toussant et crachant, et ne se calma qu’une fois que l’aubergiste affolé lui ait amené un grand verre d’eau.
«Al’Rod — *Teu’heuh*… Merci bien *Koff* … Voyez-vous l’effet que l’ingestion de cette infime dose à eut sur moi en un si court instant ? Vous auriez pu y laisser la vie si vous en aviez ingéré autant que vous ne l’auriez souhaité…
Groumpf — C’est vrai ! Homme à la cape noire avoir raison ! En plus, cousin de Groumpf déjà mort après avoir mangé oreilles-pointues (en fait il en a fait une indigestion, mais bon ce n’est pas grave…). Pour remercier toi, Groumpf toi conseiller de Groumpf !
Al’Rod — Vous m'honorez trop noble Groumpf, mon nom est Al’Rod»
L’homme fit une brève et relativement grossière révérence qui mit Groumpf dans tous ces états, se pensant un instant le nouveau roi des gobelins.
Elvana interrompit sa douce rêverie (quoi qu’il en soit arrivé au moment où, comme à chaque règne, un prétendant au trône allait poignarder le roi en place, en l’occurrence lui.) :
«Elvana — Et bien, serais tu celui qui recherche de l’aide pour partir à la recherche de Draco ?
Groumpf — Oui ! Toi vouloir être dans groupe à Groumpf ? Alors toi devoir battre Groumpf. Mais attention, cette fois Groumpf pas essayer manger toi, alors toi pas pouvoir empoisonner lâchement Groumpf !»
Elvana eut tout juste le temps de lâcher un soupir avant que le gobelin ne s’élance vers elle, hache en avant. Elle eut juste le temps d’esquiver et de tirer une flèche dans la foulée, qui frôla le nez du gobelin. Le coup d’envoi du match venait d’être lancé, et toute l’assemblée pressentait qu’il allait être bien plus terrible que l’escarmouche précédente.
Groumpf chargeait sans cesses, et Elvana attendait ces moments pour esquiver rapidement et lancer une flèche enflammée pendant le court laps de temps où elle avait l’avantage sur son adversaire en termes de tempo, mais celui ci parvenait toujours à éviter, parfois largement et parfois de justesse, l’attaque de l’elfe et repartait aussitôt, reprenant l’initiative. Elvana était vraiment surprise de la vitesse à laquelle le gobelin réagissait, les petits bonhommes verts étant d’habitude extrêmement longs à la détente, tout comme Groumpf se demandait s’il parviendrait à arriver à portée d’une créature aussi vive. Le combat dura ainsi un certain temps, jusqu’à ce que Groumpf projette sa hache vers l’elfe tout en se jetant vers elle, qui ne pouvait esquiver les deux à la fois. Mais Al’Rod intervint et fit un croc-en-jambe au gobelin, qui s’étala sur le sol. Elvana en profita pour lui tirer une flèche, mais celle-ci fut brûlée à mi-parcours, par Trefi qui venait de finir d’évacuer sa bière.
Elle se prépara à en tirer une autre, mais cette fois-ci se fut Al’Rod qui fit barrage, lui faisant comprendre d’un signe de tête que le combat était terminé. Trefi aida Groumpf à se relever, et celui-ci décida de les engager tous deux, Elvana parce qu’elle avait magnifiquement bien combattu, et Trefi parce qu’il lui avait sauvé la vie. Le groupe alla s’asseoir à table, pour faire les présentations, et un nouveau larron entra alors. C’était un ange, Killmana, qui irradiait la salle de sa lumière céleste. Elvana et Al’Rod furent agréablement surpris de l’arrivée d’un être aussi pur, contrairement à Groumpf qui émit un grognement de mécontentement. L’ange le regarda avec mépris, puis s’avança vers lui.
«Killmana — C’est toi le crétin qui est à la tête du groupe qui part à la recherche de Draco ?
Groumpf — Non, Groumpf pas crétin ! Groumpf gobelin très intelligent ! Groumpf aussi vouloir mener groupe à Draco, alors Groumpf enrôler homme-ailé si homme-ailé aussi fort que Groumpf !
Killmana — Très bien tache de moisissure, mon nom est Killmana, prépares-toi à rejoindre tes ancêtres !»
Aussitôt l’ange empoigna son épée, pret à en découdre…
Ce fut à nouveau le silence dans la salle. La tension était à son comble, les deux adversaires se jaugeaient du regard, chacun attendant que l’autre fasse le premier pas. Tous présentaient un combat encore plus terrible que le précédent. Et puis, soudainement, Groumpf rompit le silence. Il s’élança vers l’ange dans un rugissement de fureur, près à abattre sa hache, Killmana, vif comme le vent, prit son envol pour esquiver. Groumpf bondit, mais l’ange continua de s’élever et était déjà au-dessus de lui, tant et si bien qu’il finit par percuter le plafond avec un bruit sourd, provoquant le fou rire d’Al’Rod, puis retomba sur le gobelin. Surpris, celui-ci n’eut pas le temps d’esquiver et se retrouva prisonnier sous les immenses ailes de la créature divine, qui parvint à rester consciente tout juste le temps de plaquer son épée contre la gorge de Groumpf et dire à son adversaire :
«Killmana — Alors tu … Aban … Donne … Misérable … ?
Groumpf — Oui, oui ! Groumpf enrôler homme-ailé !»
Sur ce, Killmana libéra le gobelin et rampa jusqu’à la table où se tenaient Elvana et Al’Rod pour y prendre un repos bien mérité. Groumpf et Trefi vinrent à leur tour, au moment où le serveur de tout à l’heure vint servir son repas au brave guerrier gobelin. Celui-ci eut un mouvement de recul en sentant l’affreuse odeur du plat, et Elvana ne put s’empêcher d’exprimer, elle aussi son dégoût en voyant l’affreuse mixture verdâtre qui flottait entre deux mouches. Pris de fureur, Groumpf jeta l’infamie sur le serveur et lui ordonna d’aller lui trouver l’aubergiste pour qu’il puisse l’étriper à mains nues pour corriger l’affront qu’il venait de subir (en fait il a juste dit «Groumpf tuer homme qui fait des potages qui pues !!!!!!»). Le pauvre garçon repartit tout penaud vers les cuisines, pour revenir avec la grand-mère hypochondriaque et sénile du cuisinier. Elle vint vers le groupe avec un air sévère :
«Grand-mère hypochondriaque et sénile et acariâtre — Et bien ? Qu’est-ce que c’est que tout ce grabuge !
Al’Rod — Oh, ce n’est rien. Groumpf, à ma droite, n’est semble t’il pas satisfait de la qualité du service. Je pense qu’il souhaiterait avoir un nouveau plat autre que celui-ci qui visiblement ne lui convient pas. Ou alors il pourrait arracher un par un les yeux de chaque membre du personnel et en faire son déjeuner, qu’en pensez-vous ?
Grand-mère hypochondriaque et sénile et acariâtre et trisomique 21 — Quoi ?! Vous insinuez que mon délicieux bouillon de légumes recette végétarienne à la sauce du chef n’est pas bon ? Mais il est délicieux ! Vous mériteriez que je vous donne la fessée à tous bande de garnements !!
Groumpf — Toi vieille truie avoir fait cuisiné ça ? Alors Groumpf massacrer toi !»
Sur ces mots, Groumpf saisit la tête de la grand-mère hypoetc…, et la projeta violemment sur la table, mâchoire en avant, faisant sauter sa mandibule jusqu’à la table voisine. La vieille eut juste le temps d’émettre un gargouillement de douleur avant que Groumpf ne frappe à nouveau, lui ouvrant littéralement le crâne en deux, faisant gicler de la cervelle sur les autres compagnons. «C’est dégoûtant !» s’exclama Elvana, mais Groumpf ne l’écoutait pas. Il était déjà parti vers les cuisines, où il allait faire ce qu’il savait faire de mieux : hacher piler et mixer. Pendant un instant on entendit que les cris de douleurs des victimes du gobelin et les cris de rage de ce dernier, puis il revint dans la salle principale, barbouillé de sang et d’organes divers, tenant fièrement le dernier tonnelet de bière blanche, la réserve personnelle de l’aubergiste. Il allait l’ouvrir lorsque le grabuge reprit et réveilla Killmana : des villageois mécontents venaient chasser les sauvages, menés par un des candidats fuyards, celui dont la vessie avait lâché au milieu de l’assemblée.
Groumpf sauta dans le tas, qui se referma sur lui. Seul en sortaient de temps en temps des têtes qui volaient, et que Trefi s’amusait à faire exploser en vol avec des jets de magma, tout en buvant la bière de Groumpf, tandis qu’Al’Rod se faufilait dans la mêlée pour voler les bourses des villageois, et ne put s’empêcher de louer cyniquement le courage de leur chef, quand il vit celui-ci s’enfuir à toutes jambes. Une fois tous les villageois massacrés, Groumpf revint chercher son du : le tonnelet de bière… Que Trefi venait de finir. De rage, il se prépara à l’étriper, mais Al’Rod parvint à le convaincre de ne pas le tuer. Groumpf se contenta donc de lui enfoncer la tête à coups de poings. Au bout d’un moment, une nouvelle rumeur se fit entendre. Elvana sortit pour voir de quoi il s’agissait, pour voir un nouveau groupe de villageois encore plus en colère que les précédents se diriger vers l’auberge. «En voilà d’autres ! Il faut partir» ordonna t’elle. Groumpf aurait bien aimé broyer quelques crânes supplémentaires mais il était fatigué, aussi dut-il se contraindre à partir avec le reste du groupe. Ils prirent donc courageusement leurs jambes à leur cou…
Un peu plus tôt, pendant la nuit; la princesse Jellina Kell Manir sortit enfin de son palais, véritable prison pour l’adolescente éprise de liberté. Le tintement de ses armes et bijoux révéla cependant sa présence aux gardes qui, n’ayant pu finir leur Belote, se dépêchèrent de trouver cet empêcheur de jeu (quoi ils peuvent pas s’amuser pendant le service ???). Ils restèrent un instant à l’arrêt en voyant que la princesse tentait de s’enfuir, et celle-ci profita de la stupeur générale pour courir aussi vite que possible. Elle eut tout juste le temps d’entendre un garde lui dire «non, pas par là, c’est l’antre de Paicésapux !», mais c’était trop tard. Déjà elle pénétrait dans l’unique bosquet se trouvant aux environs du palais, un bosquet qui faisait relativement tache au milieu de la vaste plaine mais que personne n’avait, étrangement, voulu raser, et dont la plupart parlaient avec frayeur. Elle s’arrêta un instant pour vérifier qu’elle n’était pas suivie, puis repartit, puis s’arrêta de nouveau. Elle venait d’ouïr une sorte de raclement, ou de grognement, ou peut-être les deux. Elle se remit prudemment en marche, mais elle n’était pas rassurée. Au fur et à mesure qu’elle avançait, les raclements se faisaient tantôt plus proches, tantôt plus distants, mais à chaque fois le silence qui les séparait raccourcissait. Jellina, qui avait petit à petit accéléré le pas jusqu’à se mettre à courir, jeta un coup d’œil en arrière pour tenter d’apercevoir la chose qui la suivait. Quand elle se retourna la tête pour regarder son chemin, elle stoppa net sa course, et frôla la crise cardiaque en apercevant l’énorme masse noire aux yeux rouges et brillants qui se tenait devant elle. La créature abaissa sur elle son énorme poing velu et l’assomma d’un seul coup, pour l’emmener dans sa tanière.
Lorsqu’elle repris conscience, Jellina était pendue par les pieds au plafond d’une grotte humide et puante. Sous ses yeux, un énorme troll au pelage noir et aux yeux rouge braise achevait de ronger les os d’une pauvre créature, probablement un loup. Jellina se souvint alors des histoires qu’on lui avait raconté pendant son enfance au sujet de l’extérieur du palais. L’une d’elle racontait qu’autrefois, le roi Iwok VI, son arrière-grand-père, avait engagé un garde-chasse réputé dans tout le royaume pour protéger ses terres, autrefois extrêmement boisées, et qui étaient en proies aux braconniers. Puis, il demanda à son conseiller Mast de tester pour lui l’efficacité de ce nouveau gardien, du nom de Maxébihin, et de le renvoyer si nécessaire. Le conseiller, qui était en puissant mage, se déguisa donc en braconnier et alla traîner dans les zones boisées qui entouraient le palais. Il tomba nez à nez avec Maxébihin, qui sortait des lapins d’un piège. Surpris, celui-ci se mit à crier sur le conseiller/braconnier, lui disant qu’il devrait avoir honte de faire de telles choses, et qu’il allait le payer de sa vie. Sitôt dit, il s’élança hache en avant sur Mast, qui esquiva se téléporta tout en laissant derrière lui une illusion à son image, que Maxébihin cru tuer. Deux jours plus tard, le conseiller réitéra le test avec un nouveau déguisement. À nouveau il surpris le garde-chasse en train de sortir des animaux d’un piège, sauf que cette fois ce dernier ne l’avait pas vu. Ne pouvant s’ôter d’un terrible doute, Mast lança un sort de télépathie sur l’homme, pour apprendre la vérité : Maxébihin braconnait à son propre compte. S’apercevant qu’on venait de lui lancer un sort, et réalisant que la source n’en était autre que Mast, qui avait retiré son déguisement, et qu’il était visiblement au courrant de toute la vérité, le garde-chasse eut pour toute réaction de s’élancer à nouveau, hache en avant encore une fois. Mais cette fois ci Mast ne tenta pas de fuir. La rafale d’énergie qui sortit de sa main était aussi puissante qu’irrésistible, entraînant Maxébihin ainsi que plusieurs arbres alentours, qui furent propulsés à une trentaine de mètres.
Mast s’approcha de Maxébihin, miraculeusement conscient. «Et maintenant, dit le conseiller, tu prends tes cliques et tes claques et tu t’en vas ! Nous ne voulons pas de toi ici, va-t’en avant que je ne te tue ! » Disant cela, il régénéra le braconnier, juste assez pour qu’il puisse partir en vitesse. Mais celui ci n’avait pas l’intention d’en rester là. Il nourrissait à présent une grande haine pour le sorcier, et alla trouver quelques temps plus tard une guilde de nécromanciens pour qu’ils l’aident à combattre Mast. Les nécromanciens acceptèrent avec joie, à condition qu’il leur offre leur âme. Ne comprenant pas réellement ce que cela impliquait, Maxébihin accepta sans hésiter, et les nécromanciens jetèrent alors un puissant sort sur lui, qui devait le rendre insensible aux attaques magiques. Ils lui donnèrent aussi une nouvelle arme, une magnifique hache dorée, sertie de rubis taillés en formes de têtes de morts, capable de trancher la pierre aussi facilement que du beurre chaud. L’homme sans âme repartit alors vers le palais royal, se mettant à massacrer tous ceux qui passaient à portée de hache, et criant que ce carnage cesserait dès lors que le conseiller serait venu l’affronter en combat singulier. Celui-ci fut bien forcé d’aller à son encontre. Aussitôt qu’il fut sur place, Maxébihin se jeta rageusement pour l’énième fois sur lui, et à nouveau Mast voulu le repousser. Mais le sort fut dévié et, avant qu’il n’ait pu comprendre ce qui s’était passé, le conseiller se retrouva coupé en deux à l’horizontale, au niveau de la taille. Maxébihin se mit alors à hurler de joie, mais son hurlement était plus bestial qu’humain. Son corps grandissait progressivement, alors que des poils noirs commençaient à lui pousser sur l’échine. À présent qu’il avait eut ce qu’il voulait, il devait payer sa dette au diable : et depuis lors il devint l’horrible Paicésapux, qui partit vivre là où fut pendant un court laps de temps son terrain de chasse…
Jusqu’alors, Jellina était persuadée que c’était un conte destiné à la convaincre de ne pas sortir de l’enceinte du palais, où du moins pas seule, mais la vue de cette créature qui ne pouvait être autre que Paicésapux eut tôt fait de lui convaincre du contraire. De plus, elle se souvenait qu’il existait une section de l’armurerie auquel même elle n’avait pas le droit d’accéder.
Cela dit, il lui fallait maintenant agir au plus vite. Paicésapux s’attaquait à présent à la moelle et Jellina devait se délivrer si elle ne voulait pas subir le même sort que ces pauvres osselets. Par chance le monstre, qui lui avait pris son épée, avait oublié de lui enlever sa dague et, au prix d’un immense effort, elle parvint à se redresser pour trancher la corde. Elle tomba alors avec bruit et fracas, éveillant l’attention de la créature. Celle ci s’empara alors d’un fémur taillé en pointe et s’avança lentement vers la paladine, pret à la broyer d’un seul coup. Celle-ci, qui n’avait pas du tout envie de se retrouver à l’état de pantin désarticulé, chargea Paicésapux, qui, ne cherchant même pas à parer, releva son bras, pret à abattre un coup mortel. Mais Jellina lui enfonça sa dague dans le biceps, interrompant la chose dans son élan, qui se mit à hurler de rage, plus que de douleur. Cela laissa à Jellina le temps de trouver son épée parmi d’autres cadavres, humains pour la plupart, et de s’en emparer pour mettre un terme définitif à ce combat. Paicésapux, la voyant revenir à la charge pleine d’une nouvelle énergie meurtrière, frappa violemment le sol de sa tanière avec son bras valide. L’onde de choc fit tomber Jellina, et aussitôt la créature se ruait vers elle pour la piétiner. C’était être suicidaire que de se livrer ainsi à un chevalier de l’Ordre, et il allait l’apprendre pour sa plus grande… douleur. L’épée de Jellina décrivit un arc de cercle juste à hauteur des tibias du monstre, stoppant net son attaque. Jellina se releva alors et fit un 12 hit combo dans la face du gros vilain qui finit par s’étendre, apparemment mort.
Cependant, les créatures diaboliques ne sont pas si faciles à tuer. Alors que Jellina s’était mise en tête de sortir les cadavres pour leur donner une sépulture décente, elle entendit un raclement terriblement familier. Elle se retourna vivement, mais c’était trop tard. La créature trolloïdique se tenait juste à-coté d’elle, pret pour un deuxième round. Il lui envoya un terrible coup de poing dans le ventre, la propulsant contre le mur et lui brisant les côtes. Il repartit pour l’achever, et elle ne put rien faire d’autre que de s’élancer épée en avant aussi rapidement que la douleur lui permettait. Cylade s’enfonça profondément entre les deux yeux de Paicésapux, qui tomba lourdement au sol. Jilliana trancha la tête de la créature moribonde pour s’assurer qu’elle ne revienne pas, puis alla s’asseoir le temps de calmer sa douleur. C’est à ce moment qu’elle aperçut sur un des cadavres qu’elle voulait enterrer une robe de prêtresse qui brillait d’une douce lueur et semblait l’appeler. Sans se poser de questions, Jellina pris la robe et l’enfila, et aussitôt sa douleur et ses blessures disparurent, guéries par l’habit saint. Jellina sentit que la robe avait épuisé tout son potentiel magique et ne pourrait plus la régénérer, aussi préféra t’elle la remettre à sa place, et sortit couper des branchages pour en couvrir les corps et leur offrir des pseudos-tombes. Le jour commençait à poindre, et Jellina se remit en route aussitôt qu’elle eut finie. Elle sortit rapidement du petit bosquet et arriva au même rythme jusqu’à un petit village. C’est alors qu’elle vit une épaisse fumée s’élever vers le ciel et, s’éloignant, un groupe hétéroclite de… «D’aventuriers !» s’écria la paladine à elle même. Elle se mit à courir vers eux, espérant qu’ils accepteraient de l’enrôler dans leur groupe, au moins avec eux trouverait-elle de l’action !
Elvana
Une semaine après mon départ d’Orendiel, j’arrivais dans ce petit village d’étape pour les aventuriers, Dakalh. Je prenais l’initiative de passer à l’auberge du patelin afin de recueillir en premier lieu des informations quant à ce Draco, mais également pour me réapprovisionner en nourriture et boisson. Une affiche placardée semblait-il à la va-vite sur la porte de l’auberge attira mon attention. Il y était noté : « gran guérié fore besoin bras ossi fores ke lui poure cherché Draco » Ou il s’agissait d’un gamin qui voulait plaisanter, ou alors l’aventurier qui avait collé cette affiche était con comme un troll… J’entrai quand même, pensant qu’il s’agissait sans doute d’un barbare qui recherchait de l’aide. (Etant donné que les barbares ne sont pas très érudits…) Mais lorsque je pénétrai à l’intérieur de la bâtisse, je crus me retrouver dans une sorte de boucherie où s’était déroulé un immense bain de sang… Plusieurs cadavres d’hommes et de femmes gisaient au sol, démembrés de toutes parts. En levant les yeux, je vis une créature immonde, assise seule à sa table, à lécher sa hache mouillée de sang frais : un gobelin ! C’était donc lui le responsable de ce massacre… Je réalisai alors que c’était lui qui avait placardé cette affiche à l’entrée de l’auberge. Cœur et âme remplis de haine, je m’avançais à pas lents vers le gobelin, prête à le massacrer sans vergogne pour lui faire payer ses crimes. Mais à peine me retrouvai-je devant lui qu’il s’empressa de bondir de sa chaise pour saisir ma jambe. Je réalisai alors qu’il avait l’intention de me dévorer ! A cet instant précis, un homme entra dans la taverne, et voyant le gobelin cramponné à ma jambe, il s’avança vers nous et s’adressa à la créature : « Il est vrai que vous, gobelins, raffolez de chaires tendres comme celle-ci, mais voyez-vous… » Il arrêta momentanément de parler pour passer son index sur ma jambe, puis reprit : « Les elfes, afin de rendre leur teint plus éclatant, s’enduisent le corps de cette huile spéciale, qui s’avère être un poison très violent, capable de mettre à terre n’importe quel être qui y porterait ses lèvres. » A cet instant, il suça son doigt, et feint de tousser comme s’il était sur le point de mourir, puis demanda expressément un verre d’eau à l’aubergiste. Après avoir bu, il finit son discours : « Il ne s’agissait que d’une once d’huile, et elle a failli me terrasser, alors imagine, gobelin, si tu l’avais avalé toute entière ! » Le gobelin lâcha ma jambe d’un air répugné, et enthousiasmé du fait que cet homme mystérieux lui ait sauvé la vie, (Ce qui est faux, étant donné que ces huiles sont inoffensives…) il le nomma d’un air enjoué « Conseiller de son escorte ». L’homme, qui s’avérait donc être un voleur également en quête du Draco, accepta sans hésiter.
Toujours horrifiée par le spectacle cadavérique que m’avait offert le gobelin, je m’empressai de saisir mon arc, et de décocher une flèche qui alla se planter dans le mur, à quelques centimètres de sa tête. Suite à cette menace, il s’arma de sa hache, et se rua sur moi tel un berserker prêt à tuer tout ce qui l’entourait. Faisant trop de mouvements inutiles, il m’était aisé d’esquiver ses attaques, tout en décochant des flèches. Hélas, je n’arrivai pas à l’atteindre, tant sa vitesse était grande. J’eus l’impression qu’il cherchait plus à me faire peur que de vouloir m’achever. Tout à coup, le gobelin s’effondra par terre : le voleur lui avait fait un croc-en-jambe sans doute dans l’intention de mettre fin à un combat inutile. L’avantage étant alors entre mes mains, j’armai deux flèches sur mon arc, pour être sûre de l’achever rapidement. Et je décochai. C’est alors qu’un éclair enflammé vint foudroyer mes flèches avant même qu’elles aient atteint leur but. D’un coup d’œil, je vis un gobelin vêtu d’une toge qui se trouvait reclus dans le fond de la salle. Sans réfléchir, je repris deux flèches, mais cette fois-ci, c’est le voleur qui s’interposa, me faisant comprendre d’un signe de tête que s’en était assez. Je n’insistai pas, et rengainai mon arc. Le gobelin me lança un regard dédaigneux, et hocha la tête. Il venait de me recruter dans son groupe.
Le voleur, qui s’était installé à la table du mage gobelin, nous invita tous deux à les rejoindre, ce que nous fîmes. L’aubergiste apporta alors au gob, qui s’appelait Groumpf, un immonde potage de légumes auquel même morte de faim je n’aurais pas touché. A la vue de cette immondice, il entra dans une rage folle et, saisissant son arme, décapita le tenancier… Les dernières personnes présentes dans l’auberge fuirent à la vue de ce massacre gratuit. Les deux gobelins se réjouirent de cette désertion, et en profitèrent pour mettre le lieu à sac. Dégoûtée par tout ce que j’avais vu depuis que je me retrouvais ici, je ne dis rien.
C’est alors qu’un client pénétra dans l’auberge, un client assez spécial, car peu commun : un ange, dont les grandes ailes radieuses illuminèrent la pièce. Concluant qu’il s’agissait d’un nouveau postulant à l’adhésion de son groupe, Groumpf saisit sa hache une fois de plus, et se rua sur l’ange. Ce dernier esquiva l’attaque en sautant, mais ayant mal calculé son coup, il se fracassa le crâne au plafond, et retomba violemment sonné sur le gobelin. Al’Rod, le voleur, se tordit de rire à la vue de ce spectacle ridicule, qui esquissa même à moi-même un léger sourire. Le mage gobelin, Trefi, resta muet, tout en vidant goulûment le tonneau de bière sur lequel Groumpf avait mis la main. Ce dernier, ayant pensé que l’ange l’avait mis à terre grâce à ses pouvoirs, l’enrôla également.
Alors que Groumpf tapait nonchalamment Trefi qui lui avait fauché sa boisson, plusieurs villageois armés de fourches et de faux avaient pénétré dans l’auberge, dans l’intention de nous massacrer. Les deux gobelins cessèrent alors leur conflit pour tuer ces pauvres gens. L’ange, Killmana, était encore trop sonné pour combattre, et je ne désirais pas massacrer des innocents. Nous restâmes donc à notre table, non à admirer les deux andouilles exécuter leur boucherie, mais à observer avec quelle souplesse Al’Rod se faufilait entre les assaillants pour leur soutirer leurs bourses.
Après ces quelques contretemps, dont je ne partageais pas l’enthousiasme avec les deux gobelins, nous nous mîmes en route vers la première étape du voyage : la forêt de […]A peine allions-nous quitter le village qui jeune fille semblant légèrement humainement plus âgée que moi (J’ai 120 ans elfiques, qui correspondent environ à un peu moins de 17 ans humai
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 13/10/2007 Grade : [Nomade] Inscrit le 15/05/2004 | Envoyé par Kossuth le Jeudi 29 Juillet 2004 à 14:35 un peu moins de 17 ans humains.) s’avançait en courant vers notre groupe. Groumpf nous dit de l’ignorer, estimant que nous étions assez, et qu’il ne fallait pas s’encombrer de poids morts. Je fus persuadée du contraire en constatant l’habillement caractéristique de cette fille, et de l’aspect de la lame qu’elle portait. Il s’agissait sans aucun doute d’une paladine d’un ordre très élevé. Elle se présenta : Jellina Kell Manir, héritière d’une riche famille royale de l’ordre d’Otaria. Ayant eu vent de la qualité du maniement des armes des Otarians, et de leurs facultés incroyables au combat, je sommais mon soi-disant cher de l’autoriser à nous accompagner. Il accepta, à contrecœur, car je lui avais un peu forcé la main. Nous pénétrâmes alors dans la forêt d’Urborg, après quelques heures de marche. Me sentant enfin dans un milieu apaisant et naturel, je quittai le groupe afin d’entrer quelques instants en communion avec Titania, la mère de nos forêts. J’exécutai l’habituel rituel de cérémonie, puis rentrai en transe. Je fus distraite quelques instants par une adorable biche qui vint se mettre à mes côtés. Après l’avoir quelque peu caressé, je reprenais mon rite.
Une fois cela fini, je décidai de rejoindre mon groupe. Je découvris avec horreur en les retrouvant que ces brutes s’étaient assaillies sur la biche pour la dépecer, la cuire et la manger… Je désespérai de plus en plus de faire route avec ces monstres, mais je ne pouvais me résoudre à voyager seule. Al’Rod me tendit un morceau de l’animal, me disant qu’il fallait bien se nourrir d’une quelconque façon. Ayant oublié de faire le plein de provisions, je devais choisir entre le jeûne ou manger… Ne désirant pas mourir de faim, je pris le morceau que me tendait le voleur, et je mordis dedans. Mais répugné par l’origine de la viande, je la recrachai tout de suite. Je quittai le groupe pour aller me réfugié au sommet d’un grand chêne et y passer le reste de la nuit…
Killmana
Arrivé à destination, je m'approchai furtivement d'une taverne... dévastée par un groupe enragé constitué d'une elfe, d'un gobelin, et d'un assassin faisant rage dans l’auberge. Je ne perdis pas mon sang froid, je m'avançai tranquillement vers une table et m’installai tranquillement un siège. Mes ailes se recroquevillèrent jusqu'à disparaître sous ma cape noire.....
Tout à coup, un gobelin grotesque, mais très agile, bondit vers moi et je sautai pour éviter l’éventuel combat... et me cognai la tête...
Après un temps de récupération d’une durée qui m’est inconnu, je vis le groupe que j'avais aperçu au milieu de l'auberge, entouré de tas de cadavres. Je fis une prière pour aider à leur ascension vers l’éternel, mais elle fut de courte durée, l'odeur de sang pourri me montant à la gorge.
L'elfe aux cheveux blond platine me fit signe de les accompagner. J'ai du accepter, malgré le gobelin qui me répugnait. Apparemment le sentier menait vers la forêt, ce qui n'était pas vraiment le lieu ou je me sentais le mieux, préférant les grands espaces où je peux voler sans risquer de m’écraser contre un arbre ! Je pris donc l'initiative d'analyser tous les personnages qui étaient donc mes compagnons pour chercher Draco.
Groumpf, répugnant, celui que j'ai battu et qui ma recruté... plutôt costaud mais très petit, j'ai une envie mortelle de lui éclater tout son pu avec mon épée en guise d'aiguille...
trefi, bizarrement, ce vieillard au nom qui signifie "écureuil écrasé" chez moi inspire une confiance de ne pas me faire tuer. La seule conversation valable pour lui parler sera sûrement pour moi de lui dire que ses lacets son défaits...
Jellina, je ne me souviens pas vraiment l'avoir réellement abordé....elle a pas chaud sous son armure?
al'rod, ah, je me souviens de lui.....sûrement le banquier de l'aventure...
elvana sûrement la seule qui me ressemble.....
apparemment elvana c'est arrêté pour méditer, et étant une prière quelconque, je me devait d'y participer. Elle apprécia le geste et reprit sa méditation.
Une biche, curieuse de voir des ailes aussi blanches dans une forêt perdue s'avança vers moi. Elvana caressa d'un air joyeux la belle biche...
Elvana remarqua qu'après avoir touche la biche et la caresse, elle avait la main en sang. Les deux gobelins et le voleur l'avaient découpé en morceaux pour le manger
la pauvre elfe choquée poussa un cri et sanglota, malheureuse de la mort de la pauvre biche.
Le soir, les trois sanguinaires portaient un toast pour leur chasse, devant un feu de bois ou résidait de la viande de biche tendre dorée par les flammes crépitantes. Al’rod me passa une belle tranche, mais je me refusai à manger la chair d’un animal si pur.
Après le repas, comme la nuit tombait, nous nous couchâmes au bord du feu mourant, pour être frais et dispos pour une affronter le lendemain et revenir a L'aventure.....
Le matin se lève, et le soleil est déjà haut dans le ciel.....
Al'rod me réveilla avec son bras tendu, l'air joyeux. Je me levai d'un coup et lui demandai pourquoi il m’avait réveillé. Je fus intrigué lorsqu’il montra Groumpf du doigt. Ce gobelin avait apparemment réveillé tout le monde par des cris et des coups de pied au cul pour repartir dans le cœur de la forêt. Il était en train de secouer d'un air féroce le chêne ou s'était assoupie Elvana.
L'elfe sauta du chêne et s'écrasa sur le gobelin comme un vulgaire coussin destiné à amortir le choc.
De petits rires se firent entendre : la tête de groumpf venait de passer du vert au rouge, puis du rouge au violet et enfin du violet au bleu, étant étouffé par le poids pourtant léger de l'elfe. Il repoussa elvana et nous demanda de nous regrouper pour partir.
Je pris mes affaires et prit un peu de terre en souvenir de cette forêt. Trefi fit remarquer à tout le monde que j'avais des ailes et me demanda de m'envoler pour ne pas tomber dans un piège quelconque. Bien sur j'acceptai et pris mon envol au-dessus de la forêt.
Ces immenses arbres ou étaient suspendus des milliers d'animaux telle des singes et orangs-outans… j'ai facilement remarqué que quelques-uns d'entre eux rongeait un morceau de métal, sûrement la fin de leur déjeuner... bang.
Distrait, et ne regardant pas où mon vol me menait, je m’écrasai sur le tronc d’un immense arbre, et me fit détourner de mon itinéraire. Les singes semblaient se moquer de moi et me jetèrent des tas de morceaux de bois... heureusement, elvana décocha des flèches pour transpercer les macaques et les autres prirent la fuite.
La piste était longue, et un gouffre stoppa notre escapade. Il fallait grimper aux arbres. Elvana n'eut aucun mal à se saisir des lianes pour atteindre le chemin fait de branches et de racines, tandis que le saut d’Al'rod suffisait pour lui pour atterrir sur la corniche. Je pris donc trefi sur mon dos, et l'emmenai avec moi.
Jellyna pris aussi les lianes, mais étant plus lourde qu’elvana, avait failli s'écraser au sol. Par chance, j'ai pu la reprendre au vol... il ne restait plus que groumpf
je lui tendis la main, mais il la refusa furieusement, croyant que l'on le croyait incapable de monter par lui-même, ce qui n'était que pure vérité !
Il prit son élan à deux reprises et sauta pour attraper la corniche, en vain. Il recommanca, en vain,... elvana pris l'initiative d'utiliser ses flèches en guise de marche pour groumpf. Celui ci pu donc monter l'escalier de flèches que lui avait fait elvana.
Têtu, il nie toujours n'avoir pas eu besoin d'aide pour une telle besogne... et ne remercia même pas elvana
En colère, l'elfe lui piqua les fesses et lui cria aux oreilles d'avancer au lieu de beugler.
sitôt dit, sitôt fait, et nous reprîmes la route.......
Elvana : mmmh... ce silence... aucun bruits d'insectes... ni de chants d'oiseaux… je n'entends pas la voix des arbres… je pense qu'il se passe des choses étranges dans cette forêt.
Killmana : je le pense aussi, le vent souffle du nord, il balaye les esprits défunts... ce qui est mauvais signe.
Groumpf : moi sentir... renifler... l'odeur du sang et de la sueur...
Jellina, en tête de groupe s'arrêta devant un arbre apparemment déchiré par une hache.
Jellina : venez voir, je viens de trouver un tissu déchiré... il a le même symbole que celui d'Elvana...
Elvana : comment ? Fait voir !
Elvana prit le morceau, et y glissa ses mains pour y voir du sang caillé par la chaleur et par le temps... D’un coup, elle sembla plus angoissée que nous ne l’avions jamais vue.
Elvana : ce blason... ce sceau... c'est celui de mon frère.
Tous en cœur sauf Elvana : ton frère ? Il est passé par ici ?
Elvana : il a sûrement dû être attaqué pendant qu'il faisait la chasse avec ses hommes... je dois le retrouver !
Killmana mmmh...ça ralentira le parcours mais si c’est pour sauver ton frère, je te suis !
Jellina et Al’rod je viens aussi !
Groumpf et Trefi ne perdirent pas une seconde et suivirent les traces de pas laissée par les survivants du combat.
Quelques heures de marche plus tard, à la tombée de la nuit...
La troupe s'arrêta dans un bosquet pour surveiller le village dans lequel ils arrivaient. Ce village abritait des créatures mi-hommes mi-singes, qui dégustait les entrailles des prisonniers. C'était des elfes !
Elvana Créatures immondes... Je vais les tuer !
Killmana je ne vois pas l'esprit de ton frère défunt... il n'est pas mort !
Furtivement, nous entrâmes dans la hutte ou se logeaient les derniers prisonniers. Un homme, d'une très grande beauté et ayant les cheveux blancs comme ceux d’Elvana se réveilla. Il était couvert de blessures et était ligoté à un tronc d'arbre.
Elvana : Kal... Kal mon frère... est ce que tu va bien ? Que s'est t'il passé ?
Kal, frère d'Elvana : J'ai été attaqué par une bande de créatures sauvages, les murgg pendant que je faisait la cueillette des herbes médicinales... ils sont dangereux, on doit s'en aller... Ils m'emmène pour le dernier sacrifice !
Elvana : Ne t'inquiète pas je vais te ramener chez nous... Je vais te sauver...
Al'rod : On nous encercle!!!!!!!!
La hutte fut complètement cernée par une horde d’hommes singes furieux. Leur roi, Zanzan, cria avec fureur. On était pris dans un piège
Zanzan, roi des murgg : Rendez-vous humains, pour que l'on ait plus de viande fraîche!!!
Les murgg attendaient sûrement que l'un d'entre nous sorte pour lancer l'attaque. Un long silence se fit entendre, jusqu'à ce que Groumpf commence à réagir.
Il frappa tellement fort la porte que le singe de devant fut écrasé par la force du coup. Sans quitter non plus la hutte, Groumpf balança sa hache comme un boomerang qui coupa la tête du murgg sur son chemin. Le chemin était déblayé, et on sonna la charge.
Les murgg n'étaient pas très forts. Les cadavres s’entassaient à force, et Trefi ne pouvait pas les enflammer facilement. Le nombre de murgg venant au combat était énorme. Pour chaque membre du groupe, il y avait une cinquantaine de murgg.
Killmana : nous ne pourrons pas les tuer comme ça !! Il faut trouver une solution radicale !!
Aussitôt, Jellina fut assommée par le roi. Elle s'évanoui sous une telle puissance de frappe et fut emmenée par quelques murgg.
Non !!! Aussitôt Al’rod et moi suivîmes le cortège et tuâmes tous les porteurs. Jellina tomba à terre, comme si elle était dans un coma profond.
Killmana : AL ! Si on tue le roi, les autres s’enfuiront !!
Al’rod : Mais je ne sais pas me battre!!
Du côté d’Elvana et de son frère, les combats étaient sanglants. Kal était un virtuose du combat au poignard et les murgg tombaient comme des mouches. Ayant vu notre combat avec le roi Zanzan, ils nous rejoignit en évitant les murgg sur son passage.
Le roi singe était aussi fort que rapide.
Nous avions du mal à le tuer. Kal nous rejoignit et le poignarda sur le pied, ce qui était très douloureux. Al’rod pris un contre pied et s'écorcha le genou, et ne pouvait pas se relever. Le roi rugit de plaisir et balança son coup de pied d'une vitesse incroyable... Al’rod allait sûrement mourir... tué par le coup... mais, à ce moment précis, Kal pris la place d’Al’rod en sautant sur lui et succomba au coup du roi Zanzan, il tomba raide mort, le corps broyé.
Elvana : grand frère!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je ne perdis pas une seconde et saisis l’occasion de cette seconde d'inattention pour atterrir sur la tête de Zanzan. Je balançai mon épée et lui fendis le crâne en un seul coup. Le sang gicla, le frère d’Elvana était vengé.
Groumpf tua quelques autres murgg, alors que les autres se retiraient du combat pour fuir. Nous avions gagné, mais a quel prix. Nous nous réunîmes devant le corps de Kal... et nous passâmes la nuit à veiller sur le corps, si jamais les murgg revenait à la charge...
L'aube se leva, la forêt reprit vie. Après la fuite des murgg, les oiseaux chantèrent à tue-tête, comme avant, le froissement des arbres reprit de plus belle. Pendant la nuit, nous avions, sur ordre d’Elvana, creusé une tombe dans un coin paisible. Al’rod pris son coutelas et le posa en guise de croix elfique. Je fis une prière pour que son âme retourne vers ses dieux…
Sa tombe était placée de sorte à ce que l'on voit la sortie du sentier. Une lumière dorée ornait la fin de notre périple dans la forêt.
Jellina : Euh... mes sincères condoléances Elvana, J'ai fait ce que j'ai pu…
Elle fit le premier pas vers la sortie. Elle était accompagnée de Trefi, qui avait pris un air triste pour faire plaisir à Elvana.
Groumpf : Groumpf pas content, si lui vivant, lui aurait été bon guerrier à côté de moi, même si lui était elfe !
Il arracha des fleurs et les posa brutalement sur la tombe du défunt. Il parti lui aussi vers la fin de la forêt. Il ne restait plus que moi et Al'rod.
Killmana ne reste jamais avec le même souvenir, car celui ci est maintenant le passé de notre avenir...
Et je quittai le lieu.
Al'rod : euh... comment te dire ça... si ce n’est que s’il ne m'avait pas sauvé, il serait encore vivant et moi mort, mais ça aurait été mieux pour toi... enfin… j'aurais du m'interposer... enfin, je suis vraiment désolé…
et Al’rod partit, la tête basse.
Elvana, en silence, incanta un doux chant de lyre. Des fleurs dont la beauté surpassait toutes les autres ouvrirent leur corolle sur la tombe de Kal. Elle sécha ses larmes, mit fin à ses sanglots et nous rejoignit, pour continuer la route...
Mes compagnons de route et moi avions réussi à passer le périlleux sentier des arbres, là où vivaient les murgg. Malgré une cuisante défaite avec la mort du frère d’Elvana, Kal, nous prîmes le chemin vers Figaro est, l'une des quatre capitales portuaires de notre continent.
On voyait déjà de la colline, une grande cité ornée de points beiges et jaunes que formaient les maisons et villas des richissimes habitants de cette cité. Mais, étrangement, un gros point rouge venait s’intercaler au milieu des autres points de couleur…
Les plus belles conneries :
-un homme d’une très belle beauté…
-des cheveux blancs qu’hommes ceux d’Elvana
-Il fut écrasé par le poids de la pression de la porte.
-je pris cette occasion d'Inattention
-ne reste jamais avec le même souvenir, car celui ci est maintenant le passé de notre avenir... (très poétique, mais il faudrait m’expliquer ce que ça veut dire !!)
-Elvana, en silence, incanta un doux chant de lyre (tu sais ce qu’est une lyre ??)
-L’incendie pris alors fin par l'aide des pompiers(et la police arriva avec des mitrailleuses et des grenades, mais l’homme aux habits rouges leur lança une bombe atomique à la gueule…)
-Ils prirent donc courageusement leurs jambes à leurs cous…
- Jellina se releva alors et fit un 12 hit combo dans la face du gros vilain qui finit par s’étendre, apparemment mort.
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La première fois je pardonne, la seconde, je sanctionne
[ Edité par Kossuth Le 29 jui 2004 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 29/04/2019 Grade : [Seigneur] Inscrit le 04/04/2003 | Envoyé par killmana le Jeudi 29 Juillet 2004 à 15:15 Bon les scenarios etant mis au point,on peut progresser dans la quete
partie 0.5 prologue et biographie de tous les personnages par necros
partie 1 rencontre du premier groupe(6 personne) termine
partie 2+3 bagarre dans la taverne + direction vers la foret termine
partie 4le sentier des arbres reinstallation des details avec waramaro et zentikiller
-entree au sentier des arbres et reconnaissances des lieux
-rencontre avec les soeurs changeformes
-rencontre avec kal,le frere d'elvana et bataille avec les murgg
-mort de kal,enterrement
-sortie du sentiers des arnres
partie 5 partie du port de figaro + entree de kossuth termine,kossuth est d'accord
partie 6 le bateau fantome+entree de nirvanadrum en cours
partie 7 Entre pere et fils......
partie 8-9-10 reste encore a definir
voici les poste d'initialisation de l'histoire
Pour le scénario, nous avons :
nécros, résponsable de l'équipe du scénario et du prologue des personnages,expansion dé recits
Ginko qui l'aidera de temps en temps,
Le_gentil_killer, plein temps pas comme certain,
killmana,qui fait les ecrits et qui donne le progres a la quete
Pour les dialogue nous avons :
Wamarano, résonsable de l'équipe des dialogues,
killmana....toujours
Pour l'illustration nous avons :
RadicalEdg69, résponsable de l'équipe des illustrations et déssinatrice (ça se dit, ça ?) des persos,
killmana,qui cherche des images sur internet
pour le bon deroulement de l'histoire,nous avons
killmana,responsable des bilan(franchement chuis le seul a le faire donc....)
pour la creation des cartes,nous avons
-zentikiller
-anacronum
-zurgost
Pour le deroulement de l'histoire,nous ferons dans l'ordre
-Killmana fait l'histoire,avec le deroulement
-ginko repasse les dialogues
-necros mets les details
-kossuth corrige les fautes
-zentikiller et son equipe font les fcs
voila
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je me demande ce que je fais la........
ah ouais,je m'en souviens ^^
je suis modérateur des énigmes!
besoin d'aide et trucs marrant pour les énigmes?
Passez moi le message et je ferais de mon mieux pour vous aider
[ Edité par killmana Le 29 jui 2004 ]
___________________ Une divinité de MC,dans les temps très très anciens... Plus actif,mais présent toujours.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 04/10/2011 Grade : [Seigneur] Inscrit le 10/04/2004 | Envoyé par shadowblue le Jeudi 29 Juillet 2004 à 15:47 Les fc des murggs sont géniales,
Je veux bien faire les dialogues et éventuelllemnt ler scénario... sinon est ce que mon perso est bon ? ( rapel : -------------------------------------------------------------------------------- Voilà mon perso corrigé : Shoguth Force : 9 Endurance : 5 Agilité : 5 Sagesse :1 Magie : 9 Charisme :1 Donc je suis un djinn mage (chez les djinns c'set un génie). Je suis adulte depuis environ 15 000 ans et je suis : grand,immense même sans mon tortillon vaporeux qui prolonge mon abdomen, je vole, j'ai une musculature assez impressionnante comme tout les djinns et éfrits, ma magie est très grande comme tout ceux de mon éspèce, je n'ai aps une endurance immense en raison de la moitié de mon corps qui est immatérielle et qui est sans protection. J'ai une unique et grande natte dur le sommet du crâne. j'ai les yeux blancs, un corp bleu, vert. Mon histoire est la suivante : Il y a approximativement 100 000 ans je naquit, je suis donc un jeune génie, on ne sait pas trop les djinns apparaissent, pour tout dire moi non plus... ce qui explique peut être notre rareté... Depuis longtemps j'arpente le monde à la recherche d'un anneau de pouvoir, l'anneau d'aladin... Enfin je l'avais trouvé quand vint "Draco", cet immense dragon de métal surgit de nul part alors que j'allais m'emparer de l'anneau, je tentai de l'arretter mais il m'assoma et repartit avec l'anneau, me laissant pour mort, après son apssage des braconniers m'emprisonèrent dans une prison magique solide, mes force ne suffisant aps pour m'évader, j'atttendis, nous arrivâmmes dans une grande salle ou un homme riche attendais les chasseurs, il dit : (italique==> je cause) - beau spécimen - je suis flatté - oui nous l'avons trouvé par hasard, il a fallu un grand combat pour en venir à bout - bah voyons... - je vois... je vous doit combien déjà ? - 100 000 écus ! - très bien je vais les chercher... A son retour il vint avec une cassette d'or et la donna aux chasseurs, les chasseurs poussèrent la cage mais c'était sans compter mes pouvoirs, je déchainai une tempête d'aether, celle ci bien que faible du fait de l'internement dans la prison mais elle la dérégla suffisament pour la rendre fragile un instant, je bondis hors de ma prison, j'attrapai un bandit par le col, puis je le lançai sur l'autre, quand il attérit dessus j'entendis "CRAC", le dandy m'avait lancé une hache de lave, je concentrai ce qui em restai de magie pour faire une "erreur de visée", il se prit tout dans la tronche, mais n'étais pas mort, je m'approchais et dis : - je cherche "Draco"... - oui...oui je vois, je sais qu'un groupe de personne cherche "Draco" aussi - où sont-ils !! rugit-je. Je dois les trouver je ne tuerai pas Draco seul. - Glp... dans une forêt ... au, au.... nord... - merci ... Il s'évanouit, je décidai de lui laisser la vie sauve, les braconniers me sautèrent dessus alors que j'allasi sortir, je els tuai rapidement et me dirigeai au nord... vers la forêt.. Voilà mon perso avec tout de changé, j'éspère que c'est bon. Pour la fc il ne me manque que l'image (c'est pour ça que j'avais mis celle là...) )
___________________ "Chercheur de petites bêtes" - rambo59310
"la citation est l'intelligence du pauvre" - Oscar Wilde http://zhatan.over-blog.com/ |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/10/2008 Grade : [Sorcier] Inscrit le 26/08/2003 | Envoyé par le_gentil_killer_de_mage le Jeudi 29 Juillet 2004 à 16:16 Voilà le changebrume qui ce transforme en dragon dans l'histoire :
Tadaaaaaaaaaaaaa !
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