Magic : The Adventure

Je me baisse pour éclairer la paille avec mon sort.
Je tâte un peu et essaye de reconnaître quel liquide c'est.
Ce qui est sûr c'est que ça n'a pas l'air d'avoir une couleur particulière, donc ce n'est pas du sang notamment.

En fait je pense que c'est un liquide, mélangé à la poussière par endroits.

Instinctivement je rapproche ma main de mon nez pour voir quelle odeur ça a. Est-ce que je vais devoir le goûter aussi ? OHHH ! En fait pas besoin, je crois que j'ai reconnu ce que c'est.

Hum. Vous sentez la légère odeur désagréable qui traîne ici ? En fait ça vient de ce liquide. Il a dû y avoir des prisonniers ici avant nous, et on y a été mis sans que le lieu n'ait été nettoyé entre-temps. Ils devaient être nombreux pour qu'il y en ait autant qui n'a pas séché, ou alors c'est parce que l'air est trop humide malgré les fenêtres.

[hrp]Wouhou, double crosspost, sans conséquence heureusement.[hrp]

C'est à ce moment que la porte cède. Je me redresse alors.

Bravo Mumur ! J'espère maintenant qu'on trouvera comment on s'est retrouvé là.

Je penses à ce moment-là (de manière condescendante*) : Enfin je n'en attendais pas moins, ce n'est pas comme si la porte était blindée non plus. Dès lors que la serrure est devenue défectueuse grâce à Archel, c'était plié.

* Niaryu ne veut pas spécialement être ou avoir l'air condescendant, mais parfois ça revient, c'est dû au milieu culturel où il a grandi chez les soratamis.

(HRP ANNONCE)
Je serais absent à partir de demain (mercredi) jusqu'a dimanche (inclus)
(END HRP)

Je rouvre les yeux au son de la porte cédant sous l'assaut de Murmure et me redresse, ayant pu reprendre un peu de forces.

Bien! Il ne nous reste plus qu'à faire sortir Ahès, la jeune femme et... Havor -c'est bien comme cela que Murmure vous a appelé?- de leur cellule. Allons voir si des clés ou quoi que ce soit d'autre traine dans le coin.

Je sors de la cellule et me dirige vers ce qui ressemble le plus à une porte (garder les clés à l'autre bout du couloir irait à l'encontre du sens pratique) en faisant attention à l'endroit où je mets les pieds dans la pénombre. Je tente de concentrer un peu de mana dans le creux de ma main pour vérifier si le blocage de la magie ne touchait que les cellules, ou si le bâtiment entier voire le plan pouvaient être concernés.

Quelle est la disposition des lieux dans le couloir? (Tout droit, un virage, des meubles...?)
Puis-je utiliser de la magie?
Que trouvè-je en arrivant proche de la porte? La clé de la délivrance pour nos amis? Notre équipement? Rien du tout?

[Hrp] moon : pas glop[/hrp]

Bien joué Archel !

Le 21/06/2016 à 13:53, ArkanaRavneik avait écrit ...
Quelle est la disposition des lieux dans le couloir? (Tout droit, un virage, des meubles...?)
Puis-je utiliser de la magie?
Que trouvè-je en arrivant proche de la porte? La clé de la délivrance pour nos amis? Notre équipement? Rien du tout?

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          | -> extérieur des cellules
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C'est pas à l'échelle, mais ça représente la disposition des cellules, avec à droite une porte menant vers l'extérieur.
En ce qui concerne la magie, même hors des cellules, c'est toujours pareil.
L'intérieur de la pièce comportant les cellules ne comporte rien d'autre que les cellules. Si vous traversez la porte, vous parvenez à un escalier menant au rez de chaussée (sachant que vous êtes au sous sol, comme vous l'avez déjà remarqué), dans une pièce qui semble être une cuisine-salle à manger. Pas forcément très entretenue, mais contenant tout de même nombre de vivres.
Hormis les portes des cellules en elles-mêmes, les portes d'accès aux différentes pièces ne sont pas fermées à clef.

Enfin, Vu la facilité avec laquelle vous êtes sortis de votre cellule, vous pouvez déverrouiller celle de Ahès, Havor et de la jeune femme avec la même aisance. 
 

Je me glisse hors de la cellule et voit Murmure se diriger vers la sortie.
Contrairement à lui, je m'arrête devant l'autre cellule et demande :

Archel, penses-tu pouvoir faire sauter la deuxième serrure ?

Comme vous tous, ma magie est gênée en cet endroit, et endommager la serrure de notre cellule m'a demandé plus de mana que ce que je pensais. Mais maintenant que j'ai pu en recharger un peu, je devrais y arriver, surtout que ces verrous ne sont pas si solides que ça en fin de compte. Attention de ne pas y laisser traîner vos mains!

Avoir récupéré du mana devait l'avoir galvanisée, car cette fois la détonation déforma si bien la serrure que le loquet tomba de lui même. Comme la première fois, elle ressentit le contrecoup de l'effort, qui n'aurait en temps normal été qu'une simple formalité. En espérant qu'elle aurait à nouveau le temps de reconcentrer un peu de mana avant que quelqu'un ne vienne s'aviser de leur santé! Leur "chance" semblait trop belle pour durer... si tant est qu'on puisse parler de chance en se réveillant emprisonné, débarrassé de ses effets et sans savoir pourquoi ou comment on est arrivé là.

Il y a un escalier par là bas, je ne distingue pas un bruit en haut de celui-ci. Pas d'attroupement de gardes à première vue, c'est déjà une bonne chose. Que fait-on pour cette jeune femme? Devrait-on l'emmener ou la laisser ici le temps de voir ce que nous pouvons récupérer à l'étage? Peut être n'est-ce même pas prudent de la déplacer? Enfin, ne m'y connaissant pas trop en soins, je m'en remets à vous sur ce volet.

Éventuellement si quelqu'un d'autre ne se sent pas pour aller en exploration, il peut rester avec elle ici le temps que l'on trouve une zone plus agréable où aller.

Puis en attendant une réponse, je jette un coup d’œil aux quatre autres cellules, en tendant mon bras à travers les barreaux de chacune d'entre elle afin de les éclairer avec mon sort de reflet scintillant se trouvant au-dessus de ma main. Pour celles dont la porte est ouverte, je tends ma main à travers la porte ouverte à la place de la tendre entre les barreaux.
MJ : est-ce que je vois quelque chose de particulier dans les autres cellules ? Sachant que je risque de ne pas voir des petits objets difficiles à voir (coincés dans des coins par exemple, ou sous un monceau de paille) car je ne rentre pas dedans (mais celui qui restera auprès de la femme risque de passer un peu de temps à tout mieux fouiller je pense, à supposer bien sûr qu'on ne parte pas tous).

[hrp]Eventuellement Moon tu pourrais rester avec la fille, pendant qu'on explore le RDC pendant ton absence ?[/hrp]

Je sors de ma cellule et étire mes bras.

Ah, enfin un peu plus d'espace, mais toujours moins qu'à l'extérieur. Merci Archel !

Ils parlent de la jeune femme :

Pour ma part : soit on part tous ensemble avec elle, soit je reste là pour l'instant à ses côtés. Et en passant, même si elle n'est pas très lourde, j'aurais peut-être besoin de l'aide d'Havor ou murmure si on se met à marcher longtemps...

Je m'adresse à Archel en particulier :

J'ai vérifié, elle n'a pas de choc physique particulier qui nous empêcherait de la transporter, il n'y a pas de risque à la prendre avec nous. Et elle sera toujours mieux sur mes épaules que dans la paille moisie.

Et en passant, même si elle n'est pas très lourde, j'aurais peut-être besoin de l'aide d'Havor ou murmure si on se met à marcher longtemps...

Murmure ? Je prononçais donc mal son nom depuis tout à l'heure ?
Après avoir jeté un coup d’œil dans une première cellule qui semblait ne rien contenir d'intéressant, j'entendis ce que dit Ahès à cause de la petitesse de l'endroit et du calme ambiant, bien qu'il ne soit pas tourné vers moi.

Si elle est transportable alors je suppose qu'il est mieux de rester groupés, on ne sait pas ce qui nous attend là-haut.

Dis-je en regardant dans une deuxième cellule, avant que Archel n'ait pu réagir.

Le 21/06/2016 à 17:08, Bluerain avait écrit ...
MJ : est-ce que je vois quelque chose de particulier dans les autres cellules ? Sachant que je risque de ne pas voir des petits objets difficiles à voir (coincés dans des coins par exemple, ou sous un monceau de paille) car je ne rentre pas dedans (mais celui qui restera auprès de la femme risque de passer un peu de temps à tout mieux fouiller je pense, à supposer bien sûr qu'on ne parte pas tous).
 

À part des squelettes et des morceaux de débris, pas grand chose 

Oh ! Havor, je ne t'avais pas vu. Il est bon de te revoir. Un coup de main pour sortir d'ici ? A moins que tu ne veuille observer encore un peu le paysage.

Moi aussi je suis heureux de te revoir mon ami. On va pouvoir s'en sortir, comme toujours

Bien! Il ne nous reste plus qu'à faire sortir Ahès, la jeune femme et... Havor -c'est bien comme cela que Murmure vous a appelé?- de leur cellule.

La jeune femme, appelée Archel, fit sauter la serrure avant même que Havor ne puisse répondre. Malgré l'affaiblissement magique qui pesait sur ces lieux, les autres semblaient tirer leur épingle du jeu. En sortant de la cellule, il ne manqua pas de lui parler.

Merci à vous. Mon nom est bien Havor. Vous êtes vous aussi une arpenteuse je suppose.

Il écouta la conversation au sujet de la prisonnière avec qui il partageait jusque là sa cellule.

Je suis d'accord pour que moi et Murmure la transportions. Notre priorité est de lui trouver de la nourriture et de l'eau, elle en a cruellement besoin, et la laisser ici me semble être une mauvaise idée. Si Ahès trouvait ensuite la force de la guérir, elle serait certainement de nouveau sur pied en un rien de temps.

Parfait, merci Havor. Maintenant, espérons que nous sortirons d'ici, le plus vite possible sera le mieux.

Archel, de Ravnica. "Havor", il s'agit bien d'un prénom d'origine ravnicane également non? Et oui, je peux transplaner en temps normal, comme nous tous ici j'ai l'impression. Si nous pouvons transporter cette jeune femme sans risque, alors il vaut sûrement mieux la faire sortir aussi, en effet. Allons-donc jeter un oeil en haut de ces escaliers.

Niaryu était revenu des cellules les plus éloignées de la porte, lesquelles ne contenaient apparemment rien de plus que les restes d'aventuriers qui les avaient précédés. Ils décidèrent donc de passer à l'étage supérieur. Archel ouvrait la marche -les femmes d'abord- suivie de Niaryu et Ahès. Murmure pris la femme à demi-inconsciente sur son dos et Havor fermait la marche, prêt à relayer Murmure.

Le court escalier débouchait dans ce qui semblait être une vaste cuisine, ou une modeste salle à manger. Bien que quelque peu en désordre, la pièce regorgeait de victuailles pour le plus grand plaisir de notre petite troupe. Pains de campagne enroulés dans les torchons la disputaient aux saucissons pendus aux placards, lesquels contenaient eux-même moult provisions.

*balaie la pièce du regard, puis en chuchotant de façon à ce que seul le groupe entende*

Il y a à manger pour un régiment là-dedans. Je ne sais pas qui habite ici, mais c'est peuplé et ils ne doivent pas être loin, la nourriture n'a pas eu le temps de se gâter. Au moins nous ne mourrons pas de faim. Voyons si nous trouvons de l'eau, ou si un puits à proximité peut se discerner par une fenêtre.

Deuxième. Troisième. Quatrième. À chaque fois, rien d'intéressant. Deux d'entre elles contiennent des squelettes, sûrement de puissants mages de ce plan à qui il manquait probablement pour pouvoir s'en sortir un surplus de puissance comme peut l'apporter l'étincelle d'arpenteur. Les pauvres ont dû avoir leurs pouvoirs complètement étouffés. À supposer bien sûr que cette chape d'anti-magie soit un phénomène persistant et pas temporaire. Ou alors ils n'avaient pas un pouvoir leur permettant de s'échapper. Sinon, il ne s'agirait que de prisonniers ordinaires à priori.

J'hésite à aller les fouiller, mais s'ils ont été dépossédés de leurs objets les plus intéressants comme ça a été le cas pour nous, je risquerais juste d'attraper des miasmes supplémentaires pour pas grand chose. Autant éviter.

Le reste de l'inspection ne révéla rien, juste de la paille et quelques débris. Pas même un petit reflet métallique pour se révéler à la lumière de mon sort ou de l'extérieur. Ni même une pierre de lune, qui se serait vu comme un miroir au milieu de la figure.

Je rejoins donc les autres, qui se sont mis à porter la femme toujours semi-inconsciente. Nous entreprîmes de monter les escaliers.

La jeune femme décida de passer en premier. Je me mis instinctivement derrière elle pour lui faire profiter de ma lumière, en la tendant à coté d'elle. Les autres nous suivent.

Une fois en haut, on tombe dans une pièce comportant une table et des victuailles. Je remarque aussi quelques torches éteintes fixées aux murs, mais à moins de trouver des allumettes, je ne peux pas les allumer.

Il y a à manger pour un régiment là-dedans. Je ne sais pas qui habite ici, mais c'est peuplé et ils ne doivent pas être loin, la nourriture n'a pas eu le temps de se gâter. Au moins nous ne mourrons pas de faim. Voyons si nous trouvons de l'eau, ou si un puits à proximité peut se discerner par une fenêtre.

J'attends alors une réponse d'un de mes compagnons d'infortune, tandis que nous entrons tous dans la pièce.
J'ai très faim et la vue de toute cette nourriture m'empêche de penser tout de suite au plan ou de voir ce que font les autres. Je me contente juste d'éclairer la nourriture présente pour faire un inventaire visuel.