Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mercredi 21 Décembre 2005 à 22:34 Elle se débat
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mercredi 21 Décembre 2005 à 23:04 Chapitre 5 : L’ouverture sur Xénotia
Lorsque le messager vint à annoncer un nouvel assaut des Malignios, le visage sombre et brumeux que Shuya qui traînait depuis des semaines déjà réapparut, gage de cette atmosphère étouffante, et des tensions environnante que la guerre avait emmené jusque là. Depuis des années, le même messagers venait apporter la même nouvelle, et l’obstination dont Serneth, le chef des armées de Malignions, faisait preuve, affligé la poignée d’humain qui tenait le campement avancé. Shuya s’y trouvait, contrairement à ses habitudes, il avait décidé, de prendre les nouvelles des hommes qui surveillés les frontières, trop souvent dérangé par le fracas des armes, le bruit de la charge, et les hurlements plaintifs que l’agonie humaine était capable d’extérioriser quand la souffrance s’emparait d’eux. Shuya savait pertinemment que sa place n’étais pas ici, mais le serment qu’il avait fais à Thirar, l’enfermais entre la dureté de la guerre et les responsabilité de gouverneur, qu’il devait tenir au Darshan. Thirar et son assemblée, constituais le haut lieu de la vallée de Vallania, et depuis de nombreuses années, subissait les attaques régulières de ces infâmes semi mortels qu’était les zombies des marais de Malignios. Vallania avait conclus, il y a treize années de cela, un pacte de mutualité, qui assurais la défense réciproque des deux provinces. D’une part, Vallania, étais protégé de l’invasion zombies, par les forces armées du Darshan, et d’autre part, le Darshan s’assurait la sauvegarde de sa population pénétré au plus profond par les épidémies, ainsi qu’une réserve de nourriture allant au delà des espérances de son peuple. Ce pacte garantissais l’alliance irréfutable entre Vallania, grand état des plaines de Celeaire, et Darshan, archipel des mers de Iortther. La tête serrée par ses mains, emplit d’une folie troublant ses habitudes, Shuya hurla au messager des jurons quand celui-ci prononça le mot « mort ». En effet, la nouvelle guerre qui opposait les morts-vivants aux forces des soldats de Vallania, ainsi que sa garde sorcière du Darshan, avait meurtri l’insouciance de certains commandants, dont les récentes nouvelles, avait annoncé la mort. Shuya se leva brutalement, renversant au passage lla cuirasse délavé qui lui tenait lieu d’égide en ces temps de guerre, il sorti de la baraque de commandant, et se dirigea en direction du centre du campement. Il brama d’un ton réprobateur « Rangez tous vos affaires, nous levons le camp ! ». Son intervention fut suivit d’un vacarme digne des plus grand fourneau de Volkän. Quand Shuya revint vers le lieux de sa décision momentanée, la baraque, il entendit une discussion entre deux gardien mage de Darshan : Premier gardien : C’est pas possible, on va encore reculé devant les force de Serneth ! Second gardien : Qu’est-ce que tu veux, nous sommes gouverné par un incapable… les décisions prisent ne sont jamais les bonnes ; et je m’étonne déjà que nous participions à cette guerres qui ne nous concerne point. Premier gardien : Il est logique que de l’argent au bénéfice de notre gouverneur, circule en échange de notre mort Second gardien : Oui, la corruption a été prouvé pour le Sénateur Krillark, et toutes l’assemblée a du être re-voté… c’est une honte, si les choses continuent dans ce sens, j’envisage de quitter l’archipel Premier gardien : il faudrait déjà que tu obtiennes la fin de ton mandat, et je crois qu’il nous reste cinq bonnes années avant de partir des forces du gardiennage de Darshan. Second gardien : Je déserterais s’il le faut… Premier gardien : Chut…j’ai entendu du bruit Contrairement à ses habitudes, Shuya, envahit d’une colère néanmoins impassible à la vue de son visage pure, avait émit un grognement quasi-inaudible, mais qui n’étais pas passé inaperçu, à l’ouï du gardien surentraîné des forces de Darshan. Il décida de ne pas révélé l’identité de l’espion, et préféra retourner à son baraquement, l’esprit déjà assez tourmenté par les dernières nouvelles. Quand il fut à hauteur du cantonnement, ressemblant plus à un taudis aménagé envahit par la poussière, et dont les toiles déchirés étaient tachées par le sang des assassins mort-vivant qui par tant de fois avait atteint cette partie du camp, qu’à un pavillon militaire réservé au dirigeant du campement ; Il vit une lueur faible, à l’intérieur de l’habitation. Se précipitant par curiosité, pour la première fois, une esquisse de sourire fut visible sur le visage du Capiston de Darshan. Shuya : Thirar ! Mon ami Thirar : Heureux de te revoir Shuya, mais ce ne sont pas de bonnes nouvelles qui m’amènent en ce lieu trop souvent fréquenté Shuya : Sont-ce les obsèques de Fratzurne, qui auront lieu demain, qui auraient provoqué ton déplacement et celui de tes hommes ? Thirar : Non, bien que ce fait m’attriste au plus haut point, la perte d’un général si précieux est une chose, mais j’ai perdu bien plus qu’un Navarque dans la mort de cet homme…j’ai perdu tout comme toi, un véritable ami. Une larme coula le long du visage de Thirar déjà éraflé par le frottement du casque. Thirar : Non je viens t’annoncer qu’une Ethrace a été dérobé. Mais ce n’est pas tout…. Shuya : Comment ?! Encore une ?! mais….mais….comment mes Hadrez, mes gardes les plus loyaux, et les plus puissant que j’ai ont-ils put laissé faire une chose pareille. Thirar : C’est justement la deuxième raison de ma venue, tes soit disants loyaux Hadrez on fuit, j’ai demandé à mes hommes de les suivre, ils semblerai qu’ils soit retourné dans leur berceau originel, les tombes Malignios Shuya fut tout à coup épris d’un sentiment de haine, au souvenir d’une mise en garde faite par son père lors sa nomination au poste de gouverneur, ou celui-ci lui racontait l’histoire des Hadrez, en soulignant avec insistance, la morale changeante de ces mages quelque peu différent. Il fut clair à ce moment, que tout avait été coordonné. Quand Serneth lui avait laissé la vie sauve, le jour du vol de la première Ethrace, c’était uniquement pour qu’il fasse appel aux Hadrez. Les Hadrez était enfermé jusque là dans les prisons de Darshan, et Serneth savais pertinemment que s’il venait a être libéré, leur promesse d’allégeance envers Vallania et Darshan ne serait qu’un mensonge de plus, dans l’unique but de retrouver leur créateur : Serneth. Shuya reconstitua dans sa tête tous les événements accomplies ces dernières années, de son avènement, jusqu’au début de la guerre contre les Morts-vivants, en passant par la découverte des trois Ethraces. La tête basse, obscure, de toute évidence investit par des pensées démentielles, Shuya s’effondra au sol, laissant échapper au moment de sa chute, le grand bruit du fracas de son armure. Quand il se réveilla, personne ne se tenait devant lui, seule une lettre a demi brûlé, le sceau de Darshan encore intact, qui se tenait sur son armure, qu’un soldat avait du disposer à côté pendant son sommeil : « Cher Shuya, Tes absences auprès de ton peuple ont causés un grand désarroi dans l’assemblée, tous parle de ta mort prochaine sur le front. Je ne pourrai qu’être bref, car il devient de plus en plus difficile de te faire communiquer des lettres ; je voulais te dire que je me rend sur Vallania, pour m’assurer de la présence des deux Ethrace, c’est notre dernière chance désormais. Je te l’apporterais, en compagnie des Hadrez. Respectueusement, Fratzurne » Il avait donc vu juste, et la trahison des Adrez avait donc entraîné la mort de Fratzurne. Au moment ou il se levait, une porte interplanire s’ouvrit soudain, laissant apparaître le corps imposant d’admiration, d’un étranger au beau milieu du pavillon. Le Juge : Salut à Toi Shuya Shuya : Qui es-tu, je ne te connais pas ! Garde !!! Garde !!! Le Juge : Cela ne sera pas nécessaire, affirma le juge, en s’adressant aux hommes qui avait envahit la baraque. Je serais bref, mais j’ai besoin d’être seul avec toi Shuya Shuya : Qu’il en soit ainsi, mais j’espère que la notion du temps qui est la tienne correspond aux normes de mon peuple, car nous devons partir au plus vite. Mais déjà, comment connais-tu mon nom Le Juge : Je connais bien plus de chose que tu le pense, je connais des informations dont tu ne soupçonnerais même pas l’existence Shuya : Voila qui est bien prétentieux, pour quelqu’un qui parait aussi sage qu’il le prétend ! Le Juge : Le prétention relate de celui qui écoute, et non de celui qui énonce, mais ma venue ne concerne en aucun cas, la prétention d’un être, ou non. Je suis venu pour te faire une proposition intéressante, disons même très intéressante Shuya : Je t’en pris, je crois que j’en ai entendu assez aujourd’hui pour pouvoir supporter cela Le Juge : J’ai un grand projet sur mon plan, et près de dix plans différents vont s’affronter, dans un tournoi épique, ou les combats aussi féroce que brutal laisseront place à un plan gagnant, remportant un lot dont les plus grands ne pourrai même contempler. Ces trésors sont convoités par absolument tous les plans, et la présence de ton plan est plus que souhaitée. Shuya : Ta proposition, aussi alléchante soit-elle n’est, je le crains, pas vraiment la bienvenue, par les temps qui courent. Le Juge : Je te demande de bien réfléchir Shuya, je connais les difficultés à gouverner que tu as… Shuya : Comment osez-vous !! Le Juge : Regarde les choses en face, si tu remporte le tournois, tu reviendra victorieux dans ton pays, et le pouvoir que te confèrera l’immense puissance de la récompense acquise t’assurera un place à vie au Darshan, tu vaincra avec facilité Serneth ! Sans parler de ta revanche contre les Hadrez ! Shuya : Tu es rudement bien informé pour un étranger… je te demande un temps de réflexion… Le Juge : Je suis persuadé que tu prendras la bonne décision, mais laisse moi te dire une chose, ta participation aux tournois comporte deux conditions. D’une part, tu ne pourra emmener avec toi que 100 000 êtres, pas un de plus. Et d’autres part, pense à apporter avec toi le bien le plus précieux que ton peuple possède. Shuya :… Le Jugeernière chose, je reviendrai dans trois jours exactement, prend ta décision d’ici là. Et prépare tes hommes si ta décision correspond à mes attentes. Shuya : Je vais réfléchir à ta proposition étrangers, soit, à dans trois jours. Le Juge s’éclipsa de la même manière qu’il était apparut. Shuya demanda sur le champ un conseil réunissant les grands généraux du Darshan, ainsi que Thirar. Leurs discussions s’étendant sur des sujets divers, sans pour autant intéresser Shuya, l’esprit éperdument fixé sur les révélations de cet étrange personnage, décida de faire part aux autres membres du conseil, des informations qu’il avait entendu il y a de cela une heure. Il leur expliqua en détail la venue du Juge, et d’un ton convainquant, appuya le fait que la victoire dans ce mystérieux tournois, pouvait leur assurer la fin d’une guerre tant convoité, ainsi qu’un pouvoir et une influence, s’étendant même sur d’autres plans. Second Général : Mais tout cela n’est pas trop risqué Shuya ? Shuya : Le risque est un terme trop faible pour déterminer notre présence ici, à quelque lieu des forces ennemis ! Non j’insiste, Il faut participer à ce tournoi Thirar : Mais si nous enlevons 100 000 hommes aux forces, combien resteront pour surveiller les frontières ? Premier Général : Assez pour attendre Ton retour Shuya, du moins, je l’espère Shuya : Non, j’ai une meilleur idée, regroupez-vous tous au Darshan, et préparez une armée avec ce qu’il reste d’homme sur les archipels d’Avern. Vous serez en sécurité, et j’espère ne pas être long. Je vais emmener mes forces spéciales pour ce tournoi, et je compte bien le remporter, avec Thirar Thirar : Non Shuya, ma place est auprès de mon peuple, je ne veux pas passer pour un lâche auprès de tous, je serais sur le front s’il le faut, et j’attendrai ton retour, les armes à la main. Second Général : Soit, je resterais au Darshan pour constituer une armée, en attendant que tu reviennes. Premier Général : Et pour le bien le plus précieux Shuya : Je ne vois que la dernière Ethrace, qui soit à la hauteur des avances de ce curieux personnage Second Général : Vous n’y comptez pas ! Sans lui, nous sommes perdu, la cité de Vallania n’aura plus de protection ! Shuya : Si les espions de Serneth ont réussi à mettre la main une fois déjà sur l’un d’entre eux, il pourront recommencer leur « exploit » autant de fois que nécessaire pour mettre la cité à feu et à sang. De plus, si je l’emporte, ils seront dans l’incapacité de nous la voler. Thirar : Alors le destin du plan de Xénotia dépend de toi Shuya, nous avons tous confiance. Shuya : Je te remercie Thirar, mais j’aurai préféré que tu viennes avec moi Thirar : Je resterai aux côtés des miens. Ma décision est prise Shuya : Bien. Général. Retournez au Darshan et ramenez dans les délais les plus bref, toute ma garde. Quand à vous, second général ; Fouiller tous nos camps dans les environs, et rassemblez tous les hommes valides, en états de combattre, et emmenez-les sur Darshan ! Quand à moi, je vous attendrai dans mes quartiers. Premier et Second Général à l’unisson : Oui, Shuya, notre maître. Les trois jours s’écoulèrent, et les généraux rassemblèrent comme prévu 100 000 hommes robuste, et suréquipé, prêt à se rendre sur Arena, le plan du Tournois, entre autre parmis eux, des sorciers de l’académie d’Anozikue, des experts voyants. Le Juge : Salutation Shuya, a tu réfléchis ? Shuya tout étonné, n’avais même remarqué la venu de cet étranger, et sembla peu déconcerté néanmoins. Shuya : Oui ! Je viens, mes armées sont prêtes. Le Juge : Parfait, Veuillez me suivre, et n’oubliez pas votre bien le plus précieux ! A ces mots, Shuya lança un cri qui s’entendis sur toute la contré de Darshan, et tous les hommes entrèrent dans la porte planaire… Le Juge : Bienvenue à Aréna mes amis ! Désormais, il n'y a plus de chemin retour, vous resterait ici jusqu'à la mort ou la victoire selon votre destin. Les combats débuteront d'ici quelques jours, en attendant, nous vous apporteront régulièrement à manger et à boire. Shuya était anxieux à l’idée de devoir affronter les meilleurs hommes de 10 autres plans, mais à la fois confiant de ces hommes, qui jusque la, n’avait nullement faillit à leur tache.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/08/2016 Grade : [Nomade] Inscrit le 16/12/2004 | Envoyé par leslivo14 le Jeudi 22 Décembre 2005 à 13:20 J'aime bien le nom: Shuya...
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Lundi 26 Décembre 2005 à 01:51 Joyeux noël les ptits créatifs!
Pour la peine voici 70 nouveaux scans touts chauds! Commentez sur tout ce que vous avez envie de dire Au fait! Talden_Aether, à quand la correction? Et puis pisqu'on est toujours aussi fou, voici la suite de la storyline : Chapitre 6 : L’ouverture sur Phyrexia La nuit permanente qui régnait sur cet empire de glace, accentuait les faces repoussantes des combattants putrides qui, dans leurs désirs de vaincre, était obligé de rester des années et des années à se forger l’âme de combats efforcés. Les longues fumées noires que l’on distingué du haut de cette étage de Phyrexia cachait les visages brumeux des êtres qui s’y tenaient. Cette fumée noire, corrosive et nauséabonde rendait l’atmosphère encore plus terrible. Son odeur s’épandait sur toutes la surfaces de la sphère planaire. Et ils aimaient ça, cette ambiance plus que funeste qui régnait dans cet amas de monstruosité, plaisait à ces soldats ; ils étaient fier du monde que Yaugzebul leur avait forgé. Celui que tous les phyrexians adulaient avait mis tant d’année à détruire la surface de Phyrexia, à en rompre toute l’âme et à ruiner la moindre parcelle de flore ou de Vie. Le long des longues allées métalliques qui grouillait, de nouveaux abjectes combattants, prêt à servir cette innommable armée, était pour la plupart en train de se mutiler, prouvant par la même occasion leur courage auprès des leurs. De sordides formes insensé, amalgame de métal et de peau interposé, produisait sans relâche, de nouveaux soldats, qui suivrait le même rituel, et viendrai s’ajouter aux nombre incommensurable déjà présent. Ces machines, semi vivante pour cause des implantations qu’elles avaient subit, était corrodé, et ankylosé pour la plupart. La seule chose que Ownëd demandait à ces machines, c’était de produire, encore et toujours. Et la vitesse à laquelle elles effectuaient ce travail, allait même jusqu’à satisfaire le regard de fer de Ownëd. Ce dernier avait pris le contrôle des armées phyrexianne, et du nombre colossale de soldats que celle-ci représente. Son large buste obscurci par les brûlure, les mains rongés par la cendre, et le visage rogné, il se tenait là, devant ce spectacle, à la fois affligent, et merveilleux. Son armure, des meilleurs, le tenait garant d’un empire. Cette armure, était le symbole de sa toute-puissance, et aucun ne la contestait pour plusieurs raison, sa cuirasse étant l’une d’elle. Sa voix rauque et dure, hurlait des paroles incompréhensible, mais suffisante pour que ses piètres esclaves comprennent les nouvelles tâche qu’il devait accomplir. Depuis des années déjà, Ownëd, avait l’intention de châtier Dominaria, pour venger l’affront fait à son oncle : Yaugzebul. Il avait juré d’exterminer ces êtres qu’ils nommaient d’infimes, et de prendre enfin sa revanche, sur les peuples inférieurs ; et emmènerai ainsi son plan, à la fleur du prestige. Le Ciel sombre, comme à son habitude, ne troubla pas un instant Ownëd, qui, étonnement, prit d’un élan soudain, frappa en plein visage un de ces serviteurs suite à l’annonce de l’arrivée d’un conseillé dans l’étage où se trouvé le commandant de bataille. Il avança, la main à l’épée, et tua tous les gardes sur son passage comme emplit d’une colère, qui avait troublé son seul moment de répis psychique, la réintégration. Ce système lui avait été appris il y a fort longtemps, lorsque Yaugzebul pouvait se tenir encore devant lui, et, il servait à se libérer de toute pensée, méthode de concentration qui avait poussé Ownëd à apprendre des rudiments de magie noire, chose qu’il ne regretter plus aujourd’hui. Sa soif de connaissance l’avait poussé à se surpasser dans ces domaines, mais hélas, sa formation n’était pas terminé quand Yaugzebul décida de partir en guerre, hors de Phyrexia. Il avait continué à pratiquer la technique de la réintégration, forme d’oubli temporelle, et de vide inconscient. Mais dans le cas présent, on l’avais intéromppu dans un moment clé de cette transe. Phyrexia etait une large sphère, laissant place en son intérieur, à de nombreuses sphère de taille moindre, chacune représentant une importance croissante, à mesure que l’on s’enfonçait dans le plan. Tout n’étais que métal et poussière, la seule vie que l’on pouvait y voir n’étais que la charogne fraîchement morte, que les guerriers dévorait au plus tôt. L’air, bien qu’irrespirable, recelait divers produit enrichissant, du à l’émanation magique du centre du plan. En effet, le centre, le noyau, l’essence même de phyrexia avait été constitué lors de sa construction, était destinée à influer sur tous les êtres qui y vivrait…mais les dernière parcelle de son créateur, avait été soigneusent corompu par Yaugzebul, lors de son ascension en Haut Lieu de Phyrexia. Lorsqu’il fut enfin débarassé de sa colère soudaine, qui l’éprenais de plus en plus en ces temps trouble, il remarqua la présence d’un morceau métallique, dans son torse. L’objet ne ressemblait pas à une arme, mais plutôt à un artefact de forme conique, et hérissé de dents tranchante qui, d’ailleurs, s’était enfoncé dans l’amure d’Ownëd. Après avoir retiré soigneusement les bout de métal de son corps, ressemblant plus à de la peau en charpie, il regarda l’objet se trouvant dans sa main avec fébrilité. Il était si beau, si précieux… il savait pertinemment que tous ces conseillés se rueraient dessus, si son existence fut révélé…mais son avidité, et son désirs de demeurait le régent des phyrexians l’en empêchait. En effet, il gardait ce secret depuis que Yaugzebul l’avait laissé dans cet étage de Phyrexia, lui promettant un avenir sans égal, lui assurant que son épée transpercerait plus d’un, et qu’il serait le grand suzerain de Dominaria…avait-il tort ? nul ne le sait, mais Ownëd était persuader que les paroles de son mentor, qui résonnait encore, de sa voix impénétrable, au plus profond du plan, comme un cri de désespoir, aux souvenirs des défaites phyrexianne. Ownëd : Que faites-vous la Arzennh !! Dehors Arzennh : Ownëd, je viens t’annoncer, en tant que conseillé premier, que la nouvelle légion est prête. Ils attendent tes ordres Ownëd, leur soif de sang commence déjà à les pousser à se manger eux-mêmes…. Ownëd pris la chose d’un ton amusé, et se hâta en direction de la nouvelle légion, une légion bien particulière, car il s’agissait de la première légion doté d’une intelligence normal, créé par les Créafact de Phyrexia. Lorsqu’il s’avança près du seuil du soldat qui se tenait devant lui, une aura de détresse, comme si l’on lui remémoré les temps horribles et douloureux qu’il avait vécu, remonté jusqu’à sa mémoire consciente, créant un malaise au jeune commandant. Dès qu’il se releva, il guetta le reste de la légion, ressemblant plus à un amas de cadavres métallique alignés. Arzennh : Yaugzebul est intervenu pendant ta… pendant ton « entraînement » … il a demandé à te voir. Ownëd : Je sais très bien ce que je dois faire, et je te prierai de ne pas faire de commentaire ou de conseil à ce sujet Arzennh Arzenh : Mais en tant que conseillé…je pensais qu… Ownëd : Ta place de conseillé est bon pour les autres, et pour les Créafact ! Tu ne connais rien à la guerre Arzennh, alors ton silence sera, je le crois, bien plus en vigueur dans de telles situations. Arzennh se tut et parti aussitôt, peiné de ne rien pouvoir répondre devant tant de charisme s’émanant de Ownëd, satisfait une fois de plus de pouvoir se vanter au grand jour. Ownëd se précipita au niveau de l’étage le plus influent par Yaugzebul sur Phyrexia et son air anxieux ne laissait pas présager de bonnes nouvelles. Lors de la dernière entrevue, ou du moins la dernière et furtive apparition de Yaugzebul, sa voix grondante s’était faite entendre dans bien des étages. Une fois arrivé, Ownëd s’agenouilla, et prononça quelque mot à vois basse… Ownëd : Vous vouliez m’adresser la parole, oncle ? Yaugzebul : Ownëd mon neuveux, si je vous ai fait venir, c’ests que le jour est venue, je crois qu’elle est enfin terminée. Ownëd : Vous…vous pensez vraiment Yaugzebul : Je crois que ton travail à porté ses fruits, tu est désormais prêt, je le sens, du peu de chose que j’arrive à ressentir… Une lueur inhabituelle se fit sentir dans le regard noire, et sombre de Ownëd….comme si ses yeux reflétés l’espoir assouvie, le rêve exhaussé, la joie de l’objectif atteind. Dans ses yeux rouge tel le sang, défilait le souvenir des cadavres passé, et le présage des cadavres à venir. L’objet si précieux, dont nul ne connaissais l’existence, et dont nul ormis Yaugzebul, et Urza connaissais la signification, ou du moins l’avais connu. D’un poing sérré, il força le long de tous ses muscles, activant memes les plus faibles, dans les recoins de ses bras a demi-métalliques. Le rictus perpetuel que l’on lisais jusqu’à maintenant sur son visage, se transforma peu à peu en sourire, à la fois moqueur et narquois, mais reste chose étonnante. Ownëd : Bien . j’attend ce moment…depuis…. Yaugzebul : Tu sais ce que cela implique… ? Ownëd : La signification….enfin…. Yaugzebul : Ce que je vais te dire, tu ne le conterais pour personne, le néant sera ta seule réponse quand on t’en parlera, et cette objet dois rester sous ta protection. Ownëd : Je ne faillirai pas à ma tache, mais je veux connaître le sens. Pourquoi. Yaugzebul : sors la, sors la, tu comprendra mieux. Bien qu’il fut impossible d’imaginer la posture et le visage de Yaugzebul, car étant immatériel, on pouvait supposer qu’un sourire de fierté envahissait les deux phyrexians. Ownëd défit légèrement son armure, et en sorti une étoffe. Il la prit soigneusement, et en retira le léger tissu d’une manière prompte et délicate. Enfin, il retira l’enveloppe du mystérieux objet, et il apparut à ce moment une grande lumière. Une lumière lourde et intense qui s’échappait de l’artefact. Ownëd prononça une légère incantation, et la lumière cessa peu à peu, jusqu'à laisser une vue globale et clair de l’objet qui a présent était visible dans son intégralité. Il s’agissait en fait d’une sphère translucide présentant des motifs noire étrange sur sa paroi extérieure. Une forte source de lumière était réuni en son centre, et on sentait un mana puissant dans son intégrité. Yaugzebul : Je suppose que tu l’a en main, je ressens quelque chose. Alors voici, tu as devant toi L’Orbe de Synthe. La lumière dans son état le plus pur, dans sa nature la plus saine, dans sa forme la plus explicite. Ownëd : Mais à quoi sert-elle ??? Yaugzebul : Ses pouvoirs sont pour le moins confus, et ta première mission sera de révéler tous les secrets qu’elle cachait, qu’elle cache qu’elle cachera. Ce que je peux te dire, et ce sont les seules informations que j’ai réussi à avoir, en mon temps, c’est que cette objet te permettra d’enfermer de la lumière. Ownëd parut déçu, mais demanda malgré tout : Ownëd : Mais, que voulez-vous dire par, « enfermer de la lumière » Yaugzebul : Avec cela, tu pourra en fait, prendre et conserver l’âme de quelqu’un, ou du moins toute la partie consciente de celui-ci. Ownëd plus qu’entièrement rassuré, insista Ownëd : Mais…mais cela marche sur tout le monde, quand je veux ? Yaugzebul : Non seulement son fonctionnement reste pour tous une impasse, mais en plus, il est déjà arrivé, que l’objet se retourne contre son créateur. C’est à utiliser avec extrême prudence, mais je le crois essentiel pour ton invasion sur Dominaria, mais de plus, la réelle utilité que je soupçonne de l’objet, c’est…. Ownëd : Voulez-vous insinuer, que vous…enfin… Yaugzebul : Tu vois juste mon jeune neveux, je crois effectivement, et tout me laisse panser que cette objet est capable de multiplier mon esprit afin de me matérialiser tout en gardant un autre moi, immatériel. Ownëd : Mais ou avez-vous obtenu cette objet ? Yaugzebul : Je préfère ne pas me prononcer sur cela, il se pourrait que j’ai du être obligé de tuer mainte et mainte fois, pour qu’aujourd’hui, elle se trouve en ta possession. Ownëd : J’ai longuement observé l’Orbe, et une certaine forme me laisse penser qu’il ne faut pas la toucher pour que ses pouvoirs fassent effet, car les formes sont totalement symétriques et courbé de la même manière, ce qui me fait étrangement pensé aux Plate de tenue. Yaugzebul : Une fois de plus tu vois juste, mais pour son utilisation simple, il suffit de la laisser dans l’air, sans appuie, et de tendre la main…mais après, je ne pourrai te guider plus longtemps, mes savoirs s’arrête la, et c’est seul que tu trouvera réponse à tes énigmes. Maintenant je te propose de tester l’un des seuls pouvoirs que je connais grâce à l’Orbe. Ownëd laissa la mystérieuse Orbe dans le vide sans aucun appuie, et exécuta les ordres de son oncle à la lettre, et tendit finalement le bras vers la sphère tenant comme par lévitation, dans le vide. À ce moment, un grand jet de lumière envahi l’endroit ou Ownëd testait son nouvel objet, sa nouvelle arme. Puis instantanément, il fit noir. Phyrexia était éternellement plongé dans l’obscurité, mais jamais dans le noir complet, chose qui se passait exactement au même moment. Ownëd, pris alors la sphère, et dans son grand étonnement, vis devant lui une grande silhouette. Un grand homme, au regard gêné de la situation, et de son apparition soudaine, dans la nuit totale. Le Juge : Bonjour à Toi Ownëd, commandant de guerre Phyrexian. Ownëd cacha l’orbe au plus vite dans son étoffe et la rangea soigneusement . Ownëd : Qui es-tu et que veux tu ? Le Juge : Je suis le représentant de mon plan : Aréna. Et je viens pour te proposer une offre non-négligeable. Ownëd : Je n’ai pas à perdre mon temps avec des étrangers comme toi, mais comment es-tu arrivé ici ?? Le Juge : J’ai tout simplement ouvert un portail interplanaire, rien de plus facile. Ownëd : Saurais-tu reproduire ceci, pour aller sur d’autes plans Le Juge : Je ne viens pas pour t’aider à conquérir Dominaria. Mon offre est la suivante : sur le Plan d’Aréna qu’est le mien, nous organisons un tournoi mémorables rassemblant dix plans qui se battrons à armes égales et dont le vainqueur remportera le trésor le plus somptueux qui soit . Bien sûr, ta victoire te permettrai de mettre la main sur l’armée de Dominaria et faciliterai nettement son invasion Ownëd : Je viendrais, dis moi quand et comment je m’y rend. Le Juge : Je vais revenir dans trois jours exactement, rassemble une armée de 100 000 êtres et attend moi ici en compagnie de ton armée. Et surtout, emmène avec toi l’objet le plus précieux que tu détiens, il constituera le prix de ton adhésion. Ownëd : Qu’il en soit ainsi, je serai prêt d’ici trois jours. Et le Juge, satisfait de la décision de son interlocuteur, s’en alla dans son portail inter-planaire. Une longue discussion entre Yaugzebul et Ownëd suivra la venue du Juge, Yaugzebul obligea son neveux à donner son Orbe en tant que bien précieux, assurant qu’en gagnant le tournoi, il récuperrait bien d’avantage, et que de toute façon, leur victoire était assuré, au vue de la putride et gigantesque armée que les Créafact avais produit jusque là. Les trois jours s’écoulèrent très rapidement, et Ownëd rassembla son armée, postée tel des statues devant l’endroit convenu, attendant les ordres. Ownëd, le regard sombre, l’Orbe de Synthe à la main, armure parée, fier, près à combatttre. Le Juge apparu dans les délais qu’il avait annoncé, dans le moment précis qu’il avait décrit. Le Juge : Me voila content de votre décision, je vous laisse desormais passer le portail… Ownëd hurla dans son jargon incompréhensible un ordre, et une grande agitation boulversa les soldats, tous se mirent en chemin vers la porte inter-planire du Juge. Le Juge : Bienvenue à Aréna mes amis ! Désormais, il n'y a plus de chemin retour, vous resterait ici jusqu'à la mort ou la victoire selon votre destin. Les combats débuteront d'ici quelques jours, en attendant, nous vous apporteront régulièrement à manger et à boire. Les phyrexians était extremement sûr d’eux, et nul ne doutait des capacités de l’armée. Dans un coin, Ownëd était pensif, et de toute évidence, ce qui le tourmentais encore et toujours, c’étais la fameuse Orbe de Synthe, quand à ses utilités, et quand à se que le Juge lui avait dis, en parlant du lôt final…. mais pour le moment, il n’était pas en sa possession, et il savais bien qu’il allait devoir se battre très bientôt, et que le sang coulerai pour qu’il découvre le résultat de son acharnement. _________________ [ Edité par Mimura le 26 déc 2005 à 04h15 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 26/07/2020 Grade : [Divinité] Inscrit le 10/07/2005 | Envoyé par STAG le Lundi 26 Décembre 2005 à 13:22 Est-ce que tu crois que c'est une heure pour poster une SL ?? hein ??
*se marre* Vraiment très bien tous les scans, y a pas trop trop de carte fuamaaaaayyyy ça va... =P J'aime particulièrement, le Cantique selon Gwendo (pour nom, tu t'es pas foulay ^^ =P), j'adore l'état de transe (gros gros ça...) et le punisseur Dezint vala bah continue dans ce sens, tu y est presque !!
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 07/05/2006 Grade : [Nomade] Inscrit le 30/11/2003 | Envoyé par MaGicKiLl3r le Lundi 26 Décembre 2005 à 14:43 c'est toujours aussi bien qu'au debut, j'aime particulierement le troll gangreneux il doit etre pas mal en draft
___________________ Le forum de Yousarea, le site est en preparation ...
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/09/2012 Grade : [Nomade] Inscrit le 22/04/2005 | Envoyé par Keeki-jeeki le Lundi 26 Décembre 2005 à 21:08 Brisure devrait préciser "quand il y a au moins Y marqueurs "faille"". S'il y en a plus, l'enchantement n'est pas détruit.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Lundi 26 Décembre 2005 à 23:50 Je sais, sauf que le seul moyen de faire en sorte qu'il y ai plus de marqueur « faille » que prévue c'est d'utiliser le Graveur sur vide, autrement c'est impossible car même si l'effet qui mes les marqueur « faille » se répéte plusieur fois, les marqueurs se mettront les un aprés les autres et quand il y en aura autant le sceau se brisera automatiquement, même s'il avait prévue d'en recevoir d'autre.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 03/03/2012 Grade : [Druide] Inscrit le 05/07/2003 | Envoyé par Syndelfeniks le Mardi 27 Décembre 2005 à 11:13 Tu carbures Mimura, autant en quantité qu'en qualité ! J'aime bien l'image du sang des innocents
J'adore tes double terrains, très bonnes idée, mais par contre, je trouve l'illustration de certains terrains de base assez moche... En tout cas, tout semble vraiment corrélation, vivement la suite du bloc !
___________________ fire-dusk.com : venez voir notre site de jonglage de feu !!!!
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mercredi 28 Décembre 2005 à 00:11 Moi? Une machine? Meuh non
Allez voila 70 nouveaux scans! Commentez à fond bande de râ
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 26/07/2020 Grade : [Divinité] Inscrit le 10/07/2005 | Envoyé par STAG le Mercredi 28 Décembre 2005 à 04:29 Aller, voici la Suite de la Storyline, que je prend toujours autant de plaisir à rédiger
Chapitre 7 : l’Ouverture sur Infer Dans les longues nuits perpétuels d’Infer, quelques êtres qui peuvent entrevoir le ciel rouge parsemé et brumeux reflétant un semblant de ciel rougeâtre, et qui de son pourpre bourgnon, transparaît les tristes âmes des démons qui l’habitent. Les ruines égrillardes que les démons infernaux ont faient depuis longtemps un passe temps vénérable, donnent un aspect pernicieux au paysage déjà morne. Les habitants d’Infer, démons pour la plupart, sont dotés d’une force égalant probablement leur allure lugubre, pourtant fort apprécié dans les contrées démoniaque que Infer abrite. Leurs corps trapus, enrobé d’une peau grenats fort robuste, leur tien office d’égide sinistre, largement suffisante au vue des collisions de limaille qu’ils laissent passer avant d’annihiler la pauvre proie qui subit l’aigreur passagère des monstre ténébreux. Méphisto était là, songeant à la grandeur de son plan, l’esprit éperdument fixé sur les compétences qu’il avait démontré aux siens aujourd’hui ; et convaincu qu’il serait très bientôt, nommé Champion d’Infer, à l’instar de son ainé Asmodéus. La gloire démoniaque qui l’attendait, il en était convaincu, serait enfin à la hauteur de la renommé qu’il pensait obtenir, depuis son ascension au rang de prétendant à ce titre. Par toutes les contrés d’Infer, on viendrait le voir. Ses pensées devenaient peu à peu des rêves, au fur et à mesure qu’il s’assoupissait, il repensait à son plan. Tout d’abord, l’Érèbe ; ou les esprits errants des âmes sans jugement y errent, dans le seul but de trouver un autre refuge à leur ennui éternel. Cet endroit a une particularité qui le caractérise, c’est qu’il abrite un portail inter-planaire, ce dernier recevant les arrivées de nouveau esprits fréquemment, dû pour la plupart aux guerres environnantes dont les conséquences mornes, remplissent le plan d’Infer comme jamais. C’est ici également qu’obombre la demeure de la Mort elle-même ainsi que des créatures diverses comme les furies. Cet endroit n’est fréquentable par nul autre, et d’ailleurs, aucun des démons, habitants résolus d’Infer, ne souhaite s’y retrouver. Mais malgré tout, il est convaincu que Cerbère, ainsi que d’autres, furies notamment obtiendrait une liberté spéciale, pour cette occasion, d’importance selon tous. Non loin de là, une deuxième contrés s’y trouve : le Tartare. Cet endroit, mis sous forme d’enclos par ses créateurs, est en fait une gigantesque prison, qui étreint les divinités s’étant opposé d’autant, à la suprématie de Lucifer, créateur assidu du plan. Malheureusement, il savait pertinemment que les gardiens démoniaques ne seraient jamais accrédités de laisser leur poste jacent. Il rêvait de plus en plus, dans le même but que les précédentes fois, pensant que d’une troisièmes contrés, déjà plus habités par des êtres libres, les esprits des Champs Elysées viendrait nombreux. Il n’espérait évidemment rien des limbes, puits infinis dans lequel d’innombrables esprits déambules sans fin, entre les pierres célèste qui orne les parois poreuses du puit des limbes. Méphisto savait que le purgatoire, autre province d’Infer, laisserai quelque uns de ses renomés hôtes à partir pour assister à la remise du rang honnorifique auquel Méphisto était destiné. Du long des quatres fleuves qui de leurs méandres séparent Infer, personnes de l’Acheron, du Cocyte, du Phlégéthon ou du Léthé ne viendra, il le savait. La dernière contré, la Noya, la prison des esprits les plus nuisible, elle non plus ne viendrait pas. Dans son rêve désormais profond, il s’imaginait, acquérant le rang audacieux, tel les plus grands combattant d’Infer. Méphisto, fils de Baphomet, est destiné depuis bien longtemps a être gardien démoniaque du purgatoire, titre néanmoins très reconnu. En effet, Baphomet son père, avait désigné pour chacun de ses fils, une contrés d’Infer à gérer sous tous ses angles, et dans des conditions exécrables, détail sans importance pour un démon. Méphisto avait, dès sa création, reçu un entraînement assidu, pour devenir le guerrier acharné, et obéissant, qu’il est devenu aujourd’hui. Il avait été martyrisé à la tache, celle de s’efforcer de tuer, sans relâche, dans le seul but de maîtriser la mort, bien que celle-ci ne signifie plus rien dans un plan tel qu’Infer. La mort pour un démon, est un mot abstrait exprimant l’arrivée à Infer, pour tous les êtres des autres plans. Il dominait la mort, comme un suzerain domine son sujet. Il savait, du haut de sa masse informe et robuste, que nul, d’autres plan, ne lui résisterait, sous l’ordre de son père, unique personne capable de rendre obligation, une parole donnée à Méphisto. Asmodéus, ainé des fils de Baphomet, était quand à lui déjà Champion, et même nommé au rang de Tenant d’Infer. Asmodéus était l’un des seuls à avoir reçu l’estime de Lucifer lui-même, ce qui l’avait conduit à devenir sous la direction de Baphomet, le dirigeant incontesté de Noya. Asmodéus était d’un charisme époustouflant, d’une stature droite et stupéfiante, et d’une mante étonnant plus d’un. En un mot, il était le parfait démon. Baal, second né de la dynastie de Bamophet, avait le rôle de Geôlier du Tartare. Il avait connu d’antant, comme tant d’autre, la discipline réductrice des démon d’Infer, pour devenir, lui aussi, un guerrier endurci par les combats, et dont les talents de diplomate n’était pas à refaire. Lilith : Méphisto, il est temps, viens. Méphisto : Bien maîtresse. Je ferais selon vos ordres Lilith : Et ne nous déçoit pas, sais-tu bien comment ton père réclame l’honneur de sa dynastie ! Il faut que tu remporte ce titre, c’est un ordre. Méphisto : Soyez sans crainte, je le remporterai, à l’instart fraternel d’Asmodéus. Je suis même déconcerté que vous doutiez de ma proche victoire. Baphomet : Nous ne doutons rien, nous voulons seulement te faire part de nos attentes, rien de plus fils. Alors maintenant va, et gagnes. Méphisto s’en alla, démontrer ses talents, aussi voyants soit-il. Baphomet : Je doute qu’il remporte le titre de Champion Lilith Lilith : Moi également, il est trop confiant, et tu n’a pas été assez sévère envers lui. De plus, les rapports ne sont pas flatteur de ses qualités. Asmodéus été bien plus aboutit à son âge. Baphomet : Asmodéus est mon digne successeur, il le sait pertinemment, et je le sais également. Il est presque mon égale désormais, à part que son piètre esprit de guerrier affuté ne le fait pas réfléchir quand au rôle qu’il pourrait jouer dans une guerre inter-planaire. Lilith : Baphomet ! Insinuerais-tu que tu as des intentions de guerres avec un autre plan ? Baphomet : Je n’insinue rien Lilith, je ne fais qu’aller dans le sens des informations de Vrenzaf à ce sujet. Les Champs-Élysées se vide d’esprits inquiets quand à l’avenir du plan. Il faudrai un élément nouveau. Il faudrait que quelque chose arrive vite. Que ce soit la guerre ou autre chose. Lilith : Ce que tu dis est grave Baphomet, la guerre n’a jamais été la solution…souviens-toi au temps de Lucifer… Baphomet : Avec mes fils en commandant, sache que rien ne peut m’arriver Lilith, et toi non plus, soit sans crainte. Je n’ai encore aucune intention, mais il se peut que très bientôt j’ai besoin de reprouver à tous les supprématie d’Infer. Que tous comprenne qui je suis, et quels sont ceux qui tiennes les morts en respect. Quels sont les seuls à connaître le sens du mot « Mort » dans l’absolu. Lilith : Ce que tu dis m’attriste Baphomet, au temps ou tu étais encore un ange, tu ne réagissais pas de cette manière … ? Et tu sais très bien que je n’ai pas à te juger de tel. Baphomet : Je pose les conditions ainsi, si Méphisto parvient à être champion d’Infer, je l’enverrai prouver ses facultés dans une croisade célèste. Sinon, je pressens qu’un évènement tout particulier accueuillera nos amis d’Érèbe. Lilith : Tes pensées sont obscures Baphomet, et tu sais tout aussi bien que moi, que Méphisto ne sera pas Champion. À ces mots, Baphmet paru véxé, et s’en alla s’occuper du reste de la vie du plan, à commencer par assister à la remise du titre de Champion. Quand à Lilith, sorte de divinité démoniaque omnisciente, elle la suivit en silence, sans prononcé le moindre mot ; de peur de froisser le dirigeant d’Infer, qui plus est son ami, une fois de plus. Quand ils arrivèrent à niveau de la sombre remise du titre, rien ne s’était encore achevé. Les deux protagonistes gisant au sol, n’avaient de toute évidence plus aucune force intérieure pour se relever. Finalement, Génechza, arbitre du jour, vint à arrêter le combat, et annonçant à la foule que leur vainqueur été désigné. Mais toujours rien ne se produit du côté des deux combattants. D’un côté, Méphisto, la face démise, et pratiquement évanouie des efforts qu’il avait fourni, agonisait au sol, mais serein comme à son habitude. De l’autre côté, Jennach, démon lui aussi, été allongé entre poussière pourpre, et sang. Enfin, Jennach se leva, et alla en direction de l’arbitre. Un grand silence calma toute la foule qui attendait réaction de la part de Méphisto. Baphomet : Étonnant, mon fils est vainqueur. Lilith : Que dis-tu ? Il gît. Ta désillusion quand au capacité héréditaire que tu donne à ceux de ton sang régit il sur la raison qui transparait de tes paroles ? Baphomet : Non, Jennach viens d’annoncer à l’arbitre que Méphisto avait gagné…moi-même j’en suis le premier étonné. En effet, quelques secondes plus tard, Méphisto se leva, victorieux. Le ciel, bien qu’ombré, et rutilant comme à son habitude, il luisait d’un ton particulier, comme pour cloturer le combat qui s’été tenu devant le maître d’Infer, et son divin conseillé. Lilith : Baphomet, quelle est la cause de ce prodige ? Baphomet : Il a frappé plus fort, et a été plus rapide. Jennach lui a concéder la victoire, s’en est discursif. Le combat qui désigne le Champion d’Infer ne comptait que sur une chose, La véracité de Bamophet. S’il désignait Méphisto comme gagnant, nul ne contesterait ses dires. Àprès le discour de Baphomet, réitérant les difficultés de son plans à tenir son influences face à Parados, tous se séparèrent, et Lilith ainsi que le groupe qui l’accompagnait jusque là, retournèrent dans l’Aedes e luteus, demeure éternelle de Baphomet. Méphisto : Père, je ne comprend point le fruit de ma victoire. Baphomet : J’ai du sauver l’honneur de ma dynastie, je t’ai désigné gagnant. Lilith : Ta malhonnêteté me fera toujours sourire Baphomet. Méphisto : Mais cela régit bien des lois d’Infer Baphomet : Méphisto mon fils, tu apprendra a tes dépends que c’est moi qui délibère des lois d’Infer, et que si je souhaite que tu sois vainqueur, il en sera ainsi. Un grand silence s’empara des trois hommes, comme pour souligner la sévérité des propos de Baphomet. Leur assemblée fut cependant interrompu par une arrivée inopportune. Le Juge : Bonsoir à tous, je me présente, je suis le Juge. Baphomet : Depuis quand je permet aux étrangers de pénétrer dans ma demeure ? Lilith : Etranger, tu arrive dans un moment singulier, je pense qu’il serait préférable de partir dans de bref délais. Le Juge : Je ne pense pas, et vos tourment seront je l’espère réconfortés par la grande nouvelle que je viens vous annoncer ! Méphisto : Quand nous insistons pour que les étrangers partent, du sang reste l’unique souvenir que nous ayons eu d’eux Baphomet : Tais-toi mon fils !! Il est de ma gouverne de définir ce qui est bon ou pas, dans le cas présent je laisse à notre hôte le soin d’exposer sa nouvelle, et de repartir aussi subrepticement qu’il est arrivé. Le Juge : Je viens vous annoncer l’organisation d’un Tournoi emphatique et extraodinaire, auxquelles vous êtes convié à participer. Dix plans s’affronteront, et un seul ira au bout et remportera le lot de récompense, d’une valeur incroyable. Baphomet : Voila qui est bien opportun, et quand cet étrange phénomène se passera-t-il Le Juge : Dans quatre jours commenceront hostilités Lilith : Opportun ?? dis-tu…je ne sais point si le moment de trouble que nous vivons tous ne doit pas consacrer plus d’attention que tu n’en porte Baphomet Le Juge : Je crois que le moment de trouble que vous vivez est directement lié au tournoi, à Arena ! Ne négligez pas mon offre, elle est je vous l’assure à la hauteur de vos attentes. Mais réfléchissez soigneusement à votre réponse, car une fois accepté, vous ne pourrez plus reculer devant votre décision ! Baphomet : Bien, nous participerons, car je le veux Le Juge : Certes, rassemble 100 000 de tes meilleurs hommes, et attend moi sur le cercle de combat des Champions dans trois jours précisément, avec ton armée. N’oublie pas d’amener l’objet le plus précieux que tu détiens, c’est la seule condition à ton passage dans Arena : le plan Tournoi. À ces mots, le juge disparu laissant place à une appréhension générale, au milieu des trois êtres à la fois satisfait et déconcerté de la nouvelle. Baphomet : Lilith, va t’en quérir Asmodéus mon fils, ainsi que ses parias. Ensuite, va prendre Baal, et les geôlier démoniaque. Quand à toi Méphisto, cherche ton armée de champion, et rassemble les meilleurs démons que tu connaisses. Je vais reposer une grande responsabilité sur toi. Lilith : Bien, je dois de toute façon aller m’informer auprès de Vrenzaf près de Noya. Méphisto : Bien père, je ne vous décevrais pas Les trois jours s’écoulèrent extrêmement rapidement. Lilith eu juste le temps de ramener Asmodéus et les parias, ainsi que Baal, le second fils de Baphomet. Méphisto quand a lui, s’était entraîner jour et nuit, pour enfin se sentir près, et ne point décevoir son géniteur. Le Juge : Etes vous prêt ? Baphomet : Oui, Juge, Voici l’armée de 100 000 hommes. Je resterai ici pour veiller sur mon plan. Asmodéus : Méphisto, mon frère, nous accompagnes-tu ? Méphisto : En tant que nouveau Champion d’Infer, et dernier né du régent de notre plan, je dois diriger les armées d’Infer ! Mais Baal, et toi seront à mes côtés. Baal : Mon père, vous m’aviez parlé d’un don qu’il fallait accorder au Juge Baphomet : En effet, voici la boîte de Pandore, objet d’importance, mais qui a mes yeux n’est plus l’influence incarné. Elle reste néanmoins l’objet le plus prestigieux d’Infer, ainsi que le plus puissant. Le Juge : Parfait, alors le sort en est jeté, vous pouvez tous passez dans le portail Et les 100 000 passèrent dans la porte inter-planaire. Le Juge : Bienvenue à Aréna mes amis ! Désormais, il n'y a plus de chemin retour, vous resterait ici jusqu'à la mort ou la victoire selon votre destin. Les combats débuteront d'ici quelques jours, en attendant, nous vous apporteront régulièrement à manger et à boire Asmodéus était confiant en son armée, bien qu’étonné qu’un si jeune Champion eut été désigné comme commandant des armées d’Infer. De son côté Baal, méditais au sujet des ennemis qu’ils rencontrerai, sujet bien divers, car en réalité il n’avait aucune idée des traîtres et tristes êtres qui devrait subir son courroux. Et Méphisto lui, s’entraînais encore et toujours, dans un seul et même but, ne guère décevoir. EDIT: BIzarre, a 4H du mat' y a pas grand monde sur MC _________________ [ Edité par STAG le 28 déc 2005 à 04h30 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 03/03/2012 Grade : [Druide] Inscrit le 05/07/2003 | Envoyé par Syndelfeniks le Mercredi 28 Décembre 2005 à 18:16 ton binhomme, c'est écrit comme ça pour le jeu de mot ou c'est une étourderie ?
Sinon, excellent comme d'habitude, j'adore le pénétrer l'esprit !
___________________ fire-dusk.com : venez voir notre site de jonglage de feu !!!!
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 26/07/2020 Grade : [Divinité] Inscrit le 10/07/2005 | Envoyé par STAG le Mercredi 28 Décembre 2005 à 18:35 Et ma SL tout le monde s'en tamponne, ça fait plaisir, tien pour la peine je vais me coucher à 18H30 ce soir -_-"
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/12/2006 Grade : [Nomade] Inscrit le 19/08/2005 | Envoyé par yakimaru le Jeudi 29 Décembre 2005 à 11:31 meuuuuh non, elle est très bien ta SL, commme d'hab. Mais c'était pas mimura qui l'écrivait avant ?
en tout cas c'est toujours aussi bien ecrit et cohérent (à part cette manie d'écrire le nom du perso avant chaque phrase qu'il prononce, on dirait du théatre) Par contre la numerotation des chapitres est décalée parceque vous avez fai 2 chapitres 4, rien de grave mais faudrait le corriger. Les cartes sont toujours aussi bien, et à part le binhomme qui est assez ignoble, je vos pas de fautes d'ortho, ca change...
___________________ guns can't kill what soldiers can't see - The arcade fire, Haïti
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Jeudi 29 Décembre 2005 à 16:20 Effectivement, en fait Stag écrit la storyline depuis les trois derniers chatpitres afin de me faire économiser du temps, je lui donne les infos qu'il doit mettre dans le chapitre et il s'occupe d'écrire autour, comme un nêgre quoi (Attention, pour ceux qui ne le savent pas, un nêgre est quelqu'un qui écrit un livre pour quelqu'un d'autre, il n'y a dans ce terme aucune consonnante raciste.)
Qu'est ce qu'il a mon Binhomme?
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