[Unhanded] - Topic officiel

Le 19/08/2005, Rincewind avait écrit ...

Tu as écrit "résumé de la stroyline". Tu aurais écrit ça en français ça ne serais peut-être pas arrivé.

Hein ? De quoi tu parles ?!

tu as écrit "stroyline" au lieu de "storyline" :

x_x

Arrangé :



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[ Edité par sheriff_jackson Le 19 aoû 2005 ]

Petit up, même si je sais qu'a pas des masses de nouvelles choses ces temps-ci . Les études ont repris et j'ai accès à internet que le week end et c'est généralement le week end que j'en profite pour être absent, malheureusement. J'ai un peu avancé le storyline Unhanded et la prochaine extension, mais entre la musique, la musique et la musique j'ai pas trop le temps... Mais ca viendra... Ca viendra, ne vous inquiétez pas, Unhanded refleurira ! Je vous posterais sûrement la storyline et quelques nouveautés d'ici samedi/dimanche. Sur ce, à + !

SJ

Tiens, voilà du boudin !

Chapitre VIII : WELCOME TO ZEPHYRA...

Le ciel était bleu et parsemé de petits nuages blancs et légers. Nos trois compères partirent rendre le carrosse au hangar le plus proche avant de franchire les murs de la ville fortifiée - car Zephyra en était bel et bien une - non sans être étonnés de la présence de gardes armés à la porte principale. La cité était belle et semblait presque être d'airain avec ses tours dorées, ses volutes brillantes et ses coupoles d'or ( Vous savez, un peu style l'illustration de la Cité d'airain en Arabian Nights. ). Le sol était tout aussi étrange et fascinant : les routes n'étaient ni de dalles ni de terre mais d'herbe... Une herbe verte et pourtant foulée quotidiennement par des centaines de pieds, de sabots, de griffes et même de tentacules. Il y avait mille parfums dans l'air et sûrement tout autant de peuplades différentes dans les rues surchargées de Zephyra mais malgré la diversité des races, Porcepied remarqua que la majorité des habitants était d'une espèce qu'il n'avait jamais rencontré auparavant et qui l'intriga particulièrement.

- Porcepied : Dis, Zermerrix, quelle est la race autochtone ici ?!

- Zermerrix, se tournant vers Porcepied, la bouche pleine et un fruit entamé en main : Euh... Ce sont les légumes, pourquoi ?

Le cochon avait pu le remarquer : presque tous les marchands, derrière leurs étalages, avait la peau verte ou une coquille, avec quelques feuilles plantées au sommet de la tête. Porcepied pensa qu'après tout, le lieu étant une oasis, donc propice à la culture, il n'était pas si étrange que l'on croise des végétaux à pattes dans les rues.

- Porcepied, à Kerdaek : Que faisons nous donc maintenant ?

- Kerdaek : Nous avons plusieurs jours d'avance, nous pouvons visiter un peu, nous irons voir Kahaadul plus tard.

Et ils flânèrent donc ainsi quelques jours, entre marchands de fruits, de soie et antiquaires. Kerdaek renouvela son stock d'herbes à pipe, Zermerrix s'acheta des pantoufles et fit refaire son hallebarde mais Porcepied, de nature plutôt économe, préféra garde son argent pour s'acheter parfois une quelconque friandise, attendant toujours, fruit sous le bras, d'avoir assez de nourriture devant lui pour mourir en sumotori.

Trois jours plus tard, ils étaient devant le palais du seigneur avec lequel Kerdaek avait rendez-vous.


Les cartes

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[ Edité par sheriff_jackson Le 02 sep 2005 ]

Petit piqueur d'illus non utilisée par Wizards va...

C'est incroyable, ça a pas toujours été le cas, mais cette fois absolument tous les TA sont trop fort, trop drôle, voire poétique (si madame...)

Looool, les TAs...Bien fun... que du bon cette fois... un moins pour les betteraves (mais la capa est pas mal)

elle est vraiment géniale cette édition!!
c'est trop fort!!!

Ca redonne la pêche de voir tous ces légumes aussi géniaux !

ya meme pas des brocolis! il faut qu'il y est des brocolis stp, comme ca le mec d'en face porra te dire: "tant que c'est pas des brocolis ok" pis là tu lui joue le brocolis et il abandonne ou alors mange ta carte de brocolis!!!

sinon mieux qu'avant! continue comme ca!

^^

Lol, il y aura bien des brocolis oui, ou en fait, non, mieux que ça : un enchantement qui transforme toutes les créatures ennemies en brocolis 1/1... Et puisque tu la veux tant, la vla !

exelent le : " qu'elle le veuillent ou non ! " mdr

Encore!Encore!

C'est vrai ça. C'est fini les vacances ! Elle arrive quand la suite ?

Maintenant ! Attention : chapitre spécial immobilier et déco de luxe !

Chapitre IX : DE L'OR DANS LE DÉCOR

Bien que le palais de Kahaadul ne paraisse pas bien grand, c'était un vrai palace... Mais bon, c'est vrai qu'il n'était quand même pas bien grand, et l'ambiance laissait un peu à désirer malgré la déco selon les rumeurs, enfin, le service y était impec' paraissait-il, et leur spécialité, le strudel au poivre VÉGÉTARIEN n'en était pas moins bon... Bref, passons pour en revenir à des choses un peu plus intéressantes : Porcepied et ses amis lapin câlin et hyè-yène, qui admiraient un magnifique édifice de briques couleurs safran et or, décorées de motifs et frises d'un bleu royal, représentant apparemment d'épiques luttes de légumes gladiateurs. Comme à l'accoutumée, on pouvait retrouver les deux gardes armés à la porte d'entrée principale ; ils avaient d'ailleurs la même apparence que ceux qui gardaient les murs de l'oasis : deux gros navets en armure et tout en muscles, munis chacun d'un cimeterre, le front épais et le regard pas très fin.
Kerdaek, comme timide, s'approcha seul du couple de brutes en leur tendant une lettre qu'il avait sortit de son enveloppe. Le premier soldat la prit brusquement, avant de fixer la hyène longuement. Il entreprit ensuite la lecture du document qui avait l'air de s'avérer difficile ; après quelques secondes, il passa le relais à son compère se plaignant dans sa barbe qu'il ne savait pas lire. L'autre garde la lut ( non sans prendre son temps ) et ils purent donc enfin pénétrer dans l'antre de Kahaadul... En parlant de lui, qui était-ce ? Porcepied n'en avait jamais entendu parler auparavant, et il appréhendait un tant soi peu cette rencontre qui se ferait sous bien peu de temps. Il avait en tout cas l'air d'un riche et puissant homme, pour peu qu'il en fusse un.
L'intérieur était magnifique : murs de marbre nacrés, tapisseries colorées, palmiers géants bordant les parois de la pièce, encensoirs en or pendant du plafond, motifs raffinés sur chaque dalle dorée tapissant le sol, bref, un préjugé que c'était fait le cochon n'était à coup sûr non sans fondement... Le bonhomme était sacrément riche ! Il les attendait d'ailleurs de l'autre côté de la pièce, au pied l'une petite marche donnant sur ce qui serait sans doute une autre salle des merveilles. Une petite fontaine les séparait de leur hôte et Porcepied avait de la peine à définir les traits du personnage à travers le fin nuage et les gouttelettes d'eau que faisait étrangement voleter dans toute la pièce le jet ; mais à mesure qu'ils avançaient, notre exilé put reconnaître un légume, ce qui laissait présager que Kahaadul était un autochtone. C'était en fait un digne représentant d'une longue lignée de patates qui avait su s'imposer dans l'oasis grâce au commerce et à la formation militaire qu'il dispensait jadis dans cette caserne maintenant reconvertie en vrai palace. Il était vêtu d'une très sobre toge blanche et d'un large turban mais étrangement, ne portait aucun bijou, ce qui n'était ( Encore plus étrangement ! ) pas le cas du docile chien noir qu'il caressait paisiblement.

- Kerdaek, après une petite courbette : Monseigneur, me voilà enfin à vous. Je suis bien content de me retrouver à nouveau sain et sauf sous votre toit... J'ai avec moi ce qu'il avait été dit que je vous aporterai.

- Kahaadul : Ah, mon cher Kerdaek, tu sera toujours le bienvenu pour ce qui est de m'annoncer tes bonnes nouvelles. Mais je vois que tu as amené deux de tes compagnons, vous devez être fatigués, suivez moi donc dans le Grand Salon.

Et les trois voyageurs le suivirent. Après une multitude de pièces et couloirs garnis de tableaux, vases et autres bibelots de luxe, ils arrivèrent à ce qui s'appelait apparemment le Grand Salon... En tout cas quelque chambre qu'elle fut, elle portait bien son nom : c'était une immense salle rectangulaire dont je vous épargnerai tous les détails, haute, très haute avec, en longueur, un étroit canal creusé dans le parterre où circulait une eau limpide, et qui traversait les deux murs du fond, donnant sur des cuisines, comme le découvriraient bientôt nos amis. Ce canal traversait également, en aval du courant une sorte de tente de draps fuschias ouverte sur le reste du site où deux hommes ( humains ) allongés sur un sol de gros coussins fumaient une pipe à eau en regardant quelques danseuses se mouvoir au son des sitars et des vibraphonettes.


Les cartes