Magic : The Adventure

Mmh bon, je vais préparer mes affaires en vitesse, et direction cette académie.

En route pour l'ouest de Tolaria donc si je vous suis bien? J'attends juste un petit post de Xbod savoir s'il fait quelque chose de particulier avant d'y aller.

Non mais il y a pas a tergiverser hein, un se porte au secours du camarade !
Je prends mes affaires je suis derriere vous.
Cependant je ne connait pas grand chose de ce "fameux" Teferi et de l'académie.
J'en ai lu des morceau dans les archives mais rien de concluant.

/HRP

J'ai compris jeudi que l'on avait démarré, désoler de ma lenteur sur le premier post

/HRP

Je ne connais pas grand chose non plus, sur Dominaria je n'ai été que sur le continent de Terisiare pour le moment. C'est le seul que je connais un peu, et je ne crois pas que ce soit là que soit l'académie. Est-ce que l'un de vous en connais plus et si oui pourrait nous briefer avant de partir ?

Je n'ai pas le temps de préparer mes onguents et poisons avec cette digitale lunaire... Tant pis, je conserve les fleurs dans un bocal dans mon sac, j'aurai bien le temps de les préparer plus tard.
Je redescends les marches de l'escalier deux par deux.

Je ne connais pas grand chose non plus, sur Dominaria je n'ai été que sur le continent de Terisiare pour le moment. C'est le seul que je connais un peu, et je ne crois pas que ce soit là que soit l'académie. Est-ce que l'un de vous en connais plus et si oui pourrait nous briefer avant de partir ?

Je me sens un peu concerné, donc je réponds :

À part mon petit village, il y a peu de lieux dont je me rappelle. Je ne suis jamais revenu sur ce plan. "Mon" plan natal. Je présume qu'il était ...temps... d'y retourner.

Je resserre mon sac sur mon épaule.

Je suis prêt.

Le 06/11/2016 à 16:31, Angelspirit avait écrit ...

Je présume qu'il était ...temps... d'y retourner.
 

Je vais aussi me préparer. Je laisse l'épée Boros catégorie 2.5 au refuge, ainsi que les livres de Tamiyo et Zalev, que j'ai déjà parcouru en long en large et en travers. Et les oreilles d'elfe aussi.

Je prends donc mon attirail habituel : mes vêtements de voyage et mes accessoires.

Parmi mes vêtements il y a mon manteau et ma veste, cette dernière ayant deux poches dans le dos. Elle est de conception hybride soratami/samouraï, c'est moi qui ait tenu à cela avant de partir, car je trouvais les vêtements lunaréens masculins existants pas suffisamment adaptés aux voyages que je comptais faire. Et cela peut se comprendre, les lunaréens ne sont pas réputés pour être de grands voyageurs.

La grande poche est vide — je n'y mets en général que les objets importants, je préfère transporter la plupart de mes affaires dans les poches de mon manteau — et dans la petite poche ouverte des deux cotés, j'y ai glissé un petit parapluie en bois, une nouvelle acquisition. Il est assez court et a un pommeau droit, il peut donc difficilement protéger plus d'une personne mais est léger et facile à transporter — il ne dépasse que d'une distance d'une main de chaque coté de la poche, ce qui n'empêche pas d'enfiler mon manteau lunaréen qui est suffisamment ample, mais même si ça dépassait plus, il est de toutes façons spécialement conçu avec un pan arrière rigide qui se soulève légèrement quand je range dans cette poche quelque chose qui dépasse trop.

Pour les accessoires, en plus du petit parapluie, j'emporte évidemment mon miroir et mes dagues. Je n'emporte pas l'épée boros car déjà on n'a pas prévu de faire de combat, mais en plus j'ai des compagnons surarmés pour m'accompagner, et si ça peut me permettre d'avoir l'air moins menaçant face aux peuplades que l'on risque de rencontrer, cela pourrait favoriser la communication et leur coopération.

Je reviens ensuite rejoindre Ahès et les autre.

Je suis prêt aussi. On y va ?

Après de rapides préparatifs, le groupe décide de répondre à l'étrange appel à l'aide de leur amie et transplane vers Dominaria. Forts de leurs expériences en matière de transplanage, ils parviennent à arriver non loin de leur destination, au sommet d’une petite falaise surplombant l’académie actuelle, qui se détache en contre-bas.

Voici notre destination, quelle chance ! Nous devrions y être rapidement.

Ne sois pas trop optimiste, je crois au contraire que nous avons atterri en plein dans les ennuis.

En effet, les compères avaient également atterri juste à côté d’une troupe d’avemains suspicieux accompagnés d'un mystérieux personnage. Ce dernier porte un capuchon et un masque de bois, mais ses mains, le bas de ses jambes et sa queue sont couvertes d'une épaisse fourrure. Il semble tout aussi hébété, si ce n'est plus, que les hommes-oiseaux d'être témoin d'un transplanage.
Mais la troupe est prompte à se reprendre et à juger que les intrus ne ressemblent pas aux mages de l’académie voisine, et que décidément cela faisait beaucoup d'étrangers dans la même journée! Il valait mieux s’assurer de leurs intentions pour garantir la sécurité de la région.
 
Le groupe d’avemains est constitué comme suit : Vous identifiez aisément leur chef au bâton de mage qu’il porte et à sa plus grande taille (Forge-destin avemain). Il est entouré de deux avemains presque aussi grands que lui (Ranger des côtes), protégés par une armure renforcée et portant deux lames larges, fixés sur leurs ailes. Une demi-douzaine d’oiseaux plus petits commence déjà à se disperser dans ce qu'Havor pourrait identifier comme une manœuvre pour vous encercler au cas où les choses dégénèrent (Gardien des côtes). Ils sont armés de ce qui ressemble à des serpes assez épaisses et portent une armure sommaire, des troupiers assurément.
Malgré la tension manifeste des autres, le chef n’a pas l’air spécialement agressif, seulement très méfiant, et s’adresse à votre groupe dans le langage commun à une majorité du Multivers :

Qui va là et que venez-vous faire ici ? Déposez vos armes et aucun mal ne vous sera fait, je m’en porte garant. De plus, comment êtes-vous sortis de nulle part, de quelle magie s'agit-il ?

Bienvenue sur Dominaria!
Comment réagissez-vous ? Entamez-vous le dialogue ou les hostilités ?
Vous pouvez évidemment vous concerter avant de répondre, mais les avemains sont visiblement apeurés par la présence d'une race qu'ils ne connaissent pas sur leur territoire et la surprise de votre venue, ils n’attendront certainement pas votre réponse trop longtemps.

Gland de chêne ! D'où sortent ces mages ?! 

D'un mouvement rapide, Kāthabirāla se met sur ses gardes, sa main droite, grande ouverte, est mise en avant, et sa main gauche, le poing serré, est plus proche de sa taille. Une lueur verte intense entoure sa main droite.

Qui êtes-vous pour oser interrompre le calme paisible qui règne en ces lieux ?

Il regarde alors l'oiseau qui semblait être chef du groupe

Ami paksi, -- euh, avemain, faites attention !

Je me décide à prendre les devants :

Du calme, nous venons en paix, je vous l'assure. Nous sommes venus ici à la recherche d'une amie.

Je m'avance d'un pas, et pose ma main sur mon torse pour souligner mes propos :

Je suis Ahès, guérisseur de notre groupe de voyageurs.

Je sens encore une grande méfiance, venant de chacun d'entre eux.
Accrochés à ma ceinture, je détache et laisse tomber mon petit couteau et ma serpe sur le sol. Par sécurité.
Je lève les mains, au niveau de la tête, les coudes à l'équerre :

Je n'ai pas d'arme. Ne nous attaquez pas.
Et désolé pour avoir troublé ce moment de paix, je sais à quel point ces moments peuvent être importants. Je pense que je... que nous ne voulions pas vous déranger.

En espérant que ma bonne foi saura les convaincre...

À peine arrivé sur Dominaria, proche de l'Académie, les ennuis commençaient : Une troupe d'avemains avait positionné ses troupes autour du groupe d'arpenteurs. Ils se mettaient en position de force, autant faire ce qu'ils demandaient, même si c'était une parfaite perte de temps.

Bon, ça commence bien...

Havor détacha le fourreau d'Iridescente et la posa à ses pieds, toujours gainée. Il fit ensuite de même pour son carquois et son arc, et leva les mains.

Nous sommes ici pour aller à l'Académie, rien de plus. Mais soit, j'ai toujours pensé que sur Dominaria, les gens avaient conscience de l'existence des arpenteurs.

Il y avait quelqu'un d'autre avec eux. C'était... c'était quoi, d'ailleurs? Son apparence et sa tenue ne lui rappelait rien de ce qu'il savait sur Dominaria. Son masque était quelque chose de très particulier aussi. Et surtout, ce lapsus assez étrange. Si ça pouvait changer quelque chose à la situation, il fallait le tenter.

Surtout quand ils sont accompagnés de l'un d'eux.

Pfff on est verni.....

Je ne vais pas laisser une bande de piaf savant me faire déposer les armes....

Je garda une posture droite scrutant les différents et potentielles enemies autour de nous....
Une main a la taille et l'autre sur mon garde de manière décontracté.
Je laissai parraitre un sourire intrigué

[hrp]Ça n'a aucun impact mais juste histoire de dire, je me suis un peu renseigné sur Tolaria et les lignes du temps contenant les multivers.[/hrp]

En rejoignant le groupe, Havor m'a indiqué les coordonnées où il fallait transplaner sur Dominaria. J'ai ainsi pu transplaner en même temps que le reste du groupe.

Voici notre destination, quelle chance ! Nous devrions y être rapidement.

Comme les autres je me tourne dans la direction où se trouve l'Académie, en contrebas.

Ne sois pas trop optimiste, je crois au contraire que nous avons atterri en plein dans les ennuis.

À ces mots, je tourne la tête à droite et à gauche. La plupart de mes compagnons tournent ou se retournent. Moi je garde les jambes fixées au sol. Je regarde des grands oiseaux surgir de derrière des deux cotés, ils sont à bonne distance mais ne se rapprochent pas. Ils semblent juste faire un encerclement.

Qui va là et que venez-vous faire ici ? Déposez vos armes et aucun mal ne vous sera fait, je m’en porte garant. De plus, comment êtes-vous sortis de nulle part, de quelle magie s'agit-il ?

La voix vient de derrière moi mais je ne me retourne pas, je continue de regarder les oiseaux qui nous encerclent, la plupart volant au-dessus du vide devant moi. J'entends Shiryu et Havor exprimant leur agacement, puis Ahès qui commence à parler à nos interlocuteurs. Je n'ai aucune arme à déposer, mes dagues étant cachées ça ne devrait pas influencer les négociations. Je montre néanmoins instinctivement les paumes de mes mains pour bien montrer que je n'ai pas d'arme en main. En plus ça tombe bien, c'est la position de confort pour envoyer des sphères d'eau. Juste j'ai les bras et les coudes peut-être un peu trop serrés contre moi, mais je suis prêt à prendre une position combat d'un coup en cas de besoin, ce que je n'espère pas bien sûr.

À un moment, l'encerclement est terminé, et les drôles d'oiseaux parlants étant plutôt calme en face de moi, j'alterne mon regard entre eux, et le décor qui est très beau. J'écoute toujours bien sûr la conversation qui a lieu derrière moi. Après Ahès, c'est Havor qui prend la parole.

Nous sommes ici pour aller à l'Académie, rien de plus. Mais soit, j'ai toujours pensé que sur Dominaria, les gens avaient conscience de l'existence des arpenteurs. ...Surtout quand ils sont accompagnés de l'un d'eux.

Un arpenteur ? Sur ce je me retourne délicatement, et voit le groupe à qui parle Ahès et Havor. Il semble y avoir un chef entouré de deux oiseaux en armure. Un autre individu ne ressemble pas aux oiseaux qui nous encerclent. Mais je ne vois pas qui parmi eux pourrait être un arpenteur. Je dis alors d'une voix calme :

Un arpenteur ? Où ça un arpenteur ?

J'ai utilisé une voix normale pour dire ça, presque comme si je me parlais à moi-même, je l'ai dit juste pour exprimer mon étonnement et pas comme si j'attendais une réponse. Par conséquent, Havor et les avemains ne sont pas obligés d'en tenir compte s'ils le souhaitent.

Je ne sais pas ce que vous cherchez à dire en me nommant "Arpenteur", mais sachez que je n'en suis nullement, je suis un druide de la tribu des Khisakōlī ! 

Kāthabirāla s'approche alors du groupe, et saisi les armes qu'ils avaient déposés à terre.

Pas d'entourloupe. Si je vous vois bouger le moindre orteil, je vous jure que je force le monde à vous écraser.