Hors Ligne Membre Inactif depuis le 30/06/2012 Grade : [Druide] Inscrit le 25/01/2003 | Envoyé par bl_intello le Samedi 19 Juin 2004 à 14:36 Nous marchions dans les montagne depuis un long moment, quand une grande plaine se dessina devant nous. Solress s'arrêta et scruta attentivement l'immence étendu.
Solress: Pose tes affaire, il va falloir que je t'enseigne quelque chose de très important si tu veux m'aider dans mon enquête : la furtivité.
Je posa donc mon sac contre la parois. Et, quand je me retourna je ne vis plus Solress. Je regarda dans toutes les directions pour voir ou il était partit, rien! Tout à coup je sentis une main se poser sur mon épaule, je fis volte face en un efraction de seconde et je vis que c'était Solress.
Varamil u étiez vous passé ?
Solress : Juste devant toi.
Varamil : Ce n'est pas possible je vous aurais vu !
Solress: Tu sais les apparence sont parfois trompeuses. Tu n'as pas remarqué que la parois était différente ?
Varamil : Non.
Solress: regarde je vais te montrer...
Je vis Solress se raprocher de la parois, puis peu à peu ressembler à celle ci, avant de ne faire plus qu'un avec la montagne et passer totalement innaperçut. Il redevint normal et me dis :
Solress: Vas y essaye. Concentre toi sur la roche, représente toi mentalement sa forme, sa couleur, sa texture.
Varamil (dans ses pensés): Alors, comme ça contre la roche, je suis crevassé, couleur orcre-grise, rugeuse au touché...(se relevant pour parlé à Solress) Je ne vois pas de changement, ça n'a pas marché.
Solress: Mais si ! On ne t'aurait pas pris pour de la roche, mais ton aspect général avait changer, tu commençais à y ressemblé, il ne fallait pas t'arrêter. Vas y réssaye.
Après plusieurs tentative je fini par arriver à faire quelque chose de convenable, mais un oeuil exercé comme Solress me remarquerais. La prochaine étape était de me déplacer tout en restant furtif. Il fallait en plus de s'adapter au mileu changeant ne pas faire le moindre bruit. Pour ce dernier ce ne fus pas trop dure, la pratique de la chasse m'y avait déjà bien entrainé. En ce qui concerne l'adaptation au milieu, ce fus une autre affaire, je devais arriver à me dissimuler le plus vite possible persque sans en avoir conscience.
Le soleil commençais à ce coucher, quand mes progrès furent visible. Après le couché de soleil nous arrêtâmes nos exercices, pour nous restaurer quelque peu et prendre un peu de repos.
Solress: Nous nous entrainerons encore demain matin, mais il faudra partir à midi au plus tard. Bonne nuit
Varamil: Bien, bonne nuit.
Le lendemain je fus réveillé par Solress, qui après m'avoir secoué me servi des gateaux sec. A peine eu je fini ce frigal repas, que Solress me tendait mon sac.
Varamil: Nous partons déjà ?
Solress: Non, mais tu vas t'entrainer à devenir furtif avec toute tes affaires, un sac fait beaucoup de bruit et prend de la place.
Nous recommençâmes alors nos exercices suspendu la veille. Le soleil était quasiment à l'aplond quand Solress me dit :
Solress: Bon tu maîtrise sufisament la furtivité pour que nous puissions y aller. Avant de partir il faut que je te dise que si tu me vois disparaître ou si tu ne me vois plus, tu disparais à ton tour, c'est qu'il peu y avoir un danger.
Nous prîmes en direction de la plaine. Une heure plus tard nous étions en bas de la montagne. Je me retourna pour la regarder une dernière fois, pour regarder ce décord si majestueux. Solress me tira de mes rêverie et nous continuâmes dans la plaine. Ce n'était pas les même plaine que chez moi, la terre n'était recouverte qu'à moitié par une herbe ras et désèché. Elle formais des petit groupe blanc-gris sur la terre ocre foncé. Nous ne rencontrâmes personne de la journée, ni même pendant les deux jour qui suivirent. Le quatrième jour après avoir quité la montagne je vis une ville se profiller à l'horizon.
Solress : Nous allons nous déplacer furtivement à présent, Marche en direction de la ville. Quand tu arrivera à cent mètre des ses murs, arrête toi et je te dirais ce que nous ferons. Surtout reste bien caché même quand je te parlerais.
Varamil: Ou serez vous ?
Solress: Juste derrière toi, je peux te distinguer.
Je marcha donc en direction de la ville. A environ un kilomètre de celle ci je vis arriver des quatre hommes à pieds. Ils étaient tous les quatre habiller pareil, vétus de longue cape rouge, des grandes bottes noire qui leur arrivais jusqu'à mi-cuisse, d'un pentalon bleu nuit et une chemise de lin de la même couleur que leur cape. N'étant pas parfaitement sur de ma furtivité, je partis un peu sur ma gauche pour les éviter, je m'arrêta et attendis qu'ils se furent éloigné pour reprendre ma route. Arrivé près des murs de la ville je m'arrêta et j'entendis Solress.
Solress: C'est bien de t'être écarté pour ne pa te faire repéré, mais ce n'était pas la peine il ne t'aurais pas vue, tu te cache bien et tu fais moins de bruit qu'un chat. Bon nous allons passé par la porte. Fait attention de heurter personne, et si tu es découvers lance immédiatement un sort d'annilation. Pour éviter d'être touché je vais rester loin derrière afin de pouvoir te récupéré après le sort. Une fois la porte passé tu te dirige vers l'auberge. Là tu attends que quelqu'un sorte et dise :"Les nuages vienne de l'ouest". A ce moment là tu quitte ta furtivité et tu le suit. Compris ?
Varamil: Compris.
Je partis en direction de la porte. Arrivé près d'elle j'attendis qu'il y ait le moins de monde possible, et j'entra dans le viille. Je marcha le long d'une grande rue qui me mena jusqu'à une place. Sur ma droite je vis l'auberge. Je m'arrêta à proximité de la porte pour attendre la personne dont m'avait parlé Solress. Entre cinque et dix minutes plus tard un homme de forte carrure, un tablié autour des hanches regarda le ciel et dis :"Les nuages vienne de l'ouest". Je quitta lors ma furtivité et alla me présenté à lui. Il me dit de le suivre, et me conduit dans une chambre ou se trouvait déjà Solress.
Varamil: Vous êtes déjà là ?
Solress: Oui, c'est moi qui ai dit à l'aubergiste d'aller te chercher.
Varamil: Vous n'étiez pas derière moi ?
Solress: Si mais pendant que tu attendais devant l'auberge, j'ai eu le temps de parler à Malrän. C'est une vielle connaissance, il dirige cette établissement et me permet de ma caché quand je suis dans la région. Nous resterons dans l'auberge jusqu'à demain. Fait ce que tu veux, je vais voir des contactes. Ne quite pas l'auberge, et ne saoul pas. À plus tard.
Je commença par me poser dans un fauteuil et à repenser à tous ce qu'il m'étais arrivé. Plus j'y pensais plus j'étais heureux d'être partit. Je préférais ma nouvelle vie. Au bout d'un moment je commença à m'ennyer. Je descendis donc vers la salle. Dans les escaliers, je croisa une personne et, tout à coup, je me demanda ce que m'avais dit Solress, devais je être furtif ? Je ne me rappelais pas. Par précaution je me fondis imédiatement au déccord. Arriver dans la salle je chercha à épier quelque conversations. Je vis un homme qui portais les même vêtement que les quatre que j'avais vue hors de la ville. Je m'approcha pour essayé d'en apprendre un peu plus sur eux. Lui et l'homme qui était avec lui ne parlais de rien d'intéressant. Avant de partir vers une autre table je posa mon regard sur la bourse qu'il avait à la ceinture. Elle me parraissait bien remplie. Je m'approcha et je ne sais pourquoi eu envie de la prendre. Je m'acroupis pour être à sa hauteur, tendis la main et commença à dénoué la lacet qui la maintenait à la ceinture. L'homme bougea et aussitôt j'enleva mais mains. Mais il n'avais rien sentit, et je recommença mon larcin. Une fois détaché je la pressa vivement contre mon coprs pour ne pas qu'on la voie. Excité par ce méfait et peu tranquille je retourna en vitesse dans ma chambre.
Après avoir vérifier que la porte était bien fermé et que Solress n'était pas là j'ouvris la bourse. Elle contennais une dizaine de pièce en or, trois en argent et une en cuivre. Il y avais aussi des clés. Tou à coup j'entendis la voix de Solress dans le couloir, je remis immédiatement les pièces et les clés dans la bourse et la cacha. Solress entra.
Solress: Tu ne t'es pas trop ennuyé ?
Varamil: Non je me suis un peu reposé.
Solress: Tu as faim ? Allons manger.
Le repas se passa sans problème, la cuissine était bonne et Malrän me raconta les légendes du coins. Quand nous eûmes fini nous retournâmes dans la chambre et nous nous conchâme aussitôt.
___________________ "Deux choses sont infini, l'Univers et la bêtise humaine, mais je n'en suis pas sûr quant à la première."
A.E. |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Samedi 19 Juin 2004 à 14:38 *Remarque*
Gil-Galad
C'est gentil mais non! Seul les slivoïde et artefacts peuvent être multicolor et il n'y a aucun aprenteur! Refais-toi une histoire et un personnage stp ou tu passes hors-jeu
The_imperator
On ne place pas la suite de nos histoires avec le bouton éditer sinon lors de renconrtes entre joueurs on ne saura plus où donner de la tête!
bl_intello
C'est fait! C'est fait! Mais j'ai le droit de me reposer un peu moi aussi non?
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1 ordinateur [1000$], 3 Bouteille de propane [500$], 10 cocktails molotoves [500$], un camion [10 000$], faire échouer les plan de Kitano [Ca n'a pas de prix], il y a certaines choses qui ne s'achéte pas, pour le reste il y a Battle Royale Master Carte.
[ Edité par Mimura Le 19 jun 2004 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 02/06/2010 Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2003 | Envoyé par Bhaal le Samedi 19 Juin 2004 à 15:37 Je marchais en direction du nord quand soudain j'entendis des voix. C'étaient trois hommes. Ils venaient de m'apercevoir et ils me regardaient avec étonnement...et avec convoitise.
Je continuais mon chemin sans me soucier de leur présence, mais ils s'interposèrent devant moi. De toute évidence, ils pensaient surement que j'allais être l'instrument de leur future gloire. Les imbéciles. Ils se mirent en cercle au tour de moi et celui qui semblait être le meneur avança d'un pas et me parla Meneur: Salut. Tu dois être un de ces machins de cette fameuse île. Très impressionnant Kal: bougez-vous de mon chemin humains!! Meneur: je crois que tu vas être forcé de nous servir...en pièces détachées. Tu vas nous rapporter gros. Allez-y les mecs. Je n'allais pas me laisser distraire par ces trois idiots. Soudain j'entendis celui qui était à ma gauche incanter: il voulait me lancer pourrissement. D'un mot de pouvoir, je contrai son sort (36) et je contrataquai en lançeant boomerang(34), ce qui eu pour effet de le projeter au loin dans le marais au milieu d'un groupe de zombie. J'entendi quelques secondes ses cris d'agonie, puis sa voix mourut. Celui qui se trouvait sur ma droite avait levé son épée et me frappait frénétiquement. J'entourai mes doigts autours de sa gorge, et il mourut la trachée-artère écrasée. Le dernier, le meneur du groupe commença à courir. je lançai un boomerang un peu devant lui (32) et le choc de l'explosion magique le fit trébucher. Je m'approchai et mis mon pied sur la poitrine de l'humain. Kal: Où mène ce chemin? Meneur: pitié me tue pas. Kal: Où mène-t-il? Meneur: A Verast' Talar(4). Mais je t'en prie, ne me tue pas. Kal: Je croyais que j'allais te rapporter gros. Est-ce que la mort vaut gros?? Je commençai à écraser sa poitrine quand je vis sur son cou, un tatouage représentant une faux enfonçée dans un crâne humain.Celui que j'avais étranglé portait le même tatouage.Surement faisaient-ils partie d'un clan. Il finit par mourir en poussant un hurlement de terreur. Je délestai son cadavre des quelques pièces d'or qu'il possédait et je continuai mon chemin vers Verast' Talar. J'arrivai enfin en vue de la ville. Elle était beaucoup plus grande que Merrashasard, mais tout aussi lugubre. Je me rendis furtif et j'entrai dans la métropole. Je me mis à la recherche d'autres personne portant le tatouage dans l'espoir de les convaincre de m'aider a trouver ce que je cherche.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 09/10/2017 Grade : [Sortisan] Inscrit le 10/01/2004 | Envoyé par The_imperator le Samedi 19 Juin 2004 à 16:45 V/Je décidais finalement de mener l'enquète dans le bar du port, de plus en plus mal famé depuis que des habitants de Malignio s'y rende régulièrement. Autant dire qu'un ange y est plutôt mal vu. J'utilisai ma capacité de furtivité pour cacher mes ailes et ainsi paraître moins "intrus". Des questions...mais rarement de réponses...Pourtant un des zombie que j'ai interrogé semblait en savoir bien plus qu'il ne le laissait entendre. Je décidais donc de lui voler discrètement ce bout de parchemin qui dépassait de sa poche et qui me semblait être une carte. Une fois dérobé, je le cachais sans prendre le temps de le regarder. [A propos, vous vous demander surement pourquoi je me nomme "Diabolik" ? En effet, c'est un nom étrange pour un ange...En fait, ce surnom m'a été donné la première lorsque je fesait un stage en DARSHAN. Amusé par je ne sais plus quel objet, je me suis mis en tête de le dérober à son propriétaire (à, la jeunesse...), un sorcier important de Khil'mehana. Pris la main dans le sac par un de ses sort, il en fut amusé de voir un ange voler (dérober, pas cuicui) et me donna ce surnom.]
VI/Une fois sortit, je déplia la carte. Elle semblait correspondre à ce plan, avec en plus une île centrale dont je n'avais jamais entendu parler, appelée CITADELLA. Fort de ces renseignements, je décidais d'embarquer sur un bateu à la recherche de cette île, mais aucun capitaine n'accepta de m'embarquer. Décu mais entêter, je décidais de ma glisser furtivement sur un des fiers vaisseux. Et je ne choisis pas le moins beau : je m'infiltrai sur le navire de la flotte impériale léonine, sur lequel j'avais apercu un grand général de l'armée. Je me disais que j'y passerais plus inapercu que sur une frégate de pirates. J'attendai donc le départ tapi dans un tonneau (le classique...manque d'imagination...). J'entendi le bruit de l'ancre se repkliant, le claquement des voiles au vent.
VII/Le début du voyage se passa plutôt bien, je restais cacché et surprit quelques conversations ininterreessantes. Soudain, un cri retentit. C'était la vigie, qui du haut de son poste avait donné l'alerte. Une chose étrange s'approchait à toute vitesse de "notre" navire. Une chose brillante, argentée même...une sorte de créature mettalique...Pourtant les créatures 'artefact n'ont jamais existé sur aucun des continents de ce monde ! Tous les canons du navire tonnait, mais, au cris de l'équipage, je comprit qu'elle avancait toujours. Conscient du danger, je décidais alors de sortir de ma cachette. Je bondis hors du toneau le moins discrètement possible, restat un instant en l'air au dessus du bateau et lança un puissant désenchentement (mana :24-3=21), effaçant du paysage cet...ce...la...chose. Au début, l'attention des marins était focalisé sur la mer, ne comprenant pas grand chose. Puis il reprirent leurs esprits et ce que je craignait arriva. Le capitaine du bateau, hésitant entre me considéré comme sauveur ou comme clandestin, me somma de venir avec lui dans sa cabine. Je décidai de suivre les ordres et le suivi, fatigué.
VIII/Dans sa cabine (richement décorée), il me demanda ce que je faisais sur son bateau. Je lui répondit que j'enquètais sur Citadella. Il rétorqua alors que je devais avoir des informations pour trouver l'île cachée, car lui en manquait. Je me décidais donc à lui montré ma carte plus que grossière. Satisfait, il en oublia l'interrogatoire et donna l'ordre de mettre le cap au sud-ouest, vers citadella. Après de longs jours de mer sur l'océan Egel, peu étre même des mois (donc repos, à nouveau 24 manas), nous arrivâmes en vue d'une barrière rocheuse étrange, qui semblait mettallique.Nous nous en approchâmes pour chercher un passage, lorsqu'un portail s'ouvrit devant nous...
IX/Il nous attirait vers lui sans que nous ne puissions rien faire, le navire étant bien trop lourd pour maneuvrer rapidement. Un vent de panique souffla sur le pont. Je me préparait à faire un Grand soin pour soigner au plus vite les éventuels bléssés, mais une fois entrés dans le portail, nous nous retrouvons immédiatement autre parts sur la mer. Le barreur, spécialiste du repérage des lattitudes et longitudes, nous appris que nous nous étions retrouvé exactement de l'autre coté de ce qui devait être Citadella... Nous réalisions alors qu'il était inutile d'essayer à nouveau de pénétrer la barrière et nous jetons l'ancre au port de mhoa'pôl(5 ).
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 25/04/2012 Grade : [Druide] Inscrit le 28/10/2003 | Envoyé par fabstein le Samedi 19 Juin 2004 à 17:20 Moi (Yvan Isaak, zombie)
me mit en quete de différents zombie dans le but de purifier notre beau plan!
Je chercha donc à aller le plus prés possible des differentes cités infestés...
Le repaire du diable étant au milieu de l'océan Det-Troy Je me mit en direction du sud dans le but avoué de tuer toutes les personnes qui oserait se mettre en travers de mon chemin...
Je traversea donc les montagne Völkan-iques en direction du maligno.
Je fis halte dans le petit village de Rham-Chtaïnn (9) ou je me mis en quete d'un hotel, malgré mon teint cadavérique, je réussis à communiquer avec les indigénes et je pût soutirer quelques informations:
_Les shamans ne sont pas vraiment courant dans cette région mais y sont trés respecté.
_Les dragons se reproduisent de plus en plus vite dans cette partie du monde et font des razzias dans quelques villages peu protégés.
_Les gobelins se regroupent en trés grande bande et essaient tant bien que mal de lutter contre les dragons.
_Ils font de la trés bonne musique dans Rham-Chtaînn...
Le soir je réussis à tuer quelques gueus et à leur voler de l'argent pour payer l'hotel...
Durant la nuit d'autres paysans découvrirent les cadavres, on pensa tout de suite à moi...
Ils furent tout de suite convaincu de mon innocence aprés m'avoir obsérvé:
_Je n'avais que la peau sur les os et je n'avais pas d'armes dangereuses sur moi (j'avais caché mon couteau dans le foin derriere l'hotel!)
_j'avais dis que j'était pretre et ils me crurent seulement aprés leur avoir montré ma bible...
Je passa une trés bonne nuit et le matin une demi-douzaine de dragon attaqua le village...
*remarque*
je pense que je vais écrire mon texte journée aprés journée...
[edit] je m'était trompé c'est pas 7 mais 9 Rham-Chtaïnn...
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OK merci pour les réponses que vous m'avez envoyé tous !
Vous pouvez aller sur ce site
Mon site perso
[ Edité par fabstein Le 19 jun 2004 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 26/06/2007 Grade : [Druide] Inscrit le 31/12/2002 | Envoyé par necros le Samedi 19 Juin 2004 à 17:41 Tant qu'on y est, voici ma description physique :
Ayant vécu plus de vingt ans (j'en ai 27 dans le jeu) isolé du monde civilisé, là où beaucoup croit que rien ne peut vivre, je ne me suis jamais soucié de mon apparence. J'ai de longs cheveux en bataille, la barbe grossièrement et irrégulièrement coupée, sans parler de mon grand manteau noir, couvert de boue, hérité de mon père. En termes de mensurations, je suis assez grand (1m86) et très maigre (Gringalet), ce qui est normal vu que je ne me suis nourris pendant cette vingtaines d'années que d'insectes, de diablotins quand ils étaient encore jeunes et que leur chair n'avait pas gout au souffre, et parfois d'animaux plus "nobles" quand il arrivait par miracle qu'ils s'aventurent assez loin dans les marais. Maintenant, reprenons où en en était. J'étais donc en train de suivre TheGnome, pressentant que celui-ci me ménerait à un je-ne-sais-quoi qui ferait ma fortune et qui me permettrait de payer les soins de ma grande tante, gravement malade, qui est la seule personne pour qui je compte. C'est au cours de ce périple que je me ms à ressentir les douloureux effets, tant sur le plan physique que moral, de mes carences alimentaires. Tandis que lui parraissait pouvoir parcourir des kilomètres sans s'arreter (10 en endurance), je ne pouvais pas, moi, tenir le rythme (3 en endurance) et je du bien vite me résoudre à abandonner la poursuite. Par chance, nous passames près d'une taverne et je pu discrétement lui fausser compagnie. À peine eut-je pénétré dans l'établissement, que des rires bruyants se mirent à soudre. Entre mon aspect de "clochard des grands chemin" et la boisson qui embrumait leurs esprits, les clients de ce débit de boisson avait trouvé tout ce qu'il leur fallait pour égayer leur journée. Cela me mis dans une rage folle. Malgré toutes les courbatures que m'avais donné le voyage, je ne fut pas long à invoquer le sort qui allait leur faire regretter leur situation. J'incanta un énorme démon sorti tout droit des entrailles de l'Enfer. D'un coup, l'ambiance changea de tout au tout. Il y avait quelques mages et guerriers dans l'assemblée, mais entre la peur que leur inspirait le démon et la quantité d'alcool qu'ils avaient ingérés, s'aurait été un miracle qu'ils parviennent à se battre ou à jeter des sorts. Et j'ordonnai donc à mon familier, qui devait surement avoir faim, de se repaitre avec leurs cerveaux rachitiques (ben quoi, je suis un mage noir, j'allais quand même pas leur jetter des fleurs !). Ce fut une vrai boucherie, à part moi et le démon il ne restait dans la taverne que des cadavres atrocément mutilées. Je désinvoca la créature pour être plus tranquille (pas que je l'aime pas, mais l'odeur est assez terrible), et je m'en fut me servir au bar, avant d'aller m'assoupir sur une table, entre deux hommes empalées entre eux avec leurs propres cages thoraciques, et de commencer un bon sommeil réparateur…
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 02/06/2010 Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2003 | Envoyé par Bhaal le Samedi 19 Juin 2004 à 18:34 Je parcourais les sombres allées de Verast' Talar quand je vis un homme à l'air inquiet. Au dessus de ses vêtements, il trainait une grande cape et il portait un chapeau. Il ne cessait de regarder derrière lui pour vérifier qu'il n'était pas suivit. Je lui emboitai le pas, me rapprochant furtivement de lui. Dès que je fut assez proche de lui, je m'assurai que personne ne nous voyait et je l'assomai d'un coup sur le crâne.Je pris son or, sa cape et son chapeau. En le tuant, je m'apperçus qu'il avait aussi le tatouage.
Après m'être revêtu de la cape et du chapeau, je partit à la recherche d'une taverne. Ce ne fut pas très long à trouver, car les tavernes étaient très courantes. Mal famées, mais courantes. Je pris une poignée de pièces d'or, et j'interrogeai le barman à propos de ces hommes aux tatouages. Je faisais peur au barman. Grâce aux habits et à ma furtivité qui me permettait de dissimiler mon visage, il ne pouvait pas voir que je n'étais pas humain, mais quand il regardait mon visage , il voyait une masse sombre percée de deux points rouges, et cela semblait le mettre mal à l'aise. Barman: Que voulez-vous? Kal: Je cherche un homme, il a un tatouage sur le cou. Un tatouage qui représente une faux plantée sur un crâne. Barman: Je ne sais pas qui vous êtes, ni qui est l'homme que vous recherchez, mais si il a ce tatouage sur le cou, je ne vous conseille pas de l'approcher. Il fait partie de la plus grande guilde de la ville. Ils ont la magie, ils ont la force, ils ont les armes donc ils controllent la ville. C'est comme ça que ça se passe ici. Si vous lui voulez du mal vous aurez de gros ennuis. Kal: peu importe. Où se trouvent-ils? Où se cachent-ils? Barman: On dit qu'on peut atteindre leur repaire par les egouts. Mais c'est dangereux, encore une foi je vous déconseille d'y aller. Je sortit vivement de la taverne. Je repensais aux paroles du barman: ils ont le pouvoir, donc ils dirigent. Cette idée me plaisait. Il me fallait vite trouver un moyen de les trouver en passant par les égouts. Je trouvai facilement un passage vers les égouts. Tandis que je marchais dans ces tunels interminables, je regardais les rats, et je m'amusais de l'analogie entre ces rongeurs qui pataugent dans l'eau croupie à la recherche de quelque nourriture et les hommes a Merrashasard, qui rampaient dans les marais pour trouver des artefacts. Soudain j'entendis des voix: deux homes venaient tout en discutant. Je les suivis discretement jusqu'au repère. C'était bien l'endroit que je cherchais, sur la porte était gravé le symbole avec la faux. Je sortit des ombres, et me présentai à ces hommes: Kal: Bonjour messieurs, je suis Kal Su. Je voudrais que vous me conduisiez à votre chef. Ils décidèrent qu'il valait mieux m'éliminer. Je regardai le premier homme qui chargeait avec son épée, et je lui lançai boomerang (30). Il alla s'empaler sur quelque pieux surement placé là pour prendre au piège les curieux qui se seraient trop approcher du repère. L'autre homme me regardait avec effroi. Il avait vu ses flèches rebondir sur mon corps. je m'approchai de lui, et j'enlevai ma cape, révélant ainsi ma véritable nature. Après ça il accepta de m'emmener voir le chef. Sans doute pensait-il qu'il pourraient me tuer ou m'utiliser Je remis ma cape et le suivis à travers le repère. Les membres du clan nous regardaient passer sans trop se soucier de nous. Soudain nous arrivâmes devant le bureau du boss. L'intérieur du bureau ressemblait au reste du repère c'est à dire aux égouts, excepté que dans le repère il n'y avait pas d'eau et moins de rats. Le boss était assis sur une espèce de grand trône avec à ses côtés ses guardes, un mage et deux guerriers. Mon guide s'expliqua auprès de son patron: Guide: boss il voulait vous voir, il n'est pas humain il... Boss: Silence! Il me regarda attentivement tentant de découvrir ce que j'étais vraiment. Boss: toi là! tu as bien un nom? Qui es-tu? Que veux-tu? Parle sinon... Kal: Mais avec plaisir "boss". je suis Kal Su, et je suis venu pour vous demander de vous mettre à mon service vous et votre guilde. Boss: tu ne manque pas de culot. Venir ici en plein milieu de mon repère, chez moi et me menacer, il faut avoir du courage, où être idiot. D'autant plus que tu ne m'as toujours pas dit qui tu es si ce n'est que tu t'appelle Kal Su... Kal: Je ne vous le demandrai plus, soumettez vous sur le champs. Boss: ASSEZ! Son sorcier incanta un sort de connaissance. Je le laissai faire. Quand il eut finit, il découvrit ce que j'étais et il écarquilla les yeux avec effroi. Du coin de l'oeil, je vis celui qui m'avait guidé décocher une flèche. Je me retournai, et je lançai boomerang (28) sur la fleche, la renvoyant à l'expéditeur qui s'effondra la crâne percé. Les deux guardes s'approchaient de moi, le mage se préparait à incanter. Le boss me dit: Boss: tu n'aurais jamais du venir ici imbécile, tu croyais vraiment être assez fort pour me tuer? Kal: mais je ne veux pas vous tuer "boss". J'éclatai d'un rire fou. Kal: maintenant vous m'appartenez. Et j'incantai vol éhonté(19) prenant ainsi le contrôle absolu du boss et des ses trois guardes. Je possédais désormais ma propre guilde qui allait servir mes desseins... Il me fallait maintenant me mettre en veille(40) et méditer sur ce que j'allais faire avec mes nouveaux esclaves.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/02/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2004 | Envoyé par Ranran le Samedi 19 Juin 2004 à 18:37 pour tout le monde : chacun peut il mettre exactement l endroit ou il est et avec qui
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[ Edité par Ranran Le 19 jun 2004 ]
___________________ laissez vivre les pince-cranes
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 02/06/2010 Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2003 | Envoyé par Bhaal le Samedi 19 Juin 2004 à 18:45 *remarque*
Okay je suis a Verast' Talar(4 à Malignio) et je suis tout seul
mais il suffit de lire l'histoire pour le savoir
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/02/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2004 | Envoyé par Ranran le Samedi 19 Juin 2004 à 18:50 ok pour toi Bhaal mais il y en a qui parle d'une ville mais il mettent pas le continent alors on se paume
___________________ laissez vivre les pince-cranes
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Samedi 19 Juin 2004 à 18:55 *Remarque*
Ranran m'a doublé j'allais justement le demander... Bon sinon pour moi je suis en train de survoler les terres du Darshan jusqu'à la ville n°15 Khil-Mehana.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/02/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2004 | Envoyé par Ranran le Samedi 19 Juin 2004 à 18:58 Depuis quelque jours, tout les humains que j'ai interrogés ne parlait que de lui. MIMURA le traitre,le sorcier qui a abatu huit de ses semblables. Selon les renseignement que j'avais reussis a arracher a mes victimes Mimura était un grand connaisseur d'artefact, et puisque l'ile de citadella était elle meme en metal, Mimura saurait peut-etre comment pénétrer dans cette ile.
en se moment il devait se trouver pret de Khil-Mehana. Je me lançait donc a sa poursuite..... ha ha ha ha ha....
___________________ laissez vivre les pince-cranes
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 25/04/2012 Grade : [Druide] Inscrit le 28/10/2003 | Envoyé par fabstein le Samedi 19 Juin 2004 à 19:08 *remarque*
Moi en ce moment je suis (tout seul) sur le continent Völkan et Rham-Chtaïnn (9) se situe environ 5 kilometres au nord de Ssath Aune... *2°remarque* Pourquoi n'y a t'il pas plus de zombies?
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/02/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2004 | Envoyé par Ranran le Samedi 19 Juin 2004 à 19:10 moi je suis un slivo mais j'suis le seul donc pour le partage des capas c'est pas top
___________________ laissez vivre les pince-cranes
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Samedi 19 Juin 2004 à 19:14 Je me réveille... j'ai dû dormir une bonne dizaine d'heure... ma réserve de mana est pleine (50) et j'aperçoit au loin sous le soleil brulant les batiments de Khil-Mehana, les ailes de mon élémental sont encors là pour quelques heures ce qui nous permettra d'arriver tranquillement.
Aprés une petite heure l'élémental se pose un peu en retré pour éviter d'être remarqué, je lui demande de rester là pour le moment et de m'attendre. J'approche de la ville et utilise ma furivité pour me fondre dans le décors, j'entend les sirénes urler : "Traitre en cavale! Traitre en cavale!" j'ai peur d'arriver trop tard pour sauver ma famille... J'entre dans la ville, pratiquement personnes ne se trouvent dans les rues, ils doivent sans doute tous penser que je compte revenir ici, ils ont raison, me voila. J'arrive chez moi, il fait sombre, tout les rideau sont tirées... Je fait fremir un peu de mana de ma réserve afin de faire s'illuminer mon baton, mes parents sont assi sur le fauteil, le crâne ouvert et le cerveau retiré, c'est le sort que l'on réserve au traitre et à leur parent... Je n'ai plus de temps à perdre leur tombeau seront leur maison, je descend à la cave et ouvre une petit trappe dissimulé et je prend les artefacts ainsi mise à l'Abri quelques années auparavent. Il y en a 5 dont 3 bombes, 2 de ses bombes sont indiquée "AEther" et réclame du mana bleu pour être enclanché, l'autre est indiqué "Pyrite" et réclame du mana rouge. Un autre de ces artefacts est une sorte d'anneau, j'analyse brievement a l'aide de ma mécanique cet anneau et je comprend rapidement son mécanisme, il permet de modifier la couleur d'un mana de son porteur, mais cela ne peut monté à plus de 3 mana s par sorts... le troisiéme artefact est un équipement, une sorte de masque, celon mon analyse il permettrait, en accumulant 3 mana de n'importe quel couleur, de connaitre les intension d'une tierce personne. pas le temps de plus d'analyse je range tous ça, la charge est suportable mais je ne pourrais rien porté de plus, j'enfile l'anneau à mon doigt et je sort de chez moi, puis de la ville pour aller retrouver mon élémental.
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