Magic : The Adventure

Bluerain
Gidéon, en entendant ce que dit Niaryu, parla a son tour

Gidéon : Surtout, Teszi, ne parlez à personne de ce que sont les arpenteurs. Pas même à mes soldats. Ne vous référez qu'à moi.

Teszi acquiesça, et se tourner vers le soratami, une certaine larme à l’œil.

Teszi : J'aimais beaucoup ma mère. Excusez-moi, mais.. Il se fait tard, j'aimerai être seule maintenant.

Pas de sushis de problème, merci d'avoir coopéré.

Sur ce, je la laisse tranquille.

En effet il se faisait tard, on est déjà en deuxième partie d'après-midi. Il faut que j'aille interroger la petite amie, et enfin que je rejoigne les autres au parc, à plusieurs heures de marche d'ici. D'ailleurs ça me fait penser que comme je ne connais pas le chemin, un guide me serait appréciable pour éviter de demander mon chemin à des gens tous les cinquante mètres.

Excusez-moi Gidéon, auriez-vous un soldat qui connaît bien la ville à me prêter pour la journée s'il-vous-plaît ? Il y a encore deux endroits où il faut que j'aille, et ça me permettrait de rejoindre plus vite mes compagnons.

Je pense que mes compagnons ont déjà dû arriver au parc, quant à moi je ne crois pas que j'y arriverais d'ici le crépuscule, d'autant plus que la petite amie n'habite pas sur le chemin mais qu'il faut faire un petit crochet. Et que je ne sais pas pour combien de temps j'en aurais. Et à supposer que ce soit rapide, même en courant ou en volant pendant une partie du trajet, ça ferait trop juste, le soleil est déjà assez bas sur l'horizon... Enfin je verrai, d'abord l'interrogatoire, c'est le plus important de mon coté. Les autres sont normalement assez nombreux pour pouvoir se débrouiller sans moi. D'ailleurs pour cette raison, je crois que si je n'ai pas de raison d'aller au parc je vais retourner à l'auberge plutôt, pour me préparer à partager mes informations à mes amis. Surtout si l'interrogatoire dure. Et puis s'ils quittent le parc avant que j'y arrive, ça ne servira pas à grand chose. Oui c'est ça, après l'interrogatoire je retourne à l'auberge.

Bluerain

Gidéon : Bien entendu. Partez à dos de cheval, vous irez plus vite.

Il se retourne, parle à un de ses soldats. Celui-ci fait un salut militaire à Gidéon, et s'approche de Niaryu.

Soldat : Bonjour, monsieur ! Laissez-moi vous guider, nous prendrons mon cheval. Nous serons chez la petite amie du jeune Elimar en un rien de temps !

[hrp] j'ai édité mon message précédent [/hrp]

Gidéon me présente un soldat et me propose de voyager à dos de cheval.
Deux chevals ? Qu'est-ce que c'est, ça se mange ?
Ah, non, je me rappelle, c'est un animal. D'ailleurs ils en servent en lasagnes à l'auberge.

J'indique au soldat l'adresse de la petite amie (ex ?) de Zalev.

Soldat : Bonjour, monsieur ! Laissez-moi vous guider, nous prendrons mon cheval. Nous serons chez la petite amie du jeune Elimar en un rien de temps !

Si tôt dit, si tôt fait, après être monté, d'un bond léger et gracieux (et un peu magique aussi, mais c'était tellement fluide que ça ne s'est pas vu), sur le cheval, je me retrouve en deux temps trois mouvements chez la petite amie. D'ailleurs j'ai cru au premier virage que j'allais être désarçonné, mais je me suis bien agrippé à la selle comme le soldat m'avait indiqué.

Je descends de la monture, puis frappe à la porte.

En attendant une réponse, je remercie le soldat :

Merci, vous pouvez m'attendre devant, je ne devrais pas en avoir pour longtemps.

Bluerain
La porte s'entrouvre très légérement, et la voix fluette d'une jeune fille, dont on ne distingue pas le visage, répond.

Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?

[hrp]

Le 20/09/2016 à 17:10, Bluerain avait écrit ...
Gidéon me présente un soldat et me propose de voyager à dos de cheval.
Deux chevals ? Qu'est-ce que c'est, ça se mange ?
Ah, non, je me rappelle, c'est un animal. D'ailleurs ils en servent en lasagnes à l'auberge.

Oui, l'auberge Faim d'Usse [/hrp]

Loin de Niaryu, nos amis Ahès et Havor patrouillaient le parc, de même que Shiryu et Archel qui s'efforçaient d'être plus discrets.

Aaaah, un peu de nature autour de nous ! Je commençais à saturer des grands bâtiments de pierres Boros.
Cela faisait plusieurs heures que nous tournions dans le parc, sans succès.
Quand tout d'un coup, alors que nous nous rapprochions pour la énième fois du centre du parc :

Havor...

J’arrêtais mon compagnon en tendant le bras et en posant ma main sur son torse.

Tu ne sens rien ?

Il me regarde d'un air circonspect. Comme pour répondre à son regard, je lui murmure :

Je ressens... un très grand stress qui vient de la place.

Je marque un temps.

Mon rayon d'action est faible, la source ne doit pas être très lointaine. Sois sur tes gardes.

Avec plus d'attention que jamais, nous partons en direction de la place centrale.

J'envoie à Shiryu et Archel par lien télépathique :

*Venez. Centre du parc. Le plus vite possible. Soyez prudents.*

Cela faisait déjà un certains temps que Ahès et Havor patrouillaient dans le parc, sans avoir détecté le moindre signalement pouvant correspondre à Selapian. Havor avait déjà connu des situations militaires, mais cela faisait longtemps qu'il n'avait pas fait de tour de garde. Aussi, jusque là, il s'était efforcé de maintenir ses sens en alerte, sans pour autant avoir l'air suspect, ce qui, malgré le camouflage magique de sa tenue et de son épée, était loin d'être réussi. Même si le parc était moins fréquenté qu'en journée, il y avait encore de l'activité, et retrouver leur homme parmi tout cette foule ne serait probablement pas une mince affaire. Pour l'heure,  il se "promenait" aux côtés de Ahès, non loin de la place centrale. Alors qu'il était distrait par une bribe de conversation, il sentit brusquement le bras de celui-ci se poser contre sa poitrine.

Havor...

Il se retourna, interloqué, vers Ahès.

Tu ne sens rien?

Alors qu'il était prêt à lui répondre, celui-ci avait déjà anticipé sa réponse.

Je ressens... un très grand stress qui vient de la place. Mon rayon d'action est faible, la source ne doit pas être très lointaine. Sois sur tes gardes.

Conscient du danger, Havor prépara discrètement un sort de protection pour lui et Ahès, tout en continuant de se déplacer, qu'il étendrait à Shiryu et Archel le moment venu.

*Si on vous attaque, essayez de croiser vos bras devant votre visage. Je sais que ce n'est pas forcément évident si on n'a pas l'habitude,  mais j'ai préparé un sort de défense qui réagira à ce réflexe pour vous protéger si c'est nécessaire.*

A la réception des instructions, je me déplaça tranquillement en direction de la fontaine central, déposant ma main gauche sur la garde de mon épée, et laissant mon bras droit ballant.

Sur me garde, je scrutais avec précision, toute la place....
A l’affût du danger.....

Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?

Bonjour, c'est à propos de la lettre que vous avez remise aux boros il y a quelques temps. Voyez j'ai même un soldat boros qui m'accompagne. Je sais qu'ils ont déjà dû longuement vous interroger, mais je mène une enquête complémentaire et si c'est possible j'aimerais vous poser quelques questions, ce sera assez rapide à priori.

Bluerain

Petite amie  : J'ai déjà dit tout ce que je savais. Maintenant allez vous en, je ne veux plus reparler de ça.

Les autres

En prenant en compte les avertissements d'Ahès, vous remarquez tous (sauf Xbod qui manque un peu d'intelligence ) un vedalken, seul, qui semble s'impatienter, à se frotter les mains, se caresser la nuque, bref, des marques de stress très visuelles.

Instinctivement, je dis, d'une façon qui montre que ça me tient à cœur :

Juste une question alors ! Êtes-vous toujours officiellement la petite-amie de Zalev ? On le recherche en ce moment !

[hrp]Tu n'indiques pas par rapport au plan où est le védalken ?[/hrp]

Via la télépathie.....

Vous avez un visuel sur quelqu'un ?
Je n'ai rien repéré a mon grand dam !
D'ailleurs on l'intercepte tout de suite en publique, ou on le suit jusqu’à une ruelle ou ailleurs ?

Si vous avez un sort ou une technique d’immobilisation non douloureuse ou létal, ça pourrais aider, je ne voudrais pas avoir a lui entailler les muscles des jambes....

*Tout de suite. On risquerait de le perdre de vue, on ne peut pas prendre ce risque.*

Juste devant nous, un vedalken. C'est de lui que vient la source de l'émotion vague que j'avais ressenti. En effet il était tout près.

*Je tente de l'approcher. Les autres, tenez-vous à l'écart pour l'instant.*

Je me rapproche un peu plus du vedalken, deux mètres nous séparent. J'attire son regard :

Bonjour !

Lui dis-je en lui souriant.

Assise près de la fontaine, je m'étais égarée dans mes pensées, dont me tirèrent les avertissements d'Ahès et Havor. En attendant de voir ce que donnerait la tentative d'approche du premier, je me concentrais pour essayer de détecter une éventuelle énergie hostile (i.e. un sort en préparation) à proximité. Si Selapian était tendu, rien n'interdisait qu'il panique et nous attaque.
Remarque que je préférerais encore l'attaque à la fuite... J'ai horreur de devoir courir après quelqu'un.

Bluerain

Non, nous ne somme plus ensemble. Maintenant, partez.

Les autres
Pris de surprise, le vedalken regarde Ahès, remarque que plusieurs personnes l'observe, et part dans l'autre sens en courant aussi vite qu'il peut, bousculant n'importe qui se trouvant sur son chemin.

En prenant en compte la surprise, le temps de réaction, et l'allure du personnage, il vous faudra un physique de 5 pour lui courir après et le rattraper o/ .