[Magic: L'assemblage]-topic officiel-

J'aime bien personellement.

Oué c'est tout bon ça mais j'ai quelque chtite remarque: J'ai pas compris l'invoquation (La je sais pas c'est put-être moi qui suis initéligent )
Pour le besoin j'aurais mis ça:

Besoin [terrain de base] (En tant que cout suplémentaire pour jouer ce sort, révêlez une carte de [terrain de base] depuis votre main.)

Enfin je dit ça se n'ai que mon ponit de vue il me semble juste que c'est plus juste
Sinon tes scann j'ai dit qu'ils étaient pas exelent c'était avant d voir ce de madjick (Sans vouloirs l'insulter ^^) Ils sont pas si mal que ça finalement tu pourrait les continuers

ouais, mais je préfère les recommencer...
le besoin, alors c'est comme ça:

Besoin [terrain de base] (En tant que cout suplémentaire pour jouer ce sort, révêlez une carte de [terrain de base] depuis votre main à moins que vous n'ayez un [terrain de base] en jeu)

et l'envoquation, c'est un moyen de jouer des sorts moins chers mais pas tout le temps...

voilà, c'est modif.
Et en cadeau, la suite de la SL!!

4. La quête d’Aâmo

Aâmo : Quoi ??
Trido Sanam : Oui, tu as bien compris. Tu vas aller récupérer cette épée car tu es le seul à en avoir besoin.
Aâmo : Et pourquoi ne pas envoyer une armée ?
Trido Sanam : Simplement parce qu’elle doit rester ici pour protéger la forteresse contre les Slivoïdes et aussi contre les Urrtz.
Aâmo : Bon, d’accord. J’irai. Mais pourquoi ne puis-je passer par le nord, contourner leur forteresse et y entrer par effraction ? Et en plus, que ferai-je une fois entré là-dedans ? Je me présenterai à leur chef et je lui demande de me rendre l’épée qu’il a malencontreusement volée ?
Trido Sanam : Ne soit pas bête ! Bien sûr que non ! Je te donnerai une gourdelette de potion à invisibilité que tu utiliseras pour entrer, prendre l’arme et sortir.
Aâmo : Et q’arrivera-t-il s’ils m’attrapent quand je sortirai ?
Trido Sanam : Tu n’auras rien à craindre, tu es jeune et cette arme te conféra une telle puissance qu’ils sentiront une aura autour de toi. Même un mort craint une telle puissance.
Aâmo : Oui, mais j’ai déjà demandé monseigneur, mais je le refais : pourquoi ne puis-je pas passer par le nord ?
Trido Sanam : Simplement parce qu’une Légende dit que tout au Nord se trouve une mer - un lac encore plus grand que le Lac sacré – qui entourerait la terre qui entoure elle-même le lac sacré. La terre aurait en fait une forme d’anneau.
Aâmo : Alors c’est sûr ? Je dois contourner ce lac pour atteindre le flanc opposé de leur forteresse ? Mais ne vais-je pas me cogner contre leur armée ?
Trido Sanam : Non. J’ai parlé avec le Général de l’armée, il dit que toutes les troupes de l’ennemi sont concentrées à l’est.
Aâmo : Et quand pars-je ?
Trido Sanam : Tout de suite.
Aâmo : Par où devrais-je partir ? Au Sud ? Mais je croyais que le lac était infranchissable.
Trido Sanam : Exact, il est infranchissable. Tu vas donc aller à L’est. Tu contourneras le lac et remonteras jusqu’à la forteresse des squelettes. Là-bas, tu utiliseras la potion que je te donnerai pour entrer, prendre l’épée et ressortir. L’épée à une puissance magique telle, que la potion n’aura plus aucun effet dès que tu l’auras touchée. Tu sortiras, brandiras l’arme pour que les squelettes reculent et, si besoin est, tu attaques.
Aâmo savait que ce ne serait pas aussi facile mais accepta plus ou moins facilement la tâche donnée. Il déglutit mais savait qu’il était le seul à pouvoir accomplir cette tâche, sachant que Trido Sanam avait toujours raison, il ne pouvait faillir, à moins que les autres peuples vivant autour du lac ne fussent aussi pas pacifiques que les Urrtz.
Un quart d’heure plus tard, Aâmo était prêt. Il avait, dans une sacoche, la potion du druide, son petit couteau, pensant que l’épée ne serait pas la bien venue s’il devait entrer dans une forteresse inconnue, et ses habits les plus chauds, car la première étape était de franchir les hautes montagnes de l’est, qui n’étaient, bien sûr, pas très chaudes…

pas mal faut continuer

ben ok, je poste le chap.5 de la SL:

5. La quête

Aâmo avait froid. Ses jambes claquaient au vent, comme des fanions déchirés par le gel. Il avait quitté la forêt il y a de ça deux semaines et ses ressources allaient bientôt manquer. Il avait entendu parler de la fragilité des elfes face au froid, mais il n’y croyait pas vraiment. Il traversait un col large d’au moins 3 miles. Derrière se trouvait une vallée déserte avec quelques arbres parsemés par-ci par là. Ses nuits étaient longues et inconfortables. Les arbres ici présents pourraient au moins lui fournir un bon endroit pour passer la nuit, mais il n’0était pas question de dormir car il était à peine le matin. Quelques heures plus tard, Aâmo s’était allongé sur un rocher bleu clair, typique des Tabaroschna.
Igor Gregoriov : Ah ! en voilà un ! Mais… C’est un elfe !
Zdaeth Jdigorod : Tu crois qu’il est mort ?
Igor Gregoriov : Mais non, crétin! T’as un crâne de gobelin ou quoi ?
Zdaeth Jdigorod : Jet e rappelle que je suis un gobelin. Et arrête de me parler comme ça, sinon j’arrête de travailler avec toi.
Igor Gregoriov : Oui, bon d’accord. Je voulais te dire qu’il ne peut pas mourir ici car il n’y a pas de prédateur dans un rayon de 10 miles !
Zdaeth Jdigorod : Alors pourquoi sommes-nous venus ici pour chercher dews morts?
Igor Gregoriov : Euh… On ne sait jamais ; avalanches, éboulements,… Tout ça, quoi.
Zdaeth Jdigorod : Ouais, ouais, c’est ça !
Aâmo : Qui êtes-vous ?
Igor Gregoriov : Tu l’as réveillé !
Zdaeth Jdigorod : Moi? C’est toi qui parles trop fort!
Aâmo : Oui, enfin, je ne sais pas et ça m’est égal mais qui êtes-vous ?
Igor Gregoriov : Attends, Zdaeth, je crois qu’il est étranger!
Zdaeth Jdigorod : Bravo! T’as un crâne d’homme, ou quoi ?
Igor Gregoriov : Je suis un homme! Et arrête de me parler comme ça !
Zdaeth Jdigorod : Oui, bon. Je voulais dire qu’il n’y a que des gobelins et des humains ici! Aucun elfe ! Niet !
Igor Gregoriov : Alors, d’où vient-il ?
Zdaeth Jdigorod : Euh… Je ne sais pas. Je dirais de la forêt, de l’autre côté des montagnes. Il a l’air fatigué.
Aâmo : Où suis-je exactement ? Je n’ai pu m’orienter depuis mon départ. Je cherche la forteresse des Montagnes.
Aâmo ne connaissait pas le nom exact de la forteresse mais se dit que ça n’avait pas d’importance. Il devait aussi faire confience à ces personnes car il n’avait pas le choix. L’homme était grand, pour un homme bien sûr. Le gobelin, quant à lui, semblait petit et insignifiant. Et bête aussi. Pourtant, il avait l’air d’être le chef et c’est à lui qu’Aâmo s’adressa :
Aâmo : Est-elle loin cette forteresse?
Zdaeth Jdigorod : Euh, non, pas du tout! Une petite journée de marche d’ici ! Nous pouvons t’y conduire, si tu veux !
Aâmo était ravi d’avoir trouvé de l’aide. Il se rassura aussi du fait que la forteresse des montagnes ne sera pas hostile à son égard. Les deux compagnons s’étaient mis à l’écart :
Igor Gregoriov : Qu’est ce que tu fais ? Tu es fou ?
Zdaeth Jdigorod : Non ! Surtout pas ! C’est notre plus grosse trouvaille ! Un elfe ! Tu te rends compte ? Un elfe, ici !
Igor Gregoriov : C’est vrai. Et lui qui croit que nous sommes de gentils passants ! C’est trop beau !
Un jour plus tard, Aâmo arriva à la forteresse Cruchniov. Il l’avait appris durant le voyage, en bavardant avec le gobelin.

bon, même si le topic n'est habité que par de rares passants, je continue quand même!!
pour la réa, je suis en train de travailler dessus, mais bon... sans toshop, c'est forcément plus dur! (mais j'arrive!)
alors voici, pour vous faire attendre (les plus patients d'entre vous) un chapitre de la SL...
6. La vente

Aâmo : Mais, qu’est ce que vous faîtes ??
Igor Gregoriov : Eh bien, ça se voit non ?? Je te déshabille !!
Zdaeth Jdigorod : Et moi, je suis là pour voir si tu veux ou non partir en courant ! dit-il en montrant une lame assez longue pour un gobelin.
Aâmo s’était couché la veille, au soir après avoir bu une quantité énorme d’alcool. Les deux commerçants s’étaient couchés, eux aussi et s’étaient réveillés tôt le matin pour préparer l’elfe à la vente d’esclaves. Ils s’étaient emparés de sa lame et de sa fiole contenant la potion secrète du druide Sanam.
Igor Gregoriov : Ouah Zdaeth ! Regarde moi cette boisson ! On dirait un truc magique !
Aâmo : Non ! Rendez-le moi !
Igor Gregoriov : Surtout pas! Tu nous appartiens et toutes tes anciennes possetions sont maintenant à nous !
Zdaeth Jdigorod : Ouais ! Et on pourra vendre ça assez cher en plus !
Igor Gregoriov : Non ! Ce sera en plus de l’elfe, pour un petit prix en plus. Pour attirer les riches en fait.
Aâmo : Et à quoi elle va servir cette eau ?
Zdaeth Jdigorod : Ah pac’que c’est de l’eau maintenant ?
Igor Gregoriov : Oui ! Tu voulais qu’on te rende une petite fiole d’eau ? Pour te sauver ??
Aâmo : Eh bien, oui !
Igor Gregoriov : Il nous prend pour des idiots ! On le vendra plus cher que prévu en disant qu’il est très poli, les gens vont demander si c’est vrai, il va dire des trucs ignobles…
Zdaeth Jdigorod : et comme tout le monde sait que les esclaves mentent toujours et font des trucs qu’ils ne font pas normalement…
Igor Gregoriov : Ils vont l’acheter ! Oh je suis un génie !!
Aâmo : Bof…
Aâmo était maintenant vêtu d’un bout de tissu bon marché qui traînait sur le sol pendant que les deux complices bavardaient à voix basse…
Zdaeth Jdigorod : Voilà ! tu viens tout de suite ! Il va falloir installer l’étalage vite aujourd’hui ! La concurrence aux esclaves sera rude…
Igor Gregoriov : Oui, mais nous avons un elfe !!!
Zdaeth Jdigorod : C’est vrai…
Igor Gregoriov : Et nous serons riches !!
Zdaeth Jdigorod : C’est vrai !
Igor Gregoriov : Et toi, là! Avance !
Zdaeth Jdigorod : C’est vrai, t’avances !
Aâmo : Bon…
Les stands avaient déjà commencé à se placer au bord de chaque rue de la ville. Les murs étaient cachés par les étalages de tissus, d’armes, de viande, de morceaux de peau, et d’autres…
Igor Gregoriov : Ah ! Les autres ont pris la meilleure place ! On a qu’à prendre celle-là, tiens !
Zdaeth Jdigorod : Ouais ! Et on y installe notre elfe !
Une fois le stand installé (c'est-à-dire un elfe et quelques couteaux), les deux commerçants commencèrent à crier :
Igor Gregoriov :Venez voir l’elfe du siècle ! Il peut vous faire un esclave très convainquant et, pour seulement cent pièces d’or de plus, vous avez une boisson elfe magique !
Zdaeth Jdigorod : Et qui est très rare !!
Aâmo : N’importe quoi…
Igor Gregoriov : Ah ! Voilà un client potentiel !!
Zdaeth Jdigorod : Venez mon cher !
Igor Gregoriov : Je suis sûr que vous cherchez un esclave convainquant !
Pendant ce temps, Aâmo ramassa une arme de l’étalage, se défit les liens qui paralysaient ses bras, prit la potion qui était à côté de lui et la but sans hésiter.
Zdaeth Jdigorod : Qu’est-ce qu’il fait ??
Passant : Mais qui donc ??
Igor Gregoriov : Mais l’elfe voyons ! D’ailleurs, où est-il ??
Zdaeth Jdigorod : Il a disparu !
Non, Aâmo était juste derrière le gobelin entrain de lui prendre son or dans sa bourse.
Igor Gregoriov : Tu vois ce qui est arrive par ta faute??
Zdaeth Jdigorod : Ma faute? C’est qui l’humain ici? C’est toi ! C’est toi l’incapable !
Aâmo avait cependant un énorme problème, il avait utilisé sa fiole pour une raison autre que pour laquelle il a reçu le liquide… il lui fallait rentrer chez lui et revenir…

et les scans?

bah justement...
j'ai problème de pixélisation, côté SE, alors il faut que j'arrive à régler ça, et après c'est bon!

3 semaines plus tard...

hum... chaqun a le droit à ses vacances, non?? j'étais parti tout ce temps, alors...
mais bon... pour demander pardon (ironique...): voici le next chap.!

7. Fuite

Aâmo sortit facilement de la cité, grâce à son invisibilité. Une fois dehors, il ne reconnut point les monts de l’entrée de la forteresse… il en conclut qu’il était sorti de l’autre côté de la forteresse. Il voulut la retraverser mais se retint, si disant que son invisibilité ne durerait pas assez longtemps… Alors il continua son chemin en espérant arriver au prochain territoire sans encombres…
Il marcha et descendit des montagnes pour se retrouver dans une immense plaine d’herbe courte et chaude. Des arbres poussaient ça et là pendant que des buissons étaient à de rares endroits où on trouvait de l’ombre. Aâmo se coucha sous un arbre pour essayer de se reposer, mais l’ombre bougeait trop vite. Il décida de monter dans les branches pour y être bien. Il grimpa en s’agrippant à chaque branche qui lui passait sous la main jusqu’à ce qu’il arriva en haut. Une fois à la cime, une bête avec de longues griffes lui sauta dessus. Il avait essayé de pénétrer dans le nid de la chose et elle voulait le défendre… c’était normal ! Mais une chose n’était pas normale, la bête lui sauta dessus et l’attaqua encore et encore, alors qu’un animal souhaitant protéger son nid ne s’en éloigne pas… Aâmo trouva la solution pendant qu’il se battait avec la bête : C’était un slivoïde ! Ils avaient envahi cette plaine ou des arbres… Ce n’étaient que des géniteurs, car leur griffe gauche n’était pas aussi développée que la gauche… Le jeune elfe courut pour échapper au slivoïde qui ne pouvait pas se déplacer vite, il était bien trop gros… Aâmo vit une forêt au loin et se mit à courir encore plus vite, évitant les arbres.
Une fois au sous-bois, Aâmo se permit une pause. Il scruta le fond de la forêt pour s’assurer que rien de déplaisant ne s’y cachait et se coucha à côté d’un buisson. Il s’endormit.
Il dormit mal et était très agité, ceci sûrement à cause des spores qui commencèrent à s’accumuler autour de lui. Soudain, il se réveilla en sursaut et vit devant lui une forme apparaître dans le brouillard jaune de spores. Il voulut courir hors de la forêt mais se rappela à temps de ce qui se cachait dans les arbres. La forme se précisa et un monstre brun de terre apparut devant ses yeux. La chose était au moins aussi grande qu’un elfe, voir plus et avait deux jambes et deux bras, comme un elfe. Mais sa peau était pleine d’écailles brunes et il n’avait pas de tête, sa gueule et ses yeux se trouvaient sur le haut de son torse.
L’élémental se mit à parler à Aâmo :
Elémental : Que fais-tu sur notre territoire, étranger ?
Sa voix était rocailleuse et très grâve.
Aâmo : Mais, je ne fais que passer ! Je ne m’arrêterai même pas dans cette forêt !
Elémental : Est-ce vrai, étranger ?
Aâmo : Mais oui !
Elémental : Et tu connais le chemin qui te mènera de l’autre côté ?
Aâmo : En fait, non.
Elémental : Alors tu m’as menti en disant que tu ne t’attarderais pas, car quand on est perdu, on s’arrête ! Hein, l’étranger ?!?
Aâmo : Oh, je vous demande juste de m’indiquer le chemin alors !
Elémental : Mais je ne t’indiquerai pas le chemin ! Je te conduirai de l’autre côté !
Aâmo : Oh, merci, mais je ne sais pas trop…
Elémental : Et pourquoi donc ?
Aâmo : Je ne sais pas… Je m’étais déjà perdu et on a déjà proposé de me conduire à un endroit, et on m’a kidnappé…
Elémental : Comment ??
La fureur de l’être de la terre éclata en un cri assourdissant qui fit fuir les oiseaux.
Elémental : Ru oses me traiter de criminel ? Moi, membre de la terre ?
Aâmo : De la terre ??
Elémental : Oui, de la terre ! Car les membres de l’eau ne sont que des lâches !
Aâmo : De l’eau ?
Elémental : Ah oui, tu es étranger… tu ne peux pas savoir.
Aâmo : Alors expliquez-moi !
Elémental : Tais-toi ! Calme-toi ! Et écoute-moi !
Aâmo : Je ne fais que ça !
Elémental : Chut ! Alors… A l’aube de la création, deux êtres légendaires, Tarsida et Soustora, les deux dragons élémentaires de la vie créèrent la terre et l’eau. Tarsida, le dragon de la Terre, créa le peuple de la terre, les hommes. Puis, Soustora, jaloux de sa sœur, créa les elfes. D’ailleurs, tu ne serais pas un elfe, par hasard ? Tu m’as l’air plutot grand, pour un humain…
Aâmo : Moi, mais non ! Pas du tout !
Ses oreilles devinrent rouges et un maigre sourire apparut au coin de la bouche de l’élémental.
Elémental : Mais bon, tout pour dire que les elfes et leurs êtres de l’eau ne devraient pas exister…
Aâmo : Pourquoi ? Et votre histoire, elle n’est pas finie !
Elémental : Mais je n’en ai pas envie ! Et puis viens, nous devons y aller…
Aâmo suivit l’être sans toutefois lui faire confiance, il était sûrement dangereux et Aâmo ne croyait ni en Soustora, ni en Tarsida, aucun de ces dragons n’avait crée le monde, c’était bel et bien les Saprobiontes qui l’avaient fait !