Mimura Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 1938 Messages/ 0 Contributions/ 637 Pts | Envoyé par Mimura le Jeudi 02 Juin 2005 à 14:59
Chapitre 2 : Exil artistique
Cela faisait maintenant plus de deux jours qu’il ne se nourrissait plus que de viande avarié, il avait faire ses provisions il y a deux semaines mais la pluie était abondemmen tombée, empechant toutes sorties de chasse, et bien que ses cartes de fraicheur permettaient à son stock de ne pas faisander trop rapidement, le pourrissement se faisait indéniablement.
Il navait jamais été un expert pour les cartes à sort trop éloignés du rouge, et même s’il tatait parfois le terrain hors des sentiers battues, il se rendait compte que rien, selon lui, ne valait un bon choc de carte rouge de son dernier cru. Dans le domaine des sorts rouges il n’avait jamais eu d’égal, principalement son sort favorie, celui qui lui valu le nom de « Foudroyeur », un sort permettant de créer des éclairs sous des formes plus ou moins puissante selon la dose de mana qu’on accumulait, la principalité de ces éclairs était qu’ils ne blessés pas son lanceur, permettant ainsi de se les faire parcourir le long du corps avant de les envoyer, pouvant ainsi viser avec plus de précision. Autre particularité était le fait que la carte lançant ce sort de se désagrégée pas et n’avait pas besoin d’être détruite pour faire son effet, l’utilisateur avait seulement à accumuler une dose de mana de son choix à l’intérieur et l’éclair en sortait.
Depuis qu’il avait créé cette carte, il y a trois ans, il se l’était collée sur le torse, lorsque ses ennemis le croyait désarmé, il pouvait toujours les annéantire en utilisant cette derniére botte. Outre sa puissance, son utilisation même ne manquait pas de style, la main gauche plaquait contre le torse, les éclairs jaissait pour parcourir son bras gauche avant de remonter jusqu’aux épaules pour redescendre dans son autre bras puis partir de sa main droite, c’était ainsi que Mirweys avait défait, déjà, un grand nombre d’ennemis.
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La pluie commençait à s’arretté, il commençait à se sentir rassurait, il allait bientôt pouvoir se nourrir de nouveau convenablement. Il pris sa lance et sorti alors que de la bruine perseverrait dans le ciel. Un éclair jahït au loin, en matiére de réponse, Mirwyes fit sortir quelque foudre de sa main vers le tonerre. A flanc, il aperçu une petite armé de péjorien faire leur ronde, il les connaissait bien qu’il évitait de trop les cotoyer. Une fois il avait tenter de le forcer à rentrer dans leur rang, ils n’osérent plus récidiver après que le corps de certains d’entre eux furent retrouvé calciné devant sa grotte, il n’avait rien contre eux mais il tenait à sa liberté, c’est d’ailleur pour ça qu’il avait quitté le Centre un an de cela.
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Tous en cherchant un coin propice à observer la nature et le déplacement des animaux montagneux, il se remémora le bon vieux temps au Centre, ses débuts là-bas. Fils du chef d’un clan barbare, il avait optait pour une vie sédentaire dans la ville réputée comme « Le nouvel Eden », avant même d’y aller il se renseigna et appris l’art qui lui semblait le plus important, la cartographie, non qu’il rebutait les autres, mais son talent inné pour le dessin et la rapidité qu’il avait pour cela lui ne pouvait que l’orienter à choisir cet art, d’autant qu’il avait toujours rêvé de lancer des éclairs, or la cartographie était le plus indiquée pour y parvenir.
Lorsqu’il arriva dans cette ville, la première chose qu’il fit fut de s’acheter un stock de parchemin, il avait déjà tout pour écrire sur lui. A cette époque où il débutait, en même temps que lui arrivaient de futur espoir de cet art si noble. Beralus fut, d’ailleur, son premier ami du Centre. Ils joutérent souvent ensemble dans les premier temps de leur apprentissage, leur magie se complétant assez bien, Beralus maitrisant le blanc pouvant ainsi les protéger pendant que Mirweys se charger de tuer les adversaire. Ce qu’il redoutait avant tout, c’était que ses cartes soient rebutait par les acheteurs potentielles au centre de cartographie, ce qui fut souvent le cas au commencement, même si, souvent, ces critiqueurs n’étaient que de vils pinpins, il le prenait toujours mal, ce qui lui valut une certaines réputations de gueuleur auprés des citoyens mais aussi des régulateurs, principalement après qu’il ai insulté Lyon4, devenu tout juste régulateur.
Mais il perseverrait, loin de faire fortune par la vente il se fit un nom au Colisée de la cartographi « Celui-qui-n’abandonne-jamais », c’était un surnom qui lui allait bien, même quand son adversaire faisait apparaître des créatures gigantesques et qu’il n’avait plus de mana il continuait à garder espoir, encore et toujours…
Mais ses ambitions s’estompérent lorsque Beralus quitta la ville, aveuglé par l’amour d’une péjorienne nommée Triyer. Il était sur le point d’abandonner ses projets de gloire et de victoire total au Colisée pour rejoindre le clan de son pére quand il fit une nouvelle rencontre, tout à fait fortuite. Mimura, un ashaen devenu célébre depuis quelques temps et qui montait un projet de vente de carte par bloc. Ils se prirent d’amitié et Mimura remplaça habilement Beralus lors des duos dans le Colisée, et même plus qu’un simple remplçant, Mimura n’avait pas son pareil pour tirer profit des situations désespéré pour renverser la vapeur voir simplement feindre toute faille avant de n’achever l’ennemis quand celui-ci pensait être le dominant. Il aida grandement Mirweys, en lui prétant un peu de son savoir qui lui manquait, il fit de Mirweys un créateur apprécié du Centre de cartographie où les acheteurs commençaient à devenir de plus en plus friant de ses nouvelles créations.
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Mais tout avait une fin, sur son petit nuage brodé par l’argent et les victoires, Mirweys était restait aveugle aux agissement de certains qui complotaient dans l’ombre. Cette nuit, Mirweys s’en rapelait encore comme si c’était hier, la Nuit du grand mutisme…
En se remémorant se passage il donna un coup violant contre la paroi rocheuse se trouvant le plus à proximité. Comment avait-il fait pour avoir été autant aveugle ? Loin des mérites et de la gloire, dans la jalousie et la rancœur, des cartographes peu talentueux se regroupaient en secret en attendant un revirement prochain. Ils ne dénommaient « Les mutins », nom qui leur allait à ravir, montant d’eux-même une véritable mutinerie. Dirigés par un eccin peu doué mais extremement influent, Le_Gentil_Killer_de_Mage, ils se regroupérent jusqu’à cette nuit. Dans la soirée, alors que le soir se couvrait d’un voile d’ombre, ils débarquérent de toutes part et partirent à la rencontre des cartographes dans leur foyer dans un but unique, les forcer à les suire, ou les tuer.
Cette nuit-la Mirweys les vit rentrer dans sa résidence par son balcon, bien évidemment, il n’était pas homme dont on force la main, main qui tua, d’ailleurs, plus d’une cinquantaine d’entre eux ce soir-là. Mais malgré tout, les mutins étaient bien trop nombreux, dans la vue de leur nombre croissant, la situation du cartographe écarlate devnit précaire et finalement il opta pour l’abandon de sa vie d’antan car, en plus de quitter sa maison, il abandonna également le Centre, ce qu’était devenu la cartographi, une banale secte, ne l’interressait désormais plus.
Etrangement cette nuit, les mutins ne s’était pas attaquaié aux régulateurs, et pour cause, si l’un d’eux eut été réveillé ils auraient mis à mal leur plan, mais une fois le landemain, outre les cadavres abondans, rien d’autre n’avait changer aux yeux officiels des autorités. Pourtant rien n’allait être plus comme avant. Lorsqu’il avait fuit la ville, il avait tenté de faire un croché vers l’habitation de son compagnon Mimura afin de partir avec lui, mais il ne l’y trouva pas, non-pas qu’il avait rejoins les mutins, Mimura les avait tous pris de cour, plus d’un millier de cadavres de mutins étaient répendus sur le sol du terrain du créateur des frouncs.
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Une biche passa, il la regarda dans les yeux, prés à la transformer en paratonerre, mais soudain le visage de bonher de son ancienne vie chavira son cœur, il se rapelait tous les bon souvenir qu’il avait eu tans de mal à occulter pour ne pas regretter le Centre, mais tout à coup cela revenait tel une vague d’un océan déchainé, au fond de lui il savait qu’il était fait pour le Centre et que rien ne pourrait y changer.
La biche s’en alla, lui, regardant avec fureur un énorme rocher posa sur le haut d’une petite colline, il lui envoya une salve qui le brisa en des milliers de fragments. Il était prêt ! Il avait beaucoup progressé depuis cette nuit où les mutins avaient volé le pouvoir, désormais il comptait bien foulé à nouveau le sol de pavé du Centre, et erradiqué le fond pourri de la cartographie.
Repassant pas sa grotte, il prit ses parchemins, ses encres et les quelques affaires qui constituaient sa garde robe et les rengea dans un sac puis quitta son antre avant de la détruire, il descendait maintenant vers le plateau pour rejoindre, après, le Centre. Trois jours de marche se dressaient devant lui, sans nourriture, mais avec une volonté de fer, personne ne l’arretterait, personne…
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