--[TOpic NEurones]--

Juste un truc parce qu'en voyant les réponses précédentes je sais pas trop si on calcule la même chose.

Arcarum, pourrais-tu nous expliquer précisément le 421 auquel tu joues?
Parce que quand tu mets:

Le 23/07/2007, arcarum avait écrit ...

et tu peux faire 1 milliard de lancé, pour chaque lancé tu n'auras jamais que 1 chance sur 6 de faire 6

Ca ne marche que si tu sélectionnes un dé avant. Or le 421 (du moins le nôtre) ne numérote pas les dés (ton raisonnement marcherait si on calculait la proba pour que le dé 1 fasse 4, le dé 2, 2 et le dernier 1, par exemple)

[ Dernière modification par Jbc le 23 jui 2007 à 16h35 ]

voici un cray
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5a/Cray2.jpeg/250px-Cray2.jpeg


j'obtiens 0,3055555....

Le 23/07/2007, arcarum avait écrit ...

j'obtiens 0,3055555....

C'est ça. Mais tu peux donner la valeur exacte?

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Le 23/07/2007, arcarum avait écrit ...

voici un cray
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5a/Cray2.jpeg/250px-Cray2.jpeg

Donc tu ne l'a pas fait à la main.

[ Dernière modification par Championreturn le 23 jui 2007 à 17h25 ]

De tête, effectivement je pense que 11/36 doit donner environ 0.3, mais c'est moins le résultat que la méthode qui m'intéressait.

Et à force que nous postions la même chose chacun notre tour, j'en profite pour conseiller à Championreturn de bien veiller à ce qu'il va dire, me ressembler n'est pas franchement un porte-bonheur

Boris, ce que je voulais dire arcarum, c'est que je vois pas comment la méthode de ton lien arriverait à donner 11/36.

méthode j'ai appliqué la loi Abraham de Moivre

1 - (1 - p) expN

la différence est dans la formulation, tu demande d'avoir "au moins 1 en N tirage" alors que la question orginal porte sur la probabilité de faire 421.

Très bien, je vais donc avec un certain déplaisir tout réexpliquer, en espérant que SuperA contiennent ses pulsions destructrices pour quelques temps.

Avoir un 421 en 3 coups nécessite d'avoir trois chiffres précis, et à chaque fois qu'on obtient l'un de ses chiffres, le nombre de chiffres recherchés diminue.
Par exemple, je lance, je trouve 2-3-5, je garde le 2 et il me reste 2 chiffres à obtenir : le 1 et le 4.
Sachant que les probas sont les mêmes d'obtenir n'importe quel chiffre ( 1/6 ), l'important n'est pas de savoir quel chiffre on cherche mais le nombre de chiffres cherchés : si j'ai un 4, la proba qu'un dé trouve de quoi completer mon 421 est de 2/6 = 1/3.

Après, si on étudie les différentes manière d'arriver au 421, en appelant X-Y-Z le nombre de chiffres du 421 trouvés respectivement au premier, deuxième et troisième coup ( par exemple, 1-1-3, ça peut vouloir dire que mon premier lancer m'a donné un " 2 ", le deuxième rien de plus, le troisième m'a donné le " 4 " et le "1 " nécessaires ).

On a les possibilités suivantes :
0-0-3
0-1-3
0-2-3
0-3
1-1-3
1-2-3
2-2-3
2-3
3

Un lancer de trois dés à 6 faces admet 6^3, c'est à dire 216 résultats possibles.
A chaque dé, deux possibilités PAS FORCEMENT EQUIPROBABLES : trouver un chiffre qu'on recherche, ou ne pas le trouver. La proba de trouver le chiffre recherché varie simplement selon le nombre de chiffres rechéchés, plus on en recherche plus la proba est grosse.
Proba de ne rien trouver sur 3 dès : 3/6 * 3/6 * 3/6 = 27/216
Proba de trouver un chiffre sur 3 dès : 3/6 * 4/6 * 4/6 ( on trouve un chiffre " magique " sur le premier dé ) + 3/6 * 3/6 * 4/6 ( on trouve un chiffre " magique " sur le deuxième dé ) + 3/6 * 3/6 * 3/6 ( sur le troisième dé ) = ( 48 + 36 + 27 ) / 216 = 111/216.
Proba de trouver deux chiffres sur 3 dès : 3/6 * 2/6 * 5/6 ( on trouve sur le premier et le deuxième dé ) + 3/6 * 4/6 * 2/6 ( on trouve sur le premier et le troisième dé ) + 3/6 * 3/6 * 2/6 ( on trouve sur les deux derniers dés ) = ( 30 + 24 + 18 )/216 = 72/216
Proba de trouver trois chiffres sur 3 dès : 3/6 * 2/6 * 1/6 = 6/216 ( au passage, on trouve donc ici la possibilité de faire un 421 en un coup, c'est à dire 1/36 ).

Boris, est-ce que tu es d'accord avec ça arcarum avant que je me paye le gros morceau ?

tu sais moi et les maths...

T'aurais pu dire " c'est Boris qui a raison " avant que je me tape ces calculs chiantissimes quand même.

Boris, j'ai bien fait de m'arréter avant que ça devienne vraiment immonde.

non mais lol quoi j'ai cassé la motivation boris.
Eh gars, je suis une buse en maths, à partir du moment où c'est thérique et non pratique, c'est comme si on me parler la reproduction des autriches.

donc fait ta démonstration

Le 23/07/2007, arcarum avait écrit ...

la reproduction des autriches.

ça doit être à peu près pareil que chez pas mal d'espèces

ch'sais pas j'suis pas une poule, simplemen un pingouin

Le 23/07/2007, arcarum avait écrit ...

ch'sais pas j'suis pas une poule, simplemen un pingouin

ça doit être à peu près pareil chez les pingouins et chez les autruches.

4 : LA REPRODUCTION.

4-1 : Le système reproducteur femelle

La femelle de l’autruche possède deux ovaires, mais seul le gauche est totalement développé et fonctionnel. Elle dispose d’un phallus atrophié, plat de 2 à 3 cm.
Les techniques d’élevage intensif, tentant d’obtenir un nombre maximum d’œufs par femelle et par an, peuvent s’accompagner de troubles importants au niveau de l’oviducte (blocage par des œufs anormaux, infection chronique…).
Aux Etats-Unis en 1992, 30 à 70 % des femelles diagnostiquées par échographie, à la fin de la saison sexuelle étaient atteintes de troubles de l’oviducte, les rendant ainsi infertiles.

Comme chez les autres oiseaux, le cycle sexuel de l’autruche est réglé par la photopériode, c'est-à-dire les différences entre les jours et les nuits.

4-2 : Le système reproducteur mâle.

Les deux testicules du mâle sont situées au-dessus des reins. Les testicules d’un jeune mâle de 18 mois ont la grosseur d’une noix. Pendant la saison sexuelle, ils prennent la taille d’une orange pour rétrécir ensuite lorsque le mâle se met à couvrir le nid. Bien que la lumière soit le facteur dominant, les variations climatiques semblent induire également des variations dans la grosseur des testicules.

Le mâle dispose d’un phallus rétractile qui lui permet de déposer le sperme à l’entrée de l’oviducte de la femelle.

4-3 : La période de reproduction.

Au moment de la reproduction, la tête et les pattes des mâles se colorent en rouge ; ils s’exhibent en groupes, les ailes pendantes, montrant ainsi leur plûmes blanches. Plus tard, ils délimitent, loin des terrains de pâtures communs, des territoires où les femelles viennent les rejoindre.

La parade nuptiale est assez complexe : le mâle sépare d’abord une femelle du groupe ; puis le couple ainsi formé se met à pâturer, les deux partenaires faisant chacun exactement les mêmes gestes. Ensuite le mâle s’accroupit, ouvre les ailes pour mettre en valeur ses plûmes blanches et se balance de gauche à droite en donnant à son cou une allure de « S » inversé. Pendant ce temps là, la femelle tourne autour de lui, et il lui arrive de prendre la posture d’accouplement.

C’est en principe le mâle qui défini l’emplacement du nid. Ce peut-être une simple dépression du sol ou une excavation creusée par lui à l’aide de ses puissantes pattes. Le nid aura une forme circulaire d’environ deux mètres de diamètre. S a profondeur sera entre 15 et 30 cm. Certain site son utilisé pendant plusieurs années de suite, mais par toujours par les mêmes sujets.

Là où les femelles pondent en principe toutes les 48 heures jusqu’à concurrence de 6 à 8 œufs chacune ; ces œufs on environ 20 cm de long et leur poids varient entre 1,2 kg et 1,8 kg.

Toutes les femelles du harem pondent dans le même nid et la ponte peu durer trois semaines. Puis la femelle dominante chasse les autres pour assurer seule, avec le mâle, la garde du nid.

L’incubation est beaucoup plus une ventilation des œufs qu’un réchauffement. Aussi, les œufs sont maintenus à l’ombre dans la mesure du possible.

Les deux sexes participent à l’incubation, mais le mâle n’y prend part que la nuit lorsqu’il est moins désavantagé par son plumage voyant. S des prédateurs menacent le nid, les adultes cherchent parfois à les éloigner en simulant une aile brisée. Le mâle peut également faire sa parade pour impressionner le prédateur.

L’incubation dure 40 jours. A l’éclosion, les poussins, haut de 30 cm, sont vigoureux et dés les premiers jours, ils sont capables de suivre leurs parents. A la naissance, les petits se ressemblent, il n’existe pas de dimorphisme sexuel entre eux. Dés les premiers jours, ils consomment gravier et petit cailloux, tentant d’attraper les insectes et les lézards.

Il arrive que les jeunes soient regroupés dans des crèches de 50 à 60 autruchons sous la surveillance d’un couple ou parfois même d’un seul mâle.

source : http://www.autruche-du-midi.com/

tu les vois les spécialiste de la pornographie

Le 23/07/2007, arcarum avait écrit ...

tu les vois les spécialiste de la pornographie

je n'appelle pas ça de la pornographie...
ou alors tu as des goûts très particuliers