[T2T] Report du Troll à Deux Têtes du 9 juin

Posté le Mercredi 13 Juin 2007 à 16:10 par Munegu (3352 lectures)

Pour la première fois depuis sa création Magic Corporation organisait un Tournoi Troll à deux têtes en format Bloc Time Spiral. Un tournoi petit par la taille mais grand par les moments. Extraits et commentaires.
Cela n’avait rien d’un coup de tête mais un tournoi Troll à deux têtes, ça donne des vertiges... Voilà longtemps que je voulais tester ce type en tournoi et ce fut donc avec plaisir que je m’inscrivis pour ce challenge. Des parties sans queue ni tête, et un max de booster à la clé pour ceux qui termineraient en tête.

Bon, j’arrête avec mes « Têtes » car ça commence à me donner mal à la « T… ». Première étape, trouver un partenaire. Et oui, on aimerait tous avoir un frère jumeau ou du même âge (comme les Ruel), mais à moins de se dupliquer tel le changeforme vésuvien, il me fallait trouver l’âme sœur, le temps d’une après-midi. Quelqu’un qui n’aurait pas la main trop ferme pour donner des coups, si je fais une erreur de jeu. Quelqu’un qui ne serait pas une tête à claque ou une tête de mule. Thibault se présenta à ma porte un samedi et je lui proposa une « entente cordiale » pour le tournoi. L’affaire se conclu rapidement, et nous décidâmes de jouer une combinaison RG dégât (Concasseur, Radha et Frénésie fatale) pour ma part et Dralnu pour sa part. Et après quelques réglages (Retrait des Solifuges qui ne sont pas en bloc time spiral SNIF !), nous nous lançâmes en tête à tête dans cette périlleuse aventure. Une manche gagnante, cela promettait un stress décoiffant.

Ah oui, j’oubliais : Notre nom d’équipe ? Bah, non content d’avoir un nom trop compliqué ou grossier – On nous a imposé le nom de « Les gars avec le nom relou ». Et dans la famille, « amis de la littérature bonsoir », nous trouvions des « pingouins volants », « des gars relou », des « Aiko Lovers », des « Aiko super destroyers »… bref que d’imagination à plein nez. Oui Oui, je sais, on trouvera mieux la prochaine fois.

Première étape : Les frères

A vrai dire, on a rien pu « frère ». Ma pioche n’était pas flamboyante, et mon partenaire ne pouvait pas gérer toute la table malgré deux extirpates. Nous mourûmes à coup de Dryade de la Yawimaya (Forestwalk) que le propriétaire de la créature jouait quasiment à tous les tours grâce au cercle vicieux du travers des éons. D’autant qu’en troll à deux têtes, quand un joueur joue un tour supplémentaire, c’est toute l’équipe qui joue un tour supplémentaire. Alors évidemment, avec un Tefeiri en face, on ne pouvait quasiment rien faire. La messe est dite et nous tombâmes têtes baissées.

Deuxième étape : Les gars relou

Du slivoïde, on s’attendait à en avoir, et on n’a pas été déçu. Une partie hautement maîtrisée, malgré des erreurs de jeu de notre adversaire. (En l’occurrence, je le répète, le bulot puiseur arrive en jeu avant de contrer le sort). Enfin, une damnation bien placée, une paire sauvage démolie à la poigne krosiane et l’affaire est dans le sac. Ils rendirent l’âme sur un Bogardan Elkite bien placé et le sentiment de n’avoir rien pu faire. Nous repartîmes la tête haute, enfin les têtes hautes !

Troisième étape : Les pingouins volants

Ce nom douteux rappelant un jeu sur Internet qui fait fureur à la fac, ne nous a en rien découragé. Profitant du mana death de monsieur Fongus/Sappro, nous cuisions à petit feu notre adversaire grâce à une paire Boa des fondrières / Urborg et un concasseur doublé de deux Force brute sur Radha. Et au moment où notre adversaire voulu tuer mon petit serpent, mon coéquipier mua le plieur des volontés pour diriger le Pacte de Tuerie sur un slivoïde. C’est bon de se sentir aider ! Heureusement, il y a fondus !

Quatrième et dernière étape : Aiko et le chinois

Aiko jouait un « Noir Dark Vador » comme il aimait à la dire, à base de Damnation, Extirpate, Korlash et Vrilles de corruption et le chinois (qui est en fait Singapourien), un « Bogardan eats pickles ». Une partie ultra serrée qui nous a échappé sur un mana death noir de mon coéquipier. Voilà, c’était notre tour. Car à l’évidence, nous pouvions les battre à plate couture. D’ailleurs, nous rejouâmes deux manches pour le fun, et nous gagnions sans équivoque.

Bref, un bilan mitigé : Deux victoires, deux défaites pour un booster difficilement gagné. Cela n’a « rien » d’extraordinaire. « Rien », c’est peut-être le mot de la fin, et le nom de la carte que j’ai eu dans mon booster. Alors pour la conclusion de ce troll à deux têtes, je chanterais à « tue-tête » non je ne regrette « rien ».











[NdM]
Petit extra, pour ceux qui voudraient en savoir plus sur le troll à deux têtes.
Le troll à deux têtes

Les différents types de formats en multijoueurs

Pour vous inscire au prochain le 28 juillet 2007

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