Hors Ligne Membre Inactif depuis le 04/08/2018 Grade : [Nomade] Inscrit le 10/10/2004 | Envoyé par sigis le Mercredi 11 Mai 2005 à 14:19
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 27/09/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 07/03/2003 | Envoyé par tigrou95 le Mercredi 11 Mai 2005 à 14:23 "Lorddddd est tu la?"
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/10/2005 Grade : [Sorcier] Inscrit le 04/11/2003 | Envoyé par Lord_Alendur le Mercredi 11 Mai 2005 à 16:26 OUIIII c bon je me mets a la traduction...
Faudra quand meme qu'ils abusent pas trop trop sur les textes etant donné que j'suis en exam dans un mois Enfin je f'rai passer ca pr des revisions d'Anglais.. Allez, comme d'hab je fume une cig puis j'm'y mets
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 03/06/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 07/12/2004 | Envoyé par i_love_magic le Mercredi 11 Mai 2005 à 20:05 lord = traducteur officiel de magic...lol
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/10/2005 Grade : [Sorcier] Inscrit le 04/11/2003 | Envoyé par Lord_Alendur le Mercredi 11 Mai 2005 à 20:16 nan je fais moins de fautes que les traducteurs de Hasbro.
Merci qui? pr resume, la légende du jour est un roi du camouflage et de déguisement... capable de tromper les soratamis eux mêmes ET VOILAAAAAAA A) The Face Behind the Mask “Nous allons tous mourir” dit calmement Hojo, “alors il ne sert vraiment a rien de nous cacher.” Les flammes dansantes sur l’abîme en feu éclairaient son visage alors qu’il contemplait les autres. « Je sais que Sakashima est dans cette forteresse, et nous sommes les derniers survivants. Je trouverai lequel d’entre vous c’est. Vous pouvez m’épargner ce problème en me le révélant de vous même des maintenant. » Un rugissement bestial résonna d’hors de la pièce et les murs tremblèrent, faisant pleuvoir une couche de poussière depuis le plafond. Keimi, dans un kimono sale qui avait été autrefois un superbe uniforme d’étudiant de Minamo regarda autour d’elle : « Ne pensez vous pas qu’il serait plus agréable d’affronter la fin dans la lumière de la vérité ? » Le visage de Saite ne changea pas, c’était rarement le cas d’ailleurs, même quand l’horrible destinée du groupe était devenu clair. Il semblait coincé dans l’expression stoîque de tout les Orochis. “Je te crois,” ricana Niseno. A présent, la peinture de son visage, qui le désignait comme un shaman Yamabushi, avait été nettoyée depuis longtemps par la sueur, qui coulait même le long de son large torse. « Nous sommes proches de l’annihilation, et vous vous inquiétez d’un ennemi fantôme qui a probablement fui depuis longtemps, comme d’une chose intelligente ? » « Je sais qu’il est parmi nous , » répondit le capitaine samuraî froidement, « Et il est de mon devoir de le trouver. » « Devoir, » répéta Black-Nose (Nez noir) incrédule. Les poignets du Nezumi se tordaient au dessus de ses liens, alors qu’il s’approchait furtivement du feu, centimètre par centimètre, douloureusement. « Ton devoir nous sauvera-t-il tous de cet abîme infernal avant que le Kami nous massacre tous ? Ton devoir satisfera-t-il ton seigneur, qui est sans doute mort depuis longtemps ? Ou peut être ton devoir va-t-il nous nourrir, et nous donner de l’eau, afin que nous puissions attendre les immortels qui nous assiègent ?, dis moi, Samurai, a quel point ton devoir est il bon, exactement ? » Hojo ouvrit la bouche, puis la referma. Il se dressa, et traversa la pièce sans un mot. L’orochi lança un regard sans expression au Nezumi, puis se leva pour suivre l’humain qui s’en allait. Niseno ricana : « Joli discours, pour un rat » « La ferme . » Je suis étrangement calme, en dépit des circonstances. Sakashima, me dis-je, tu as été dans de pires situations que celle ci. Evidemment, quand j’y réfléchis vraiment, j’ai dur a m’en rappeler, même d’une seule. Alors j’essaye de ne pas y penser. Ils ont dit qu’avant de mourir, la lumière jaillit devant nos yeux. Si c’est vrai, ça ne présage surement rien de bon pour moi. Je me rappelle Natsumi qui avait mon âge quand il est arrivé dans mon orphelinat. On jouait ensemble, péchait ensemble, on partageait parfois un bol de riz, rien de très sérieux. Un jour de faim, quelque chose me surprit : Natsumi ressemblait en fait à un garçon. Je ne savais pas alors que cet enfant d’environ 5ans ressemblait a une sorte d’humain asexué, mais a mon jeune esprit c’ était une énorme révélation. Je me rappelle avoir examiné mon reflet dans la rivière, et avoir réfléchi, si je camouflais un peu mon visage et que je coiffais mes cheveux dans le bon sens… je pouvais ressembler a Natsumi. Je compris que les cuisiniers de l’orphelinat furent extrêmement confus quand Natsumi pleura qu’elle n’avait pas eu de bol de riz. Ils jurèrent a la Matrone qu’ils lui en avaient donné un quelques minutes plus tôt. Natsumi dut aller se coucher sans repas pour mentir et pour sa colère. Je me sentis un peu coupable après cela, mais seulement un peu. Hey, j’avais eu deux bols de riz. Seuls les craquements du feu dérangeaient le lourd silence qui régnait dans la pièce. Keimi regarda Niseno et Black-Nose, ses yeux mouillés et pleins de questions. Ses lèvres bougeaient mais n’émettaient aucun son. Le yamabushi grogna d’amusement. « Que veux tu, petite ? » « Heu…rien d’important » répondit-elle dans un murmure. « Je me demandais juste qui était ce Shakashima que le capitaine a mentionné. » Black-Nose ricana « Un fléau et une ordure. » « Si un nezumi appelle quelqu’un ainsi, tu peux être sur que c’est vraiment mauvais. » Niseno rit. Il se retourna vers Keimi, le visage soudain sérieux. « Shakashima est une sorte d’ombre, sauf qu’il est réel. Ils disent qu’il est un maître en déguisement, qu’il pourrait même prendre l’apparence d’un Kitsune, et marcher parmi les Soratamis en se faisant passer pour l’un d’eux. Personne ne sait pourquoi il le fait, ou de quels secrets il est pénétré, mais il est doué dans ce qu’il fait. Si bon, que si c’est possible, même les Kamis le craignent. » Keimi écoutait, les yeux grands ouverts. « Il a trompé les soratamis ? je ne savais pas que c’était possible ! » « Personne d’autre n’y est jamais arrivé, c’est pour cela qu’ils le détestent tant. » « Comment il a fait ça ? » « Personne n’est sur. Une puissante magie est sans doute à l’œuvre. ( :lol : ) Mais s’il est ici, je ne peux blâmer Hojo de sa paranoîa. » Le silence retomba. Des raclements de gorge, demandant la parole, jaillirent presqu’en même temps. « Vous pensez qu’on va s’en tirer sains et saufs ?. » demanda Keimi, comme si les mots avait été arrachés hors d’elle. Nul ne répondit. Est ce que je peux faire CA? Même moi, le grand Shakashima, suis je capable de sortir d’ici, déguis » en Kami ? Probablement. Mais avec cette armée attendant aux portes pour éviscérer n’importe quoi même de probablement immortel, je ne peux m’y risquer. Idiot ! Je ne peux croire que j’ai cru qu’il serait facile d’infiltrer cette forteresse. Je savais bien ce qui était arrivé a quelques miles, a Eiganjo. Mais j’ai cru, avec les hommes de Konda décimés par O-Kagashi, et les Kami a la poursuite de leurs vengeance, qu’il suffirait d’un claquement de doigts, hein ? Idiot ! Entrer a été aussi simple que je le pensais. Ces bêtes soldats et réfugiés encore en vie étaient trop distraits par les corps des Kamis laissés en arrière. Et puis, mon déguisement était vraiment bon, si je puis me permettre. Mais je ne peux pas croire que j’espérais que les légions de Kami resteraient aussi longtemps ici ! Sans les symboles (pourquoi n’étaient ils pas là la première fois que O-Kagashi vint ? ) nous serions tous morts a présent. Mais qui sait combien de temps ils nous protègeront de l’armée la dehors ? Et en plus, je mourrais sans avoir découvert ce que j’étais venu chercher. Idiot !! Les doigts d’Hojo caressaient les froides portes de fer de la forteresse, sur les jointures et les verrous, sur le symbole hurlant, peint en sang sur la surface. Il tenta un instant de se rappeler de qui venait le sang. Ha oui, ce mage Kitsune. Il n’était toujours pas sur que ce mage ne mentait pas en disant que ces blessures, dont jaillit le symbole n’avaient pas été auto-infligées. Il considéra les options: la forteresse était entourée de deux côtés par la montagne, pratique pour la défense- pas pour la fuite. Mais aucune des armées du Daimyo ne s’étaient attendus a une armée si écrasante pour tenir un siège. Une des portes était enterrée par un Kami glisseur de rock, qui avait laissé la porte juste devant lui, une légion de Kamis observant et attendant. C’était juste un petit bruit, presque un murmure qui venait des hurlements inhumains de la légion de l’autre côté de la porte. Mais c’était un bruit. Hojo se retourna, dégainant presque son Katana.. Saite attendait la, son visage de reptile toujours aussi plat et passif. Hojo se détendit, rangeant son arme. « Ho c’est toi. Je.. vérifiais le symbole de protections. On pourrait être ici longtems, alors il est vital de garder les portes des Kamis aussi longtemps que possible. “Bien sur” répondit Saite, dans un ton que le samurai aurait presque pris pour un doute. « Tu penses vraiment qu’il faut s’inquiéter autant a propos de Sakashima ? » « Comme je l’ai dit, j’ai été chargé par le Daimyo lui même de le trouver. Et j’exécuterai mes ordres. » « Même si ton seigneur est mort ? » « Surtout s’il est mort » fut la calme réponse. Les yeux de Saite étincelèrent « Alors tu as perdu tout espoir ? » « Non ! mais… » Avant qu’Hojo puisse continuer, la porte trembla. Une symphonie perçante de cris jaillissait de l’autre coté. Le sigle de sang brilla d’un blanc éblouissant alors que les murs de toute la forteresse tremblaient. Mais la rune clignota, devenant un moment du même rouge qu’elle avait été quelques secondes avant. Cela suffit. Un long kami serpentin se glissa entre les portes a ce moment, ses douze yeux remplis de haine et sa mâchoire emplie de venin. Ses griffes d’ébène brillèrent dans la lumière de la lune, alors que les sphères déformées de saleté des marais déformaient son corps. Hojo dressa son Katana, Saite son arc. Le kami se dressa, anticipant. Dans un incroyable flot d’émotions, Saite arma une flèche et tira. Le kami cria, plié de peine et de rage. Hojo le frappa de trois coups vifs comme l’éclair, croisant le corps du Kami en rayure décolorées. Une autre flèche suivit, puis une autre, tirée plus vite que l’œil d’Hojo ne pouvait suivre. Le Kami tomba a la renverse, sa tète glissant sur le sol. Hojo avança silencieusement, et frappa. La tête du Kami rebondit deux fois avant de disparaître dans un éclair d’énergie spirituelle. Le corps suivit rapidement le même chemin. Hojo respirait « Penses tu que quelque chose d’autre va venir ? » « J’en suis sur. » répondit calmement Saite. Le samurai approuva. « Alors nous devons partir. » « Mais comment ? » Seul les hurlements des kamis faisant le siège répondirent… Nous sommes a nouveau tous les 5autour du feu. Quel groupe disparate nous faisons. C’est bizarre, les gens qui arrivent a survivre a une catastrophe comme cela. Nous ne nous serions jamais associés si nous avions eu le choix, ou si la situation était autre. Etre les seuls survivants, nous accrochant a la vie de toutes nos forces, a un étrange effet unifiant. Je suppose qu’il n’y a réellement aucune raison de continuer ma mascarade, mais je ne ;peux pas m’en empêcher. Les habitudes. D’un autre côté, je pourrais avoir besoin des capacités que ce déguisement me procure. En tout cas, ça ne peut pas faire de mal. Sous le manteau d’illusion que comprend mon déguisement, personne ne peut voir mon masque. Humains, ogres, kitsune.. Je peux en mettre un et devenir quelqu’un d’autre. J’ai appris depuis longtemps que c’est ce que font les gens chaque jour. Quand j’en mets un (de masque), j’efface mon esprit, ouvrant un nouveau parchemin qui attend qu’on écrive quelque chose. Ce n’est pas le masque qui change mon apparence, j’ai cessé ces techniques d’amateurs depuis longtemps. Ce n’est qu’un focus pour le déguisement réel, acquérir le mental de ma cible, afin d’en projeter l’image aux autres. Ils me voient comme je me vois moi même, alors je plonge dans mon identité comme si je sautais dans une source chaude. C’est de la magie, des actes, et un peu d’instinct qui entourent le tout d’un simple emballage. Rien d’autre. Je donne l’impression que c’est simple. Une autre chose pend a ma ceinture : un petit jeton, avec les armoiries de la famille Sakashima. Il garde ensemble les paquets que j’ai emportés quand j’ai été libéré de l’orphelinat. Je l’ai toujours gardé avec moi, en souvenir de qui je suis vraiment, de qui je pourrais encore être. “Pouvons nous distancer les Kamis?” « Peu probable. » « Quelqu’un connaît un sort qui nous permettrait de nous échapper ? » Keimi secoua la tête, « J’ai une amulette de Minamo qui lance un sort de téléportation, mais il ne reste que deux usages. Et le sort a une courte portée. » « On ne pourrait pas juste les combattre ? » explosa Hojo avec rage. « La plupart des Kamis ici présents sont des mineurs. A nous 5, nous pourrions… » « Peut être détruire un quart d’entre eux » le coupa Saite calmement. « Et ensuite nous serions submergés par le reste. » Le silence suivit, les visages glacés perdus dans des pensées désespérées, inquiètes. Black-Nose ricana, un regard haineux dirigé vers l’Orochi. « Comment peux tu être si calme en un moment pareil ? Tu ne te rends pas compte que tu vas mourir ? » « Et toi pas ? » “la ferme” interrompit Nisano. “Bien sur que non! Je survivrai sûrement, même si je dois vous passer sur le corps ! mais regarde toi ! Tu es assis la comme si tu attendais le the ! tu n’as pas peur de la mort ? » Black-Nose appela le serpent, tirant sur les liens qui le retenaient « Réagis, serpent ! Montre une émotion, quelque chose ! De la peur, du courage, j’m’en fous ! » Une longue pause. « Bordel, réagis ! » Soudain, Keimi se dressa et sortit de la pièce en courant. Après un instant de confusion, Hojo se leva et suivit. « Qu’est ce qui va pas avec elle ? » Niseno secoua la tête. « Tu me rappelles quelqu’un, rat. Quelqu’un avec qui j’ai grandi dans ce village a Sokenzan. Il se vantait toujours d’être le meilleur, le plus brave, d’être capable de battre n’importe qui vivant la bas, même les frères Yamazaki. » « tu m’ennuyes, Humain. » “Evidemment, quand les Kamis vinrent au village, il disparut. Pouf. Les Kamis détruisirent tout ce jour la. Il ne fallut qu’un mois au survivants, dont moi, pour le retrouver et le pendre par les intestins pour lacheté. Black-Nose ricana. “Est ce une menace, Yamabushi?” « Juste une histoire. Du poisson ? » Il tenait une brochette de viande séchée juste devant le visage de Black-Nose. Le nezumi recula, Niseno secoua les épaules. « Tant pis pour toi. » Il regarda vers Saite alors qu’il mangeait. L’Orochi aurait aussi bien pu être une statue. Ca a toujours été si simple. La première fois que j’ai pénétré dans un temple, en me faisant passer pour un Kami Mineur, mon cœur battait a tout rompre. J’avais peur en fait qu’on me questionne, qu’on vérifie. Quand je suis parti, les prêtres tirant dans ma direction alors que je fuyais, j’avais encore peur. Je n’avais pas été nerveux depuis des années. Sur, quelques personnes faisaient attention a la jeune femme passant sur la route, ou au cavalier menant ses bœufs. Mais crois tu que les Samurais du Daimyo vont s’inquiéter d’un changement de comportement de leur général, ou que les moines du Jukai s’interrogent sur les raisons de leur maître spirituel de demander tout d’un coup un cinquième de leur récolte ? Jamais. C’est la première chose que j’ai apprise dans la maîtrise de mon acte. Les gens veulent se faire avoir. Ils veulent croire avec leurs yeux, croire que leurs compagnons sont ce qu’ils semblent être. Ils ne veulent pas imaginer que des monstres pourraient se balader a la surface, plus terrible que le plus vengeur des Kamis. En plus, ceux qui ne se connaissent pas eux mêmes ne peuvent connaître les autres. Et ils sont si nombreux a ne pas se connaître, ou à ne pas vouloir. Je tentai d’entrer dans des endroits plus secrets et difficiles, juste pour voir si j’en étais capable. Le Honden des confins de la nuit ? Simple. Les profondes grottes des Akkis ? j’avais tout exploré. La salle du trône du Daimyo Konda ? Ennuyant de facilité. Eventuellement je commençai a introduire des difficultés moi-mêmes, pour donner une chance aux gens de m’attraper en pleine erreur. Ca ne servit a rien. Alors que restait il ? le Kakuryo lui même ? M’attaquer aux Kamis ? Peut être un de ces jours le ferai-je. Peut-être que eux ne me décevront pas. Mais probablement que si. Hojo la trouva dans ce qui avait été les quartiers du commandeur du fort, cachée derrière une table. Le dos de Keimi était secoué de sanglots, son visage entre ses mains. Hojo se tenait a la porte, muet, pendant une longue minute. Il soupira, et l’étudiante de Minamo se redressa immédiatement. « Heu.. Désolé.. Je me demandais si tout va bien » “Non, c’est moi qui devrait être désolé, » renifla Keimi, essuyant son visage avec sa manche. « C’est juste que… j’ai peur. Elle se leva de son fauteuil et alla jusqu'à la fenêtre, ou la lumière de la lune brilla sur les traces de larmes qui coulaient le long de ses joues. « Je… Je me suis enfuie de Minamo. Mon ami Nozomi m’a sauvé la vie. Elle avait déja aidé tant de gens a s’enfuir. Comme son autre amie, même celle qui ne pouvait pas se déplacer tout seul. J’étais la dernière. Juste avant que je disparaisse, j’ai vu cet ogre marcher derrière elle. J’ai essayé de crier pour la prévenir, mais… » Une autre larme coula le long de sa joue couleur de pétale, qu’elle sécha vite. « Je veux rentrer chez moi. Je ne sais même pas si mes parents sont en vie, mais je n’ai nulle part ailleurs ou aller. Quand j’ai appris que Eiganjo était attaqué, j’ai cru que je serais en sécurité ici. » Elle rit amèrement, un son incongru venant d’une telle gorge. « A présent, Nozomi sera morte pour rien. » Hojo tendit la main vers la fille, mais changea vite d’avis. « Tu peux penser ça. » dit il finalement. « Il n’y a que si tu décides que tu es perdue, que tu le seras. » Une expression de surprise passa sur son visage, comme s’il était étonné par ses propres mots. « Nous avons besoin de chaque tête claire disponible pour nous tirer d’ici. Même de la tienne. Si nous mourrons, nous le ferons en sachant que nous avons fait de notre mieux pour survivre. » « Mais que puis je faire ? Je n’ai jamais été un bon élève. Je ne pouvais pas faire la plupart des choses que mes amis savaient faire. A quoi de bon pourrais je servir ? » “Tu es un élève de Minamo. Ils n’ont pas l’habitude de laisser des idiots inutiles a Minamo. Maintenant réfléchis. Tu as du apprendre quelque chose d’utile durant tes études. » Les larmes parties, le visage de Keimi se mit a réfléchir. « Je ne …attends. Je me rappelle d’un sort… » « oui ? » Le visage du samurai s’éclairait visiblement a mesure qu’elle décrivait el sort. “Excellent! C’est la clé de notre fuite!” Keimi secoua la tête misérablement. «Non. La portée est limitée. Je devrais le lancer du centre de la horde pour qu’il fonctionne. Ils me tueraient en un instant. » « Peut être pas. Je crois que j’ai un plan. » Je n’ai jamais été un étudiant talentueux. Je n’étais pas particulièrement bon en art, combat ou magie. Le mieux pour me décrire dans tout ce que j’ai fait est « moyen ». Pas si mauvais, mais pas spécialement bon non plus. Pour faire court, je n’ai jamais brillé. Pas spécialement que je m’attarde la dessus. Mais je pouvais voir tout mon futur devant moi : j’aurais probablement été l’apprenti de quelque marchand ou voyageur, j’aurais appris assez pour mon propre commerce, de quoi mener une vie confortable. J’aurais probablement pris place dans un petit village, me serais marié et aurais eu des gosses. Je serais mort, laissant une modeste entreprise pour mes enfants. Et rien d’autre. Tout mon univers aurait été ce village, ce travail. J’aurais été perdu, dans un océan de visages vivant, et une mer encore plus grande de pierres tombales une fois mort. Mon visage, ma mémoire, chacun de mes actes aurait été un grain de sable dans les cendres de l’Histoire. Si quelque chose comme l’enfer existe,c’est CA. Mais si c’était censé être mon destin, comment l’ai je évité ? j’ai passé de longs après midis derrière un citronnier, près de l’orphelinat, a me poser cette question. Pendant des années je ne trouvai la réponse .Mais un après midi je me rappelai Natsumi et cela me frappa. Peut être Sakashima ne pouvait changer sa destinée. Mais qui avait dit que je devais rester Sakashima ? Les autres regardaient Hojo: Keimi effrayé, Black-Nose dégoutté, Niseno avec un mélange de doute et de crainte, et Saite avec son habituelle stoïcisme. « Audacieux » dit finalement Niseno « j’aime ». « Je pense que c’est un suicide » grogna Black-Nose. « Pas plus que d’attendre que les Kamis brisent les runes. »dit Saite, ‘Je ne sais pas quelles sont les chances de succès mais je pense que nous n’avons pas le choix. « C’est ridicule ! » dit le nezumi, « Impossible ! premièrement, comment la fille ira-t-elle assez loin au centre de la horde pour lancer son sort ? Qu’est ce qu’elle va faire , avancer au milieu des Kamis ? Une grimace passa sur le visage de Hojo. « c’est la que tu entres en jeu. » Black-Nose cligna des yeux. « MOI ? » « J’ai beaucoup voyagé dans mes recherches après Sakashima, j’ai appris beaucoup de choses. Une d’entre elles est de reconnaître certaines…qualités . ». Hojo fit une pause pendant que le Nezumi s’interrogeait. “Tu es un Ninja, n’est ce pas? Okiba-gang ? C’est pour cela que tu voyages si loin de Takenuma : j’ai entendu que Ronge Moelle a commencé a massacrer les tiens récemment. » Le grognement du Nezumi devint plus prononcé. « Et quoi ? Qu’est ce que çà a à voir avec tout ça?.» « C’est la clé de notre survie. » A ce moment la, Hojo dressa son Wakazashi et approcha du nezumi lié. D’un seul mouvement, il le libéra. Le ninja frottait ses poignets et souriait férocement. « Tu es sur que c’était une bonne idée ? » Hojo haussa les épaules. « Tu pourrais sans doute te faufiler hors d’ici, et nous laisser mourir. Mais je ne crois pas que tu feras ça. Pas parce que tu te préoccupes de notre sort, mais parce que tu es conscient que tu ne pourrais pas échapper aux Kamis assez que pour rester en vie. Mon plan t’offre une meilleure chance de survie que tout ce que tu pourrais faire seul, et tu le sais. » « Tu crois beaucoup, samurai. Je devrais partir maintenant. » « Alors fais le, je ne t’arrêterai pas. » Et la pièce resta immobile. … La plupart des gens me détestent. Le problème, ils n’ont aucun sens de l’humour. C’est le problème avec la guerre, ça rend les gens trop sérieux. Ils n’apprennent rien de ce que je fais. Ils courent juste, et s’essoufflent, et défoulent leur rage et anxiété sur moi, sans penser a ce qu’ils pourraient faire. Chinsen était différent. Je l’ai su des qu’il s’est rendu compte que je n’étais pas son apprenti, venu livrer quelques parchemins a l’un de ses compagnons Jushi. Il a rigolé, et m’a complimenté sur ma bravade. Puis il s’est lancé dans une critique détaillée de comment j’aurais pu améliorer mon déguisement. Je ne me souviens pas si je suis tombé a genoux a ce moment la, le suppliant de m’enseigner. Je crois que ça se pourrait. Pas mon moment le plus digne, mais un que je n’ai jamais regretté. Il était clair dès le début que j’étais allé aussi loin que les masques et le maquillage le permettaient. C’était Chinsen qui m’a appris l’art du parchemin vierge, de devenir rien pour pouvoir transformer son esprit en quelque chose d’autre. Alors que je maîtrisai lentement cet art, je remarquai un jour que mes traits(visage) commençaient a être plus discrètes. J’étais un peu curieux, mais pas concerné. Je restai ainsi, même quand elles eurent totalement disparues, faisant de mon visage une ardoise toute lisse. Chinsen sourit alors en voyant ce qui était arrivé. C’était un signe, dit il, que mes capacités étaient presque à leur maximum. C’est drole, mon visage ne me manque presque pas, un peu comme la plupart des gens ne peuvent porter les mêmes vêtements en permanence, je ne comprends pas comment les autres peuvent rester la même personne, avec le même visage, jour apres jours, quand il y a tant d’autres choses a explorer. “Tu sais, je pense que ça pourrait marcher.” Niseno releva la tête et regarda Hojo aiguiser son épée. Les autres étaient ailleurs, se préparant physiquement et mentalement pour le challenge qui arrivait. « Je suis impressionné samurai. La plupart des hommes de Konda auraient juste chargés, le katana dressé, spécialement si cela avait mené a une mort glorieuse. » « Hm , disons que je ne suis pas prêt a mourir aujourd’hui » grogna Hojo, sans lever les yeux. « Et ça change, n’est ce pas ? » Le son de la pierre a aiguiser sur le métal arrêta soudainement. « Ne sois pas si surpris. Je pouvais le voir dès le départ. Quand tu étais en vadrouille, chassant Sakashima, tes amis et camarades mourraient des mains de O-Kagachi. Tu dois te sentir coupable hein ? Tu aurais préféré mourir avec tes compagnons ? » « Oui… » murmura Hojo, dans une voix ressemblant peu à la sienne. « Je suis contente que l’instinct de survie l’aie emporté et que tu te sois assagi . Ce plan est bien trouvé, d’une certaine manière. » Niseno resta silencieuse un moment. « Que penses tu de Saite ? » « Ho, il fera sa part du plan a merveille. » « Ce n’est pas ce que je veux savoir… Je n’ai jamais rencontré de gens de sa race avant. Que crois tu qu’il fasse si loin du Jukai. ? » « Il m’a dit qu’il était une sorte d’explorateur, voulant savoir ce qu’il y avait au dela de l’orée de la forêt » Nisemo sourit « Je ne pensais pas que ce genre de désir existait chez les Orochis. » « Ni moi non plus. » La porte s’ouvrit. Le sujet de leurs spéculations était a l’orée, entouré de Black-Nose et Keimi. « Nous sommes prêts. » Je suppose qu’être coincé dans cette situation est entièrement ma faute. J’ai toujours voulu de l’aventure. Pourquoi d’autre aurais je fait une chose aussi folle que de m’aventurer dans l’Oboro palace comme si j’en faisais partie ? Pour trouver ce que les Soratamis préparaient pour le dîner ? D’ailleurs la réponse a cette question serait intéressante, probablement plus que n’importe quel autre secret que les Lunaréens croient de valeur. Secrets militaires, passions cachées, conspirations… Tout cela pâlit face aux plus simples actes…. Comme vivre. Je me rappelle de quelque chose que Jinsen me dit un jour. « Tu peux voir a travers une centaine de milliers d’yeux, et marcher dans un centaine de milliers de paires de chaussures. J’espère que tu réalises l’énorme don que c’est. » Il avait raison. Cela m’a pris des années pour m’en rendre compte, mais bon sang, il avait raison . C’était surprenant, la première fois que je me suis réellement immergé dans la personne de quelqu’un d’autre, comme le monde a changé. C’était comme si chacun de nous vivait sur une planète différente, chacun ressemblant uniquement superficiellement aux autres, chacune construite d’années de mémoires et d’expériences uniques. Chaque être est une riche tapisserie de rêves de désirs, et surtout, une histoire sans fin de triomphe et de tragédies. Et je suis un lecteur vorace. Vivre a Oboro fut presque l’expérience. Pour la première fois, je pus voir pourquoi les soratamis sont ce qu’ils sont. Regardant de haut les gens du sol, ou même Eiganjo ne ressemble a rien de plus qu’une boite a jouets laissé par un enfants imprudent… Voir et essayer le pouvoir qu’ils ont, la manière dont ils peuvent faire des formes et danser sur le plus fin courant d’air.. J’aurais passé des après midis entières a changer une fleur de lotus, regarder sa couleur se modifier et la diriger comme j’aurais fait d’une poupée. Cela m’a pris du temps, de retour sur terre, sentant le sol sous mes pieds et le soleil me chauffer la peau, pour me rappeler qui j’étais vraiment. J’ai passé deux semaines comme un humble fermier, travaillant l’Araba. Je pense que c’était une punition pour me ramener a la réalité. Mais je n’échangerais ce temps dans les nuages pour rien au monde. Pas même pour les plus grands joyaux du Kakuriyo. La horde de Kami se rendit compte de la présence des mortels quand les portes nord de la forteresse s’ouvrirent, et que le samurai apparut, l’épée en main. Riant de son audace et de sa folie, l’armée fonça sur lui, heureuse de la chance de détruire les premiers. Le katana brilla, et des Kamis tombèrent, mais d’autres avançaient, marchant sur leurs camarades tombés. Mais alors l’Orochi apparût, au flanc nord ouest de la porte, sentant le sort de téléportation des mortels. L’armée des Kamis réfléchit comme une seule, et une partie fonça directement vers l’Orochi, qui faisait déjà pleuvoir une pluie de flèches. Alors le yamabushi apparût au nord est de la porte, usant du même sort de téléportation. Certains Kamis crièrent de peur, mais une troisième partie de la horde se détacha et fonça vers lui. Après tout, il était seul et ils étaient nombreux. Peut être certains seraient bannis, mais le reste vengerait ces dégats une centaine de fois. Et maintenant que l’armée était séparée en trois, comme un mochi coupe en trois portions. Un espace vide développé au centre de la horde, un qui grandissait a mesure que les mortels assiégés étaient entourés. C’est parmi ce chaos de sang, d’acier, de sorcellerie et de flèches que Black-Nose passa les rangs des Kamis, sa fourrure trempée de sueur. Chaque nerf était a vif, chaque muscle le brulait, et ses capacités de Ninjutsus étaient a leurs limites alors qu’il zig zaguait a travers l’armée, apparaissant a peine un moment avant de disparaître dans un flash. Finalement, il atteignit l’espace central, et déposa sa charge au sol. Keimi avait besoin de fermer ses yeux un moments et de remettre ses pensées en ordre. Si un des plus puissants Kami avait fait attention, ils auraient vu les vagues d’énergie qui s’échappaient de la fille, et se répandaient dans le champ de bataille. Tel quel, ils remarquèrent seulement que les liens spirituels qui les reliaient a l’Utushiyo s’évaporait, renvoyant leurs formes au royaume éthéré. Les Kamis s’évanouirent dans un hurlement de rage, mais c’était un geste instinctif inutile. Apres quelques instants, seuls 5mortels en sueurs étaient encore sur le plateau, se regardant les uns les autres incrédules. « Bordel… » murmura Black-Nose, « Ca a marché ! » * * * “Alors ou est passé ce Nezumi?” Le soleil se levait, une vue qui remplit Hojo de joie. « Disparu dès qu’il a été sur que les Kamis avaient disparus » vint la réponse. « Nous devrions probablement être heureux qu’il n’aie pas décidé de nous tuer directement. » « Pourquoi devrions nous nous en faire ? Qu’il garde sa misérable vie. Il a su partir au bon moment. » une pause. « Et les autres ? « Saite accompagne Keimi a son village (a elle). Moi, je dois retourner a ma propre maison. Heureux de t’avoir rencontré. » Hojo approuva. Il attendit un moment que le visage face a lui se retourne et commence a s’éloigner. Il n’était pas sur de savoir pourquoi, peut-être un coté de poésie dramatique… Il prit un parchemin de sa tunique et le tint dans l’aube chaude. « Vous partiriez sans ce document que vous étiez venu chercher, Sakashima-sama ? » (Sama étant un terme de respect) L’homme qu’Hojo connaissait sous le nom de Niseno s’arrêta, et se retourna lentement. « Je ne pense pas vous avoir bien entendu » « Je pense que si. J’ai entendu ce que vous racontiez au Nezumi. Comme je l’ai dit, j’ai beaucoup voyagé et appris de nombreuses choses. Je connaissais même les frères Yamazaki, revenus servir leur daimyo. Je sais que leur village n’est pas tombé aux mains des Kamis. » ”Vous saviez depuis lors? Vous m’impressionnez une fois de plus. Alors pourquoi n’avez vous pas… ? » « Cela n’avait aucune importance a ce moment la. Je suppose que cela n’en a toujours aucune. » Sakashima fit une pause, regardant le parchemin. Il le prit et le déroula. « Comment saviez vous que j’étais venu chercher ceci ? » « Juste une impression. Je savais que le fort ne recelait pas grand chose de valeur, juste quelques réserves et des informations de recensement. J’ai vu le nom, et j’ai pensé que c’était un bon pari. » « Et bien… merci. » pas de réponse. « Alors qu’allez vous faire a présent ? » « Retourner a Eiganjo, voir ce que je peux faire pour aider. Si le Daimyo est toujours vivant, et me veut, je retournerai a son service. Quand a mes ordres… Vous êtes un homme dur a trouver, Sakashima. » « Je suppose. » Hojo approuva une fois de plus. « Bonne route. » Sakashima attendit qu’Hojo disparaisse derrière l’horizon, puis tourna son attention sur le parchemin. La, parmi les lignes et les lignes de date de naissance, se trouvait le nom qu’il cherchait : Kenshi Sakashima « Alors c’est ça mon prénom. » murmura-t-il. « Pas mal. Mes parents avaient du goût. » Souriant comme il ne l’avait fait depuis longtemps, Sakashima mit le parchemin dans sa ceinture. Peut être devrait il aller aux portes de Shinka, être un ogre quelques temps. Ou peut-être visiter les nezumi ? La route était large et vide, et tout était possible. Sifflotant un air ancien, Sakashima fit le premier pas vers un nouveau voyage. [ Edité par Lord_Alendur Le 11 mai 2005 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 10/01/2009 Grade : [Nomade] Inscrit le 10/02/2005 | Envoyé par YogZbul le Jeudi 12 Mai 2005 à 07:17 je te plains, tu a du vraiment te faire c**** a traduire!
BRAVO!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 14/12/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 18/05/2004 | Envoyé par buhbuh le Jeudi 12 Mai 2005 à 12:05 en tous cas je sens que ce sera une super carte noir qui aurait un pouvoir genre clone, dopelgenger ( seraise en ré édition de la vielle carte promise comme fourche en bleu ))
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/10/2005 Grade : [Sorcier] Inscrit le 04/11/2003 | Envoyé par Lord_Alendur le Jeudi 12 Mai 2005 à 16:35 Ben non boulet, la carte rééditée, c Fork...
Sinon, la couleur je me demande sincerement :-s Un artos ca collerait pas, mais quelle couleur... :-s Théoriquement, vu qu'il est né a qqes miles de Eiganjo, White... Noir je pense pas, vu qu'il est pas foncièrement maléfique, c plutot un Kender pr moi, un mec qui cherche a s'amuser en se lançant des défis un peu fous...
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 14/12/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 18/05/2004 | Envoyé par buhbuh le Jeudi 12 Mai 2005 à 17:25 Il ont pas parler d'une carte mais de DEUX carte :
fourche le premier le deuxième on ne sais toujours pas avant de traité les gens de boulet !!! renseigne toi !! car j'apprécie vraiment pas les insulte gratuite !!! si je dit noir c'est pour plusieurs raison : Image de la carte, penche du coté du noir les espions, assasin ... sont toujours noir
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Jeudi 12 Mai 2005 à 18:01 Le bleu est généralement plus approprié pour les cartes à clonages...
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 30/11/2011 Grade : [Nomade] Inscrit le 31/08/2003 | Envoyé par lokiel le Jeudi 12 Mai 2005 à 18:07 Ben les réeditions de cartes ça m'a pas l'air d'être trop ça hein... La fourche était rouge à la base, pas bleu... Et on a aussi le nouveau " chevalier blanc-like " , si on va dans " la réedition à peu près "
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Sévère , strict, mais juste. |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Jeudi 12 Mai 2005 à 18:12
C'est ce qui la rendait si puissante, en mono-rouge de l'époque, en bleu c'est beaucoup moins fort.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 14/12/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 18/05/2004 | Envoyé par buhbuh le Jeudi 12 Mai 2005 à 18:21 En rouge c'est vrai que c'était ultime !!!
Tu me contre ma boule de feu pas grave en voila une deuxième pourquoi jouer un inferno quand je peu en jouer 2 pour 2 mana de plus tu ma fait un drain de vie a 10 bon aller je vais commenver oups tu est mort ...... bref vraiment trop fort. Par contre en bleu c'est aussi fort je trouve voir plus car le bleu a vraiment des sort fort a doubler : - flambeau bleu - contre sort - sort de pioche - subornation -
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/10/2005 Grade : [Sorcier] Inscrit le 04/11/2003 | Envoyé par Lord_Alendur le Jeudi 12 Mai 2005 à 18:47 Ouais fin contre sort c pas ultime de le doubler: tu payes le meme cout, et t'as probablement pas d'autrre cible. Non perso je le vois plus comme un contresort qui retourne le truc genre "Cranial sur machin " "Nan , moi jte cranial sur cranial."
"Drain life" "nan TOI drain life" "Beacon... Encore..." Et dans les autres formats.. Blocage cérébral? Traumatisme? BuhBuh, calme stp, c pas méchant quand je traite les gens de boulets Perso j'ai toujours entendu parler d'UNE carte rééditée... donc j'supposais que ca serait Fork... Sinon, rien a voir mais je passais pr demander aux modos qui passent ici, "plutot que d'employer des traductions bidons dans les articles, vous prendriez pas les miennes? c'est ptet pas le mieux qui existe mais au moins un francophone normalement constitué peut comprendre...
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