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Grade : [Nomade] Inscrit le 21/09/2004 |
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Grade : [Nomade] Inscrit le 26/01/2005 |
je le vois plutot en Noir, probablement est il d'ailleurs celui a qui va la seule "fear" de l'extension... ah bon... et ça c'est quoi : Souillure Rampante, Surineur nezumi et Bourreau oni . t'as aussi ça : Ronge-moelle, Kami De La Lune Descendante et Gros bras d'accord les trois derniers ils ont pas la peur directement mais ils peuvent l'avoir et ils la donnent bn bah voila cttt !!!  f!x, love fear  ___________________ i swear that i don't have a gun...
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Grade : [Nomade] Inscrit le 21/09/2004 |
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Grade : [Nomade] Inscrit le 02/05/2004 |
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Grade : [Sorcier] Inscrit le 04/11/2003 |
TADAAAAAAAAAAM APRES 2*1.30 de travail, voila enfin ce foutu texte sur Kataki en FRANCAIS, et en intégrale s'il vous plait...
Accessoirement, pour ceux qui douteraient encore de la couleur de Kataki, je vous invite a jeter un oeil a la fin du texte, quand Kataki explique ce qu'il aimerait faire subir a ceux qui l'ont offense  si vous dites que ca c'est une créature BLANCHE, et donc theoriquement pacifique, je veux pas savoir ce qu'une créature noire ferait^^allez ca commence ici,c signe MOI pr la traduction.. MOTEUR!! Le guerrier maudit vint de l’ouest, ou un soleil mourant donnait une couleur rouge sang a la poussière, alors que les premiers souffles d’une tempête approchaient. J’étais celui qui trouva le guerrier maudit, et cela me rendit responsable de tout ce qui suivit. Si notre village avait été quelques miles plus a l’est, ou si je n’avais pas vu la forme tremblante a travers les bois du bas de la colline, il serait mort, et nous aurions tous préservé notre destinée. Mais le village n’était pas plus à l’est, et je l’ai vu, alors je dois affronter ma responsabilité. Ce soir la, j’aurais préféré dormir, souffler dans le vent chaud ou garder les moutons, ou écouter des histories au coin du feu. Mais d’horribles et étranges choses arrivent dans ce monde, des esprits et des monstres qui parcourent la terre, et quelqu’un doit monter la garde face a cela. Et l’un de ces gardes, c’ était moi. J’étais un garde, face aux plaines a l’ouest du village, regardant vers l’horizon. Les montagnes distantes étaient déjà perdues dans la profonde poussière rougeâtre. Le guerrier maudit était à peine plus qu’une ombre, et je crus d’abord qu’il s’agissait d’un loup ou d’un petit chien traînant autour du village. Mais même cela était improbable, l’ombre était bizarre et tremblante. Elle aurait du s’étendre sur elle même et s’effacer dans la lumière mourante. Au lieu de cela, l’ombre prenait peu a peu une forme vaguement humaine, un humain qui aurait été saoul ou blessé, ou les deux. Je descendis de la colline du village, et allai vers lui, la dague de mon grand père dans son étui mais les deux mains tenant fermement ma lance. Le guerrier maudit me vit, et leva une main, pour me chasser ou m’accueillir, je l’ignore. Ensuite il s’agenouilla, et je m’approchai lentement. Il était un guerrier, un vétéran, et il semblait avoir participé a une bataille au royaume des Kamis eux mêmes. Son armure était faite de plaques laquées de noir, fendue ou fracassée par endroits, alors que certaines parties, comme les épaulières ou les jambières avaient complètement été arrachées. Les vêtements sous son armure étaient déchirés et tachés. Il avait toujours un fourreau dans le dos, mais pas d’armes. Ses sandales étaient usées, et aussi fines qu’une feuille de papier. Alors que je m’approchai, il ne bougeai pas de la ou il était accroupi, dans l’herbe recouverte d’ombre… Je me tins face a lui un long moment, et scrutai l’horizon a la recherche d’autres. Il était seul. Un survivant ? un déserteur ? Pour sa part, le guerrier attendait, et ce n’est que quand il fut clair que je n’allai pas le tuer qu’il leva les yeux sur moi. Il était beaucoup plus vieux que moi, et son visage aurait du être plus serein et plus sage. Au lieu de cela, il était abîmé et grimaçant, les larmes causant de nouvelles rides dans la crasse le recouvrant. A voir son visage, il avait du pleurer durant des jours. “Tous morts” dit il dans une voix basse, grinçante, à peine plus qu’un murmure. « la Rumeur de la guerre les a tous emportés. » Je regardai le guerrier, puis a nouveau vers le village. J’aurais pu aller chercher de l’aide, mais le vieil homme semblait prêt a mourir si je m’éloignais. Il ne semblait pas blessé, et malgré son apparence, n’avait pas l’air malade. J’appelai a l”aide vers le village, et laissai tomber ma lance afin de pouvoir employer mes deux mains pour aider le guerrier fatigue a se remettre sur pieds. Comme je faisais cela, il dit une simple phrase, comme un craquement, presque masquée par le bruit du vent levant. Et lorsque les mots quittèrent ses lèvres je compris que j’avais fait une horrible erreur. “Es tu sur de ce qu’il a dit?” demanda Furuijin. Il était le plus âgé des anciens du village, et c’était a la fois sa nature et son rôle de tout faire confirmer trois fois avant d’y croire. Je hochai la tête. « Kataki me poursuit, » répétai je pour la troisième fois. Le vieux vétéran avait prononcé le nom d’un puissant Kami, l’un des grands esprits. Dehors, le vent levant faisait déjà claquer les volets et les écrans. La tempête qui avait masqué le soleil était arrivée brusquement sur les traces du guerrier fatigué. Suroshian, le plus fort des anciens, fit entendre un profond bruit guttural, “alors il a prononcé le nom d’un des Kamis. Et en quoi cela nous concerne-t-il ? » Kiokuri, qui était aussi bien scribe que professeur ou qu’archiviste, secoua la tête avec un « birdlike tic ». « En ces jours sombres, invoquer un Kami est dangereux. Leurs sombres incarnations parcourent la terre, détachés de leurs anciens codes et promesses. Ils apportent l’apocalypse a ceux qui les croisent. » Je ne dis rien, mais clos mes lèvres en signe d’assentiment. Kataki était l’un des esprits que les forgerons chantaient en forgeant les armes, et celui dont chaque garde et guerrier vénérait le nom en murmurant une prière quand ils nettoyaient leurs sabres. Un petit autel lui était dédié dans l’armurerie, généralement installé avec de petits gâteaux au riz. Cet autel, et celui de tous les autres esprits, avait été abandonné quand les Kamis étaient devenus fous. Suroshian grogna à nouveau, “Alors il a invoqué l’esprit des guerriers, et puis? C’est ce que pourrait faire n’importe quel guerrier, pour guider ses traits ou empêcher que son épée soit fracassée. » Furuijin dit “Son sabre manquait quand tu l’as trouvé, n’est ce pas?” Je hochai la tête, et il continua, « Et Kataki pourrait avoir tué ses compagnons. » “Tous morts” répétai-je pour la troisième fois. « la Rumeur de la Guerre les a tous emportés. » Suroshian grogna une nouvelle fois, mais Kiokuri l’interrompit avant que le moindre mot ne put jaillir de la masse de l’autre ancien. « Kataki est connu comme la Rumeur de la Guerre, quand il était le grand protecteur qui protégeait les armes et armures. Kataki guidait n’importe quel projectile vengeur vers sa juste cible. Brillant et noble il était, aux temps meilleurs.. » “Dans ce cas, qui est mort exactement?” demanda Suroshian. « Ses compagnons de route ? son unité ? c’est simple. Ils ont croisé un Kami et en ont été punis. Cela les as bien servi. » Il tourna la tête vers moi. « Sais tu de quelle unité il était ? » J’aurais haussé les épaules, mais nul ne montrait un manqué de respect aux anciens. « Je n’ai rien vu qui ressemble a un marquage d’unité. Il n’avait ni bouclier ni épée ni paquetage. Il avait une gourde, et elle était vide depuis des jours. » “Un déserteur donc, “ conclût Kiokuri. « Il pourrait avoir fui le champ de bataille. Kataki n’aurait pas aimé cela. » “Nul ne sait plus ce que les Kamis aiment ou n’aiment pas.” Dit Furuijin, « Ils n’ont plus la prétention de penser comme des êtres vivants. » “Quelle bataille?” demanda Suroshian de sa voix nerveuse, “je n’ai entendu parler d’aucune bataille.” “Il venait de l’ouest, “ dit Kiokuri, et la Suroshian me jeta un regard qui n’attendait pas de réponse, “il n’y a rien de ce côté a part de la poussière et un désert salé, jusqu’aux montagnes. Il doit venir d’une unité militaire qui devait être la pour une bonne raison, probablement une bataille. » “Pourquoi une unité militaire serait dans les montagnes de toute manière?” grogna Suroshian. “Sans doute pour protéger les villageois de Kataki” dit Furuijin. « A cause de la distance, nous n’avons que peu de nouvelles des communautés des montagnes. En fait, des guerres entières pourraient être menées la bas sans que nous soyons mis au courant. » “Son unite pourrait avoir essayé de protéger un village de Kataki , “ admit Kiokuri, « ou de quelque chose du même genre. Ce monde n’est plus en paix depuis longtemps… » “Il pourrait être un déserteur” grogna Suroshian, “Ou il pourrait juste être le survivant d’une patrouille tombée dans une embuscade. Ou peut être qu’il s’est simplement perdu. Laissons le dormir dans le hangar ce soir,et nous le renverrons d’ou il vient demain. » “Cela pourrait être très sage,” dit Furuijin, “a moins que ses compagnons aient effectivement été tués par l’esprit Kataki. » Suroshian s’éclaircit la gorge, et Kiokuri l’interrompit une nouvelles fois. « En effet. S’il a attiré sur lui la colère de Kataki, c’est comme s’il était déjà mort. Les Kamis sont aussi bien connus pour leurs caprices que pour leur ténacité. Ils peuvent s’offenser des plus petites choses, mais une fois offensés, ils sont des chasseurs déterminés. » “Et ils seront offensés par quiconque défend l’offenseur originel. » dit Furuijin. “Alors donnons au vétéran un peu de riz, remplissons sa gourde, et renvoyons le d’ou il vient. » dit Suroshian. « Si cet esprit le poursuit, il ne trouvera alors aucun de nous autour de lui. » “Aider l’offenseur de n’importe quelle manière peut inspirer la colère du Kami” dit Furuijin. Kiokuri eût un “Birdlike tic” et fronça les sourcils. « Suivant le même raisonnement, si le Kami apprenait que nous n’avons pas su arrêter son offenseur, il pourrait vouloir nous punir aussi. » Suroshian laissa échapper un grognement qui semblait venir de très profond. « Et nous ne pouvons même pas demander leur avis aux Kamis, puisqu’ils sont tous fous. Quelle pitié que ce vieil homme ne soit pas mort 50pieds avant d’arriver ici, hein ? » Le puissant Suroshian me donna un profond regard, pleins de sous entendus. “Il pourrait simplement être fou, son esprit dérangé par le long voyage a travers le désert. » dit Furuijin. « Tourner le dos a un tel homme serait horrible. » “Alors nous devrions le garder jusqu’a l’arrivée de Kataki.” Dit Kiokuri. « Nous ne pourrons combattre cet esprit avec les armes que nous possédons. » “Etant donné que nos armes sont bénies en son nom, je ne pense pas.” Dit Suroshian. Kiokuri secoua la tête et leva une main pour le silence. «L’apparence de Kataki est faible et minuscule au début, mais si nous échouons a le repousser complètement, il grandit, exactement comme la volonté d’un guerrier grandit au cours de la bataille. Il est la vengeance de la guerre, l’esprit incarné de la juste punition. Ce serait une folie de nous opposer a lui. » « Ce serait une folie d’essayer de comprendre son esprit.” Dit Furuijin. Shuroshian grogna, “Nous ne devrions pas garder l’étranger. Nous ne devrions pas abandonner l’étranger. Nous ne pouvons même pas être surs que Kataki chasse vraiment l’étranger. » Shuroshian dit alors les mots suivants lentement, mais il me regardait moi et non pas ses compagnons en les prononçant: “Quel pitié que cet étranger aie vécu assez longtemps que pour nous donner ce problème, hein ? » Les anciens continuèrent de discuter pendant un bon moment. Ils finirent par se rendre compte que j’étais toujours dans la pièce, et me donnèrent conge, non sans m’avoir demandé de revenir faire mon rapport. Je sortis et vu que la tempête avait traversé la plaine, et était maintenant en train de nous tomber dessus. Le ciel n’était pas encore tout a fait noir, mais presque, et les nuages de sable tournoyaient entre les maisons. La poussière salée me frappa au visage, et je me protégeai de l’avant bras pour me diriger vers le hangar. Malgré l’heure tardive et le vent qui se levait, il y avait toujours de l’activité dans le village. Les familles vérifiaient les volets et les fermetures, et vérifiaient que tout était bien attaché. Le vieux Taimanto, qui avait fini de s’occuper de ses volets, était occupé avec son beau frère a attacher les ballots de paille. Un feu de camp luttait contre le vent, et autour, les derniers gardes en pause trainaient, en buvant du saké et en discutant. Dans la distance je pouvais entendre les moutons bêler et les malédictions des bergers qui tentaient de les mettre a couvert. Les vents tombèrent un moment, assez pour me permettre d’entendre le rire des autres gardes. Un moment, je fus tenté de les rejoindre, prendre le saké et de me plaindre des anciens. De laisser quelqu’un d’autre prendre la responsabilité du vieux guerrier. Au lieu de cela, je me dirigeai vers le hangar, un petit bâtiment sans fenêtres contre le mur d’enceinte de la ville. Notre hôte avait été placé dans la première pièce, loin des tonneaux, des urnes et des sacs. Rushatsu, un autre garde, avait été posté a la porte d’entrée, mais il était assis et regardait distraitement le feu de camp éloigné. “Il ne s’est rien passé?” dis-je. Rushatsu se secoua, “Rien de bien important. Il a pleuré un moment, puis s’est arrêté. Puis il a recommencé. Pas de questions, pas de conversation, pas de prières. Rien. » Je pris la gourde du veteran. « Tiens, va la remplir au puit. » Rushatsu secoua la tête, « Kiokuri a dit de ne pas le nourrir tant qu’ils n’auront pas décidé de son sort. » “J’en viens” dis je confiant, “ils parlent de le renvoyer d’ou il vient.” “Par une nuit pareille? O_o » dit Rushatsu . “Ils pourraient aussi bien lui tirer dessus a l’arc. » Je haussai les épaules, plus pour éviter de croiser les yeux de Rushatsu qu’en accord avec ses mots. Il me regardait toujours quand je lui jetai un regard, tendant la gourde. « Va la remplir. Et si tu veux prendre ta pause, n’hésite pas. » Je regardai vers le feu de camp, et le vent mourût assez pour laisser parvenir un rire, « Je vais m’occuper des choses ici. » Rushatsu hésita, puis pris la gourde et courût vers le puit. J’entrai dans le hangar. La première pièce était employée pour le transfert des objets, et de nombreux outils traînaient dans le fond, attendant d’être stockés dans l’entrepôt principal juste derrière. Le vétéran était agenouillé au centre de la pièce, un bol de riz intact a sa droite, une chandelle a sa gauche. Il ne pleurait plus. En fait, son visage était aussi calme que celui d’un soldat au matin d’une bataille. “Hello” dis je. Il ne répondit pas. Je m’agenouillai devant le guerrier. « Pouvez vous parler ? » “Un peu, “ sa voix était aussi sèche que le sable “De l’eau?” “Elle arrive” dis je, “Les anciens ne voulaient pas offrir l’hospitalité avant d’être surs. » “Prudents.” Dit le vétéran, regardant au sol. “c’est bien. Nous aurions du être prudents. » “Que s’est il passé? » Demandai je “Offensé Kataki” dit il, sa voix tremblant sur le nom. “Offensé comment?” Le guerrier eut un faible rire. « Si facile. » “Oui mais comment?” demandai-je, pressant. Le guerrier leva les yeux de ses mains, et je vis la folie dans son regard. La folie, et peut être une petite trace de quelque chose d’autre. “Tous les Kamis sont fous ces temps ci,” dit il. A cet instant, la petite lueur d’autre chose dans ses yeux disparut et son visage devint pale. Il regarda a nouveau vers ses mains. “Comment?” dis je, me levant et dominant le vieil homme. “Tous tués, nous tous.” Dit le guerrier. “Tués qui? Votre unité? Vos alliés? Qui?.” J’essayais de calmer ma voix, mon irritation envers le vieil homme se sentant dans mes paroles. “Tout est ma faute” dit il doucement. “Oui,” implorai je, “mais qu’avez vous fait? Avez vous tué quelqu’un ? » ‘Les guerriers sont censes tuer.” “Alors n’avez vous pas réussi a tuer quelqu’un? Blasphémé contre les esprits ? avez vous trahi les vôtres ? avez vous déserté ? avez vous fui ? est ce pour cela que Kataki vous poursuit ? » Il y eût une longue pause, et les volets clos dans le hangar s’entrechoquaient dans le vent. Si le vieil homme était en train de réfléchir ou juste de chercher ses mots, je l’ignore. A la fin il dit, « j’ai fui ». Je commençais a me déplacer dans la pièce, circulant autour de l’homme, sachant que Rushatsu ne perdrait plus beaucoup de temps au feu de camp. Le temps était compté. “Kataki veut votre mort?” demandai je en me déplaçant. Une autre pause. « Qui sait ce que veut un Kami ? Ils sont tous fous en ces temps troublés. » “Kataki vous poursuit de sa vengeance.” Je n’avais pas demandé cela, mais plutôt constaté. Je savais ce qui devait être fait, ce que Suroshian attendait de moi. Quelqu’un devait prendre une décision. “Oui” dit le vieux guerrier doucement. Le vent rugit dehors. “Il est trop tard de toute manière.” Ajouta-t-il. Je me tenais derrière lui a ce moment. Je sortis la dague de mon grand père de son fourreau, en espérant ne pas l’alerter. Il entendit probablement le murmure du métal sur l’étui, mais il ne broncha pas. Pendant un moment de folie, je pensai a invoquer le nom de Kataki pour guider ma lame, mais je n’en fis rien . “Vous devriez…” furent ses derniers mots et d’un simple mouvement, je lui tranchai la gorge. Pas très différent d’égorger un agneau. Il ne résista pas, ses mains restèrent sur ses jambes, son corps devint tout d’un coup lourd et humide. Il glissa sur le sol sans plus de bruit qu’un soupir. Et le vent dehors cessa soudait, comme s’il avait été chassé ailleurs. Prudemment, j’étendis son corps sur le sol, essuyant la dague sur ses vêtements souillés. Je marchai doucement vers la porte. Il n’y avait pas que le vent, c’est tout le bruit du village qui s’était tu. Je sortis du hangar, et le ciel rougeoyait d’une ombre brunâtre, comme si le village était entouré d’un feu de brousse. Il n’y avait ni étoiles ni nuages, juste le rougeoiement doux et écoeurant . Rushatsu gisait au sol quelques pas plus loin, la tête tournée vers moi, une gourde pleine d’eau se répandant dans la poussière. Quelque chose se répandait de Rushatsu aussi, tachant le sol sombre sous sa tête et sa poitrine. La panique me saisit au ventre, mais j’avançai vers lui et le contournai. Sa gorge avait été arrachée, en un simple mouvement. Il n’avait pas eu le temps de résister. Pas très différent d’égorger un mouton. A travers le village étaient répandus les corps autour du feu de camp, tachant le sol dans la lumière scintillante. Taimanto et son beau frère étaient couchés ensemble devant leur maison, le dernier ballot de paille abandonné entre leurs formes déchues. Je fis deux pas vers la chambre des anciens, mais je savais ce que j’y trouverais. Et le vent revint, doucement d’abord, puis prenant de la force, gifflant de poussière la place du village, et la transformant en un grand nuage. Et dans le nuage bougeaient des ombres noires, qui grandirent et devinrent solide. Kataki était arrivé. Le Kami faisait près de deux fois ma taille, fait d’armes et lié par des armures. La ou auraient du se trouver ses bras apparaissaient de sinistres lames de sabres. Ses jambes étaient faites de carquois d’arbalètes entre-liés. Derrière son casque d’ébène on voyait les pointes de nombreuses masses d’armes, alors qu’une lueur malsaine bougeait derrière les yeux de son masque. Autour de l’esprit dansaient de nombreuses lames, chacune brûlant de la même lueur malsaine et dégoulinant du sang de mes compagnons villageois.. Sa voix sonna comme des épées qui s’entrechoquent dans une bataille. Cela prononça mon nom. Ma gorge était plus sèche que les rochers eux mêmes, mais je tendais de prononcer une réponse. « Votre tâche est accomplie. Le vieux guerrier est mort. » La grande figure claqua et grinça devant moi, “Je sais” dit elle. La sueur perlait a mon front, “Votre tâche est finie. Vous êtes libéré de toute charge ou mission. Votre vengeance a été accomplie. » “Ma vengeance m’a été refusée,” dit le Kami, et le sol devant moi semblait trembler, alors que le vent rugissait. “Je ne…” commençai je a protester, mais les mots se perdirent dans les hurlements du vent. “Il y a bien longtemps un être m’a offense, » dit le Kami, « il fut tué par un autre, qui fut tué par un autre encore, chacun pensant chaque fois m’apaiser, mais me privant en fait de ma vengeance. Chaque offenseur périt avant que je ne pus m’approprier son âme et la réduire a une éternité de souffrance. Et a présent, vous avez fait la même chose, toi et ton méprisable village. Et tu es donc mon ennemi, et tu mérites ma punition. » Je réalisai que le Kami était en fait fou, et que rien de ce que nous avions fait, agir, débattre, discuter, tuer ou ne pas tuer, n’y aurait rien change. J’avais damné mon village des le moment ou j’avais aidé le guerrier mort. Cela avait pris si peu de temps pour que nous mourrions. Et soudain je réalisai que le vieux guerrier le savait. Le guerrier maudit avait ménagé ses réponses pour que je lui donne l’issue dont il avait besoin, et que je prenne le manteau de sa malédiction, devenant la proie de la Rumeur de la Guerre. Et je savais ce qui allait arriver ensuite. Je tournai le dos a Kataki, et me mis a courir. ___________________  |
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___________________  Mais qui est l'intru ? ^^ |
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___________________ Mais qui est l'intru ? ^^ |
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Moi je pense aussi qu'il serat blanc puisque la majoorité des samourais le sont!
Autre chose vu la qualité du texte (au passage merci Lord_alendur ) et la puissance du Katari on aura pas le meme coup qu'avec Karona!Je rappelle qu'elle etait sensé etre quasiment un divinité! Vous voyez le resulta en catre :s___________________ Ca c'est du site! |
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Heuu Mybu tu peux etre moins agressif? si t'as un probleme et que t'as besoin de te defouler, appelle ta petite soeur
 Kataki je le vois noir pr plusieurs raisons:-description de son armure (Ebene avec des reflets ensanglantes et des lames qui degoulinent de tripes qui l'entourent...) -Yeux qui sont '2lueurs malsaines", voix grinçante et horrible Cela etant, d'apres les infos de storyline de SoK que j'ai traduit sur un autre topic (voir ce meme forum), il semblerait qu'en Kamigawa, le noir soit la couleur des Heros et le blanc des mechants (Konda, pas bien), donc il se pourrait que Kataki soit blanc... W8nC. Enfin, pour ce qui est des golds, mybu, tu donnes vraiment l'impression que tu viens de commencer Psychatog, c'est une?? gold... Action pernicieuse, c'est une?? gold... Ingerence du mage c'est une?? gold... Alors Ouais le Genju du royaume est pas ultime (et encore, attendons de voir sans mirrodin ce qu'il donnera) mais de la a dire que les golds c des thons injouables... Lord Alendur "v voir si j'peux traduire autre chose^^" Edit: Au fait, Toshiro, tu me rappelles son type de creature stp? et les Nezumi? Sinon, je signale a ceux qui auraient mal lu ma trad que c'est le Kami venere par les GUERRIERS, donc ca peut aussi etre par les ninjas (par exemple), les Akkis ou n'importe qui capable de se battre donc.. W8nC[ Edité par Lord_Alendur Le 08 mai 2005 ] ___________________ |
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