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La légende raconte un jour que le prince Duvat, un homme amoureux mais dont la beauté manquait, utilisa un sortilège pour que la femme de ses rêves lui tombe dans les bras. Malheureusement, cette potion le maudit et l'enlaidit d'avantage, sans le moindre effet sur sa conquête. L'éconduit damné ne put se résoudre à une telle vie et tenta de se suicider. Mais au moment de se jeter dans la rivière, il vit son reflet dans l'eau. De voir Duvas sali, terni, souillé, défiguré, il en arrivait à s'imaginer un futur différent, un avenir florieux. Il alla donc trouver la sorcière la plus puissante du royaume et lui demanda de lancer sur lui un puissant sortilège afin de retirer toute cette laideur. Mais tous les sorts de la magicienne ne suffirent pas à rompre la malédiction, et pris de désespoir, il se jeta du sommet de la plus haute tour de son chateau. Ainsi, le prince comprit que l'amour n'était pas supérieur à la beauté, et que la magie n'était pas solution à tout problème ou désir.

L'éconduit damné ne put se résoudre

Mais tous les sorts de la magicienne  

 La tyrranie de Jund

Jund est un monde sans pitié formé à partir de trois couleurs de mana : le noir, le rouge et le vert.
Ses habitants, appelés les viashinos, étaient de gros lézards pouvant faire deux fois la taille d'un crocodile et se nourissaient essentiellement des gobelins sans défense qu'ils traquaient souvent en groupe, que l'on appelait "rosse". Pour les gobelins, ces derniers ne vivaient en général guerre longtemps sur ces terres sans pitiés; ils finissaient leur vie soit dévorés par un dragon ou des viashinos, soit en tombant dans de profondes crevasses, soit par le biais du sacrifice, ce dernier s'exécutant à deux pour qu'il y ai un spectateur. Enfin, le plus redoutable prédateur fut sans contester le dragon. Il s'attaquait plus souvent aux gobelins dont la chair est juteusement sanguine et souvent en groupe de deux. 
Sarkhan, voyant cette chaine alimentaire, fut rébuté de voir à quel point ce cycle ne fut pas comme il le souhaitais; il reprochait aux viashinos de voler la nourriture des dragons et ne l'entendait pas ainsi.
Ce qu'il admirait par-dessus tout, c'était la frénésie fatalement meurtrière des lézards volants; voir ce spectacle de charges, de feux et de dévorement faisait grandir encore plus son admiration pour ces bêtes. Il partit donc à la recherche d'un dragon à la hauteur de son admiration et annula donc son projet de défier Nicol Bolas...

c'était la frénésie fatalement meurtrière