Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/12/2022 Grade : [Divinité] Inscrit le 18/02/2004 | Envoyé par Larme le Mercredi 15 Février 2006 à 20:49
Bah, y'a marqué "de la pile".... (a)... oupah Sinon, pour l'autre, y'a le terme "joueur" qui SAR Enfin, j'pense
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mercredi 15 Février 2006 à 22:27 Il semble surtout que j'ai omis de réengistrer certaines carte en jpg lors de leur modification, Kiriyama n'est plus du tout comme ça normalement...
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Samedi 18 Février 2006 à 15:55 Voici les régles relatives aux nouveaux concepts d'Aréna :
502.56. Brisure
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/08/2016 Grade : [Nomade] Inscrit le 16/12/2004 | Envoyé par leslivo14 le Samedi 18 Février 2006 à 19:51 le passage pioche est vrai?? Car si oui, c'est cool!!!
Pour le reste, que ce passera-t-il quand WotC éditera les règles 502...??
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Samedi 18 Février 2006 à 20:38
Non, le passage de pioche n'est pas légalis par Wizard, c'est une modification des régles relatives dûe au mot-clé "Refus", en therme de jeu, ça ne change quasiement rien et on peut se passer d'appliquer le déroulement à la lettre du moment d'une pioche, mais si vous jouez des cartes avec le refus, c'est préférable, au contraire, de l'appliquer.
Les régles 502 sont les régles des mot-clés.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Lundi 20 Février 2006 à 22:34 NOIR Comme d'hab, Larme et STAG, je vous laisse faire pour me dire les fautes. _________________ Enfin il est là, LE FORUM DES ÉDITIONS PERSOS [ Edité par Mimura le 23 fév 2006 à 00h54 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mardi 21 Février 2006 à 21:40 Chapitre 8 : L’ouverture sur Para
Le tunnel de lumière sinueux chevauchait son regard depuis quelques minutes déjà. Inerte, il parcourait les profondeurs de Para en attendant de renaître ce qui ne tarda pas à être fait. Geoffroy sortit du sol tel une fleur en train d’éclore et revint à l’état d’humanoïde. Cette fois-ci, c’était une lance qui l’avait traversé de part en part qui avait eu raison de lui, il avait tenter de l’attraper en son vol mais son mouvement fut trop rapide de quelques dixièmes de secondes et la parade faillit bouscula sa condition à trépas, pour quelques minutes. Il aurait l’occasion, par la suite, de rectifier cette erreur de mouvement. La vie sur Para était ainsi, si cela pouvait s’apparenter à une vie. Une multitude golem, plus précisément 100 000, furent créer par un dieu inconnue par de la terre sur de la terre avec pour unique but de se battre encore et encore jusqu’à ce que le grand jour arrive. Tant qu’ils étaient à s’affronter dans une guerre d’essai incessante, les résidents de Para ne connaissaient pas la mort, où alors ce n’était pour eux qu’un bref moment d’immobilité baigné de lumière le temps que leur esprit aille jusqu’au centre de leur terre avant de revenir à la surface et de se reforger dans un nouveau corps, neuf et prêt à se battre de nouveau. Bien qu’ils aient tous l’apparence d’humain, de lion, de griffon et autre créatures prêtes à se battre pour de noble cause, ce n’étaient que fabulations. Sur Para, tout n’était que terre et ses habitants étaient des golems sans mort, mais aussi sans vrai vie. C’était là qu’était le génie de son créateur. Chaque personne mourrant puis revivant sur ce plan n’avait pas de perte de mémoire ce qui permettait de lui donner à réfléchir sur les raisons de sa mort et la manière d’y remédier, au bout de nombreuses années à vivre et mourir au seul rythme des combats acharnés, ils n’y avaient pas plus entraînés que ces guerriers de glaise, agiles comme un singe, souples comme un serpent, rapides comme un guépard et rusés comme un renard. Geoffroy avait été le premier à naître sur ce plan, il avait encore de lointain souvenir de celui qui l’avait modelé et écrit le mot donneur de vie, « Vitalidas », sur le front. Un homme grand habillé de bleu portant une barbe et de longs cheveux blonds. C’était un souvenir lourd de sens et de responsabilité pour le premier guerrier de Para, car en son statut de premier mais également du seul être sur cette terre à reconnaître le visage de son dieu, il avait la charge de guide des légions et de premier clerc. Ces tâches, il les remplissaient avec fierté. Il était fort, ce fut le premier à se battre car ce fut le premier à naître. En tant que premier, ce fut donc également le premier à apprendre. Il excellait rapidement dans le maniement de beaucoup d’équipements, et il apprenait à ses hommes à s’en servir. Ses hommes, ils étaient 100 000, si l’énumération d’un golem était considéré comme un homme, sans quoi les 100 000 êtres de Para étaient sous ses ordres. Régulièrement amis puis ennemis, car sur Para il n’y avait personne d’autre que les 100 000 golems, ils se battaient entre eux en faisant différents groupes et altérant régulièrement, car une guerre sans ennemis n’est pas une guerre, c’est une campagne sans bataille. Geoffroy menait le groupe victorieux la plupart du temps, car il était celui qui connaissait le mieux le terrain, et même s’il lui arrivait de mourir pour une erreur, ensuite, l’erreur ne se reproduisait plus. S’extirpant rapidement du sol, l’accouchement passé, il rejoignit son groupe pour tenir état de la situation, le but de la journée avait été fixé : quatre équipes de 25 000 golems chacune. Une des équipes devait garder un point clé, l’équipe de Geoffroy, pendant ce temps, les trois autres devait se disputer l’appropriation de ce point. Si un seul soldat parvenait à entrer au cœur de la zone, son équipe était victorieuse. À la fin de la journée, si aucune équipe n’y était parvenu, l’équipe de Geoffroy serait vainqueur, encore. Geoffroy : Lieutenant ! Etat de la situation je vous pris. Lieutenant : Commandant ! Le Lieutenant lança un signe de salutation militaire avant de commencer sa revue : Lieutenant : Nous sommes en état de siége par le flan nord par l’équipe trois mais les troupes tiennent bon de ce coté là, étant donné qu’il n’y a pas plus de mort dans notre camp que le leur par heure, nous devrions gardé cette stabilité. L’équipe deux a tenté une attaque énergétique par le sud mais nous l’avons vivement repoussé et nous avons fait beaucoup de « prisonniers » ce qui nous assure qu’il n’y aura plus aucune attaque de leur part avant la fin de la journée. Lors de campagne de ce style sur Para où les buts changent chaque jour, les personnes faites prisonnières sont, en réalité, juste menacé par la mort tout en étant dans l’incapacité de pouvoir se défendre et avoir une chance, aussi petite soit-elle, de survivre. Dans ces cas-là, le guerrier est considéré comme étant « prisonnier » et le reste jusqu’à sa libération par son équipe ou la fin de la journée. Lieutenant : Le vrai problème viens de l’ouest. L’équipe quatre, celle qui vous a tué, a profité de votre mort pour gagner du terrain et avance petit à petit vers le cœur de notre zone. Si nous ne faisons rien, il risque de l’atteindre rapidement, de plus, ils ont réussi à faire plusieurs prisonniers, ce qui ne nous facilité pas la tâche. Geoffroy : Pas de défaitisme Lieutenant, en définissant un bon plan stratégique nous parviendrons facilement à gagner du temps jusqu’au couché du soleil ! Lieutenant : Que proposez-vous ? Geoffroy : À votre avis, quelles conclusions tireront les meneurs du groupes quatre de leur avancés ? Lieutenant : Je suppose, mon commandant, que vous voulez parler du fait que vous soyez absent de la zone de combat. Geoffroy : Exactement ! Si nous revenons à la charge en leur faisant miroiter que seul le moment de mon manquement leur a été profitable et que, désormais, un fois ma personne sur le champ de bataille, ils ont perdu. Soyez assuré qu’ils feront tous pour me tuer de nouveau. Lieutenant : Que comptez-vous faire alors ? Geoffroy : Nous allons les duper ! Je prend avec moi l’ensemble des guerriers n’étant pas sur la défense du sud ou du nord ! Lieutenant : Mais ? Si vous faites ça vous augmenter grandement les risques de perte sur une attaque forcée, si un des autre groupe décide de passer en charge, personne ne défendra le cœur contre quelque soldats passibles de passer outre notre défense. Geoffroy : Faites-moi confiance lieutenant, tous se passera pour le mieux ! À ces mots, Geoffroy grimpa sur son cheval et partit aux galops vers l’ouest, ses guerriers chargeant derrière lui. Quelques minutes plus tard, ils chargeaient sur le groupe quatre avec une force et une violence rarement égalée. Les coups pleuvaient, les guerriers tués tombées sur le sol et se retrouvés aspirées par la terre pour quelques minutes de mort. Geoffroy tuait, à gauche, à droite, derrière et devant, pas un endroit était épargné par sa lame. Une lance fut lancé dans sa direction, la voyant arriver au loin, fuselant l’air, il se rappela, le moment venu, sans dixième de seconde superflue, dans un mouvement d’esquive et de contre-attaque parfaite, il attrapa la lance avant qu’elle ne le touche et la renvoya immédiatement tuant son envoyeur initial. Commandant du groupe quatre : Tuez Geoffroy ! Ca y était. Ils tombaient dans son piège. À l’entente de ce crie désespéré, les troupes du groupe quatre se lancèrent vers Geoffroy dans une rage incontrôlée : Geoffroy : Restaient ici et tuez autant de guerriers que vous pourrez ! Tournant les sabots de son cheval, Geoffroy partit en direction de la partie sud de la zone à protéger, toujours suivit par la totalité du groupe quatre qui ne désirait plus qu’une chose désormais, lui faire visiter le centre de Para. Finalement, au bout de quelques minutes à éviter les lances, vaines tentatives de meurtre dans le dos, le groupe quatre tomba nez à nez avec le groupe trois, toujours en état de siége de la zone, alors que Geoffroy profitait de l’étonnement général pour retourner au centre de ses troupes postées en défense puis vers le centre de la zone. La charte des campagnes étaient strictes sur ce point, si deux groupes se rencontraient, même s’ils avaient un but commun, ils devaient s’entretuer jusqu’à ce qu’un seul ne reste. Geoffroy : Repliez-vous tous ! Laissons-les s’entretuer, essayer de cueillire les nouveaux nées pour en faire des prisonniers et les affaiblir. Obéissant, les troupes de Geoffroy reculèrent tandis que le groupe quatre et trois commencèrent à se ruer l’un sur l’autre comme deux chats hystériques pour l’acquisition des vertus d’une femelle. Lieutenant : Désolé d’avoir remis en cause votre tactique commandant, grâce à cette stratégie, ils vont perdre un temps phénoménales à se déloger l’un, l’autre. Suffisamment pour atteindre la nuit et gagner la campagne. Comme le Lieutenant l’avait prédit, le soir tomba, suivis rapidement de la nuit et comme la même prophétie avait dit, les deux groupes, quatre et trois, n’avait pas encore terminé de se battre, même si le quatrième groupe commençait à obtenir une petite avance. Lorsque la nuit fut complète, et que personne ne put plus alors voir la moindre chose par l’obscurité ambiante, cela fut crié le long du plan jusqu’à ses extrémités : « Le groupe de Geoffroy a encore gagné ! » Après cette annonce, chaque guerrier, éreinté par cette longue journée de combat, s’allongea sur le sol et s’endormit d’un repos largement mérité. Alors qu’il s’apprêtait à fermer les yeux autrement que pour passer par la terre puis renaître, quelque chose d’inhabituel se produisit devant Geoffroy, une lumière aveuglante au milieu de ce néant apparut et grandit pour apparaître comme étant un ovale irrégulier laissant transparaître une personne en armure imposante, une armure d’un rouge sombre particulièrement inquiétant pour une personne n’ayant jamais comme autre couleur que du jaune et du blanc : Geoffroy : Mais qu’est ce que ? Ce n’est pas déjà le jour ? Le jugement ? Ca y est ? Le Juge : Geoffroy ! Sais-tu qui je suis ? Geoffroy : Le… Le créateur ? Non ! C’est impossible ! Tu ne ressemble pas à cela dans mes souvenirs. Le Juge : J’ai changé Geoffroy ! Mais ma nature reste la même, l’heure du jugement est venu ! Vous allez enfin combattre dans une véritable guerre ! Geoffroy : Alors… ça y est ! D’un unique coup, la porte s’agrandit démesurément, inondant le plan entier de la lumière qu’il projetait : Le Juge : Pénètres, toi et tes 100 000 guerriers, dans cette porte, tu seras alors projeté dans l’endroit où tu devras combattre pour la victoire, ou la mort. Chacun entendant la voie puissante du Juge se leva et comprit que l’heure du jugement était venu. Sans même chercher d’avantage d’explication se jeta dans le trou béant d’où parlait le Juge jusqu’à que plus personne ne reste sur Para. Le Juge sortir alors un bras gigantesque au travers de la porte, la planta dans le sol du plan et en tira le noyau baigné de mana blanc. Privé de son générateur, la terre se mit à se dilater puis se raidit d’un coup et tomba en morceaux secs vers le néant. Le Juge savait pertinemment qu’il arrivait certainement la même chose aux guerriers de Para, mais cela n’avait pas d’importance, il fallait aussi des plans faibles pour le tournois. _________________ Enfin il est là, LE FORUM DES ÉDITIONS PERSOS [ Edité par Mimura le 26 fév 2006 à 01h02 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 27/12/2008 Grade : [Sortisan] Inscrit le 12/10/2005 | Envoyé par -GiN- le Mercredi 22 Février 2006 à 15:46 De bonnes idées, mais beaucoup de fautes, de répétitions, un style un peu ampoulé, et quelques phrases assez drôles ("Tournant les sabots de son cheval, Geoffroy partit...", "fuselant l’air").
Para est une aberration physique. Pourquoi cette forme de dialogue, avec le nom des persos avant? Ca fait mélange theâtre/roman, c'est spécial. Enfin, malgré ça, l'écriture n'est jamais facile, et ton bout se storyline se laisse lire agréablement. Bon courage pour la suite!
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 26/07/2020 Grade : [Divinité] Inscrit le 10/07/2005 | Envoyé par STAG le Mercredi 22 Février 2006 à 18:47 D'une part, je soutiens les dires de -GiN- pour ce qui est de Storyline =).
D'autre part, voici les fautes de la liste de tes cartes ________________________________________________ Général D'orochifukatu : Capa -> Endurance et pas Endurence ________________________________________________ Toile à Buitos Phyrexian Capa -> Choisissez-en et pas choisissez en (pas sûr) ________________________________________________ Amputation Capa -> Ici, il y a un problème, la capa donne deux marqueurs -1/-1 sur la créature ciblé ? ou sur les créatureS cibléeS...et tu marques ensuite que CETTE créature gagne -2/-2....etc.. En gros, c'est une cible, ou plusieurs ? ________________________________________________ Phyrexian Hypnotique TA -> De longs siècles... ________________________________________________ Voile des ténèbres Titre -> Ténè TA -> Je resens Nausées et pas neausées Un de mes généraux s'évanouit Yaugzebul avec une majuscule pour le citeur ________________________________________________ Force maudite Ta -> Cadeau empoisoné et pas empoisonéE ________________________________________________ Ténèbres acculant Titre -> acculant sans "s", c'est un participe présent du verbe acculé...un participe présent est invariable. L'adjectif acculé, ou acculant n'existant pas. ________________________________________________ Rat au cris aigus Titre -> aigus et pas aigues Capa -> idem ________________________________________________ Panse rampante Titre -> rampante et pas rEmpante Capa -> Idem TA -> Tu met milliards avec un "S", donc plusieurs milliards..et ensuite tu dis un milliard et un. Donc en fait, en tuant quelqu'un ça fait moins de mort qu'avant de l'avoir tué...incohérent Puis c'est trop exagéré "milliards", faut pas trop jouer avec des numéraux aussi grands, met "milliers" plutôt... ________________________________________________ Fumerolles d'invocation Une fumerolles, c'est une légère fumée qui s'élève au dessus d'un cratère volcanique...donc rien à voir avec l'invocation o_o" ________________________________________________ Disciple du caveau TA -> furent contraintS ________________________________________________ Le Juge Capa -> à la toute fin de la capacité tu met .)". comme ponctuation. Il y a un point de trop, normalement, la ponctuation devrait être .)" J'ai fait souvent cette erreur, et c'est apres bien des recherches dans mes cartes françaises, que j'ai trouvé un exemple de ponctuation finale de ce genre. ________________________________________________ Arbitre retranché Capa -> la carte cibléE ________________________________________________ Trait magique TA -> "Cela te dérange-t-il" et pas "te dérange-t'il" ________________________________________________ VOila, c'est fini
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/08/2016 Grade : [Nomade] Inscrit le 16/12/2004 | Envoyé par leslivo14 le Jeudi 23 Février 2006 à 12:54 l'idée de la sl est très originale, mais il reste pas mal de fautes d'eaurhtaughraphs.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 27/03/2006 Grade : [Nomade] Inscrit le 08/12/2005 | Envoyé par calculette le Jeudi 23 Février 2006 à 14:15 Exelente idée que tu as eu et je tiens à te féliciter pour les magnifiques cartes que tu as déjà réalisé; je suis de tout coeur avec toi dans ton projet.
J'ai relevé une erreur: pour la carte "Dangzheto, yamabushi de la folie" le texte d'ambiance ne corespond pas, en effet le père de Kumano était (il est mort dans la déstruction de Reito) un seigneur ou Daimo et non un yamabushi. En plus il a renié son fils car celui ci était un voyou. Il suffit juste de changer le texte d'ambiance pour que la carte suive ton histoire et celle de Kamigawa en enlevant le raport Père-fils. Pour la suite de ton travail je te souhaite bonne chance.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Jeudi 23 Février 2006 à 17:20
Erf, en fait ce n'est pas si facile, parce que j'ai commencé à écrire la storyline et, par concéquent, le passage ou Dangzetho quitte son fils de Kamigawa, Kumano. Mais bon, j'aurais qu'à dire qu'aprés, Kumano trouve un pére adoptif
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mercredi 01 Mars 2006 à 02:42 ROUGE STAG et Larme, vous savez ce qu'il vous reste à faire _________________ Enfin il est là, LE FORUM DES ÉDITIONS PERSOS [ Edité par Mimura le 01 mar 2006 à 02h44 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/08/2016 Grade : [Nomade] Inscrit le 16/12/2004 | Envoyé par leslivo14 le Mercredi 01 Mars 2006 à 10:03 pas mal... J'aime tout particulièrement l'idée de révéler des cartes qui ont un effet après...
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/12/2022 Grade : [Divinité] Inscrit le 18/02/2004 | Envoyé par Larme le Mercredi 01 Mars 2006 à 23:11
Aller manger ? J'ai faim moi... è_é Sinon, j'ai pas le temps d'aller regarder les cartes...
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