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Mon frère joue un deck contrôle plûtot bien. Mais voilà:
-il met traîtrise sur oef de rukh et je crois pouvoir mettre le jeton quand il est mis o cimetière mais mon frère dit que c'est lui qui doit mettre le jeton. Ai-je raison ou tors?
-il clone un oeuf de rukh et m'attaque, je l'oblige à sacrifier et il met quand même un jeton. A-t-il raison ou tors?
merci de me répondre au plus vite car on ne joue plus ces 2 decks l'un contre l'autre car on ne sait jamais qui à raison et qui à tors. |
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1 : Vous / votre
Les mots "vous" ou "votre" sur un objet indiquent le contrôleur actuel de l'objet (ou son propriétaire s'il n'a pas de contrôleur). Pour les capacités statiques, il s'agit du contrôleur actuel de l'objet sur lequel se trouve la capacité. Pour les capacités activées, il s'agit du joueur qui a joué la capacité. Pour les capacités déclenchées, il s'agit du contrôleur de l'objet lorsque la capacité s'est déclenchée. Voir aussi "Contrôleur" et" Propriétaire".
Au moment ou l'oeuf va au cimetierre, la capacité déclenchée se trigger et à ce moment le "vous" c'était lui, pas toi.Donc il met un token sous son controle.
2 : 503.2. Lorsqu'un objet est copié, la copie acquiert les valeurs copiables des caractéristiques d'origine de l'objet : le nom, le coût de mana, la couleur, le type, le sous-type, le sur-type, le symbole d'extension, le texte de règle, la force et l'endurance. De plus, si l'objet est sur la pile, les choix faits lorsqu'il a été joué (mode, cibles, valeur de X, si un coût de kick a été payé, comment des cibles multiples seront affectées, etc.) sont aussi copiés. Les "valeurs copiables" sont les valeurs imprimées de l'objet, modifiées éventuellement par d'autres effets de copie ainsi que les valeurs définies pour les sorts et permanents face cachée. D'autres effets (y compris ceux de changement de type) et les marqueurs ne sont pas copiés.
En gros t'as une copie conforme de l'oeuf, donc c'est comme si tu avais un autre oeuf en face, donc s'il meurt il peut mettre un token.
C’est l’apanage de tout système totalitaire que de geler les débats, de faire croire que les questionnements sont clos et de dire que le pouvoir a toujours raison, en se justifiant (entre autres) par la nécessité de maintenir l’ordre.