Worst of rateau !!!

bon, ce n'est pas trop un rateau, et ce n'est pas de moi, mais c'est assez cocace.
Une fille tourne autour de mon camarade de chambre, gars que je connais depuis assez longtemps (2/3 ans) et dont je ne sais rien du tout question amour.
(apparté : je ne suis pas homosexuel, pour info...)
Donc, la fille lui tourne autour, tout le monde se pose des questions, mais lui rien...
La fille vient me voir, me demande, et moi, tout bêtement, je me marre : je ne connais rien au plan love de ce gars...

Pauvre fille, tombé sur un troll comme moi...

Yo

Non je n'ai pas encore pris un rateau (j'en vois qui sont déçu) mais comme la soirée était pas triste, je post ça ici (attention pavé )

Lundi dernier je vois une affiche a ma fac. "Soirée étudiante speciale célibataires au café machin mercredi 21h".

Bon je suis pas du tout apte de ce genre de truc, et puis spécial célibataire ça fout un peu la honte. Cependant c'est quand même pas trop con comme principe, déjà parce que bizaremment il y en a jamais d'organisé (des specials célibs) mais en plus c'est ce dont j'ai besoin. Allez zou, je me dis, je vais y aller principalement en curieux. Voir ce que ça peut donner. Quête épique. Petit bémol : mettre ça le mercred soir au lieu du vendredi soir, c'est un peu lolesque.

On est le jour J (J comme Joker haha) , j'ai du bol ma prof qui me fait cours jusqu'a 19h est pas là , donc je peut rentrer plus tot pour me préparer (trois fois rien, mais le minimum syndical quand même). Je me dis que de toute façon mon foutu partiel du vendredi ira se faire foutre et que je préfère tenter le coup avec la soirée plutot qu'avec mon manuel de latin.

Je décolle à 20h, arrive en ville a 20h30 .

J'ai une demi heure pour atteindre mon point d'arrivé. Je suis a pied, je connais pas trop ce secteur, jy suis jamais encore allé dans ce café là. Avant de partir j'ai zieuté un plan sur le net vite fait, et retenu le noms des grosses rues.

Je marche, je marche, j'ai très froid (j'ai laissé mon gilet dans ma voiture pour gagner un +1 en apparence, j'ai juste un tee shirt sous mon manteau et je me les gèlent méchant), je suis mon plan mental : rue machin, avenue truc, je tourne a gauche, ok, cest la troisième ruelle a gauche. 1,2,3,et...ah bah non cest pas la bonne rue >< J'ai passé une petite place, donc il doit m'en manquer une , je vais à la ruelle suivante...damn c'est pas la bonne non plus. Au nom de la plaque que je lis, ma mémoire me signale que je suis trop loin , le problème cest que je ne sais pas du tout là où j'ai mal tourné. Le temps passe, bientot 21h, pas un chat à qui demander mon chemin. A l'arrache je prend la ruelle précèdente, une autre au pif, je tourne a droite au feeling, je marche...et arrive dans la bonne rue

Je suis enfin arrivé, il est 20h55 pour la soirée à 21h, my power is maximum.

Par contre pas un chat devant l'entrée, pas un videur, pas un mec ou fille pour accueillir, pas de foule , rien, nada. Je vois un ptit escalier qui grimpe, je le monte. Ya pas un bruit, c'est le silence absolu Je monte le suivant et arrive a un palier avec deux portes noires. Ya plus d'escalier a monter, et toujours pas un bruit, même pas un son de musique. Pas de panneau indiquant l'entrée ou d'affiche de pub, non toujours rien que les deux portes. L'une à une poignée, l'autre non. Je prend la poignée, je pousse la porte, difficilement car elle resiste, et finalement j'entre dans le café. Cest quasi désert. Pourtant cest bien là et cest le bon horaire.

Je demande au barman si il ya bien la soirée etudiante, il me dit oui mais que les musiciens prévu n'ont pas pu venir (bon ça je m'en tamponne un peu) que DJ machin va prendre leur place, et que de toute façon les étudiants ne sont en général pas pressé pour les soirées étudiantes. Moi ça ne m'arrange pas trop parce que j'ai cours demain matin , et que si le truc commence a 0h00 et fini a 2h00 (heure de ferm du café) demain je vais être en mode zombie.

Tans pis, je m'assois au bar, et commande un café, j'ai encore assez froid. "Désolé on ne sert pas de truc chaud". Oléééé.Comme l'alcool cest prohibé (voiture + pas fan) je prend... un ice tea. Et il a le bon gout (ironie inside) de rajouter... des glaçons. His power is maximum.

Je me fais chier à attendre. Dans la salle où je suis il ya 3 -4 pélerins, de la musique genre rap , et un grand écran plasma qui diffuse...le match de foot de ce soir . Mon Dieu, pourquoi m'as tu abandonné ?

J'attend encore ...finalement débarque 3-4 jeunes qui installe une sorte de nappe sur une table et se place face à l'entrée avec leurs feuilles stylo sans un mot. Evidement je me doute que ce devait être les jeunes chargés d'organiser la soirée etudiante mais visiblement ils ne s'inquiètent pas de savoir si il y a deja des gens interessés dans la salle qui sont arrivés à l'heure, eux. Le temps passe encore,des jeunes arrivent entre temps et se font accueillir par les 4 gugus à l'entrée. Je profite de la mi temps pour y aller à mon tour.

Cest bien eux, donc je dis que je suis interessé, je dois leur lacher 2 euros . Pour ce que c'est et surtout pour ce que ça allait être, c'est clairement du vol. M'enfin bon, j'allais pas repartir à ce niveau là.

On me file une étiquette auto collante, et je suis censé marqué dessus au feutre noir dans quel etat est mon coeur. Je joue le jeu, je réfléchis 10 secondes à quoi mettre, et puis je me rappelle les évennements de septembre , alors j'opte pour écrire FRAGILE dessus. En plus je me dis que ça fera penser aux cartons qu'on expedie avec une etiquette fragile dessus, jeu de mot pourri donc, humour, 'cule un Joker, toussa. Au vu de ce mot, les deux filles devant moi qui s'occupent de la soirée s'exclame en coeur " c'est miiiiiignooooooon". Je me colle l'etiquette sur le torse et retourne poireauter sur ma chaise . J'aurais penser que ces glands censés organiser la soirée aurait fait des trucs genre petits jeux, histoire que les gens se mélangent, mais non, demerdez vous brave gens.

D'ailleurs les gens présents...ya quelques personnes qui vienent seules ou a deux, ok, et puis il y a ceux qui ont moins compris le système et sont venu en meute. Rapidement je vois que chacun , groupe ou personne seule, reste dans son coin. En plus la musique forte n'arrange pas la communication (en fait faut hausser le ton pour se faire comprendre) donc pour un truc de "rencontre" on repassera...

Comme j'en ai marre de ma chaise, je me dirige vers la deuxième salle , là où il y a le DJ qui passe sa musique. J'arrive, la piste de dance est vide, forcement le DJ passe une sorte de rap/dance (je sais pas si ça à un nom ce machin) , les quelques groupe présents sont dispersés chacun dans leur coin et chaque groupe tourne hostilement le dos aux autres. Oléééé deux. Je m'assois sur un fauteuil, et comme je veux pas resté innocupé je prend mon portable...et je joue au serpent

Au bout de 10 minutes j'en ai marre de jouer à ce jeu de merde dans une ambiance de merde avec une musique de merde. Je retourne devant la première salle, j'ai rien d'autre à faire que de regarder la fin du match

Là je m'appercois qu'il yen a qui ont fait fort : Ils sont venus à une soirée speciale célibataire...mais accompagné de ce qui semble être leurs copin(e)s.

Au passage je regarde ce qui est marqué sur l'etiquette d'une fille qui vient cherché sa bière . C'est marqué : "on verra". Trop fort le message, là au moins on sait à quoi s'en tenir !

Le temps passe encore, ya de plus en plus en de gens qui arrivent...des hommes. On se retrouve vite fait à être 3-4 fois plus nombreux que les filles. Et tous avec leur étiquette, putain j'ai l'impression d'être dans un bar gay. Je vois 3 filles assises sur des chaises qui regardent d'un air endormi le match de foot. Je serais bien aller leur parler, mais yavait toujours cette musique de merde qui rendait la conversation quasi inaudible. Finalement elles se sont barrés peu après. Pas folles celles là au moins.

Bon, il est 23h10, j'en ai ma claque, je prend mes cliques et trace à ma caisse pour retour maison.


La morale de tout ça ? Aprendre mes déclinaisons de latin aurait été plus passionnant . Le Joker jura mais un peu tard, qu'on ne l'y reprendrais plus.

Bonne nuit.

c'était où?

Au Barsi Barla (nancy).

'cule un Joker

Putain les plans foireux comme ça c'est à vous dégouter de sortir =/

Ca me rappelle les soirées d'inté de la fac. Sachant que l'Amicale Catholique Bien Pensante de la Fac de Droit gérait la fête, j'avais prévu un +5 en popularité en passant de la vodka et du whisky en contrebande ( plus tard dans la soirée je me suis fait pourrir parce que je buvais la bière au tonneau au lieu de " demander à ce qu'on me serve en verre ", mais bon j'étais torché alors je comprenais pas pourquoi qu'on venait m'emmerder ).

Au milieu de la soirée on se tape une invasion de tecktoniks ( je réagis en passant à la dose de vodka supérieure ), bourré mais quand même timide je vais draguer les deux plus moches de la salle ( pas con le Boris hein ! J'ai eu la bonne idée de garder les mignonnes pour quand j'aurais décuvé ! ), je me prends un double-rateau magnifique dont elle se vanteront toute l'année. Si elles savaient pourquoi j'en ai pas dragué d'autres elles auraient sans doute moins rigolé mais bon, de toute façon les jolies filles étaient pas venues à la soirée.

Ca commence à se battre entre l'Amicale Catholique et les tecktoniks parce que " c'est une fête pour les juristes et eux c'en est pas ". Au n jiveau de la boisson, il reste environ 18 bouteilles d'Oasis pas entammées. Par contre plus une goute d'alcool, mais bon, c'est en grande partie ma faute.

Poussé par l'alcool, je m'inscris dans le mouvement de constestation : COMMENT CA ON VIRE DES TECKTONIKS INNOCENTS ? ET LES DROITS DE L'HOMME !
Au final on parvient à sauver les malheureux gays refoulés qui entamment une tecktonik collective pour féter ça. M'estimant vengé de l'organisation pourrie, je pars avec un pote tenter de défoncer la porte de l'Eglise un peu plus loin pour " faire comme dans les films de John Woo ", au final on s'est contenté du cimetière.


Boris, depuis j'ai arrété les soirées de ce genre. De toute façon les filles intéressantes n'y vont jamais.

Le 20/11/2008, skulldog avait écrit ...

Putain les plans foireux comme ça c'est à vous dégouter de sortir =/

C'est clair !

[ Dernière modification par knight_seb le 20 nov 2008 à 10h36 ]

marrantes vos histoires

hier soir, ciné au lycée avec ma copine, le dernier james bond étant naze, j'ai trouvé plus d'interet à ce qu'il y avait à côté de moi que à l'écran

hebus, troll ?

hebus, troll ?

Je crois qu'il bat 1000 fois l'ancienne signature de darkkeeper -_-

Tiens, s'marrant tout ça, ça me rappelle les 4 ou 5 petites fêtes qu'on a fait fin juin et début juillet pour fêter le bac. Une fille que je connaissais depuis un bout de temps, et qui savait que je n'avais toujours pas de copine a essayé à chacune de ces petites soirées improvisées de me caser avec toutes les personnes passant à portée de voix, filles d'abord, puis garçons aussi, passé la douzaine de refus polis mais amusés...
E n tout cas, ça me fait toujours rire de me souvenir de ça, mais aussi qu'elle ait pu penser que ça marcherait au bout d'un moment. Elle avait beau être bourrée ( pochtrone ), l'alcool n'excuse pas tout... Quoique dans mon cas, étant donné que je disposais à chaque fois autour de moi des cadavres de toutes mes bières, plus les 3 ou 4 bières en cours de vidage, tout en jouant de la guitare dans mon coin, ou alors avec quelques autres connaisseurs, on peut comprendre que je n'éveillais pas l'intérêt à ce moment... 'Paraît qu'avoir trop de verres autour de soi s'pas cool...

Bref, tout ça pour dire, vive la jeunesse, l'alcool et le bac ( parce que ça donne une raison pour faire la fête... )

En parlant d'alcool, ça me rappelle mon best rateau ever.

Cet été, sortant d'une histoire difficile (nota : penser à virer mon directeur de casting. C'est beau les contes de fée mais Sauron à la place du prince charmant c'était un peu trop avant-gardiste pour moi), je pars me changer les idées en Corse une semaine.
A l'aéroport, attendant qu'on vienne me chercher, je repère un type que je semble intéresser. Bon, je ne le regarde pas en détails mais il a l'air potable. Nos regards se croisent deux-trois fois et c'est tout.
Arrivée sur mon lieu de vacances, je sympathise avec une fille et dans les dix minutes qui suivent le gars de l'aéroport s'incruste. Il a l'air de bien connaître ma nouvelle connaissance donc je discute avec lui sans arrière-pensée. Une fois reparti, la fille m'apprend qu'elle ne le connaît ni d'Eve ni d'Adam et qu'elle pensait que c'était un ami à moi.
Le midi, ils s'arrangent pour manger ensemble et, pensant avoir débusqué un amour de vacances naissant, je les taquine en indiquant mon adresse au garçon, voulant rendre la fille jalouse. J'en rajoute même en lui proposant de m'y rejoindre après le repas (je sais être très lourde ^^).
Avec trois/quatre filles on décide d'aller au village (à 10 bornes de là) et, naturellement, le type en question est là. J'apprends à cette occasion qu'il s'appelle Adrien. Il me demande si je rigolais en lui faisant des avances au repas, ce que je confirme énergiquement et sans la moindre ambiguité. OUI, je plaisantais en lui disant de me rejoindre et OUI je plaisantais en lui disant où je créchais.
Sur le chemin du village, il me demande si je suis célibataire. Je confirme et nous parlons succintement de nos dernières histoires.
Comme je commence seulement vaguement à soupçonner qu'il espère, peut-être, éventuellement, me croquer avant la fin du séjour, je prends largement mes distances avec lui.
Si j'avais su...


Quelques jours plus tard est organisée une soirée étiquettes. Chaque participant, garçon ou fille, se voit gratifié d'une étiquette portant un numéro unique correspondant à un petit casier et chaque participant est invité à aller déposer des mots doux dans le casier de l'élu(e) de son coeur (sur le coup, ça semblait relativement amusant).
Largement chambrée par mes amis qui avaient bien remarqué le manège d'Adrien, je m'arrange pour que ma propre étiquette ne soit guère visible. Comme prévu, il passe trois ou quatre fois devant nous, peinant comme ce n'est pas permis à lire mon numéro, il envoie ses amis, se trompe de numéro et envoie son billet doux à quelqu'un d'autre... Finalement il parvient par miracle à trouver le bon casier.
"Je te trouve trè joli" (ou quelque chose d'approchant).
Ne le trouvant pas, mais alors pas du tout à mon goût (et pourtant Dieu sait que je ne suis pas difficile !), je m'allume ostensiblement une cigarette avec son message. Il réitère
"Et toa commen me trouve tu ?"
"Pas à mon goût" (et encore me retenè-je de corriger ses fautes d'orthographe.)
Fin de la soirée.

Le lendemain, après une fin de soirée complètement torchée, je rentre chez moi. Manque de chance, Adrien me suit et me demande comment faire pour draguer. Après quelques verres d'alcool, je ne suis plus en état de réfléchir et me lance dans un laborieux monologue sur le thème "Les filles, faut qu'elles croient que t'es un trésor... que toutes leurs copines aient envie de t'avoir mais que ce soit elles, elles, qui te décrochent. Comme la queue du Mickey. Que tu leur donnes envie... qu'elles soient jalouses... tu vois ?". Il me reste quand même assez de jugeote pour m'apercevoir qu'il commence à devenir lourd et l'éjecter bien avant qu'il n'approche de chez moi.

Le lendemain, il se vante partout d'avoir failli passer la nuit avec moi et entre deux rodomontades essaye d'aborder toutes les filles qui passent. Je me demande alors ce qu'il a bien pu comprendre de mes divagations alcoolisées de la veille...
Le soir, par miracle, il se fait des amis et sort en boîte. J'en profite comme de juste pour sauter sur GarsQuiM'ATapéDansL'OeilDepuisLeDébutDuSéjour.

Le lendemain, Adrien revient de boîte et apprend que je n'ai pas passé la nuit dans ma chambre. Il est venu me taper la scène de jalousie du millénaire en me demandant pourquoi je l'avais laissé espérer depuis le début du séjour, que lui y croyait, qu'il y croyait, qu'il y croyait, etc... etc... Je lui fait alors remarquer fort astucieusement que depuis le début du séjour je m'éloigne dès qu'il s'approche, ne lui dis jamais bonjour, ne lui ai jamais fait la bise ni même serré la main, que mes conseils alcoolisés concernaient les filles en général et n'étaient en aucun cas un appel à la drague, etc...

Démonté en profondeur, il s'éloigne.

Puis il m'invite au restau

Le post de Joker me rassure, je ne suis donc pas le seul à trouver ce genre de soirées pourries.
Ma soirée d'inté de prépa c'était le même genre, sauf que là il y avait du monde, que la musique était horrible en tous points (les DJs devaient faire exprès, c'est pas possible autrement), ça coutait 10€, la conso offerte était microscopique. Tout ça précédé bien sûr d'1/2 heure de queue sous la pluie.

Le 21/11/2008, Juwai avait écrit ...

En parlant d'alcool, ça me rappelle mon best rateau ever.

Cet été, sortant d'une histoire difficile (nota : penser à virer mon directeur de casting. C'est beau les contes de fée mais Sauron à la place du prince charmant c'était un peu trop avant-gardiste pour moi), je pars me changer les idées en Corse une semaine.
A l'aéroport, attendant qu'on vienne me chercher, je repère un type que je semble intéresser. Bon, je ne le regarde pas en détails mais il a l'air potable. Nos regards se croisent deux-trois fois et c'est tout.
Arrivée sur mon lieu de vacances, je sympathise avec une fille et dans les dix minutes qui suivent le gars de l'aéroport s'incruste. Il a l'air de bien connaître ma nouvelle connaissance donc je discute avec lui sans arrière-pensée. Une fois reparti, la fille m'apprend qu'elle ne le connaît ni d'Eve ni d'Adam et qu'elle pensait que c'était un ami à moi.
Le midi, ils s'arrangent pour manger ensemble et, pensant avoir débusqué un amour de vacances naissant, je les taquine en indiquant mon adresse au garçon, voulant rendre la fille jalouse. J'en rajoute même en lui proposant de m'y rejoindre après le repas (je sais être très lourde ^^).
Avec trois/quatre filles on décide d'aller au village (à 10 bornes de là) et, naturellement, le type en question est là. J'apprends à cette occasion qu'il s'appelle Adrien. Il me demande si je rigolais en lui faisant des avances au repas, ce que je confirme énergiquement et sans la moindre ambiguité. OUI, je plaisantais en lui disant de me rejoindre et OUI je plaisantais en lui disant où je créchais.
Sur le chemin du village, il me demande si je suis célibataire. Je confirme et nous parlons succintement de nos dernières histoires.
Comme je commence seulement vaguement à soupçonner qu'il espère, peut-être, éventuellement, me croquer avant la fin du séjour, je prends largement mes distances avec lui.
Si j'avais su...


Quelques jours plus tard est organisée une soirée étiquettes. Chaque participant, garçon ou fille, se voit gratifié d'une étiquette portant un numéro unique correspondant à un petit casier et chaque participant est invité à aller déposer des mots doux dans le casier de l'élu(e) de son coeur (sur le coup, ça semblait relativement amusant).
Largement chambrée par mes amis qui avaient bien remarqué le manège d'Adrien, je m'arrange pour que ma propre étiquette ne soit guère visible. Comme prévu, il passe trois ou quatre fois devant nous, peinant comme ce n'est pas permis à lire mon numéro, il envoie ses amis, se trompe de numéro et envoie son billet doux à quelqu'un d'autre... Finalement il parvient par miracle à trouver le bon casier.
"Je te trouve trè joli" (ou quelque chose d'approchant).
Ne le trouvant pas, mais alors pas du tout à mon goût (et pourtant Dieu sait que je ne suis pas difficile !), je m'allume ostensiblement une cigarette avec son message. Il réitère
"Et toa commen me trouve tu ?"
"Pas à mon goût" (et encore me retenè-je de corriger ses fautes d'orthographe.)
Fin de la soirée.

Le lendemain, après une fin de soirée complètement torchée, je rentre chez moi. Manque de chance, Adrien me suit et me demande comment faire pour draguer. Après quelques verres d'alcool, je ne suis plus en état de réfléchir et me lance dans un laborieux monologue sur le thème "Les filles, faut qu'elles croient que t'es un trésor... que toutes leurs copines aient envie de t'avoir mais que ce soit elles, elles, qui te décrochent. Comme la queue du Mickey. Que tu leur donnes envie... qu'elles soient jalouses... tu vois ?". Il me reste quand même assez de jugeote pour m'apercevoir qu'il commence à devenir lourd et l'éjecter bien avant qu'il n'approche de chez moi.

Le lendemain, il se vante partout d'avoir failli passer la nuit avec moi et entre deux rodomontades essaye d'aborder toutes les filles qui passent. Je me demande alors ce qu'il a bien pu comprendre de mes divagations alcoolisées de la veille...
Le soir, par miracle, il se fait des amis et sort en boîte. J'en profite comme de juste pour sauter sur GarsQuiM'ATapéDansL'OeilDepuisLeDébutDuSéjour.

Le lendemain, Adrien revient de boîte et apprend que je n'ai pas passé la nuit dans ma chambre. Il est venu me taper la scène de jalousie du millénaire en me demandant pourquoi je l'avais laissé espérer depuis le début du séjour, que lui y croyait, qu'il y croyait, qu'il y croyait, etc... etc... Je lui fait alors remarquer fort astucieusement que depuis le début du séjour je m'éloigne dès qu'il s'approche, ne lui dis jamais bonjour, ne lui ai jamais fait la bise ni même serré la main, que mes conseils alcoolisés concernaient les filles en général et n'étaient en aucun cas un appel à la drague, etc...

Démonté en profondeur, il s'éloigne.

Puis il m'invite au restau

J'ai besoin d'une légère précision : GarsQuiT'ATapéDansL'OeilDepuisLeDébutDuSéjour = gars de l'aéroport = Adrien ??? Ou ce sont 2 personnes différentes ?

pareil que knight_seb, c'n'est vraiment pas clair

Et voila j'viens de larguer ma copine ... enfin il était temps

Il faut une petite mise en situation pour comprendre; on est jeudi c'est un jour de grève , j'ai la tête dans le cul (une semaine sans sommeil + les créves à en tuer un cheval , heureusement que je ne suis pas un cheval) j'airrive 7h30 au lycée et vas-y que ma copine me fais des reproches auquels d'ailleurs je n'ai pas le temps de répondre (j'avais la tête dans le cul méchant à ce moment là : je ne pas debout ). Donc la journée commence fort,ma copine va en cours moi je fais grêve dans un couloir pévu à cet effet. Lors de la pause de 10h ma copine semble faire la gueule et semble ne pas me voir.Je me retrouve alors avec une copine à elle qui vient de perdre son petit copain ( accident de la route le dimanche ) on décide passer au self à 11h45 vu qu'elle ne se sentais pas bien ... Ma copine nous vois en train de passer au self et ne nous rejoins pas sa copine décide de dire que c'est de sa faute et de tout prendre dans la gueule pour éviter une dispute conjugale qui se déclencheras 2h plus tard ...

Il est 13h45 ma copine me prend la tête grave en voulant savoir pourquoi je fais la gueule ... je décide alors d'être gentil et je ne dis q'une part de la vérité ...

voici une partie du dialogue :

moi: va falloir que je te dise un truc .

elle : oui ?

moi : ce serait mieux pour nous deux si on arrêtait d'être ensemble .

elle : quoi? pourquoi?

moi : je vais être sincère, fais gaffe c'est pas souvent, si je suis sortit avec toi c'était pour te faire plaisir . (sisi jvous jure c'est vrai !!!!)

elle : tu as une autre fille en vue ?(à ce moment je crois qu'elle pensais à sa copine )

moi : non je ne suis pas comme sa !

elle : tu est sortit avec moi juste pour le cul ? (là ça commence à s'envenimmer )

moi : et puis quoi encore ?!!!!! (non sérieusement, c'est une vrai planche au lit cette fille mais bon elle m'avait vraiment trop pris la tête )

elle : co***** !!!

moi : et alors ? (qu'est- ce ça pouvais me faire qu'elle dise ce qu'elle pensait)

elle finnit par m'insulter de tous les noms (du moin ceux qu'elle connaissait, et sa fait déjà un paqué!) puis elle s'en va en fondant en larme...

je sais je suis trop dégueulasse, mais valait mieux ça que je la frappe ....