Tests de jeux vidéo (liste en première page)

je peux tester l'intégralité des jeux PSP sur demande , et je connais biens les jeux PS2 , PS3 et DS ( et meme PS1 ^^ ) donc n'hesitez pas a me demander .

Suite aux très bonnes remarques de The-Truth, voici donc les 6 critères que l'on pourrait suivre :
- Graphismes
- Gameplay
- Son
- Durée de vie
- Concept
- Mode multi
Vos avis ? et après, j'édite sur la première page ^^ (j'en profiterais pour mettre les jeux en demande d'un test)

parfaitement d'accord avec toi .
a part pour le mode multi , qui ne l'oublions pas est parfois squizzé sur certains jeux , donc n'est pas forcement un critère tres représentatif .
j'emets aussi des reserves sur la partie concept , car les jeux originaux ne sont pas légions , ce qui reviendrait a mal noter la plupart des jeux parce que le concept resterait trop classique . Cependant si l'on dit que le jeu respecte le concept de base voire l'enrichit , la je suis d'accord . Tout dépend de ce que tu souhaites dire dans ce critère .

Pour le concept, ça compterait effectivement l'aspect fun, originalité du jeu, les + apportés au genre dont il fait parti (ou les moins pour les points négatifs). Bref, ce qui peut le faire se démarquer des autres. Y compris le prix comme un jeu du genre lost planet à 40 € sur PS3 pour compenser avec le retard de la verison 360.
Pour le mode multi, il faudrait le compter que pour les jeux qui ont un réel intérêt en ligne ^^

PS : j'édite le premier message ^^

Et c'est parti pour le test d'Assassin's Creed sur 360.

Graphismes:

Attendez vous à une sacrée claque visuelle! Jamais dans un jeu vidéo des villes ont été aussi bien modélisées (excepté peut être dans Oblivion mais elles étaient dix fois moins vastes que celles d'Assassin's Creed). Tout y est: villes immenses, rues bondées, habitants qui bougent (le mec habitué aux pécores qui font le planton dans 99% des jeux), différences de styles entre les différents quartiers, modélisation des structures hallucinantes, champ de vision colossal (vous pouvez voir l'intégralité d'une ville si vous montez assez haut).
Bref une telle prouesse graphique vous permettra de vous immerger à fond dans ce Proche Orient moyenâgeux (IIIeme croisade).
Morceau d'antologie selon moi: l'arrivée à Damas! Là on se dit VRAIMENT que l'on arrive à Damas.

19/20

Gameplay:

Ah si le gameplay avait été aussi soigné que les graphismes on aurrait été en présence du jeu de l'année! Malheuresement ce dernier n'est pas à la hauteur des espérances. Si grimper sur tous les bâtiments avec Altaïr, sauter de toit en toit, semer les croisés qui nous poursuivent et explorer des villes magnifiques, peut se révéler sacrément jouïssif les missions, elles, se révèlent malheureusement insipides.
Nos objectifs sont SYSTEMATIQUEMENT les mêmes: entrer en ville, monter au sommet des points d'observations pour détecter des mini-missions, en faire au moins deux et retourner au QG pour passer à l'assassinat proprement dit. Cela pourrait se révéler fort efficace (un peu comme si dans Hitman on enquêtait avant le meurtre) si ces mini-missions n'étaient pas si minables ni si dénuées d'intéret.
Je m'explique: ces mini-missions se rangent en 5 catégories:

- voler un document (ultra facile à faire, faut juste "bousculer" sa cible)
- interroger un suspect (hyper simple, y a juste à le baffer allègrement quand il est un peu seul)
- espionner une conversation (point culminant de la simplicité, il suffit de l'asseoir sur un banc et...d'écouter!)
- tuer des gardes en temps limité (là on s'amuse déjà plus)
- chopper des drapeaux (une fois que l'on a pigé leurs dispositions, pas dur de les chopper)

Tout ça pour dire qu'à de rares exceptions prêt ces mini-missions archi monotones sont également supra simples. De plus les "infos" que l'on obtient en les réalisant sont fort inutiles...

Quand aux assassinats à proprement parlé, toujours le même problème: c'est beaucoup trop facile! (en moyenne 5 min pour les réussir)

Néanmoins le plaisir que l'on ressent en parcourrant ces magnifiques villes tend à annihiler les défauts du gameplay. Quand on joue à Assassin's Creed on sent que l'on peut tout lui pardonner!

16/20

Son:

N'étant pas un expert je ne vais pas me lancer dans une grande analyse de la bande son d'Assassin's Creed mais en tout cas, pour ma part, je n'ai rien détecté de problématique.

--/20

Durée de vie:

Alors là tout dépend de la façon d'aborder ce jeu. Si vous la jouez en speed (2 mini-missions, 1 assassinat et on recommence) vu la facilité du soft vous risquez de le finir très très vite (je pense que c'est jouable en moins de 10 heures facile). Si vous le jouez "découvertes" (faire tours les mini-missions, sauver tous les villageois, monter sur tous les points d'observations) alors là la durée de vie augmentera grandement (ainsi malheureusement que votre lassitude quand à la répétitivité des mini-missions). Si vous vous la jouez "no-life" (récuperer tous les drapeaux, tuer tous les templiers, réussir tous les succès) alors là c'est sur, vous en aurez pour votre argent!

15/20

Scénario:

Bon, faut être franc il ne casse pas trois pattes à un canard mais il est tout de même agréable à suivre et certaines inventions (comme l'animus) sont bien trouvées. En même temps on est pas dans un jeu de rôle donc inutile d'avoir un scénario de l'épaisseur du botin.

15/20

Intéret global:

Encore une fois tout dépend de ce que vous attendez de ce soft.
Si vous recherchez un pur jeu d'infiltration/assassinat où vous pourrez cogiter longuement sur la stratégie à adopter pour éliminer la cible, passez votre chemin!
Si vous recherchez un jeu vous plongeant dans l'ambiance des croisades, jetez vous dessus car aucun autre ne se rapprochra autant de la perfection dans ce domaine. Rarement un jeu a été aussi immersif.
Pour finir, ce jeu a été souvent qualifié de "simulateur de promenades" ce qui n'est pas entièrement faux sachant que la plupart du plaisir que vous éprouverez proviendra de l'exploration des environnements magnifiques de ce jeu.

16/20

J'enchaine avec le test de Bioshock sur PC et 360.

Attention chers lecteurs, vous êtes en présence d'un monument du jeu vidéo. J'ai joué à plus d'une centaine de jeux (et en sélectionnant que les bons ) et je peux vous dire que celui ci se range dans le Top 3 sans aucune difficulté!

Bioshock est un FPS qui vous propose de partir à la découverte de Rapture, mystérieuse cité sous-marine bâtie après la Seconde Guerre mondiale dans les profondeurs de l'océan Atlantique.
Ce voyage est de ceux que l'on oublie pas!

Graphismes:

Que ce soit sur PC ou sur 360 les graphismes de Bioshock sont sublimes. En effet, toute l'aventure se déroulant en milieu confiné, il est possible d'afficher autant de détails que pour un jeu se déroulant dans de grands espaces mais pour une configuration inférieure (pour moi les graphismes valent largement ceux de Crysis).
Quand aux décors n'ayons pas peur des mots, ils sont magnifiques! La conception de la ville est très bien réalisée (blocs d'appartements, centrale énergétique, quartiers de loisirs, port, secteur médical, etc.). Il est très agréable de parcourir cette ville très bien pensée pour découvrir ses nombreux mystères.

19/20

Gameplay:

Que ce soit à la souris/clavier ou au pad de la 360, la maniabilité du jeu est irréprochable. L'idée des plasmides ("améliorations" génétiques) est très bien trouvée et l'on s'amusera à "modifier" le héros pour lui faire lancer des éclairs, utiliser la télékinésie, le rendre invisible, congeler ses ennemis, etc. Les armes bien que peu originales sont amusantes à utiliser car même si elles sont d'"époque" (le jeu se passe en 1960) on peut elles aussi les modifier (on n'est pas dans le paradis des scientifiques pour rien).
La difficulté du soft est cependant limitée par le fait que le héros soit virtuellement invincible. En effet il existe des Vita-chambres (sorte de grosses cuves) où le héros ressussitera automatiquement en cas de décès. Cependant tout ce qu'il aura fait avant de mourir (blesser un boss, récupérer du matos, etc.) sera conservé. Le challenge en prend un coup mais un patch récent permet de désactiver les Vita-chambres.

19/20

Son:

Alors là, j'adore! Le jeu utilise une bande son des années 50/60. Jazz, Charles Trenet et autres musiques vous permettront encore plus de vous immerger dans l'ambiance de ce titre.
Quand aux doublages français ils sont (une fois n'est pas coutume) irréprochables ce qui permet également de mieux se plonger dans Rapture.

19/20

Durée de vie:

La durée de vie de Bioshock est tout d'abord assez correcte pour un FPS. Il faudra entre 10 et 20 heures pour le terminer (avec Vita-chambres). Tout dépend de votre façon de jouer. Bioshock est fondamentalement un jeu qui s'explore pour découvrir tous les secrets de cette ville et pour profiter au maximum de cette avanture. Il reste toujours la possibilité de jouer en facile avec Vita-chambres et de tracer comme un malade mais ce serait passer à côté du titre. Prendre son temps pour admirer Rapture est un plaisir auquel je ne me lasse pas.
Il faut également préciser que ce jeu à un très haut potentiel de rejouabilité! Il est de ces jeux que l'on a envie de recommencer à peine terminé.

17/20

Scénario:

L'énorme point fort de Bioshock! Il est à préciser que ce jeu est tout de même destiné à un public averti car nombreuses sont les horreurs et autres atrocités que vous pourrez découvrir à Rapture. Cette cité sans étique est le paradis pour les scientifiques les plus timbrés du globe.
Le scénario de Bioshock est sombre, prenant, envoutant et de plus sert à l'exploration du jeu. En effet de nombreux messages audios sont dispersés dans Rapture. Ces messages que l'on est pas obligé de rechercher sont l'un des moteurs principaux du scénario et de l'ambiance du jeu. Ne pas les chercher, c'est passer à côté de Bioshock. Le scénario en tant que tel est très bien trouvé et propose moultes rebondissements assez inattendus.
De plus le jeu offre un choix au joueur: ferez vous le bien quitte à faire moins de profit, ou vous accaparerez vous de toutes choses par la force?
Une fois dans le monde de Bioshock il sera très dur de revenir à la réalité!

19/20


Intéret global:

Bioshock est un chef d'oeuvre. Rares sont les jeux capables de faire ressentir autant de sensations à un joueur. Bien qu'étant un FPS, il se déguste comme un bon jeu d'aventure car le but n'est pas de tronçonner à tour de bras mais de se plonger dans l'univers glauque et inquiétant de Rapture où des humains rendus fous par les modifications génétiques hantent les quartiers.

19,5/20 (because perfection n'existe pas)

Je ne saurais trop conseiller ce joyau du jeu vidéo et même pour les non-amateur de FPS car, honnêtement, ce n'est pas le noyau même de Bioshock.

Bon, test de Final Fantasy Crystal Chronicles sur DS, et preview de Rock Band 360

Après un épisode sur Gamecube qui en avait enchanté certains tout en recevant quelques critiques, Final Fantasy revient sous sa forme Crystal Chronicles, sur DS cette fois-ci, pour retenter le pari. L'opus s'appelle cette fois-ci Ring of Fates et est très attendu par une grande partie des fans de la DS, du RPG ou tout simplement de FF. Dîtes-moi, ça fait beaucoup d'attente tout ça, non?

Je ne m'attarderai pas sur les gens qui oseraient dire ne pas connaître la série des Final Fantasy, ces gens ne pouvant être tout simplement que des menteurs. À l'inverse, la touche "Crystal Chronicles" n'en est qu'à son deuxième opus et à son premier sur notre console aux deux écrans, ce qui pourrait justifier un léger manque de connaissances chez certains à ce niveau là. S'éloignant un peu plus des autres Final Fantasy que l'on connaît, Crystal Chronicles s'oriente tout d'abord vers un jeu aventure/RPG tout en bénéficiant d'un scénario. La plus grande différence reste tout de même au niveau de l'ambiance. Celle de ce Ring of Fates étant tournée assurément vers un monde plus féerique et enfantin qu'à l'accoutumée.

thumb_ME0000876001_2.jpg Mais non, je vous arrête tout de suite. Tout ne va pas bien dans le meilleur des mondes... C'est une histoire bien plus sombre, bien plus triste qui se cache derrière cet univers joyeux. Une fois le soft pris en main et après la cinématique d'entrée qui nous montre directement à quel niveau graphique nous devons nous attendre, vous prendrez le contrôle de deux jeunes jumeaux nommés Yuri et Chelinka. Il faut dire que ceux-ci n'ont pas connu une grande chance au niveau de la famille. Effectivement, après avoir compris que leur mère leur avait été enlevée dès leur plus jeune âge pour être sauvagement utilisée chez les Lunaires, ce sera au tour de leur père, alias monsieur Latov, de se faire soudainement abattre par le conseiller le plus fidèle de l'homme noir du jeu. C'est encore sans parler des troubles qui toucheront la fille en début de partie, mais bon, trêve de bavardages, je vous laisserai découvrir ce scénario qui, bien que très simple, reste assez touchant dans le fond lors des nombreuses cinématiques du jeu, toutes aussi jolies les unes que les autres.

Comme vous aurez pu vous en douter, les cristaux jouent un rôle franchement important dans le soft. En plus d'être des points de sauvegardes et de soins, des points faibles pour les boss qui parsèment l'aventure, c'est surtout celui que la jumelle, Chelinka, porte autour du cou qui sera le plus important. Celui-ci est doté de pouvoirs importants qui vous aideront notamment à utiliser la magie, très importante pour votre quête. En parlant de quête, une des choses qui démarque vraiment la cartouche de tant d'autres, c'est que ce n'est pas une simple épopée que vous ferez en contrôlant un personnage. C'est bel et bien quatre personnages que vous pourrez contrôler une fois un certain moment de l'aventure dépassé. Là où ça devient réellement intéressant, c'est que vous pourrez changer à n'importe quel moment de personnage principal, et ce n'importe où en plus.

thumb_ME0000876002_2.jpg Il faut savoir que dans le jeu, il existe quatre types de "races". Vous aurez dès ce moment là deviné que nos quatre personnages jouables viennent chacun d'une tribu différente. Nous avons donc tout d'abord Yuri et Chelinka. Ces deux enfants, très comparables aux humains, viennent du peuple des Clavats. On ne pourra néanmoins jouer qu'avec Yuri, Chelinka paraît seulement lors des cinématiques. Yuri possède un mode de combat très varié, avec des coups à l'épée ou à mains nues. C'est d'autant plus important car le jeu regorge de différentes espèces de monstres, à pattes, avec des ailes, sur des roues, etc. Chacune a son petit point faible en ce qui concerne la magie, mais il est évidemment plus judicieux d'utiliser un certain personnage pour combattre tel ou tel monstre. Le second personnage est Alhanalem, qui vient de la race Yuke. Celle-ci est certainement la plus savante et intelligente de leur petit monde. En gros, il pourra être qualifié de sorcier tout au long du chemin. À l'aide de son sceptre, il lance des boules au combat (on n'hésitera pas à dire d'ailleurs que c'est le plus mauvais des quatre dans ce domaine), mais sa capacité à faire apparaître des plate-formes à certains moments dans les donjons est souvent plus qu'utile. Vous rencontrerez ensuite Gnash, habitant de la forêt, qui, comme son nom le sous-entend, est un personnage très primitif. Pour preuve, afin de savoir si quelque chose est bien ou mal, il évalue son potentiel à être bon ou pas à manger. Il nous vient donc de la tribu des Selkies. Combattant à l'aide de son arc, il sera l'un des plus utiles en ce qui concerne l'avancée dans les donjons. Tout d'abord, grâce à son carquois, il pourra toucher des cibles à distance, toujours sympa. Deuxièmement, c'est le seul capable de faire des double-sauts, carrément primordiaux par moments. Nous terminerons donc sur Meeth, une toute petite Liltie. Elle a d'ailleurs la taille de tous les membres de sa tribu qui ont la réputation, en plus d'être impulsifs, de rester petits même à l'âge adulte. C'est certainement le perso le plus intriguant. Grâce à elle, vous pourrez traverser des ravins ou passer dans des espaces réduits grâce à sa capacité de se rouler non pas en boule mais en marmite. Grande cuisinière, elle vous permettra également de confectionner des mégalithes à l'intérieur même des donjons, le seul problème est que, trop souvent, vous vous ferez sauvagement attaquer alors que vous êtes autour de votre marmite, assez mal pensé.

Justement, pour continuer sur les mégalithes, en plus de disposer d'un système de combat au corps à corps très évolué et varié, ce Final Fantasy possède comme à son habitude une bonne dose de magie. Ici, rien de plus simple. Dans les donjons ainsi que dans les enceintes de la ville, vous pourrez obtenir ce qu'on appelle des mégalithes, soit des petits ronds de différentes couleurs dans le jeu. Une fois ramassés, ils apparaîtront dans vos poches, visibles sur l'écran tactile, en attente d'être utilisés. On trouvera donc plusieurs sortes de mégalithes telles les mégalithes brasier, glace, foudre ou encore soin. Leur utilisation n'est franchement pas cornélienne puisqu'il vous suffira d'appuyer sur un bouton lorsque vous contrôlez un personnage pour faire apparaître un cercle au-dessous de vous, cercle que vous pourrez déplacer ensuite à l'aide de la croix sur les ennemis et/ou les interrupteurs sensibles à ces effets. Les réactions seront immédiates, différentes selon chaque monstre. Par exemple, utiliser une mégalithe foudre sur un monstre dans l'eau sera toujours bienvenu, ou alors utiliser un pouvoir de soin sur un adversaire invisible pour le faire apparaître sera nécessaire. Nous aurons même la possibilité de superposer plusieurs cercles (1 par personnage) pour doubler à chaque fois l'effet. Malheureusement, c'est un système assez mal pensé car, du temps que l'on ait placé le premier, le deuxième, le troisième voire le quatrième cercle, les ennemis ne se seront pas gênés pour nous attaquer. Option finalement utilisée très rarement donc.

thumb_ME0000876003_2.jpg Pour poursuivre dans les détails gênants, le fait de jouer quatre persos à la fois n'a pas que des avantages. Tout d'abord, si l'un des quatre meurt et que vous avez soudainement besoin de l'un de ses pouvoirs et que vous n'avez plus de mégalithes redonnant la vie, il vous faudra soit mourir avec les trois autres, soit retourner au dernier point de sauvegarde. Mais le plus fâcheux reste l'horrible tendance des persos que vous ne jouez pas sur le moment à ne pas faire ce que vous voulez. Deux choses... D'un, lorsque vous vous baladez, il arrive que vos compères se mettent à attaquer des monstres que vous ne voulez pas combattre et, trop souvent, qu'ils se prennent une raclée. Pire encore, lorsque vous combattez des monstres, il arrive que les trois restent plantés là à ne rien faire pendant que vous vous débrouillez comme vous pouvez. Certes, si les 4 se donnaient à fond à chaque fois, le jeu en deviendrait un peu simple (ce qui n'est pas du tout le cas présentement) mais ces deux petites choses nous incitent à trop utiliser, heureusement qu'il est là celui-ci, le bouton L qui permet au perso actuellement joué d'appelé les 3 autres pour se réunir.

Reste néanmoins que ce jeu à quatre apporte également un tas d'énigmes et d'actions une fois à l'intérieur des donjons, tous assez différents les uns des autres et souvent très bien pensés. Vous restera donc à traverser tous ces donjons avec brio, qui sont réellement de plus en plus durs, difficulté compensée par le principe du level-up de chaque personnage qui apprend lors de certains niveaux acquis de nouvelles compétences ainsi qu'à l'aide de nouvelles armes pouvant être créées par exemple au magasin de Reben Ta Ra, la capitale, qui propose de réaliser des armes pour chacun, confectionnées à l'aide des matériaux et selon les plans tous acquis dans les donjons. Et justement, si vous n'êtes pas trop adeptes du jeu à quatre en même temps et que vous préféreriez vous consacrer à un seul personnage, les développeurs ont pensé à un mode quête dans lequel vous choisissez un personnage parmi les différentes tribus (vous pouvez avoir jusqu'à 8 sauvegardes en même temps, dans l'aventure c'est trois différentes que vous pourrez avoir) avec lequel vous referez les donjons déjà parcourus en quête d'expérience et d'objets pour la confection d'armes.

En plus du mode quête déjà évoqué, le jeu s'allonge encore grâce à deux options, une réellement intéressante, l'autre moins. La deuxième, c'est la possibilité d'accéder à quelques mini-jeux à l'aide de timbres récoltés grâce aux mogs (des petites créatures servant la plupart du temps de tutoriels). Une option qui n'a finalement que peu d'intérêt, du moins sur le long terme. Ce qui reste vraiment plus intéressant, c'est le mode mutlijoueurs. Malgré l'obligation d'avoir chacun sa cartouche, une fois parti, on aime. Le principe reste bien évidemment le même, simplement que tout se joue en coopération. Ainsi, si vous êtes quatre, chacun contrôlera son propre personnage, ce qui veut donc dire finis les problèmes de passivité de l'IA. Franchement bien fait, c'est une excellente idée qui permet de traverser les donjons à plusieurs dans la bonne humeur, et sans bousiller la touche L de sa DS.

En résumé

Graphismes : Pour un jeu DS, il en a réellement dans le ventre. Malgré les décors assez carrés des donjons par exemple, il y a une réelle variété dans les décors et une certaine précision, comme par exemple le fait que les accessoires rajoutés à nos personnages apparaissent lors de la traversée des donjons. Les cinématiques sont vraiment jolies, particulièrement les petites scènes qui se font trop rares vue leur beauté magistrale.

4 (16)

Jouabilité : Le jeu à quatre est vraiment excellent et le principe est très rapidement acquis. Malgré les problèmes de l'IA à manier nos compères, on prend un malin plaisir à progresser dans les donjons avec toutes les différentes capacités de nos personnages à chaque fois bien exploitées. Le système de combat est quant à lui tout bonnement excellent, on retiendra juste la mauvaise utilisation de l'écran tactile lorsqu'il s'agit d'empiler différents cercles de magie.

4 (15)

Bande son : Le mot pour décrire la bande-son serait tout simplement féérique. Les musiques nous enchantent la plupart du temps, et lorsqu'elle ne le font pas, c'est pour faire place à une ambiance bien plus sombre, tout à fait recherchée. En grande cohérence avec les environnements, elles sont variées et, comble de l'excellence, les voix des personnages sont parfois doublées lors des cinématiques, effet qui passe très bien dans les oreilles.

4 (17)

Durée de vie : L'aventure se termine assez rapidement tout de même, après une bonne dizaine d'heures de plaisir tout de même, les développeurs vous proposent de vous rabattre sur deux autres choses. Tout d'abord le mode quête qui peut être intéressant pour retraverser les donjons de long en large tout en acquérant un max d'expérience, ou alors le mode multijoueur, qui vous permettra sans aucun doute de vous relancer dans un mode aventure qui, lorsque chacun contrôle son personnage, est encore plus attrayant.

4 (16)

Intérêt : Derrière ses allures de contes de fées avec l'univers et la magie, et après la touche de tristesse finement apportée par un scénario qui pourrait en toucher plus d'un, Final Fantasy Crystal Chronicles renaît avec cet épisode qui reste certainement un ton au-dessus de son prédécesseur sur Gamecube. Le jeu est beau et enchanteur, l'aventure prenante est pleine d'action, surtout lorsqu'on y joue à plusieurs. Malgré les détails agaçants du soft sur le gameplay et la longueur du jeu en solo, les personnes qui avaient remis leur DS au placard après avoir terminé Phantom Hourglass pourront sans aucun doute la ressortir et se lancer dans ce Final Fantasy digne de la série.

4 (16)

Et la preview de Rock Band

Avis à tous les musiciens du dimanche sur consoles... À entendre cette phrase, les gens pensent très certainement à Guitar Hero, le jeu musical du moment sur consoles qui fait des ravages. Mais vous n'êtes certainement pas sans savoir qu'un duel fait rage entre ce dernier,et un nouveau venu, j'ai nommé Rock Band. Sortie tout bientôt en France sur X360, un peu plus tard sur ses concurrentes, voici le point sur ce jeu qui promet un choc des guitares exceptionnel face au monstre Guitar Hero.

C'est assez connu, Harmonix est réputé comme étant l'un des studios les plus expérimentés et performants en matière de jeux musicaux (voire le meilleur). C'est d'ailleurs ce dernier qui est à l'origine du jeu qui en est à son 3ème épisode majeur et qui n'a jamais déçu pour l'instant, Guitar Hero. Toutefois, la surprise fut grande lorsqu'on apprit que le studio ne développerait pas le troisième opus de Guitar Hero, on pouvait se demander ce qui se passait dans leur tête pour lâcher une si bonne prise. Il ne nous aura pas fallu longtemps pour comprendre, c'est peu après que l'annonce de la préparation d'un certain Rock Band, en coopération avec EA (rien que ça), tombait.

Le jeu étant déjà sorti il y a un moment aux USA (à temps pour être sous les sapins ricains), les infos affluent ainsi que les revues. Néanmoins, la sortie européenne à été retardée, encore et encore, pour enfin se trouver une date précise. C'est donc le 22 mai que le jeu sortira dans nos contrées... tout du moins sur X360, EA ayant décidé d'en faire une exclusivité Microsoft durant un certain temps, puisqu'il faudra attendre pour les possesseurs de PS2 et 3 ainsi que pour les joueurs Wii jusqu'au 29 août, soit 3 mois plus tard.

Pour continuer dans le thème de la sortie, parlons un peu du prix (âmes sensibles s'abstenir). Alors que le bundle avec les trois instruments plus le jeu est sorti aux USA pour la somme très correcte de 110€ environ, le prix, une fois calculé méticuleusement, s'élèvera à 169€ en Europe. Oui, c'est 50€ plus cher, mais attendez, vous ai-je dit que ce pack ne contiendrait que les instruments, et pas le jeu? C'est maintenant chose faite. En effet, vous devrez encore dépenser le prix de 70€ pour vous offrir le jeu, c'est mieux quand même pour y jouer. En tout, il vous faudra donc débourser 240€ pour avoir le pack complet. Voilà qui en rebutera déjà plus d'un. Si vous tentez de contourner le bundle en achetant les instruments un à un, sachez que la guitare coûtera 80€ et la batterie 90... Comme consolation, la guitare de GHIII sera compatible et n'importe quel micro USB fera l'affaire à la place du micro officiel. Tout ceci pour vous dire que le prix est exorbitant en Europe. Évidemment, inutile de préciser que le jeu US ne fonctionne pas sur consoles PAL...

Une fois ce dur paragraphe traversé, parlons tout de même un peu du jeu et de tous ses instruments, justement... En effet, l'une des caractéristiques qui le différencie de son grand frère est que Rock Band dispose non pas d'une simple guitare, mais également d'un micro et d'une batterie. Alors que vous pourrez toujours jouer de la guitare ou de la basse (en mode carrière également), vous pourrez également vous vouez à l'art du chant, tel un Singstar, ou alors, totalement novateur, dans les percussions avec une petite batterie. Si le principe de la guitare reste exactement le même mis à part quelques nouveaux boutons qui devraient faire leur apparition sur la nouvelle guitare pour les solos, qui seront présents dans certaines chansons pour gagner un max de points en cas de gros assurage, il y ressemble sensiblement pour les deux autres instruments. Avec le micro, les paroles apparaîtront en haut de votre écran ainsi que la bonne tessiture, la bonne hauteur de chant si vous le voulez bien. Il vous faudra donc rester dans les bonnes notes. On pourra juste blâmer un peu la sensibilité du micro, qui ne fera peut-être pas énormément la différence dans le cas où vous chantez réellement les paroles et le cas où vous ne faites que brailler. La batterie, elle, repasse au principe des 5 boutons, comme la guitare. Ce ne seront pas des boutons,mais 4 tambours et une grosse caisse. Vous l'aurez compris, il vous suffira de taper sur les bons tambours au bon moment.

En restant dans les différences avec le dernier titre d'Activision, nous pourrons également évoquer la tracklist. Bien qu'étant également axée vers le rock, cette dernière promet de contenir un peu plus de variété dans les styles. C'est avec plaisir qu'on reprendra des titres de grands noms, comme les Rolling Stones, David Bowie, KISS, The Police, Bon Jovi, R.E.M., les Foo Fighters, Garbage, Radiohead, les Fallout Boys ou encore les Red Hot, et croyez-moi, j'en passe. C'est au final une liste exhaustive d'environ 50 titres qui sera à votre disposition. Et à l'image de GH, des titres seront téléchargeables via le XLive ou le PStore, même un peu plus à ce qu'on dit. Enfin, sachez que pour compenser leur retard, les développeurs ont promis des nouveaux titres pour la version européene, et on a entendu parler d'Indochine, Muse, Pleymo et... Tokio Hotel...

Graphiquement, le jeu semble être de la même veine que Guitar Hero, très abstrait, avec beaucoup de couleurs et d'effets. Là où le soft se démarque, c'est au niveau des avatars. Ici, nous aurons la possibilité de modifier notre rockeur de la tête aux pied,s en changeant ses vêtements ou même son visage, voilà qui promet un concours de l'avatar le plus Rock'n'Roll possible. Cerise sur le gâteau, nous pourrons même lui choisir une attitude (punk, rock, métal, emo...) qui devrait influencer ses mouvements sur scène.

La branche où Rock Band promet d'être excellent, outre le Live qui en fait rêver quelques uns et qui devrait être finalement semblable à celui de GH, c'est dans le mode multi-joueurs. Effectivement, être en possession de 4 instruments et inviter ses amis à revisiter quelques- ns des gros tubes de ces vingt dernières années prévoit d'être extrêmement fun. Reste encore à trouver un bon chanteur, là, c'est pas gagné...

Rock Band est un jeu plus que prometteur sur chaque console où il s'apprête à sortir. Il paraît extrêmement complet, long, fun à plusieurs et tant d'autres choses. Il faut dire que l'expérience d'Harmonix combinée au touché d'EA, ça ne peut faire que des étincelles. Malheureusement, l'annonce du prix européen en aura certainement rebuté plus d'un. Deux fois plus cher qu'aux USA et bien plus cher que son concurrent direct également, il en faudra dans la poche pour pouvoir s'amuser sur le jeu complet. Après, si ce point ne vous pose aucun problème, foncez. La bataille promet d'être épique entre ces deux là.

Ces deux choses sont tirées du site où je bosse, c'est évidemment un site amateur, mais s'il y a des intéressés (newseurs ou rédacteur, faites-le savoir).

Merci à vous deux de relancer ce topic ^^
J'éditerais le premier message et je ferais à mon tour quelques tests lorsque j'aurai un peu de temps.

Now God of War: Chains of Olympus sur PSP:

Je pense que depuis le sortie sur PS2 de God of War premier du nom, peu d'amateurs de jeux vidéos ignorent encore l'existance du tout puissant Kratos, mercenaire spartiate au service de l'Olympe.

Après deux épisodes somptueux sur PS2, Kratos revient donc sur PSP pour une aventure inédite se déroulant avant les événements épiques du premier opus.

Graphismes:

Rien à redire, pour de la PSP, God of War: Chains of Olympus est très beau. C'est assez proche du rendu PS2 à ceci près que l'on dénote tout de même certains ralentissements lorsqu'il y a beaucoup d'ennemis à l'écran ou dans les grands espaces. Comme toujours le level-design est très travaillé bien qu'un peu moins réussi que pour les opus PS2 (l'épisode 2 étant pour moi l'un des models absolu en terme de level-design). Les décors sont magnifiques bien qu'encore une fois un petit peu moins détaillés que sur les opus PS2.
Il est donc fort agréable d'évoluer dans les environnements de God of War: Chains of Olympus, afin de parcourir ces espaces gorgés de mythologie.

17/20

Gameplay:

Manipuler Kratos, égorger des hordes d'ennemis, déchainer les pouvoirs d'Efreet, cela est toujours aussi jouïssif et c'est un bonheur de parcourir les niveaux en tronçonnant tout sur son passage à grand renfort d'hémoglobine. La première partie du jeu, se déroulant dans une cité assiègée, est extrèmement nerveuses: ça pête de partout, on y trouve la moitié des boss du jeu, on est en permanece sous pression et on en redemande. La seconde partie (70% du jeu environ) est quand à elle étrangement monotone comparée à ce qu'on a pu découvrir avant. Les ennemis se font beaucoup moins nombreux, les boss deviennent quasiment inexistants et on se retrouve un peu à errer dans des environnements presque désert. La chute de rythme est si rude qu'il est impossible de ne pas s'en rendre compte, ce qui laisse un arrière-goût amer au joueur. Certe la seconde partie est très agréable à jouer mais le première nous en avait mis tellement plein les yeux que l'on ne cesse d'y penser.
Au final peut être que les concepteurs auraient dû mieux équilibrer leur jeu pour éviter cette perte de souffle qui est quand même nuisible pour le plaisir du joueur.

15/20

Durée de vie:

Bon c'est sur que comparé à ses prédécesseurs, God of War: Chains of Olympus fait pâle figure! Cependant il faut tout de même relativiser car ce jeu est sur PSP et non sur PS2 (il ne faut peut-être pas demander à une console portable d'être l'égale d'une console de salon comme la PS2). La durée de vie est donc grosso modo de 5 heures ce qui est certe court. Néanmoins il est de ces jeux ayant tout de même un potentiel de rejouabilité assez élevé et certains défis sont là pour augmenter un peu la durée de vie.

10/20

Son:

Ben c'est pas mal du tout tout ça! Le doublage et la bande son étant les mêmes à peu de chose près que sur PS2 on s'y retrouve sans problème. Pas de grande innovation mais rien de problématique. Du tout bon donc.

17/20

Scénario:

Etant donné la durée de vie du soft, le scénario se retrouve malheureusement fort réduit comparé aux opus précédents. Il faudrait presque voir cette aventure, à mon sens, comme un "add-on" de GoW, comme un "sous-épisode" ou comme un "hors-série". Etant donnée la prouesse graphique je doute qu'il fut possible de rallonger suffisament le jeu pour pouvoir lui fournir un scénario plus digne de lui. M'enfin le scénario de God of War: Chains of Olympus reste tout de même honnête bien qu'il ne soit pas transcendant.

12/20

Intéret global:

Tout dépend de ce que vous recherchez. Si vous vous attendez à un GoW 3, passez votre chemin car cet opus est loin d'égaler ses aînés. Si vous souhaitez savourer une petite aventure inédite de Kratos alors God of War: Chains of Olympus est fait pour vous.
Pour ceux qui hésitent je ne saurais trop leur conseiller d'attendre une baisse de son prix afin que celui ci soit enfin proportionnel à la durée de vie du soft.

15/20

Je ferait Soulcalibur 3 et Armored core : nexus, je me les réserve pour plus tard

Je ferais + tard Shin Megami Tensei: Persona 3.

je reserve le test de gta 4

Pas besoin de réserver ^^ Il peut y avoir plusieurs tests pour un même jeu : ça permet d'avoir encore plus d'avis...ce qui n'est pas un mal.
Sinon, pour mes tests, ça sera Assassin's creed et Lost Planet sur PS3 mais il faut vraiment que je trouve du temps, ce qui n'est pas très facile pour moi en ce moment ^^

GTA IV

Gta 4, c'est le jeu duquel on ne doit pas parler. Un grand pressing médiatique a été effectué contre ce jeu. Déjà au journal de 20h, le jour de sa sortie, pour dégouter les parents, le jeu est présenté dans un article qui dérive rapidement sur les ozakus et autres no-lifes, certains ne comprenant pas feront l'association des deux. Autre exemple dans next gen, sur Virgin tv: le jeu n'était pas présent dans le top 3 des ventes de jeux de consoles, ce qui a mon avis a été interdit par je ne sait quel patron de la chaine ou de la pegi, car a mon avis wii Play et Mario kart DS ne se vendent pas plus que gta 4.

Je m'installe donc sur mon canap', je mets le jeu (ps3).Ca commence. Pour des raisons pratiques, je vais globalement comparer le jeu par rapport à gta San Andréas pour pouvoir effectuer une comparaison.

Gta 4 partait déjà avec un objectif, et pas des moindres: atteindre ou même dépasser la popularité et la richesse dont jouissaient ses prédécesseurs, le tout sur console next gen.
On incarne donc Niko bellic, un immigré d'Europe de l'est débarque à liberty city afin de faire fortune, ce que lui a garanti son cousin. Mais à son arrivé en Amérique, les choses ne se passent pas comme prévu. Affrontements, drogue, alcool et corruption deviennent le quotidien de Niko.
Déjà arrivé, je découvre liberty city, qui a également été le théâtre de gta 3.C'est frappant de ressemblance. La ville est vivante, tout le monde est actif, personne ne reste planté sur place, béant. On remarque énormément de détails qui rendent le tout réaliste.

Le moteur graphique de la ps3 et de la xbox 360 étant bien plus perfectionnés que ceux de la ps2, tout est plus beau. Les bâtiments et les véhicules sont incroyablement réalistes. En revanche, je trouve qu'il manque aux personnages un petit truc de réalisme. Les quelques reproches vont aux textures qui peuvent parfois sembler grossières de près. De même certains bâtiments et véhicules semblent brillants.

Le point sur lequel j'ai été le plus agréablement surpris à été l'ordinateur: les passants sont intelligents. Ils réagissent lorsque je les pousse, lorsque je les percute en voiture, ils préviennent parfois la police lorsque je commets un délit. Tiens, la police, parlons-en. Pour la première fois depuis le début de la saga des gta, la police n'est plus un simple jouet à balader, à humilier, qui ne trouve les moyen de réagir et protège à peu près autant la population qu'un mouton broutant des feuilles de tabac. Désormais, l'intelligence artificielle des forces de l'ordre à considérablement augmenté. Avant, pour les réveiller, fallait leur renter dedans, leur tirer dessus ou encore tuer quelqu'un sous leurs yeux. Désormais, ils vous suivent si on ne paye pas le péage, si on vole une voiture(ou si un civil le leur dit...) ensuite, ils agissent plus intelligemment, ils ne rentrent pas dans le premier mur venu pour vous barrer la route. Contrairement aux anciens gta, une provocation de la police ne reste pas impunie et se finit rarement bien.

Les scènes d'actions ont elles aussi gagné en réalisme. Conduire des voitures est moins instinctif qu'avant mais plus réaliste. Le véhicule n'arrive clairement plus à effectuer toutes sortes de virages à 150 km/h. Petite parenthèse sur les accidents : le fait de pouvoir passer par le par brise est encore une fois un petit effet réaliste. Les scènes de combat aux poings ont beaucoup perdu en fluidité, mais encore une fois, le résultat est plus réaliste.
Les séquences de tir, quand à elles, ont gagné en intensité et en intérêt. Le fait de pouvoir se cacher derrière un mur donne aux fusillades un coté épique et bien plus intéressant que les fusillades qui composaient les précédents gta.
Le reste est également très bon. Le portable, désormais plus utile, plus fonctionnel, sert à trouver du travail, à organiser des sorties avec tout le monde. Egalement notable : l’arrivée du cybercafé, d’une utilité non négligeable : rencontres, recherches, mails…
On peut aussi noter les fameux sauts uniques que l’on retrouve également dans gta San Andréas, ainsi que les fers à cheval et compagnie remplacés par de simples pigeons sur lequel on doit tirer.
Les notes :
Graphismes : 16/20
Jouabilité : 15/20
Bande son : 17/20
Scénario : 16/20
Durée de vie : 18/20
Note globale : 16/20
Je ne parle pas du mode multi joueur car je ne l’ai pas essayé, je vous en parlerai une fois que je l’aurai fait.

J'ai joué qu'a deux GTA : Vice city et San Andréas. Autant j'ai adoré Vice City, autant j'ai gerbé sur San Andrés, qui est de mon point de vue raté un peu près pour tout. Je pense notamment à ses missions excessivement difficile, frolant parfois l'impossible (qui a dit : " l'ecole d'aviation " ?) . J'aurais voulu savoir si dans GTA IV la difficultée avait été baissée par rapport à SA.