Gil-Galad Hors Ligne Membre Passif depuis le 01/09/2022 Grade : [Divinité] Inscrit le 25/12/2002 2471 Messages/ 0 Contributions/ 525 Pts | Envoyé par Gil-Galad le Samedi 02 Septembre 2006 à 12:20
tant qu'on y est avec la bonne humeur
Michel Polnareff - Mes regrets
Inutile de te lever pour m'écouter
Navré de te déranger une si belle soirée
Ta robe de mariée est faite pour épouser
Mes regrets, mes regrets
Ne crains rien de moi je ne troublerai pas
Ton bonheur qui commence où finit ma joie
Vraiment je n'savais pas qu'en un soir on pouvait...
Mais à quoi bon, à quoi bon...
A quoi bon te dire que la vie n'est possible qu'avec toi
Tu ne m'écoutes pas
Tu n'me vois pas
Comme tu es loin déjà
Si une heure un soir on pouvait se revoir
J'ai dit des mots stupides et vides d'espoir
Il faut me pardonner je ne m'suis pas encore...
Habitué, habitué
Il faut dire que tout change si rapidement
Je dois fermer les yeux pour te voir comme avant
Non non ne parles pas
En moi j'entends ta voix comme avant, comme avant
Elle me dit des mots cette voix
Comme c'est loin tout ça
Mais parles, fais quelque chose ne me laisse pas
M'en aller comme ça
Navré d'avoir dérangé une si belle soirée
Je suis venu avant tout pour te demander
Non pas de revenir, seul'ment de n'pas sourire
Sourire, ne pas sourire
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Jacki-et-sa-4L Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/08/2014 Grade : [Sortisan] Inscrit le 24/05/2006 123 Messages/ 0 Contributions/ 29 Pts | Envoyé par Jacki-et-sa-4L le Samedi 02 Septembre 2006 à 14:31
shurik'n-la lettreSi tu lis cette lettre, c'est que j'ai dû m'absenter,
Un peu avant qu't'arrives mais j'pouvais pas rester le taxi attendait,
Que faire je sais plus par où commencer, j'avais plein de choses à dire,
Mais pour écrire j'suis bloqué,
Mais j'vais m'lancer, tu sais la vie c'est pas toujours comme on veut,
C'est souvent comme on peut,
Et j'ai fait comme j'ai pu pour que ton père vive mieux,
Je lui ai appris la valeur de l'argent,
Parce que dans ma famille un franc, c'était un franc gagné durement,
Le mien s'est tué au boulot, manque de pot je portais pas d'polo,
J'étais pas en guenille non plus mais au goûter y avait pas d'pépito,
Le préau était un stade de foot, un champ de shoot,
Cloué sur les bancs d'la classe y avait pas foule,
Fais pas comme moi, l'école ça aide des fois,
Plus tard tu t'en aperçois avant de t'en mordre les doigts,
Bosse et ne baisse pas les bras,
Pense à celle qui va se faire tant de soucis pour toi
A chaque fois que tu sortiras,
Celle qui te borderas toutes les nuits,
Et les jours où tu seras en colère après elle repense s'y,
T'en auras jamais deux comme ça, retiens ça,
Et n'écoute pas les cons qui pense qu'un homme ça ne pleure pas, crois moi,
Et si j'ai pu partir un doigt levé, pied de nez à la guigne,
Finalement j'ai gagné, à travers j'm'en suis tiré,
Te demande pas pourquoi j'ai la réponse ici,
Il fallait que parte pour que tu viennes, c'était écrit petit.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses, semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y' a toujours deux personnes sur qui tu peux compter,
Et ça tu l'sais.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y a toujours une personne à qui tu peux penser,
Et ça tu l'sais.
On choisit pas ses parents, t'es pas trop mal tombé,
Pense à ceux qui vivent au foyer, avant de grimacer devant ta purée,
Tu subiras un peu les vannes des potes plus à la mode,
Fais pas un flan à ta mère pour une paire de bottes,
J'ai transmis mon art à mon fils, il te le transmettra,
J'espère plus tard, comme ça, tu s'ras paré pour les bagarres au lycée,
Tu va te chiffonner pour un `ta mère la pute', même si c'est pas vrai,
Je sais j'l'ai, s'il fallait je recommencerais,
Il t'apprendras à ne pas craindre la nuit,
Il te dira que c'est pas grave si tu pisses au lit, lui l'faisait aussi,
Il te dira que le sang est le même pour tous, seules les couleurs changent,
On finit de la même façon, on tend la main aux anges,
Il n'y a qu'une chose qu'il ne dira pas,
Faudra que tu l' devines dans son regard,
Entre homme on se comprend, on parle pas,
Mon père n'étais pas bavard non plus,
Paraît que j'ai le même caractère,
C'est vrai qu'au tien j'ai rien dit de plus,
Faudra que tu comprennes, que tu sois indulgent,
Ne joue pas les enfants gâtés,
Où le jour où pour sortir il te manquera des francs,
C'est mon seul regret, j'aurais voulu être là,
Te faire sauter sur mes genoux, devenir gâteux quand je te vois,
Tant pis, c'était pas marqué sur mon carnet de santé,
Le doc a dit que j'pouvais pas rester, alors j'ai dû m'envoler,
Mais si tu t'sens trop seul, largué,
Y a toujours une personne à qui tu peux penser,
Et ça tu l'sais.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses, semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y a toujours deux personnes sur qui tu peux compter,
Et tu le sais.
Il va t'falloir beaucoup d'audace, pas mal de courage,
Pour éviter les crasses, semées par ton entourage,
Et si un jour t'es vraiment mal barré,
Y a toujours une personne à qui tu peux penser,
Et ça tu l'sais,
Tu l'sais.
<3
___________________ Lyon 4 m'a l'air d'humeur joyeuse , il a besoin d'une lyonaise de banque.
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jokerface Hors Ligne Membre Passif depuis le 03/07/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 22/08/2003 4551 Messages/ 0 Contributions/ 7 Pts | Envoyé par jokerface le Samedi 02 Septembre 2006 à 14:38
shurik'n ça roxxe ^^
Un chtit coup de Solaar :
solaar pleure
fuck la terre, si je meurs voici mon testament :
déposez des cendres dans la bouche de tous nos opposants
virez à coup d'front kick les faux qui viennent se recueillir
j'veux des fleurs et des gosses, que ma mort serve leur avenir
peut être comprendront-ils le sens du sacrifice
la différence entre les valeurs et puis l'artifice.
je sais qui pleurera et pourquoi,
vous êtes les bienvenus, y aura pas de parvenus
juste des gens de la rue
la presse people n'aura que des smicard et des sans papiers
des costumes mal taillés, même si les mecs voulaient bien s'habiller
ci gît claude..., initiale mc
un p'tit qui a voulu que la vie d'autrui soit comme une poésie
et surtout va pas croire qu'y aura dix milles filles
je dis ça pour ma famille, je n'étais pas parti en vrille.
on me jette de la terre, on dépose quelques fleurs .
seul sous son saule pleureur : solaar pleure.
solaar il est l'heure, ecoute solaar pleure
solaar il est l'heure, ecoute solaar pleure
mon âme monte, je vous vois en contre plongée
c'est ceux qui sont déjà partis que je m'en vais retrouver
ne vous inquiétez pas, non, je pars pour le paradis
pas pour parader mais professer la 7ième prophétie.
j'ai tenu tête aux maîtres, aux prêtres, aux traîtres,
aux faux culs sans cortex qui dansent encore le funky jerk.
si c'est toi, courbe-toi, marche profil bas et tais-toi.
recherche une aura sinon va, tiens ! gomme toi.
excusez pour le mal que j'ai pu faire, il est involontaire
j'ai été mercenaire, plutôt que missionnaire
je regrette et pour être honnête je souhaite que dieu me fouette
dieu tu es la lettre, il faut que l'on te respecte
archange, comprend moi au nom du père
certains me trouvent exceptionnel mais j'ai pas fait l'élémentaire
le mike pleure, la feuille pleure, le bic pleure
et sous le saule pleureur : solaar pleure.
solaar il est l'heure, ecoute solaar pleure
solaar il est l'heure, ecoute solaar pleure
je suis au paradis, je sillonne les plaines
a la recherche de resquilleurs dans le jardin d'eden
j'ai contrôlé les anges, pas de haine mais pas d'ennemis
sinon j'ai le canif et j'inaugure le meurtre au paradis.
j'ai joué au maigrelet chaque fois que l'on m'a provoqué
contemplatif et ordonné, j'ai pardonné sans pardonner
mais je n'étais pas un héros, juste un mec fait d'os et d'eau
maintenant je suis une âme qui plane perdu sans stylo.
eden exterminator, ange exterminateur,
videur matador du divin examinateur
m'assure que c'est par méprise que je trippe avec les anges
et m'envoie aussitôt vers les flammes et puis la fange.
500 one + 165, 111 x 6, le code barre de l'antéchrist
je vois des porcs et des sangliers
le feu et le sang liés
je prie car j'ai peur
satan rit
solaar pleure, solaar pleure, solaar pleure, ...
non, pourquoi moi ? c'est une erreur
gardes-moi, je suis noble de cœur
arrêtez la chaleur, je crache sur belzébuth
je garderais la foi et puis j'ai l'uppercut
pourquoi ce blâme ? pourquoi ces flammes ?
pourquoi ce torréfacteur qui nous crame ?
cet âne de chétane plane sur nos âmes
il vit par le feu, périra par le lance-flammes
du lac lancelot, double a du graal
rabbin, prêtre, imam
priez, aidez oim, pourquoi moi
pourquoi ce karma, zarma
j'ai porté la foi jusqu'à la main de fatma
je suis comme un gladiateur desperado
envoyé en enfer pour une mission commando
lucifer ne vois-tu pas que dieu est fort
si nous sommes soudés, nous t'enverrons toucher la mort.
solaar pleure, ses larmes éteignent les flammes
libère les âmes, fait renaître abraham
le diable est à l'agonie, unissons nos forces
bouddha grand architecte, thérésa bombons le torse
priez, aidez-moi, il chancelle, il boite
il se consume, il fume, il n'a plus qu'une patte
je vois qu'il souffre, je vois qu'il hurle
il a créé le mal et c'est le mal qui le brûle
le bien pénètre chez la bête de l'apocalypse
comme poussé par une hélice pour que son aura s'éclipse
raël, ezechiel, avec la lumière combattre le mal suprême
le mal hurle, je l'entend hurler
des fleurs poussent, el diablo est carbonisé
il implose, il explose,
et de l'antimatière jaillissent des ecchymoses
satan est mort, le bien reprend vie
a quand la terre comme nouveau paradis
on ne sait plus que faire,
on ne sait plus quoi faire
l'enfer est sur terre et qui la gère ?
Et pis un peu d'IAM :
L'empire Du Cote Obscur
Le sombre monarque débarque et étale
Son pouvoir, la puissance de l'ombre s'installe
Non, ne résiste pas, ne lutte pas
Ne te détourne pas de la main tendue vers toi
Ou je vais explorer le royaume de tes peurs
En devenir le dictateur pour mieux te dominer
Là, tu deviens raisonnable, c'est bien
Oui tombe sous le charme pour de meilleurs lendemains
Pour les rebelles la force est trop forte
Je balaie ces petits Ewoks comme le vent balaie les feuilles mortes
Les indécis sont avertis, qu'ils se méfient
De la seule étoile qui se fond dans la nuit
Le bastion des bas-fonds du pays en action
L'énergie dégagée génère une telle attraction
Que vers lui se tournent enfin tous les regards
Pour s'apercevoir que l'espoir émerge du noir
Une partie de tout homme, la force manipule
D'un rien il suffit pour que l'être bascule
Que les yeux de l'aveugle s'ouvrent, qu'il contemple
Mars, de l'obscur coté, le temple
N'aies pas peur, ouvre-moi ton coeur, viens vers l'Empereur
Sentir la chaleur de l'obsurité pour toi il est l'heure
De rejoindre l'armée des guerriers de l'ombre
Ne sens-tu pas ton coté clair qui succombe
C'est ta destinée pourquoi vouloir lui résister
Sans peine je ferais sauter les verrous de ta volonté
Sois l'hôte dans la noirceur la plus pure de l'Empereur
Et arbore les couleurs du coté obscur
Refrain/Chorus
Obscure, la force est noire
Comme le château où flotte l'étendard, notre drapeau
Sois sûr, que sous les feux, la vérité est masquée,
Viens, bascule de notre coté, obscur
Je suis le fils de Jaffar, le sale rejeton de Dark Vador
Le grand Cador, du maniement de mic, j'adore
Adapter ma technique à la manière du caméléon
Sans pitié pour mater la rebellion
Millénaire, salive empoisonnée langue amère
Un Pilot V5 en tant que sabre laser
Quoi, ma conscience comme seule médaille
Je traque et j'étripe sans remords tous les chevaliers Jedi
La haine monte en toi, je le sais parfaitement
Je vois ta main droite gantée de noir
C'est sans espoir, la mutation s'amorce
La nature que tu obtures, le coté obscur de la force
Viens vers moi, passe le pont de part en part
Rejoindre ma demeure dans la lune noire
Mars est l'empire, je lance mes troupes à terre
Pour éradiquer ce niais de Jean-Claude Gaudin Skywalker
Petit présomptueux ne vois-tu pas le nombre
Déployé ? L'armée des ombres, tu seras éliminé
Au nom des forces mystiques qui habitent là
Dans mon cerveau, je ne donne pas cher de ta peau
Le souffle de la force est en moi
Le microphone crépite, crache des tas de flammes sur les "en bois"
Le fils de Dieu tremble
Mais lutte avec ses armes, renverse les crédos qui lui semblent
Erronés, brise les traîtres de la tête au péroné
Par la peur l'ennemi reste sclérosé
Longue vie au règne de la nuit
D'une théorie qui renverse les croyances établies
"Luke, aide-moi", idiote il est trop tard
Tu appartient au sinistre sombre seigneur vêtu de noir
Casque, souffle rauque sous une armure
Du soldat le plus dur, de l'empire du coté obscur
Refrain/Chorus
___________________ Le 23/02/2017 à 16:10, David avait écrit ...
Mon papa me disait : "on n'écrase par les fourmis, fils"
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Jacki-et-sa-4L Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/08/2014 Grade : [Sortisan] Inscrit le 24/05/2006 123 Messages/ 0 Contributions/ 29 Pts | Envoyé par Jacki-et-sa-4L le Samedi 02 Septembre 2006 à 14:49
IAM-demain c'est loinL'encre coule, le sang se répand, la feuille buvard
Absorbe l'émotion, sac d'images dans ma mémoire.
Je parle de ce que mes proches vivent et de ce que je vois
Des mecs coulés par le désespoir qui partent à la dérive,
Des mecs qui pour 20 000 de shit se déchirent.
Je parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rire,
Rire, sourire, certains l'ont perdu.
Je pense à Momo qui m'a dit à plus, jamais je ne l'ai revu.
Tenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frère,
Mais c'est toujours la misère pour ceux qui poussent derrière.
Pousse pousser au milieu d'un champ de béton,
Grandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les ronds.
La pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvements.
On coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vend.
A tour de bras, on fait rentrer l'argent du crack.
Ouais, c'est la vie, et parle pas de RMI ici.
Ici, le rêve des jeunes c'est Golf GTI, survete Tachini,
Tomber les femmes à l'aise comme many.
Sur Scarface, je suis comme tout le monde, je délire bien
Dieu merci, j'ai grandi, je suis plus malin, lui il crève à la fin.
La fin, la faim, la faim justifie les moyens; 4, 5 coups malsains.
On tient jusqu'à demain, après on verra bien.
On marche dans l'ombre du malin du soir au matin,
Tapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand chemin.
Chemin, chemin, y'en a pas deux pour être un dieu.
Frapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux en veut
Une route pour y entrer, deux pour s'en sortir, 3/4 cuir
Réussir, s'évanouir, devenir un souvenir.
Souvenir, être si jeune, avoir plein le répertoire
Des gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaou! c'est le noir.
Croire en qui, en quoi, les mecs sont tous des miroirs,
Vont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tiroirs.
Tiroir, on y passe notre vie, on y finit avant de connaître l'enfer
Sur Terre, on construit son Paradis.
Fiction, désillusion trop forte, sors le chichon
La réalité tape trop dur, besoin d'évasion.
Évasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est gris,
Les murs, les esprits, les rats, la nuit.
On veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'action,
Fausse diversion, un jour tu pètes les plombs.
Les plombs, certains chanceux en ont dans la cervelle.
D'autres se les envoient pour une poignée de biftons, guerre fraternelle.
Les armes poussent comme la mauvaise herbe.
L'image du gangster se propage comme la gangrène sème ses graines.
Graines, graines, graines de délinquant, qu'espériez-vous? Tout jeunes
On leur apprend que rien ne fait un homme à part les francs
Du franc tireur discret, au groupe organisé la racine devient champs,
Trop grand, impossible à arrêter.
Arrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortie,
On prend trois mois, le bruit court, la réputation grandit.
Les barreaux font plus peur, c'est la routine, vulgaire épine,
Fine esquisse à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'anime.
S'anime, animé d'une furieuse envie de monnaie,
Le noir complet, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut flamber,
Perdre et gagner, rentrer avec quelques papiers.
En plus, ça aidera, personne demandera d'où ils sont tombés.
Tomber ou pas, pour tout, pour rien on prend le risque, pas grave cousin.
De toute façon dans les deux cas, on s'en sort bien.
Vivre comme un chien ou un Prince, y'a pas photo.
On fait un choix, fait griller le gigot, briller les joyaux.
Joyaux, un rêve, plein les poches mais la cible est loin, la flèche
Ricoche, le diable rajoute encore trop moche les mecs cochent
Leur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches,
Les coups de pioche, creuser un trou c'est trop fastoche.
Fastoche, facile, le blouson du bourgeois docile des mêmes la hantise
Et porcelaine dans le pare-brise.
Tchac! le rasoir sur le sac à main, par ici les talbins.
Ça c'est toute la journée, lendemain après lendemain.
Lendemain? C'est pas le problème, on vit au jour le jour.
On n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennent.
Demain, c'est loin, on n'est pas pressés, au fur et à mesure.
On avance en surveillant nos fesses pour parler au futur.
Futur, le futur changera pas grand-chose.
Les générations prochaines seront pires que nous, leur vie sera plus morose.
Notre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiper,
Prévenir avant de se faire clouer.
Clouer, cloué sur un banc, rien d'autre à faire, on boit de la bière.
On siffle les gazières qui n'ont pas de frère.
Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches.
On est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourche.
Fourche, enfourcher les risques seconde après seconde.
Chaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondes.
Contre leur lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terre.
Les obstinés refusent le combat suicidaire...
Cidaire, sidérés, les dieux regardent l'humain se dirige vers le mauvais
Côté de l'éternité d'un pas ferme et décidé,
Préféreront rôder en bas en haut, on va s'emmerder.
Y'a qu'ici que les anges vendent la fumée.
Fumée, encore une bouffée, le voile est tombé.
La tête sur l'oreiller, la merde un instant estompée
Par la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquer.
Un enfant se fait serrer, pour une Cartier menotté...
Menotté, pieds et poings liés par la fatalité,
Prisonnier du donjon, le destin est le geôlier.
Le teurf, l'arène on a grandit avec les jeux.
Gladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peut.
Dans les constructions élevées,
Incompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevés,
Frictions, excitations, patrouille de civils,
Trouille inutile, légende et mythes débiles.
Haschisch au kilo, poètes armés de stylo,
Réserves de créativité, hangars, silos,
Ça file au bloc 20, pack de Heineken dans les mains,
Oublier en tirant sur un gros joint.
Princesses d'Afrique, fille mère, plastique
Plein de colle, raclo à la masse lunatique,
Économie parallèle, équipe dure comme un roc,
Petits Don qui contrôlent grave leur spots.
On pète la Veuve Cliquot, parqués comme à Mexico,
Horizons cimentés, pickpockets, toxicos,
Personne honnêtes ignorées, superflics, Zorros,
Politiciens et journalistes en visite au zoo.
Musulmans respectueux, pères de famille humbles,
Bafflent qui blastent la musique de la jungle.
Entrées dévastées, carcasses de tires éclatées;
Nuée de gosses qui viennent gratter.
Lumières oranges qui s'allument, cheminées qui fument,
Parties de foot improvisées sur le bitume,
Golf, VR6, pneus qui crissent,
Silence brisé par les sirènes de la police.
Polos façonnable, survêtements minables,
Mères au traits de caractère admirables,
Chichon bidon, histoires de prison,
Stupides divisions, amas de tisons.
Clichés d'Orient, cuisine au piment,
Jolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de ciment,
Désert du midi, soleil écrasant,
Vie la nuit, pendant le mois de Ramadan.
Pas de distraction, se créer un peu d'action.
Jeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attraction,
Rires ininterrompus, arrestations impromptues,
Maires d'arrondissement corrompus.
Marcher sur les seringues usagées, rêver de voyager.
Autoradios en affaires, lot de chaînes arrachées,
Bougre sans retour, psychopathe sans pitié,
Meilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouver.
Génies du sport faisant leurs classes sur les terrains vagues,
Nouvelles blagues, terribles techniques de drague,
Individualités qui craquent parce que stressés,
Personne ne bouge, personne ne sera blessé.
Vapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcool,
Fourgon de la Brink's maté comme le pactole,
C'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cage,
Bave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étage.
Dealer du haschisch, c'est sage si tu veux sortir la femme.
Si tu plonges, la ferme, y'a pas drame.
Mais l'école est pas loin, les ennuis non plus.
Ça commence par des tapes au cul, ça finit par des gardes à vue.
Regarde la rue, ce qui change? Y'a que les saisons.
Tu baves du béton, crache du béton, chie du béton.
Te bats pour du laiton, mais est-ce que ça rapporte?
Regrette pas les biftons quand la bac frappe à la porte.
Trois couleurs sur les affiches nous traitent comme des bordilles.
C'est pas Manille OK, mais les cigarettes se torpillent.
Coupable innocent, ça parle cash, de pour cent,
Oeil pour oeil, bouche pour dent, c'est stressant.
Très tôt, c'est déjà la famille dehors, la bande à Kader,
Va niquer ta mère, la merde au cul, ils parlent déjà de travers.
Pas facile de parler d'amour, travail à l'usine.
Les belles gazelles se brisent l'échine dans les cuisines.
Les élus ressassent rénovation ça rassure,
Mais c'est toujours la même merde, derrière la dernière couche
De peinture, feu les rêves gisent enterrés dans la cour.
A douze ans conduire, mourir, finir comme Tupac Shakur.
Mater les photos, majeur aujourd'hui, poto,
Pas mal d'amis se sont déjà tués en moto.
Une fois tu gagnes, mille fois tu perds, le futur c'est un loto.
Pour ce, je dédie mes textes en qualité d'ex-voto.
Mec, ici, t'es jugé à la réputation forte.
Manque toi et tous les jours les bougres pissent sur ta porte.
C'est le tarif minimum et gaffe:
Ceux qui pèsent transforment le secteur en oppidum.
Gelé, l'ambiance s'électrise, y'a plein de places assises,
Béton figé fait office de froide banquise.
Les gosses veulent sortir, les "non" tombent comme des massues,
Les artistes de mon cul pompent les subventions dsu.
Tant d'énergie perdue pour des préjugés indus,
Les décideurs financiers plein de merde dans la vue,
En attendant, les espoirs foirent, capotent, certains rappent.
Les pierres partent, les caisses volées dérapent.
C'est le bordel au lycée, dans les couloirs on ouvre les extincteurs.
Le quartier devient le terrain de chasse des inspecteurs
Le dos à un oeil car les eaux sont truffées d'écueils.
Recueille le blé, on joue aux dés dans un sombre cercueil.
C'est trop, les potos chient sur le profil Roméo,
Un tchoc de popo, faire les fils et un bon rodéo.
La vie est dure, si on veut un rêve,
Ils mettent du pneu dans le shit et te vendent ça Ramsellef.
Tu me diras "Ça va, c'est pas trop",
Mais pour du tcherno, un hamidou quand on n'a rien, c'est chaud.
Je sais de quoi je parle, moi, le bâtard,
J'ai dû fêter mes vingt ans avec trois bouteilles de Valstar.
Le spot bout ce soir qui est le King
D'entrée, les murs sont réservés comme des places de parking,
Mais qui peut comprendre la mène pleine
Qu'un type à bout frappe sec poussé par la haine.
Et qu'on ne naît pas programmé pour faire un foin,
Je pense pas à demain parce que demain, c'est loin.
9 minutes de bonheur, la seul vrai d'IAM
et puis shurik'n ça roxx moi que toi d'abord (na)
___________________ Lyon 4 m'a l'air d'humeur joyeuse , il a besoin d'une lyonaise de banque.
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chaudakh Hors Ligne Modérateur Passif depuis le 16/07/2024 Modération : Arts, Decks Grade : [Modo Forum] Inscrit le 11/10/2003 7037 Messages/ 0 Contributions/ 605 Pts | Envoyé par chaudakh le Samedi 02 Septembre 2006 à 16:49
Un bide énorme (quoique marrant quand même) :
pit et rik - la cicrane et la froumi
La fourmi veut pas donner son miam, miam
La fourmi veut pas donner son miam, miam
La fourmi n'est pas prêteuse
C'est une vieille embèteuse
Plutôt crever que donner un gramme
Gramme, Gramme, Gramme, Gramme
La fourmi veut pas donner son miam, miam
La fourmi veut pas donner son miam, miam
Ses parents avaient du pèze
Des troupeaux de puces en Corrèze
Une chaîne de fourmilières, du blé, des diams
Diam diam diam diam
{Parlé:}
A n'était ne fois p'tite froumi relasque
Por ne que n'avait ne stéréo fifi ne mini crasquette
Ne lave crécelle branque et ne frigerateur.
La cigale est dans le show Business Ness
Mais elle ne veut pas montrer ses fesses, fesses
Alors pour bouffer quand même
Elle va au buffet du MIDEM
Elle butine dans les cocktails à Cannes
Cannes, Cannes, Cannes, Cannes,
La fourmi veut pas donner son miam, miam
{Parlé:}
- GRINNING !
- Tiens, qui c'est qui grinng ?
- C'est ne cicrane superstar qui ne vient chercher ne froumi
Pour ne faire ne nemission navis de recherche à la télé.
C'est ne suppose que ne vient faire ne grosse bouffe ?
- Oh, juste ne petite bouffe coco
- Allez ne faire foute ne mythomiam !
- Ah ! mais c'est ne petasse ! ! !
La fourmi veut pas donner son miam, miam
La fourmi veut pas donner son miam, miam
La cigale se shoote au DDT, T
Are Krishna l'a récupérée, rée
Mais prier dans une secte,
Ça nourrit pas son insecte,
Je n'ai rien à manger c'est un drame
Drame, drame, drame, drame
La fourmi veut pas donner son miam, miam
{Parlé:}
- GRINNING !
- Tiens, qui c'est qui grinng ?
- Mamour, Mamour, c'est le bronze de Krishna
- Et que ne veut le va pieds nus ?
- Et ne vient changer le miam de l'esprit
Contre le miam du frigérateur
- Allez ne faire foute ne saltimbanque
- Ah ! Mais c'est neretique ! ! !
La fourmi veut pas donner son miam, miam
La fourmi veut pas donner son miam, miam
Moi, j'en ai ras les antennes
J'vais déglinguer La Fontaine
Ce macho qui n'aime pas les cicranes
Crane, crane, crane, crane
La fourmi veut pas donner son miam, miam
[ Dernière modification par chaudakh le 02 sep 2006 à 16h55 ]
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Manouel Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/03/2022 Grade : [Nomade] Inscrit le 15/06/2005 2869 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par Manouel le Samedi 02 Septembre 2006 à 20:02
X Japan - Week End
I hear a knock in the door
hageshiku semaru
ushinai-kaketa ishiki no naka de
omae ga sasayaku
oi-tsumerareta kokoro tokasu
nibuiro no shôzô
kiri-kizamareta kioku o utsushidasu
saki-midareta hateful black heart
kokoro ni semaru
togi-sumasareta transient feeling
hitonami no naka
hisuterikku ni zawameku kaze ni
tomaranai namida o
mune ni dakishime kodoku o irodoru
I've nothing to lose
Except your heart
tekubi o nagareru chi o omae no karada ni
karamitsukeru to isshun no uchi ni kômigaeru kioku ni shikai o
tozasare-warai-nagara nidete iku omae no sugata o
mitsumeru kizu-tsuita ore ga tatte iru
Week End
Week End Week End
Week End I'm at my wits end
I've nothing to lose
Except your heart
I hear a knock on the door
hageshiku semaru
ushinai-kaketa ishiki no naka de
omae ga sasayaku
tsumetai yubisaki no bashi
kizuguchi ni kuchi-zuke
akaku somatta kyôki o dakishimeru
kagami o mitsumenagara furueru karada ni
nagare-hajimeta tsuki-tôru chi o aojiroi omae no kokoro ni
karamase genkaku ni kiete yuku saigo no namida o
hiroi-atsumete chi no umi no madoromu
Week End
Week End Week End
Week End I'm at my wits end
Week End
I still love you
Week End
But I cannot carry on
tekubi o nagareru chi o omae no karada ni
karamitsukeru to isshun no uchi ni kômigaeru kioku ni shikai o
tozasare-warai-nagara nidete iku omae no sugata o
mitsumeru kizu-tsuita ore ga tatte iru
Week End
Week End Week End
Week End I'm at my wits end
Week End
Et une chanson sur le week-end, une....
[ Dernière modification par Manouel le 03 sep 2006 à 17h42 ]
___________________ - You exude pain. Your life is a patchwork of blackness, no time for joy...how do you cope with it?
- I have a Butler.
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Johannes Hors Ligne Membre Inactif depuis le 19/07/2016 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 08/04/2005 3544 Messages/ 0 Contributions/ 408 Pts | Envoyé par Johannes le Samedi 02 Septembre 2006 à 20:40
XJapan
Bon, voici le big coup de coeur de la journée :
Kill Your Own
On days away
When we almost killed our own
We found a way
To be distracted then absolved
And if I leave you would you smile?
And it's not up for discussion
So don't ask tonight
Don't waste your time and walk away
It was futile anyway
We watched the blood boil
We still smiled
I'd kept my eye on who
Should have been watching you
And yes, I meant to hurt you
And kick your insides into touch
And if I leave you would you smile?
And it's not up for discussion
So don't ask tonight
Don't waste your time and walk away
It was futile anyway
Don't think I wanted you to stay
Don't think that I want you to stay
C'est de Hundred reasons, ça ressemble un peu à Lost Prophets, c'est génial... et leur site est très joli.
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Jacki-et-sa-4L Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/08/2014 Grade : [Sortisan] Inscrit le 24/05/2006 123 Messages/ 0 Contributions/ 29 Pts | Envoyé par Jacki-et-sa-4L le Samedi 02 Septembre 2006 à 20:48
rammstein-otherworldGo now, if you want it
An otherworld awaits you
Don't you give up on it
You bite the hand that feeds you
All alone, cold fields you wander
Memories of it cloud your sight
Fills your dreams, disturbs your slumber
Lost your way -- a fallen knight
Hold now; aim is steady
An otherworld awaits you
One thousand years--you ready?
The otherworld it takes you
Go, go into the sand and the dust and the sky
Go now--no better plan than to do or to die
Free me, pray to the faith in the face of the light
Feed me, fill me with sin -- now get ready to fight
You know you will
You know you will
You know you know you know you know that you will
You know you know you know you know that you will
You know you will
Fight fight fight (x4)
Hope dies and you wander
The otherworld it makes you
Dreams they rip asunder
The otherworld it hates you
Free now -- ride up on it
Up to the heights it takes you
Go now if you want it
An otherworld awaits you
c'est la music du boos ff10 (c'est juste pour quoi vous voyez à quoi elle ressemble)
j'aime bien rammstein.
___________________ Lyon 4 m'a l'air d'humeur joyeuse , il a besoin d'une lyonaise de banque.
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jokerface Hors Ligne Membre Passif depuis le 03/07/2023 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 22/08/2003 4551 Messages/ 0 Contributions/ 7 Pts | Envoyé par jokerface le Samedi 02 Septembre 2006 à 20:53
aaaah que du bonheur ^^
One winged angel
{Refrain: x2}
Estuans interius
Ia vehementi
Estuans interius
Ia vehementi
Sephiroth
Sephiroth
Sors immanis
Et inanis
Sors immanis
Et inanis
{au Refrain}
Veni, veni, venias,
Ne me mori facias
Veni, veni, venias,
Ne me mori facias
{x2}
Veni, veni, venias, (Gloriosa)
Ne me mori facias (Generosa)
Veni, veni, venias, (Gloriosa)
Ne me mori facias (Generosa)
{x2}
Sephiroth
Sephiroth
J'ai que la version instrumentale Si quelqu'un l'a avec le choeur , qu'il me le fasse savoir svp!
[ Dernière modification par jokerface le 02 sep 2006 à 20h57 ]
___________________ Le 23/02/2017 à 16:10, David avait écrit ...
Mon papa me disait : "on n'écrase par les fourmis, fils"
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Jacki-et-sa-4L Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/08/2014 Grade : [Sortisan] Inscrit le 24/05/2006 123 Messages/ 0 Contributions/ 29 Pts | Envoyé par Jacki-et-sa-4L le Samedi 02 Septembre 2006 à 21:10
mouais, allez maintenant l'hymne des priants
Japonais
Ieyui
Nobomenu
Renmiri
Yojuyogo
Hasatekanae
Kutamae
Englais
Pray, saviour
Dream, Child of Prayer
Forever and ever
Bring us peace
[ Dernière modification par Jacki-et-sa-4L le 02 sep 2006 à 21h25 ]
___________________ Lyon 4 m'a l'air d'humeur joyeuse , il a besoin d'une lyonaise de banque.
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Jacki-et-sa-4L Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/08/2014 Grade : [Sortisan] Inscrit le 24/05/2006 123 Messages/ 0 Contributions/ 29 Pts | Envoyé par Jacki-et-sa-4L le Dimanche 03 Septembre 2006 à 13:29
rammstein-du hastDu...
Du hast...
Du hast mich...
Du...
Du hast...
Du hast mich...
Du...
Du hast...
Du hast mich...
Du...
Du hast...
Du hast mich...
Du...
Du hast...
Du hast mich...
Du hast mich...
Du hast mich gefragt...
Du hast mich gefragt...
Du hast mich gefragt und ich habe nichts gesagt.
Willst du, bis der Tod euch scheidet,
Treu ihr sein für alle Tage?
Nein!
Nein!
Willst du, bis der Tod euch scheidet,
Treu ihr sein für alle Tage?
Nein!
Nein!
Du...
Du hast...
Du hast mich...
Du...
Du hast...
Du hast mich...
Du...
Du hast...
Du hast mich...
Du hast mich...
Du hast mich gefragt...
Du hast mich gefragt...
Du hast mich gefragt und ich habe nichts gesagt.
Willst du, bis der Tod euch scheidet,
Treu ihr sein für alle Tage?
Nein!
Nein!
Willst du, bis zum Tod, der scheidet,
Sie lieben auch in schlechten Tagen?
Nein!
Nein!
Willst du, bis der Tod euch scheidet,
Treu ihr sein....?
Nein!
Nein!
rhaa je sais vraiment pas si quelqu'un l'a déja posté
___________________ Lyon 4 m'a l'air d'humeur joyeuse , il a besoin d'une lyonaise de banque.
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Manouel Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/03/2022 Grade : [Nomade] Inscrit le 15/06/2005 2869 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par Manouel le Dimanche 03 Septembre 2006 à 17:47
c'est la music du boos ff10 (c'est juste pour quoi vous voyez à quoi elle ressemble)
j'aime bien rammstein.
J'aimerai que mon pseudo ne soit pas cité dans sa signature par quelqu'un qui raconte de telles aneries....
Rammstein dans FF X..... C'est la deuxième fois que j'entends parler de cette rumeur, mais elle est totalement infondée....
Termine le jeu et regarde le générique de fin....
[ Dernière modification par Manouel le 03 sep 2006 à 18h31 ]
___________________ - You exude pain. Your life is a patchwork of blackness, no time for joy...how do you cope with it?
- I have a Butler.
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Gil-Galad Hors Ligne Membre Passif depuis le 01/09/2022 Grade : [Divinité] Inscrit le 25/12/2002 2471 Messages/ 0 Contributions/ 525 Pts | Envoyé par Gil-Galad le Dimanche 03 Septembre 2006 à 18:29
Waylon - Crème de la crème
Ha !
She lives all alone
With her daughter
Drinks gin and wine
Just like water
Makes my head turn
I'll get craaaaaaaazy
Name is Mary
I call her baaaaaaaaaby
She's the crème de la crème
Ho, maman
La crème de la crème
Crème de la crème
La ! La ! La !
Crème de la crème
Ha ! Ha ! Hou !
I wish she were here
Hot ! Hot ! Hot ! Hot ! Hot !
Blood
(Hot ! Hot ! Hot !)
Panties in black in my baby cart
She makes me sing
Do ré miiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
I lose my mind
Don't you feeeeeeeeel
She's the crème de la crème
Ho, maman
La crème de la crème
(Crème de la crème)
Crème de la crème
La ! La ! La ! La crème de la crème
(Crème de la crème)
Crème de la crèèèèèèèèèèèème
Crème de la crèèèèèèèèèèèèèème
Ha ! Hou !
I am a luck
Luck ! Luck ! Luck ! Luck ! Luck ! Luck ! (Luck ! Luck !)
Bring me the stuff
Stuff stuff stuff stuff stuff stuff stuff (Stuff ! Stuff!)
Please touch my striiings
Just fliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing
Get me your wings, your wings
Wi-wi-wi-wiiiiiiiiiiiiiiiiiiiings
Crème de la crème
Ho, maman
La crème de la crème
(Crème de la crème)
Crème de la crème
La ! La ! La ! La crème de la crème
(Crème de la crème de la crème)
Crèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèème
Crèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèème
Crème de la crème (Crèèème)
Crème de la crèèèèèème (Crèèèème)
Crèèèèèèèèèème (Crèèèème)
Crèèèèèèèèèèèèème (Crèèème)
Crème de la crème (Crèèèèèème)
Crème de la crème....
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Jacki-et-sa-4L Hors Ligne Membre Inactif depuis le 28/08/2014 Grade : [Sortisan] Inscrit le 24/05/2006 123 Messages/ 0 Contributions/ 29 Pts | Envoyé par Jacki-et-sa-4L le Dimanche 03 Septembre 2006 à 21:51
J'aimerai que mon pseudo ne soit pas cité dans sa signature par quelqu'un qui raconte de telles aneries....
Rammstein dans FF X..... C'est la deuxième fois que j'entends parler de cette rumeur, mais elle est totalement infondée....
Termine le jeu et regarde le générique de fin....
TERMINE LE JEU? AH
QUE... GNARHH! me dire ça à moi qui . y..ai joué plus de 200 heures, qui le connait par coeur! tant pis si ma remarque était fausse (ça ressemble quand même)
je t'interdit!
...
bon je reviendrai
___________________ Lyon 4 m'a l'air d'humeur joyeuse , il a besoin d'une lyonaise de banque.
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Borislehachoire Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/01/2021 Grade : [Nomade] Inscrit le 27/08/2004 2283 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par Borislehachoire le Dimanche 03 Septembre 2006 à 23:50
Les dingues et les paumés jouent avec leurs manies.
Dans leurs chambres blindées, leurs fleurs sont carnivores
Et quand leurs monstres crient trop près de la sortie,
Ils accouchent des scorpions et pleurent des mandragores
Et leurs aéroports se transforment en bunkers,
À quatre heures du matin derrière un téléphone.
Quand leurs voix qui s'appellent se changent en revolvers
Et s'invitent à calter en se gueulant "come on !"
Les dingues et les paumés se cherchent sous la pluie
Et se font boire le sang de leurs visions perdues
Et dans leurs yeux-mescal masquant leur nostalgie.
Ils voient se dérouler la fin d'une inconnue.
Ils voient des rois-fantômes sur des flippers en ruine,
Crachant l'amour-folie de leurs nuits-métropoles.
Ils croient voir venir Dieu ils relisent Hölderlin
Et retombent dans leurs bras glacés de baby-doll.
Les dingues et les paumés se traînent chez les Borgia
Suivis d'un vieil écho jouant du rock 'n' roll
Puis s'enfoncent comme des rats dans leurs banlieues by night,
Essayant d'accrocher un regard à leur khôl
Et lorsque leurs tumbas jouent à guichet fermé,
Ils tournent dans un cachot avec la gueule en moins
Et sont comme les joueurs courant décapités
Ramasser leurs jetons chez les dealers du coin.
Les dingues et les paumés s'arrachent leur placenta
Et se greffent un pavé à la place du cerveau
Puis s'offrent des mygales au bout d'un bazooka
En se faisant danser jusqu'au dernier mambo.
Ce sont des loups frileux au bras d'une autre mort,
Piétinant dans la boue les dernières fleurs du mal.
Ils ont cru s'enivrer des chants de Maldoror
Et maintenant, ils s'écroulent dans leur ombre animale.
Les dingues et les paumés sacrifient Don Quichotte
Sur l'hôtel enfumé de leurs fibres nerveuses
Puis ils disent à leur reine en riant du boycott :
"La solitude n'est plus une maladie honteuse.
Reprends tes walkyries pour tes valseurs maso.
Mon cheval écorché m'appelle au fond d'un bar
Et cet ange qui me gueule : "viens chez moi, mon salaud"
M'invite à faire danser l'aiguille de mon radar."
Boris, qui se prend dans ses bras, qui se parle tout bas...
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