Krishaor Hors Ligne Membre Inactif depuis le 31/05/2009 Grade : [Nomade] Inscrit le 01/05/2003 783 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par Krishaor le Samedi 10 Juin 2006 à 13:16
Conflit de place
Frère Tadushi marcha le long des remparts de la forteresse jusque là imprenable des Emperor’s Dragons. Le soleil du système Sanouïen tapait fort(virgule) et son armure rouge-ocre(« rouge ocre ») et bleu foncé renvoyait des rayons précis(adjectif impropre, semble-t-il) sur les touffes de buissons en avant-garde devant la forteresse(très lourd, ponctue ou reformule). Le Maître de chapitre alla (un imparfait conviendrait mieux. Le verbe aller me dérange, mais après tout…) vars (« vers ») les marches descendantes (étoffe, « marche descendantes » est un peu trop lourd) quand on le retint. C’était Fatsuke, l’archiviste le plus expérimenté de tout le secteur oriental de l’Imperium. Sa voix grosse et lourde (on peut avoir une grosse voix, mais une voix lourde ? À vérifier) se fit entendre quand il ouvrit gravement la bouche (« avec gravité », mais cette phrase reste surfaite):
« Mon frère, ils ne devraient plus tarder, selon les informations des scoutes postés en espionnage qui viennent de rentrer (très lourd, reformule).
-Très bien, frère Fatsuke. Nous serons prêts à temps. »
Comme le chapitre (je doute qu’un agrégé de Français sache ce que peut être un chapitre à Warhammer…) des Emperor’s Dragons était fort bien pourvu en armes lourdes, il fallait (syntaxe ???) les préparer plus minutieusement que s’il s’était agi de bolters(évite les anglicismes, c’est rageant). Les deux space-marines se saluèrent du salut impérial (cacophonie « saluèrent, salut », mais tolérable) (« Que l’empereur te garde, mon frère. ») et Tadushi descendit vers la première tourelle lourde de la forteresse. Les deux marines postés là étaient debout, car être en position de non-combat(néologisme inutile) pendant que les ennemis de l’empereur respiraient encore était un pêché(« péché ») abominable ! Leurs heaumes étaient posés sur une caisse de munitions (virgule) et leurs têtes produisaient assez d’eau pour nettoyer le grand Dragonic en personne. La transpiration s’accumulait dans leurs cheveux noirs, alors que leur peau jaunie par naissance (je doute que « par naissance » soit correct, à vérifier) luttait contre l’inondation. Ce n’est qu’en voyant les frères Tifesu et Dotuge dans leur combat contre la chaleur que Tadushi réalisa la chaleur (répétition) infernale qui régnait là (virgule) et communiqua le premier ordre de ce qui serait sans doute une énorme bataille :
« Mes frères, préparez ce saint canon laser, une bataille approche. » Les spaces-marines hochèrent la tête du maximum (« autant qu’ils le pouvaient » ou équivalent, inutile d’employer des expressions incongrues) qu’ils le pouvaient et commencèrent à charger l’arme. Le Seigneur des Emperor’s Dragons continua sa marche et donna le même ordre à tous les servants d’arme lourde de la forteresse, couvrant ainsi les faces Nord et Ouest de lignes de vue dévastatrices, La forteresse étant encastrée fans (dans ?) le flanc d’une montagne sur les côtés Est et Sud. En tout, une centaine de tourelles étaient prêtes. Des canons laser, des bolters lourds et des lance-missiles pour la plupart, mais à certains endroits se trouvaient des lance-plasma lourds. Il descendit ensuite dans le hangar-monastère et demanda à se (ce) que l’on prépare les dix dreadnought sacrés. Les monstres de fer étaient prêts en une heure à peine et les derniers space-marines – quelques centaines – se placèrent dans la cour, en attente de l’attaque Xenos. Tous se mirent à réciter les prières de dévotion envers l’Empereur (virgule) dans une langue qui était, selon les archiviste, originaire des ‘’Asiatiques’’ (comme on les appelait à l’époque) de Terra.
Soudain, dans la forêt se trouvant à l’ouest, un space-marine détecta un mouvement furtif,(point) rien de détectable à l’œil nu, mais son œil n’était pas nu(soit, licence poétique dira-t-on), il avait (un œil n’a pas de lentille, il en porte, ou en est doté) des lentilles grossissantes comme des jumelles qu’il pouvait activer grâce à sa pensée, car elle était connectée(« elles étaient connectées ») à son cerveau surdéveloppé(dans son ensemble, cette phrase est lourde). L’alerte fur (fut) aussitôt donnée et quelques bolters lourds firent feu sur la forêt. Beaucoup d’arbres tombèrent, ce qui effraya la faune locale. De petites bêtes brunes se mirent à courir devant la forteresse, des oiseaux bleus majestueux couvrirent le ciel, pendant que des chars antigravs jaunes arrivaient lentement, survolant les collines les ayant jusque là cachés. Certains étaient juchés (non, « étaient dotés » ou équivalent, voir « jucher » dans un dictionnaire) d’énormes canons qui tiraient d’une (« avec une ») précision étonnante, détruisant les tourelles les une("unes") après les autres. Le portail de la forteresse s’ouvrit et une marée de surhommes en sortit.
La bataille avait commencé.
Les space-marines, bien que moins nombreux, avaient l’avantage et le soutien des défenses de la forteresse. Les Taus avaient des armes bien étranges, répliques miniatures du canon utilisé par le char contre la forteresse auparavant. Les armures imposantes des humains étaient beaucoup moins efficaces contre de telles armes perforantes. Des Taus plus grands, plus volumineux et équipés d’énormes canons linéaires restaient derrière les collines et déversaient une pluie dévastatrice sur les Emperor’s dragons. D’étranges monstres à museau ressemblant à un bec s’élançaient vers les rangs humains, alors que le reste de l’armée continuait à tirer. A(je rappelle que, contrairement à ce que des générations d’ignares ont pu vous dire, il faut mettre des accents sur TOUTES les majuscules)certains moments, on pouvait entendre des bourdonnements, ce qui annonçait des tirs depuis l’arrière du front de bataille(reformule, c'est maladroit). En effet, les vespides étaient d’autres alliés des taus, partageant leur équipement avec ses (ces) derniers.
Dans la forêt en partie dévastée, une escouade de scouts avançait, à l’abri des tirs, cherchant un emplacement idéal pour leurs snipers, ce qu’ils trouvèrent vite. Malheuresement(malheureusement), des Kroots les détectèrent vite et leur lancèrent l’attaque(« lancer l’attaque » n’appelle pas de complément d’objet direct). Les dreadnoughts ne craignaiet(craignaient) point les tirs nourris des Xenos et leurs armes variées – lance-missile, lance-flamme lourd, canon d’assaut ou canon lasers jumelés – (et)faisaient énormément de dégats(dégâts) avant qu’ils ne chargent les porteurs d’armures jaunes, les écorchant, déchiquetant ou piétinant comme bon leur semblait. De temps à autres(autre), un Char antigrav s’intéressait à un dreadnought pour lui assener un coup de railgun, ce qui faisait bien(pourquoi « bien » ?) exploser le marcheur, libérant ainsi l’âme qui y était emprisonnée. La situation allait de plus en plus mal pour les space-marines. Tadushi craignait le pire, craignait(répétition !!!!) une expansion de l’empire de mensonges taus sur l’Imperium. Il pria et entendit un bourdonnement. Il en chercha la source et la trouva derrière lui ; toute une escouade de frelons vespides s’était glissée derrière lui et ses hommes. Il prit son pistolet bolter et en vida le chargeur sur la tête d’un Xenos, ce qui le tua. Le reste de l’escouade humaine s’était occupée(« occupé »,le participe passé d’une verbe pronominal s’accorde uniquement si la chose sur lequel le verbe agi (ce n’est pas forcément un COD, comme ici, et c’est pour cela que j’emploie le mot « chose ») se trouve avant ce participe passé) des autres vespides avec leurs bolters, plus performants que le pistolet du seigneur. Si l’empereur avait entendu sa prière, il devait le faire voir, et tout de suite !
Tant la situation allait mal (impropre, « la situation allait si mal, que… »), les space-marines durent effectuer un repli stratégique dans la forteresse. Là, Fatsuke arriva et annonça, de sa voix grave :
« Je sens une menace. Ce ne peut être ces taus, car ils n’ont jamais touché au Warp. Non, elle est brutale, grande,… »
Il ne put finir sa phrase, car un commandork était surgi(avait surgi) de derrière une grosse caisse et lui avait coupé la tête. Tadushi le tua d’un tir et comprit qu’il tait(« était ») perdu, la mâchoire du destin refermée sur la forteresse(verbe ?). Il appela tous les frères space-marines présents et qu’une dizaine vint [b][i](non sens), le reste ayant été abattu par la marée d’orks entrée par le haut, sautant du haut de la montagne, coté Est et abattant simplement les surhumains par effet de surprise(c'est juste très mal écrit. Il y a trop de participes présent)…
« Ecoutez moi. Nous sommes perdus si nous ne pensons pas à la protection de l’empereur. » Il ne le pensait pas, mais ne pas le dire aurait été hérétique. « Si nous restons groupés, nous pourront les battre, autant qu’ils soient ! »(« aussi nombreux soient-ils » ou équivalent)Puis, ils entendirent un lointain « Whhhhhaaaaaaaaaaaaaggggggggggggghhh !!!!!!!!!!! »(onomatopée ridicule et trop longue) rugissant et sortirent dans la cour intérieure. Ils ne virent rien, leurs corps étant troués sur chaque centimètre carré par les armes seuvages(sauvages) des milliers d’Orks s’étant introduits dans la forteresse. Le portail principal explosa et quelques Taus en exo-armures entrèrent. Parmis(parmi) eux, le commandeur Dir’O’Den’Va, grand héro pour le sept Tau, sans se douter(syntaxe, sens ?) que les nobles space-marines qu’il croyait alors combattre avaient été remplacés par une ignoble marrée de chair verte prête à tout casser (très gauche !)pour se battre.
Quelques heures après le début de la bataille ork-tau, une barge lâcha (laissa) tomber une capsule dans l’atmosphère de Samou II. Quand elle atterrit(« eût atterri ») sur un char devilfish, causant une énorme explosion sans une égratignure(ça ne veut rien dire…), une grande éscouade(« escouade) de terminators du renommé chapitre(« chapitre renommé ») des ultramarines en sortit, rétablissant l’éspoir(« espoir ») du côté de l’Imprium, trop tard.
Du reste, la rédaction d'un sujet d'invention (mais quelle horreur...) serait peut-être le moment de montrer un minimum d'intérêt pour la littérature... 3615 je montre qu'en dehors de la télé et des jeux, je ne connais rien, ça fait très mauvaise impression sur un prof.
Krishaor, ben oui.
[ Dernière modification par Krishaor le 10 jun 2006 à 13h56 ]
___________________ C’est l’apanage de tout système totalitaire que de geler les débats, de faire croire que les questionnements sont clos et de dire que le pouvoir a toujours raison, en se justifiant (entre autres) par la nécessité de maintenir l’ordre.
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