Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mardi 24 Mai 2005 à 08:46 J'ai écrit cette petite nouvelle derniérement et j'avait envie de la partager avec d'autre personne, principalement sur le net alors je me suis dis qu'ici ce serait le mieux :
Jeu de réalité en ligne Il était déjà tard, les forums de discutions, d’ordinaires surchargés d’internautes avides de communication, étaient déserts. Les I.A administrateurs, unités de programmes chargées de débarrasser les salons de personnes tenant des propos insultants ou racistes, étaient tous en veille. Un canal s’éclaira soudain, presque jamais vu à une heure aussi avancée de la nuit. En quelques instants, le nouveau venu, Paco, ouvrit un salon de discussions. Il fut rejoint par son ami quelques minutes plus tard ; la conversation s’engagea : « Bien ! Nous revoilà réunis ! Engagea Paco, j’en suis à 10, et toi ? » « 9, lui répondit son interlocuteur, il semblerait, mon ami, que tu mènes pour l’instant. » « Pas de défaitisme, tu peux encore te rattraper. Sur ce, rendez-vous dans un mois à la même heure comme d’habitude ! » « Très bien, au mois prochain. » Le canal s’éteignit et reprit son calme binaire. » Le réveil sonna. Ouvrant difficilement un œil, collé par un sommeil lourd, Eric retira finalement les draps qui l’enveloppaient, s’assit sur son lit et s’essuya les yeux comme il avait coutume de faire. Le point qu’il faisait chaque matin en exécutant ce rituel était rapide : il se nommait Eric Méteigné, il avait quinze ans, il avait deux parents qui s’aimaient, une petite sœur pas trop chiante, des amis, des boutons, mais pas trop afin de laisser transparaître son regard de braise, celui qui faisait tomber toutes les filles, du moins normalement. Bref tout allait pour le mieux dans sa vie d’adolescent. Il ne fallait pas oublier, non plus, qu’il était lycéen, il répondait à l’appel tous les jours dans sa classe de Première STT au Lycée de Reswel de sa petite commune : Toulouse. Après ce bref résumé de sa situation, il saisit son courage et se leva sur ses jambes, encore affaiblies par l’inactivité de la nuit. Tout en laissant le temps à son ordinateur de s’allumer, il ouvrit les rideaux, illuminant sa chambre d’une douce chaleur, à peine sept heures et déjà une belle journée apparente, on était bel et bien en été. Il lança le chargement de sa messagerie internet puis, le temps que cela finisse de charger, alla se préparer un café afin de préparer l’activité de la journée. Tout le monde dormait dans la maison à part lui. Son père s’occupait du foyer et sa mère travaillait de nuit dans un hôpital, quand à sa sœur, elle était en primaire et ne se levait, ainsi, pas avant huit heure. La tasse à la main, légèrement sucrée, la cuillère tintant sur les bords, il commença à consulter ses mails. Comme d’habitude, la plupart d’entre eux n’étaient autres que des virus que des petits malins trouvaient amusant d’envoyer à la chaîne. Parmi ce fouillis de chairs à corbeilles il parvint à distinguer le message de son ami de classe François. Cela lui faisait plaisir sachant qu’il lui avait demandé, la veille, de lui faire parvenir une musique via le réseau mondial. « Comme prévu je t’envoie la musique vielle branche ! Fais attention de ne pas assourdir tes vieux avec ça ! Allez ! À tout à l’heure ! -François » Il écouta posément la musique avec ses écouteurs, c’était celle qu’il lui avait demandée, elle était particulièrement belle à ses oreilles. Il la repassa encore deux ou trois fois tout en buvant sa dose de caféine matinale quand l’heure de se rendre au bahut sonna. Brièvement il engouffra ce qui restait de café et coupa son ordinateur. Le lycée n’avait jamais été une véritable passion pour Eric mais, par chance, il avait pris l’itinéraire le plus tranquille, celui de la STT. Il avait, ainsi, pas mal d’heures de repos où il pouvait rejoindre ses amis. Il retrouva François, aux abords de la cafétéria, là où ils parlaient le matin avant le début des cours. Ce matin, étrangement, il lui parut agité, il ne cessa de dire qu’il venait de trouver, sur internet, une personne capable de prédire l’avenir et, principalement, la mort, une personne nommée « Icarus ». Mais Eric n’avait jamais été dupe, tous ce qui concernait les prédictions, précognitions et autres manipulations en « tion » visant à voir l’avenir n’avaient jamais déclenché chez lui autre chose que des doutes et des sarcasmes . Il usa d’ailleurs de ces armes verbales pour convaincre son camarade que tout ceci n’était que fabulations inventées par un idiot du même cru que ceux envoyant les virus de l’aube, en bref et résumé, un charlatan à ne pas écouter. La journée sa passa comme d’habitude, une écoute entre deux eaux en somnolant légèrement pendant les cours, il préférait garder son attention pour le moment où il discuterait avec ses potes à la cafétéria. Ce qui se passa quelques heures plus tard, pendant un creux d’apprentissage de deux heures. Ils jouèrent à la belote et se racontèrent des blagues. Ses amis, comme lui, aimaient l’humour, ils ne descendaient jamais personne sous prétexte qu’une de ses blagues n’était pas drôle, même si c’était le cas, ils riaient quand même du bide de cette blague, en gros quoi qu’il arrivat ils riaient sans retenus. Le lendemain, en retrouvant à nouveau son ami de classe à l’endroit convenu, il le vit dans un piteux état, les cernes sous ses yeux dévoilaient un manque flagrant de sommeil, il avait l’œil hagard faisant ressortir une pâle tristesse avec un brin de fatalisme, quelque chose ne tournait pas rond, il n’avait jamais vu François comme ça. Le porteur de mauvaises nouvelles du net avait, semble-t-il, encore frappé, mais bien plus haut ce coup-ci. François lui apprit que, non-content de lui donner l’avenir, il venait de lui donner le moment de sa mort, et que celle-ci était imminente. François n’en dormait plus depuis cette nouvelle, il refusait de dire quand à son ami, par amitié ou par peur. Mais Eric se refusait à tout jugement hâtif, il tenta de convaincre son collègue d’oublier cette histoire et ce menteur de la toile, de continuer sa vie normalement. Bientôt, lui disait-il, il en rirait d’avoir cru à de telles sornettes. Les jours qui suivirent, François ne se présenta pas au lycée, son absence était suspecte, elle inquiétait Eric qui craignait que son ami, de peur de mourir d’un accident, se soit donné la mort. La semaine se passa terriblement lentement, marquant toujours le manque flagrant de la présence de François, ce qui tourmentait véritablement Eric. Il finit par appeler chez lui pour demander des nouvelles. Peut-être avait-il fait une fugue ou bien était-il simplement hospitalisé pour un membre cassé, voire faisait-il une petite dépression ? La mère, la voix à peine audible, répondit. A l’écoute d’Eric qui réclamait un compte rendu de l’état de son ami, elle sembla exploser, hurlant au téléphone que François était mort. Quelque chose se brisa en lui, laissant tomber le téléphone à cette annonce, il ne pouvait plus parvenir à prononcer le moindre mot, ainsi ce fameux Icarus avait raison, il pouvait bel et bien prédire l’avenir et le jour de sa mort. Par la suite du décès de son camarade, Eric tenta de rendre une visite aux parents de François pour connaître la cause du décès, mais il ne reçut que du mépris pour tout motif. Par la suite, il ne quitta plus sa chambre, cloîtré devant son ordinateur, il chercha sans relâche sur les divers moteur de recherche, les forums, les chats, etc. le moindre rapprochement pouvant être fait sur cet Icarus. Partout où il passait il laissait un message de demande à son propos, son objectif, connaître cette pythie des temps modernes. Les semaines passèrent, encore et toujours, ses notes dégringolèrent, dû à son absentéisme d’un jour sur deux, il devint asocial, ses anciens amis le fuirent mais, de son coté, il poursuivait son objectif : trouver Icarus. Endormit devant son ordinateur, la tête en arrière, une tasse de thé posée sur le rebord, il rêvait que François lui faisait parvenir le mail d’Icarus et que ce dernier lui prédisait une mort très lointaine. Soudain une icône de conversation s’alluma sur son écran. Il sursauta à l’entente du son de l’ouverture de cette fenêtre, mais ce ne fut rien à coté de l’étonnement de voir écrit dans cette fenêtre : « Icarus : Bonjour à toi ! » Il venait de passer plusieurs semaines à chercher le devin, arpentant toute la toile à la recherche d’indices et c’était lui qui se présentait comme s’il l’avait toujours su, mais qu’il attendait le bon moment. Il attrapa son clavier répondit immédiatement à ce message : « Tu es le vrai Icarus ? Celui qui prédit l’avenir ? » « L’avenir ? Non, moi je prédis la mort. Au fait, condoléances pour ton ami… » « Pourrais-tu me dire comment tu fais pour prédire la mort ? » « C’est assez compliqué, pour faire simple j’utilise un système de cryptage que j’ai nommé « Hélios » qui me permet de déchiffrer astralement le temps de vie de chacun par rapport à ses gènes, à son signe astral et bien d’autres critères. » « Pouvez-vous me donner le temps qu’il me reste à vivre ? » « Ne pas tant se hâter jeune homme… Hélios met du temps à calculer ces choses-là, je vais récolter les informations qui me sont nécessaires sur ton cas et les intégrer à Hélios, je te recontacterai d’ici peu… » La fenêtre disparut, Icarus venait de quitter les ondes. Soulagé par la résolution fructueuse de ses recherches, Eric s’écroula sur son lit et s’endormit d’un sommeil serein. Les jours qui suivirent passèrent plus rapidement, désormais au bout de la mission qu’il s’était fixée, Eric était excité à l’idée de savoir quand est-ce que ses yeux se fermeraient pour la dernière fois mais il n’était pas inquiet, il ne fumait pas, il ne buvait pas, pourquoi mourrait-il jeune ? La réponse d’Icarus ne tarda pas très longtemps, le Samedi de cette même semaine, alors qu’il discutait avec des connaissances des dom-toms sur internet, une fenêtre s’ouvrit, la même que celle qui avait interrompu sa sieste de la dernière fois : « Bonjour à toi ! Ecrivait Icarus. » Impatient de connaître le résultat, il quitta toute ses autres conversations pour se concentrer sur la révélation qu’il attendait depuis une semaine, « As-tu réussi à déchiffrer le jour de ma mort ? » « Oui, répondit-il, et j’ai bien peur que les résultat ne soient guère brillants … » Le sang du jeune garçon se glaça, mais il devait être fort, et connaître la vérité, « Je suis prêt, dis moi… » Même derrière un écran, sans entendre les paroles et sans voir son expression, la voix exprimée par ces lettres qui défilaient semblait être grave, « Tu mourras, la prochaine fois que tu t’endormiras … » Ce fut un choc qui secoua le cœur de l’adolescent, il ne put bouger un doigt pour répondre ne serait-ce qu’un « merci » à celui qui venait de lui donner la vérité, « Je suis désolé, répondit Icarus qui avait, semble-t-il, compris ce qu’il ressentait, je te laisse, adieu… » La fenêtre disparut, le vide de son écran semblait soudain terriblement triste au yeux d’Eric, comme une couche de fatalité, le net lui avait apporté beaucoup de choses, des amis, des rires, de la joie, mais c’en était fini. Le net venait de lui apporter la dernière chose qu’il voulait, la vérité et s’était tut. Malgré la confiance aveugle dont faisait part Eric à Icarus, il se disait que s’il devait mourir lors de son prochain repos, il pourrait certainement faire reculer l’échéance en restant éveillé. Les jours qui suivirent s’écoulèrent comme autant de petites victoires de l’homme sur l’adversité, Eric se refusait à dormir, sans que ses parents s’en rendent compte, il passait ses nuits à faire ses devoirs ou à circuler dans son ordinateur, toujours une tasse de café à la main, le cœur de plus en plus palpitant de cet excès d’efforts qu’on lui réclamé soudain. Mais ses professeurs étaient contents, tout à coup Eric était bien plus attentif, il ne dormait plus en cours, au contraire il suivait admirablement et répondait le plus souvent aux questions, bien que sa mine et sa voix semblaient étranges, comme extrêmement fatiguées, de plus ses devoirs étaient toujours faits. Dans ce régime de grève du sommeil, Eric venait déjà de tenir une semaine, les cernes qui se dessinaient sous ses yeux commençaient à creuser sa peau de plus en plus profondément dans son épiderme. Ses yeux devenait peu à peu écarlates de rester trop longtemps ouverts, sa bouche, pâteuse, recevait constamment des relents acides de son estomac qui se plaignait de ne pouvoir digérer dans le calme du sommeil, quand à son cœur, il se manifestait fortement, faisant rebondir son torse avec violence. Le neuvième jour après son dernier repos, une nuit sans lune, Eric commençait à ne plus ressentir les effets du café qu’il avait pris il y a quelques heures, il sortit de sa chambre pour s’en préparer un. Sa mère le surprit dans la cuisine, ce soir elle était de repos et, ne pouvant dormir par habitude, elle restait devant la télé, à coté de la cuisine. Eric se justifia en prétextant qu’il avait soif, mais il ne put se préparer le café souhaité. « Faute de grive… » il se prit ainsi un coca, qu’il pensait suffisamment teneur en caféine pour le maintenir éveillé cette nuit. Mais à peine une demi-heure après l’avoir bu, il commençait déjà à sentir le sommeil qui gagnait en lui, il fallait à tout prix qu’il reste éveillé. Mais, en pianotant sur son ordi, il piqua du nez soudainement, se rendant compte d’un coup, il sursauta, effrayé comme s’il venait de voir la mort en face. De ce sursaut il bascula sur le coté, entraînant son clavier et l’unité centrale de son ordinateur posée sur son bureau, qui alla s’écraser sur le sol, dans un bruit assourdissant, laissant ressortir un fumée opaque, l’ordinateur était hors d’état, Eric ne savait plus quoi faire, bien plus que ses devoirs il avait terminé complètement tous les livres qui étaient enseignés dans sa section. Cherchant la moindre chose qui pourrait le faire rester éveillé, il prit un morceau de papier, un stylo, s’assit sur son lit, et commença à écrire la moindre chose qui lui passerait par la tête, tout et n’importe quoi. Un poème surréaliste se dessinait ainsi sur sa feuille tandis que, peu à peu, le sommeil et, peut être, la mort, l’emportait vers les draps de son lit. Il tenu une dizaine de minutes puis, ivre de fatigue, il tomba telle une masse, endormi sur son lit… qui devint son tombeau. Eric ne se réveilla jamais, tout comme son ami François, les médecins diagnostiquèrent un décès par excès de nuits blanches entraînant une usure rapide du cœur qui se relâcha pendant son dernier sommeil. Il était tard, comme d’habitude à une heure aussi avancée, personne ne se trouvait sur les forums. Les I.A administrateur étaient éteintes. Un calme tranquille régnait sur ce petit monde de discussion. Soudain un canal s’éclaira, un nouveau venu, Paco, ouvrit un salon de discussion, attendant visiblement quelqu’un qui ne tarda pas à se connecter à son tour. Rapidement la conversation entre Paco et son ami, Icarus, démarra : « Bien ! Nous revoilà réunis ! commença Paco, j’en suis désormais à 11, et toi ? » « 11 aussi cher rivale, j’en ai eu deux ce mois-ci, il semblerait que j’ai égalisé. » « Effectivement, bien joué. Tu as bien vérifié qu’il ne s’agissait pas de suicide ? » « Absolument, ils sont bel et bien morts tous deux d’un manque de sommeil. J’ai vérifié l’expertise du médecin après leur décès. » « Dans ce cas je te fait confiance, rendez-vous dans un mois, à la même heure, comme d’habitude ! » « Très bien, au mois prochain. » Le canal s’éteignit et reprit son calme binaire.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 26/07/2006 Grade : [Sorcier] Inscrit le 24/11/2002 | Envoyé par Plume le Mardi 24 Mai 2005 à 09:01 Très sympa, mais ce qui me chagrine un peu c'est que tu parles trop de choses sans rapport à l'intrigue, ça casse un peu l'ambiance macabre et oppressante qui (à mon humble avis) devrait prédominer dans ce genre de nouvelle..
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mardi 24 Mai 2005 à 09:44 Je penses que tu parles surtout du début avec le réveil non? En fait c'est surtout pour faire démarrer avec un effet créscendo, pour que le lécteur oubli le premier paragraphe qui est la clé pour mieux le retrouver à la fin
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 19/09/2012 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 28/12/2004 | Envoyé par kamikazeur le Mardi 24 Mai 2005 à 11:16 cool ! ca fait peur ...
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 03/03/2012 Grade : [Druide] Inscrit le 05/07/2003 | Envoyé par Syndelfeniks le Mardi 24 Mai 2005 à 13:44 super !
idée très bonne, assez bien écrit, mais l'ambiance n'est pas assez oppressante à mon goût, il faudrait peut-être plsu de détail vers la fin de l'hisoitre ( et d'Eric), mais ce n'est que mon avis. tu as écrit ca en combien de temps ?
___________________ fire-dusk.com : venez voir notre site de jonglage de feu !!!!
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 21/02/2008 Grade : [Nomade] Inscrit le 01/04/2004 | Envoyé par grosch le Mardi 24 Mai 2005 à 16:39 Ouah vraiment bien. Tu a vraiment des talents pour écrire. Si tu sort un livre un jour , viens faire de la pub sur le forum c
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 05/10/2007 Grade : [Druide] Inscrit le 07/04/2003 | Envoyé par rambo59310 le Mardi 24 Mai 2005 à 16:56 Vraiment cool cette histoire...
Félicitation...
___________________ Pour cause d'étude , je ne pourrai plus beaucoup être sur MC pendant un moment (deux ans ou trois...)
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mardi 24 Mai 2005 à 17:17 Merci beaucoup de vos encouragement ça fait plaisir
J'ai pensé à l'idée un soir comme ça un soir, et je l'ai écrit en deux jours mais avec des espaces, donc à peu prés 8 heure d'écriture gand maximum si on compte la correction _________________ [ Edité par Mimura Le 24 mai 2005 ]
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 08/08/2010 Grade : [Sortisan] Inscrit le 06/11/2003 | Envoyé par morgal le Mardi 24 Mai 2005 à 18:33 chapeau bas
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 15/02/2007 Grade : [Nomade] Inscrit le 31/03/2005 | Envoyé par enzos le Mardi 24 Mai 2005 à 19:44 super,
___________________ Vive les samourais dans le block kamigawa
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 19/07/2016 Grade : [Modo Forum] Inscrit le 08/04/2005 | Envoyé par Johannes le Mardi 24 Mai 2005 à 21:05 Pas assez "rythmé", un peu trop prévisible, mais tu as le potentiel d'un vrai auteur de nouvelles. Très bien pour un début, chapeau
J'ai adoré la phrase "Il craignait que son ami, de peur de mourir d'un accident, se soit donné la mort." LOL !!!!!!!!!! Continue, tu es un futur Fredric Brown
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 02/12/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 18/12/2003 | Envoyé par FireDragon le Mardi 24 Mai 2005 à 21:09 Génial l'histoire ,franchement fallait y penser,bien joué Mimura.
___________________ Il ne veut pas d'armes.
- Peut-être déteste-t-il la technologie ? - Peut-être apprécie-t-il la nature ? - Peut-être est-il simplement stupide ? |
Hors Ligne Membre Inactif depuis le 30/06/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 24/05/2005 | Envoyé par macfraiser le Mardi 24 Mai 2005 à 21:50 chapeau mais l'c'est long(faudrait une image)lol je blague
___________________ salut sa farte?
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 03/05/2013 Grade : [Nomade] Inscrit le 25/10/2004 | Envoyé par Dawks le Mardi 24 Mai 2005 à 21:58 Étant une personne friande de ce genre de nouvelle, je te félicite.
C'est purement génial. C'est vrai que lorsque l'on sait que ce n'es qu'un jeu "mortel", il faut reconnaitre que ca devient purement exellent... Franchement, tu as de l'avenir... Si jamais tu ne sait pas quoi faire, écrit, tu trouveras au moins une personne pour te lire. Encore bravo.
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Hors Ligne Membre Inactif depuis le 17/11/2008 Grade : [Divinité] Inscrit le 22/11/2003 | Envoyé par Mimura le Mardi 24 Mai 2005 à 22:41 Hé hé Dawks, ben justement, c'est quand je m'emmerde que j'écrit, ça tombe bien je suis en stage en ce moment et le Lundi y'a vraiment rien à faire de la journée...
Ben ce que je voulait dire c'est le fait c'est du fait qu'il ai peur de mourir d'une morte violente qu'il ai préféré se suicider, même si c'est vrai qu'écrit ainsi ça fait bizare
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