lex Hors Ligne Membre Inactif depuis le 27/03/2005 Grade : [Nomade] Inscrit le 09/05/2004 110 Messages/ 0 Contributions/ 0 Pts | Envoyé par lex le Samedi 10 Juillet 2004 à 23:05
Celui ci non plus n' est pas mal:
Quote:
| DES PLUIES D'ÊTRES VIVANTS
GRENOUILLES ET POISSONS, TORTUES, LÉZARDS
ET ESCARGOTS
UNE SUPERMER DES SARGASSES
LA GRANDE ÎLE DE GENESISTRINE
Des êtres vivants sont tombés sur la Terre.
Pour préserver le système, on souligne généralement que crapauds et grenouilles (par exemple) ne sont jamais tombés du ciel, mais "se trouvaient au sol en premier lieu ", ou bien"qu'un tourbillon les ayant soulevés quelque part, les a lâchés ailleurs". S'il se trouve en Europe un lieu où les batraciens abondent tout spécialement, l'explication scientifique s'arrangera pour que toutes les grenouilles, tombées du ciel sur le continent européen proviennent en droite ligne de ce grand centre grenouiller.
Au départ, j'aimerais souligner une étrange anomalie que je suis à ma connaissance, le tout premier à percevoir, soit parce que je suis encore un primitf, soit parce que je suis intelligent ou peut-être mal ajusté il n'y a jamais eu un seul rapport décrivant une chute de têtards.
Un observateur (Leisure Hours 3, 779) affirme que les crapauds ou grenouilles prétendument tombés du ciel ont dû tomber des arbres. Mais un nombre effarant de petits crapauds âgés de un à deux mois ont été vus tombant d'un grand nuage épais en Août 1804, près de Toulouse (Lettre du professeur Pontus à M. Arago. Comptes rendus, 3-54. Notes and Queries, 8-6-104 et 8-6-190.)
« Se trouvaient-ils au sol en premier lieu ? » Et les petites grenouilles du plein cœur londonien, le 30 juillet 1838, après un orage violent ?(Notes and Queries, 8-7-437) . Et les crapauds découverts en plein désert après une longue averse ( Notes and Queries, 8-8-493 ) ?
Je ne nie pas positivement, notez-le bien, l'explication conventionnelle de la "montée et de la descente" . Je crois au contraire que de tels épisodes se sont produits. Il y a dans le London Times du 4 juillet 1883, le récit d'une averse de brindilles, de feuilles et de petits crapauds, au terme d'un orage sur les versants de l'Apennin. Semblables déchets me paraissent typiquement associés à une trombe. Tandis que les autres cas me paraissent associés, dirai-je à une migration ?
Encore et toujours dans ces annales des damnés surgit la donnée de la ségrégation. C'est qu'une trombe est généralement conçue comme un état de chaos ou de semi-chaos."Un petit étang qui se trouvait sur le passage du nuage s'est trouvé vidé de son contenu par une succion puissante, l'eau transportée au-dessus des champs avoisinants avec une grande quantité de vase molle qui fut éparpillée au sol sur cent cinquante hectares." Telles sont les circonstances d'un véritable tourbillon. Mais l'imagination exclusionniste refuse de considérer la boue, les débris de fond d'étang ou les nénuphars, elle se concentre sur les tourbillons récolteurs de grenouilles.
Dans tous les cas de chutes de batraciens attribuées à des trombes, la trombe n'est jamais identifiée ou localisée. Pourtant, un étang qui s'envole peut être aussi intéressant que des grenouilles qui pleuvent.Où vont les trombes, de quoi sont-elles faites ? Il me semble que quiconque a perdu un étang devrait se manifester. Je sais qu'une chute de grenouille, près de Birmingham, le 30 juin 1892, a été attribuée à une trombe maléfique mais on ne mentionne pas qu'un étang y ait contribué. Un seul détail frappe mon attention : les grenouilles auraient été blanches.
J'ai bien peur qu'il faille livrer à notre civilisation des mondes nouveaux, où les grenouilles blanches auront le droit de vivre. En bien des occasions, des choses inconnues nous sont tombées de quelque part. Mais prenez-y garde : si des êtres vivants sont tombés sur terre (malgré tout ce que nous savons sur la vitesse d'accélération des corps en chute) et se sont propagés, alors l'exotique se fait indigène, et des lieux les plus bizarres, nous devons attendre le familier. Si des grêles de grenouilles sont venues ici d'ailleurs, tous les êtres vivants sur terre ont pu venir ancestralement d'ailleurs.
Après l'un des pires ouragans dans toute l'histoire de l'Irlande, on a trouvé des poissons à "plus de quinze mètres du bord d'un lac" (Annals and Mag.of Nat. His., 1-3-185.) La plus célèbre chute de poissons survint à Mountain Ash, dans la vallée d'Abedare, Glamorganshire, le 11 février 1859 (Zoologist 2-677-1859-6493.) Elle se localisait dans la propriété d'un Mr Nixon. Le docteur Gray, du British Museum, se hérissant d'exclusionnisme, conclut à une farce. "L'un des employés de Mr Nixon a dû jeter un seau sur un de ses camarades, sans se douter qu'il contenait quelques poissons". Mais un correspondant relevant cette version, déclarait avoir obtenu la même espèce de poisson à des distances considérables de ce"seau espiègle" . En fait, les poissons eux-mêmes, si l'on en juge par d'autres témoignages, étaient tombés par seaux (Annual Register,1859,14). Certains d'entre eux, encore vivants furent envoyés au jardin zoologique deRegent's Park, où on les identifia à des vairons et à des épinoches.
Quoi qu'il en soit, l'hypothèse d'une trombe est mise en échec sérieux par deux détails. Le premier est que la chute, loin de présenter la dispersion voulue, eut lieu sur une bande étroite de quatre-vingt mètres de long sur douze de large. La seconde, incroyable, mais sur laquelle les témoignages affluent est que dix minutes après la première chute, une seconde se produisit au même endroit ! Même si une trombe pouvait rester axialement sur place, elle se déverserait toujours tangentiellement. Un autre témoin précise que les poissons avaient jusqu'à huit centimètres de long (Lettre de Mr Aaron Roberts, curé de St.-Peters, Carmathon. Cf. London Times, 2 mars 1859.). Certaines personnes, croyant avoir affaire à des poissons de mer, les placèrent dans l'eau salée, où ils trouvèrent une mort instantanée. D'autres poissons, placés dans de l'eau fraîche, s'y comportèrent à merveille. Autre version : Les toits de certaines maisons en étaient recouverts (Lettre du vicaire Griffith. London Times, 10 mars 1859.). L'évidence d'une chute de poissons est concluante. Il s'agissait de "gastérosteus leirus " (Rapport de 1'Association Britannique, 1859, 158.).
Gasterosteus est le beau nom de l'épinoche.
D'où le sens de totale perdition communiqué par cette explication : quelqu'un a arrosé l'un de ses amis avec un seau d'eau douce dans lequel nageaient des milliers de poissons de huit centimètres de long, dont certains recouvrirent le toit des maisons et d'autres restèrent en l'air dix minutes durant. Je préfère encore ma version, plus contrastée le fond d'un étang supergéographique a brusquement cédé.
Ce qui est extraordinaire, c'est que ces animaux vivants tombent sans se blesser. On a parlé d'herbe tendre, mais Sir James Emerson Tennant, dans son Histoire de Ceylan parle de poissons tombés intacts sur du gravier. Dans cette région d'inertie que nous pouvons concevoir, dans cette zone qui est à la gravitation terrestre ce que la zone neutre d'un animal est à l'attraction magnétique, j'accepte volontiers qu'il y ait des pièces d'eau, des espaces creux, des fonds d'étangs, non entourés de terre, de vastes gouttes d'eau qui flottent dans l'espace, des déluges d'eau et des chutes de poissons. Mais aussi des zones où les poissons sèchent et pourrissent, avant de retomber par l'effet d'une dislocation atmosphérique.
A Rajkote, aux Indes, le 25 juillet 1850, " le sol était recouvert de poissons ", dont certains furent retrouvés sur le sommet de meules de foin (All the year roud 8-255 ) . une autre chute à Calcutta le 20 septembre 1839, un témoin déclare "Le fait le plus extravagant fut que les poissons ne tombèrent pas pêle-mêle, mais en droite ligne, sur moins d'une coudée de largeur" (Living age 52-186). Toujours aux Indes, à Feridpoor, le 19 février 1830, " certains poissons étaient tout frais, d'autres mutilés et en pleine putréfaction " (American Journal of Science). Rappelons que, dans les montagnes de l'Inde, le climat est très loin d'être torride et ne constitue pas une explication valable. Rappelons aussi, pour les tenants de la ségrégation en trombe, que les objets lourds sont toujours séparés, dans un tourbillon, des objets légers : certains de ces poissons pesaient deux fois moins que les autres...
"
Charles Fort |
|
Et tout un petit chapitre sur les mondes parralèles:
Quote:
| C'était pendant l' hiver de 1967 au mois de Janvier que Mme Nathalie Nelson et son mari de Ste Cécile en Vendée qui habitaient alors une veille ferme au cœur de la forêt, ont décidé un dimanche d'aller faire un grand tour en voiture dans les environs. Madame Nelson raconte :
"Nous avons roulé une bonne dizaine de km sur une route parfaitement connue, quand, tout d'un coup la brume qui régnait autour de nous et aussi les arbres de la forêt qui bordaient la route, ont disparu pour faire place à un paysage d'été avec des pelouses, des boutons d'or et des marguerites. Nous avons roulé un peu dans ce magnifique paysage, et nous sommes arrivés à un village, que nous ne connaissions pas, un village avec des maisons très anciennes sans crépis, avec des colombages de bois et de toits de tuiles qui paraissaient neufs et où se dressait une église dont, chose frappante, le clocher n'était pas terminé. Il y avait une luminosité extraordinaire un ciel bleu, pas un souffle d'air, les arbres immobiles et aucune vie, aucun animal , ni personne. Un signe de mort dans un paysage magnifique. Nous avons alors arrêté la voiture et nous sommes descendus. Nous avons marché pendant dix bonnes minutes, un quart d'heure peut-être , on a regardé, les maisons, les arbres, l'herbe qui avait une couleur verte absolument éclatante.
Puis brusquement nous avons eu la même crainte
: "Et si notre voiture n'était plus là ?", car cette route où nous avions pénétré, nous était totalement inconnue.
On a rebroussé chemin et on a trouvé la voiture où nous l'avions abandonnée. Puis nous sommes repartis en voiture en se disant que nous allions re-pénétrer dans ce village pour refaire le même périple et retraverser les mêmes petites rues. Mais en redémarrant la voiture, tout le froid paysage s'installa à nouveau, nous n' avons plus rencontré le petit village et seule la route givrée se déroulait de nouveau devant nous."Mme Nelson a essayé de retrouver en vain, à plusieurs reprises ce mystérieux village et elle n'a pu trouver en fouillant les archives locales qu'un seul indice: Il existait bien à cet endroit une bourgade abandonnée mais vers les années 1500, bourgade qui a disparu sans qu'on sache exactement pourquoi ?
Mme CHEST biologiste, de son étatnous explique: "J'ai d'abord pensé au début de l'histoire à un système de micro-climat qui se manifeste quelques fois dans une petite zone et qui peut faire passer cette zone sans transition de l'hiver au printemps. Mais dès qu'elle parle du 'village' cela ne marche plus.
Si l'on élimine l'hypothèse de l'hallucination, qui semble peu vraisemblable, puisqu'elle n'était pas seule et que son mari a vécu la même aventure qu'elle, je n'ai donc pas d'explication si ce n'est l'analogie que je pourrai faire avec le phénomène des trous noirs qui en astronomie sont des sortes vortex, des spirales tournant sur elles-mêmes où l'on constate que les relations spatiales sont extrêmement condensées et où le temps se contracte et où la matière des étoiles s'engouffre irrémédiablement. Le problème est d'en sortir. L'histoire de cette dame pose le problème de la réversibilité du temps et en tout cas d'un retour en arrière à une vitesse phénoménale peut-être même dépassant la vitesse de la lumière et c'est ce qui me fait penser à ce trou noir. En tout cas ce qui est remarquable, à mon avis, c'est qu'ils s'en sont sortis.
Autrement dit Mr et Mme Nelson ont eu beaucoup de chance de quitter ce village, car s'ils avaient cueilli ne serait-ce qu'une marguerite, que ce serait-il passé ? Pourraient-il l'emporter dans leur voiture ? Cette fleur n'induirait-elle pas une vibration qui par résonance, les plongerait dans ce monde parallèle moyenâgeux et les ferait disparaître à jamais du notre et laissant sur le bord de la route leur seul témoin véritable, mais hélas bien muet : leur voiture ?
S'il vous arrive un jour, où vous vous promenez dans la campagne, une aventure semblable, réfléchissez avant de cueillir une fleur, même si sa beauté, vous y invite fortement.
|
|
Quote:
| C'était le 10 Août 1901, deux respectables dames anglaises, Miss Charlotte Anne Elisabeth MOBERLY, Principale du collège St Hugh's Hall à Oxford et Miss Eleanor France JOURDAIN
Régisseur d'une petite école très renommée près de Londres se promenaient à Versailles dans les Jardins avoisinant le Petit Trianon qu'elles voulaient aller visiter. Il était environ 4 heures de l'après-midi. Elles avaient déjà parcouru longuement le château et se sentaient gagnées par la fatigue quand elles abordèrent les allées menant aux somptueuses « dépendances ».
Elles aperçurent alors, à un moment donné, deux gardiens ou jardiniers à l'air sombre et préoccupé, vêtus d'une livrée verte et coiffés d'un tricorne.
" - Il doit y avoir une fête costumée, une rétrospective des siècles de la monarchie, souffla Miss Moberly à sa compagne."
Mais elles n'avaient pas le cœur à la joie. Au fur et à mesure qu'elles avançaient, une tristesse infinie les pénétrait; une tristesse dont elles ne parvenaient pas à déceler l'origine. Elles se risquèrent à demander aux deux personnes en habits verts, de leur indiquer le chemin du Petit Trianon.
- "Droit devant vous ! lança l'un d'eux d'un air bougon."
Elles parvinrent à un kiosque rond d'inspiration chinoise et furent bien surprises, encore, d'y découvrir, confortablement assis, un homme vêtu d'un manteau ample, coiffé d'un chapeau à larges bords. Il se leva à leur approche et les dévisagea longuement. Il était laid à faire peur et l'expression de son regard était odieuse. Comme il s'apprêtait à ouvrir la bouche, elles furent saisies de panique, empoignèrent leurs jupes à pleines mains et détallérent à toutes jambes. Mais une voix, tout près d'elles, les arrêta:
- Ce n'est pas par là Mesdames, mais par ici .
Elles étaient, cette fois, en présence d'un parfait gentleman. Mais un gentleman vêtu à la mode du XVIIIe siècle. Il ajouta, en s'inclinant le plus civilement du monde.
- "Vous n'allez pas tarder à trouver la maison."
Le ton rassurant ne parvenait pas à apaiser leurs angoisses. Elles avaient de surcroît, la sensation oppressante d'évoluer dans un décor qui n'avait rien de réel. Elles partirent, pourtant, dans la direction conseillée. Elles franchirent un pont suspendu, qui enjambait un petit ravin, aperçurent une petite cascade et un rocher couvert de mousse, et elles pénétrèrent dans un jardin en pente en haut duquel se dressait un "Petit Château Carré" (Le Petit Trianon ) Dans ce jardin, précise l'une d'elles, une dame blonde, vêtue d'une robe d'été à l'ancienne au corsage largement échancrée, était assise et dessinait. La dame n'était plus très jeune. Mais que de beauté, encore dans ses traits, que de prestance, de grâce et de distinction dans son maintien !
Sa tête couverte d'un large chapeau blanc d'où s'échappaient en vagues soyeuses les boucles blondes de sa riche chevelure ; Il va de soit que leurs regards furent attirés par cette inconnue, altière et attendrissante tout à la fois qui fixait avec attention à bout de bras l'objet sur lequel de toute évidence, elle exécutait le croquis d'un bouquet d'arbres devant lequel elle restait plantée, comme en extase. Les deux Anglaises eurent tout le temps de la détailler. Puis elles la virent lever les yeux dans leur direction.Tout en elle exprimait une extrême mélancolie. Elle n'eut ni un sourire, ni un signe de tête pour ses visiteuses inopinées.
Celles-ci poursuivirent leur route. Elles tombèrent, ensuite , sur un palefrenier qui sortait d'une remise en faisant claquer la porte. Puis sur une femme qui criait "Marion, Marion" et tendait à une fillette qui accourue une tasse probablement de lait. Elles virent encore une charrue couverte de lierre; puis elles perçurent une musique de violons échappée, sans doute venant, des salons même du Trianon.
Elles marchèrent quelque temps encore, et leur angoisse imprécise les abandonna d'un coup. Elles retrouvèrent tout leur bel entrain. La fatigue même était tombée; elles se moquèrent un peu de leurs frayeurs et échangèrent quelques plaisanteries. D'autres personnes les dépassaient ou les croisaient ; mais des c'étaient des personnages plus "rassurants" , cette fois, de leur époque. Miss Moberly et Miss Jourdain regagnèrent leur pays, mais au cours de visites ultérieures à Versailles elles constatèrent que les sentiers qu'elles avaient parcourus en Août 1901, n'existaient pas, des bâtiments qu'elles avaient vus intacts et apparemment habités telle la remise où étaient la femme et la petite fille avaient disparu. Plus de gardiens ou jardiniers portant livrées vertes et tricornes, plus de kiosque, ni de pont sur un minuscule ravin, ni de cascade en miniature. Et elles constatèrent même avec stupéfaction que la façade du Petit Trianon vue le 10 Août était modifiée. Quant à la porte de la remise que le jeune homme avait claquée si bruyamment, elle était fermée par des verrous rouillés et couverte de toiles de d'araignée. .
Pourtant elles avaient bien conversé semble-t-il avec des personnages. Mais ceux-ci s'adressaient-ils vraiment à elles ?
Miss Moberly et Miss Jourdain étaient de celles qui s'évertuent à revivre, au cours des soirées d'hiver les merveilles de leurs itinéraires de vacances. Elles lurent quantité d'ouvrages sur Versailles. Et leur cœur faillit s'arrêter quand elles tombèrent au détour d'une page sur un portrait de Marie-Antoinette. C'était la belle étrangère du perron et des arbres du Trianon. Elles fouillèrent fébrilement les bibliothèques, les cabinets de lecture et les archives, épluchèrent les récits et mémoires de tous les contemporains de Louis XVI, découvrirent d'autres estampes, images, et portraits... Au terme de leur chasse fiévreuse, le doute n'était plus permis :elles avaient bel et bien passé une demi-heure environ de leur vie dans un siècle révolu, elles avaient croisé la route et le regard de la souveraine guillotinée depuis plus d'un siècle.
Elles apprirent aussi que l'homme laid qui les avait effrayées était le Comte de Vaudreuil, une victime de la petite vérole. Elles trouvèrent, même des lettres où il était question de la petite Marion et de la vieille charrue abandonnée contre un arbre et Miss Jourdain fut même capable de reproduire quelques notes de musique de l'air de violon entendu. Dix ans après leur promenade à Versailles, elles décidèrent de publier en 1911 sous deux pseudonymes cachant leur vraie identité, un livre intitulé "An adventure" .
Des journaux aussi sérieux que Le Daily Telegraphe et le Times en reproduire d'abondants extraits si bien que de nombreux chercheurs et érudits se mirent en campagne. On peut d'ailleurs affirmer que, depuis cette époque maintenant lointaine, les spécialistes des disciplines les plus diverses n'ont jamais cessé de s'interroger sur la "vision" des deux anglaises: S'agit-il d'un "voyage dans le temps" ? Nos deux héroïnes ont-elles vu des fantômes? Peut-être. Ont-elles eu une authentique apparition de personnages qui ont réellement existé ? Qui le sait? Qui le saura jamais?
Mais il faudrait longtemps s'interroger sur les éléments qui ont permis la manifestation fortuite d'un phénomène aussi rarissime.
On s'est évidemment intéressé tout spécialement à la date du 10 août, à laquelle les Anglaises avaient fait leur inoubliable promenade.
Or, le 10 août 1792, Marie-Antoinette était enfermée à la Conciergerie. Et ce 10 août 1792, elle n'était pas seule dans sa prison. Nombre des témoins de l'agonie qu'elle vivait alors, ont raconté qu'elle ne cessait, à ce moment là, de penser aux moments heureux passés au Petit Trianon et de les évoquer. Alors a-t-elle projeté , ce jour là, ses rêveries dans le temps pour qu'elles soient captées par nos deux promeneuses anglaises, 108 ans après avoir été guillotinée ?
En tout cas, tous les historiens qui, en 1911 et plus tard, se sont penchés sur les textes laissés par les écrivains de l'époque révolutionnaire, sont d'accord pour dire que les deux promeneuses ont fourni, avec une exactitude inattaquable des descriptions de faits, d'êtres et de choses dont elles n'avaient eu aucune connaissance préalable en particulier au château de Versailles de 1770, soit 131 ans au préalable.
Ont-elles été les seules à assister à ce phénomène? Apparemment non, puisque parait-il, deux autres anglais, les Cooke qui habitèrent la région de Versailles de 1907 à 1909, confirmèrent avoir vu eux aussi la mystérieuse dame entrain de dessiner ainsi qu'un personnage en costume de XVIIIe siècle. En 1928 deux autres anglaises d'excellentes réputations ont rapporté également un récit du même genre, lors d'une de leur promenade à Versailles. Sans doute des visiteurs français ont pu aussi voir certaines choses, mais à qui iraient-ils le raconter s'ils ignoraient qu'une telle aventure avait déjà été vécue ?
|
|
Quote:
| Le 13 janvier 1990, Le Dr Alfred Bielek physicien diplômé de Princeton et d' Harvard (fin des études en 1939) prétend, dans un livre (The Philadelphia experiment) et dans une conférence réalisée le 13 Janvier 1990, au Mufon Metroplex à Dallas dans l'Etat du Texas, avoir été avec son frère engagés dans la Marine américaine (La Navy) et avoir participé à différentes expériences destinées à rendre invisible divers objets. Certaines de ces expériences ont parfaitement réussi, mais d'autres ont été de vrais désastres avec mort du personnel et projection dans le temps, de certains expérimentateurs dont son frère et lui même personnellement. |
|
Quote:
| Avec le retour de mes mémoires, en mai 1986, du Projet Phoenix et de
l'Expérience de Philadelphie (Projet Rainbow) en janvier 1988, je me suis
engagé dans de nombreux écrits et conférences sur le sujet de
l'Expérience de Philadelphie, ses ramifications et le Projet Phoenix qui
a suivi, ainsi que les incroyables conséquences de leur verrouillage à
travers le temps.
CONNECTING LINK : Parlez nous du Projet Phoenix.
AL BIELEK : Je vais aborder la phase finale du Projet Phoenix et certains
aspects qui en résultent. J'ai rejoint le projet en 1953 en tant que Al
Bielek. Je faisais ce que le livre, "The Montauk Project" désigne,
l'interface d'ordinateur entre la chaise psychique utilisée pour
contrôler les tunnels de temps dans la phase finale des opérations. Ces
phases au début étaient très difficiles, elles ne fonctionnait pas bien
et elles avaient beaucoup de problèmes.[...]
Le projet générait les tunnels de temps. Les gens avait la possibilité de
voyager dans le temps et l'espace et ils le faisaient. Mais ils avaient
également d'autres projets en cours à Montauk. On ne sait pas encore tout
de ceux-là.
La technologie pour les tunnels nous était donnée par un effort
coopératif de groupes extraterrestres, principalement le groupe Orion,
auquel étaient mêlés les reptiliens, un sous-groupe appelé les Leverons.
Le groupe technique qui nous fournissait la plupart de l'assistance,
était le groupe de Sirius A. Des gens très scientifiques, très
matérialistes. Peut-être pas un mauvais coeur mais mal orienté, car ils
avaient des contrats à très long terme avec les Orions qui leur
fournissaient les connaissances techniques et l'assistance dont ils
avaient besoin. Et ils fonctionnaient avec notre gouvernement en secret
pour mettre en place les techniques et technologies de contrôle de la
pensée et pour pousser vers une société hautement technique et
automatisée qui serait beaucoup plus facile à contrôler qu'elle ne l'ait
actuellement. Mais nous approchons de cela rapidement.
Il y avait aussi beaucoup de petits Gris qui étaient dans nos pattes. Il
y avait d'autres groupes qui ne participaient pas au projet, mais ils
étaient là comme observateurs et le groupe d'Antares, des gens joviaux,
très gais, très humains. Vous ne pouviez pas les distinguer d'un esprit
humain. En fait, je ne pense que vous pouviez les distinguer
anatomiquement non plus. Pourquoi ils étaient là, je ne sais pas. Ils ne
faisaient rien. Ils étaient observateurs.
Mais les extraterrestres fournissaient la compétence, les outils. Ils
transposaient ça depuis leurs données informatiques vers les IBM 360.
Cela ne fonctionnait pas encore mais ça a marcher lorsque des
modifications ont été faites. Je suis devenu largement impliqué dans la
réalisation du système de fabrication du tunnel de temps. C'était une
technologie extraterrestre. On n'avait pas la théorie. Mais on avait la
capacité, la compétence technologique pour construire l'appareillage, et
on l'a fait, selon leurs spécifications.
ITT faisait partie du contrat. Tout était sous le niveau de laisser
passer "Black Card" [Carte noire], qui est en l'occurrence le plus haut
niveau de laisser passer qui existe, et la plupart des gens ne savent
même pas que ce niveau existe. Et ça signifie, en essence, qu'un tel
projet est un profond Trou Noir de sorte que toutes les archives, tout ce
qui a un lien avec ça, est enterré dans un coffre-fort noir et personne
n'a accès à ça sans avoir le laissez-passer adéquat et la nécessité de
savoir. Cela inclut les départements d'achats qui achètent le matériel
pour ces projets. Les archives des achats, des ventes, tout est enfermé
dans un coffre-fort noir. Donc personne ne peut le trouver. C'est
pourquoi ils appellent ça un projet Trou Noir. Il y a de nombreux projet
de ce type. Celui-ci en est un parmi d'autres.
Les tunnels sont devenus complètement opérationnels vers 1977 après de
nombreuses modifications. Vers 1979 ils ont eu tous les résultats qu'ils
voulaient. Jusqu'au 12 août 1983, la nuit, lorsque le projet a été
délibérément détruit. Saboté de l'intérieur. Cela est raconté dans le
livre (The Montauk Project). Mais avant ça, ce qu'ils ont fait était
incroyable.
L'une des applications du Projet Phoenix, dans l'utilisation des Tunnels
de Temps, était de fournir un soutien aux Colonies Martiennes. Les
Colonies Martiennes ont existé depuis le début des années 70. On est allé
publiquement sur la Lune en 1969. En fait les Allemands étaient sur Mars
en 1947. Et nous on y était en 1962 avec une expédition mixte, Russe et
Américaine. Ils sont allés sur Mars le 22 mai 1962. Le film, Alternative
3, fait par Anglia Television, 01 avril 1977, qui est disponible dans
l'"underground", l'expose complètement. Il montre la transmission réelle.
Les prises de vue en couleur venaient de Mars par transmissions T.V.,
lorsque cet Exploreur voyageait et atterrissait. Nous avons des colonies
là-bas sur Mars depuis la fin des années 60 ou peut-être le début des
années 70. Ils ont trouvé beaucoup de choses artificielles là-bas. Il y a
plus qu'une cité en ruine. Et bien sûr le fameux visage sur Mars, les
Pyramides et ce complexe entier (photos sur ce site) que Hoagland (Dr.
Richard) a parlé et a présenté au public. Il y a deux vidéos là-dessus
plus son livre. [...............] |
|
Quote:
| L’histoire suivante a été envoyée par un vétéran de l’Air Force qui avait
accés au niveau de sécurité au dessus du Top Secret. Il a écrit sous un
pseudonyme a cause de son serment pour la sécurité nationale.Il déclare
qu’il n’a pas révélé cette histoire jusqu’a aujourd’hui.
«Il y a près de 30 ans, mon Sergent superviseur m’appela à l’écart et m’
informa qu’il y avait un problème dans une zone de haute-sécurité de la
base aérienne. A cette époque, tout les systèmes étaient améliorés afin d
’aider l’effort militaire dans la guerre du Viet-Nam.
«C’était mon travail de maintenir les systèmes photographiques
électroniques, des renseignements hautements classifiés, récemments
installés dans la base. Notre unité était sous les ordres du directeur
des Renseignements au siège SAC, Tactical Air command, Langley, Virginie.
«Mon superviseur déclara que le programme orbital lunaire avait un
problème avec une imprimante photographique identique a l’équipement que
nous utilisions dans notre propre unité. C’était le premier programme
orbital lunaire dont le but était de prendre des photos, à courte
distance, de la surface lunaire. Ces photos seraient plus tard, utilisées
pour choisir un site d’atterrissage approprié au premier alunissage
habité, en 1969. «Comme étant le seul électronicien réparateur de la
base, et ayant de plus
le niveau d’accés Cryptologique, le cran au dessus du Top-Secret, j’étais
chargé de voir si je pouvais trouver le problème. En conduisant à travers
la base, je remarquais un hélicoptère expérimental qui se maintenait sur
place et juste au dessus du hangar massif fait de métal gris, un des plus
grands de la base, et qui abritait le projet lunaire.
«Une fois entré dans le hangar; on me demanda de présenter mon
laisser-passer Top Secret. En échange, on me donna un badge d’identité
pour le niveau interne de sécurité le plus élevé. Un autre garde m’
escorta a travers les différentes portes de sécurités jusqu’à une grande
zone degagée, dans le hangar. De grands rideaux noirs, suspendus au
plafond, compartimentaient cette zone. En passant à travers un rideau, je
suis entré dans un espace ou un petit groupe de personnes discutaient
tranquillement. Je fus immédiatement frappé par le nombre de personnes
présentes, qui semblaient être des civils, ainsi que des scientifiques d’
autres pays.
«Qui étaient-ils? je sentais quelque chose d’étrange, quelque chose n’
allait pas. Un homme en vêtements civils et avec une blouse de
laboratoire se présenta a moi. C’était le chef du projet, le Dr Collie,
il me semble. Il était très gracieux et réservé. Il m’expliqua calmement
que l’équipement en question servait au processus de développement des
photographies de la surface lunaire et que toute l’équipe serait très
reconnaissante s’il pouvait faire quelque chose pour elle. Un soldat m’
accompagna dans la chambre noire. A l’intérieur, se trouvait un autre
jeune soldat qui assemblait des bandes de films 35 mm dans ce qu’ils
appelaient une mosaïque. «Il placait bord contre bord les scannings
successifs de la surface lunaire, qui avaient été transmis à la Terre par
l’orbiteur lunaire. Chaque scanning représentait une étroite bande de
terrain et des orbites successifs autour de la lune étaient nécessaires
pour assembler une photographie complète du terrain lunaire. Une fois
seul dans la chambre noire avec le soldat et avec cet équipement nouveau
pour moi, je commençais a le questionner, pour essayer de discerner le
problème avec l’imprimante. Après quelques minutes d’enquête, il était
clair qu’il y avait un problème avec le circuit de controle électronique
qui était constitué de plusieurs petits modules. N’ayant pas ce matériel
sous la main, il était évident que je devais tester chaque module, un
travail vraiment pénible. C’etait quelquechose qui ne pouvait pas se
faire dans la lumière rouge d’une chambre noire. Cette unité devait être
retirée de la chambre noire et être mise dans un endroit plus approprié
pour effectuer ce travail de dépannage.
«En parlant avec le technicien qui se trouvait de l’autre coté de la
pièce, des questions me vinrent a l’esprit. J’étais curieux et fasciné
par le processus complet. Comment étaient transmis les signaux de l’
orbiteur lunaire jusqu’à la base? Comment étaient-ils convertis en film
photographique? Comment les images correspondaient-elles et comment
étaient-elles alignées pour former une mosaïque ?
Je savais que c’était des questions que je n’avais pas à poser, mais, à
ce moment là, j’étais seul avec le soldat qui était aussi enthousiaste
que moi pour son travail. Donc j’ai commencé à poser toutes ces
questions.Après 30 minutes de discutions techniques, le soldat s’est
tourné vers moi et m’a dit candidement, «Vous savez qu’ils ont découverts
une base sur la face cachée de la lune ?». J’ai répondu, «Que voulez vous
dire?», il a répété a nouveau, « ils ont découverts une base sur la lune
! » et en même temps, m’a montré une photographie.
C’était une mosaïque de la surface lunaire avec quelques structures
géométriques clairement visibles. En regardant de plus près, j’ai pu voir
des sphéres et des tours. Ma première pensée fut, «Qu’elle est cette
base?» puis j’ai réalisé l’implication de tout ceci: Cela ne venait pas
de la Terre.
«Je n’ai pas regardé longtemps cette photographie.J’ai jeté rapidement un
coup d’oeil puis je me suis éloigné au cas ou quelqu’un entrerait dans le
labo. Je n’ai plus posé de questions et j’ai fini mon travail, en pensant
que j’entendrais parler de ceci dans les nouvelles du soir!. Après deux
jours de recherches, le composant défectueux fut trouvé, une petite diode
dans la carte du circuit. J’étais aussi surpris que les autres d’avoir
trouvé le problème. Le Dr Collie était plus que satisfait et m’offrit
plusieurs photographies de la surface lunaire pour me remercier de mes
efforts. Je n’ai pas posé de questions sur la base lunaire, c’était
interdit, et je devais attendre le journal du soir pour avoir les
réponses, comme le reste du monde.
Maintenant, et 30 ans plus tard, j’attends toujours d’apprendre, au
journal du soir, ce qui a été trouvé sur la face cachée de la lune.
Je sens qu’il est de mon devoir de prendre le risque de venir sur le
devant de la scène avec cette information. |
|
Quote:
| Echec scientifique de la NASA
Depuis 1979, de nombreux enquêteurs indépendants hautement qualifiés se
sont engagés dans une analyse détaillée des photographies prises lors de
la mission Viking sur Mars en 1976. Ces photographies s'avèrent être la
preuve que certaines formations du terrain dans la région martienne
nommée Cydonia sont de nature artificielle.
Une vaste analyse indépendante des données en faveur de cette hypothèse,
en ayant recours à des critères établis selon la méthodologie
scientifique, montre que les méthodes de recherche employées par les
enquêteurs indépendants sont fondamentalement probantes. Il existe un
doute raisonnable quant à l'origine naturelle des objets cydoniens. Des
scientifiques réputés de plusieurs disciplines, y compris en physique,
astronomie, et géologie, ont exprimé leur confiance dans la complète
intégrité de ce rapport et ont demandé une étude supplémentaire de ces
formations de terrain à la NASA.
Cependant, pendant les dix-sept années qui se sont écoulées depuis la
découverte controversée de ces formations de terrain, la NASA a maintenu
fermement qu'il n'y avait pas de "preuve crédible" pour que ces
formations soient d'origine artificielle. Un regard plus circonspect des
arguments de la NASA révèle que "l'évaluation" de la NASA consistait
surtout en des impressions de base des photographies brutes, balancée
fortement par un raisonnement illogique. La NASA a manqué à son devoir
pour appliquer une méthode spéciale d'analyse; elle s'est appuyée sur des
rapports viciés; elle n'a pas essayé de vérifier les améliorations et les
mesures réalisées par d'autres; et s'est focalisée exclusivement sur une
méthodologie inadéquate en ignorant l'importance du contexte. Il ne reste
aucune base scientifique en faveur de la position de la NASA concernant
les formations en question.
Enfin, la NASA a basé son évaluation presque qu'exclusivement sur la
soi-disant existence de photographies venant dénigrer l'hypothèse de
l'origine artificielle des formations, photographies qui n'ont jamais été
identifiées. Et la NASA a admis récemment qu'elle était incapable de les
identifier.
Au lieu de mener une enquête scientifique en bonne et due forme, la NASA
a régulièrement envoyer de fausses déclarations au sujet des formations
en question aux membres du Congrès et à leurs électeurs. La NASA s'est
efforcée de ridiculiser et de discréditer injustement des chercheurs
indépendants, et a insisté qu'il existait un "consensus scientifique" sur
l'origine naturelle des formations, en dépit du fait que la seule
véritable étude scientifique sur ces formations indique clairement la
possibilité pour qu'elles soient artificielles.
De toutes les formations diverses étudiées par les équipes indépendantes
et d’autres personnes, il en est une qui fut le point de départ des
recherches. Elle est mentionnée comme le « Visage » à cause de sa
ressemblance avec un visage humanoïde. On lui a fait subir une série de
tests les plus complets afin d'évaluer l’imagerie numérique provenant d’
une sonde interplanétaire qui est aujourd’hui disponible pour les
scientifiques. Les données rassemblées tout au long des investigations
apparaissent comme étant hautement fiables.
Les techniques les plus avancées en amélioration d’image,
photoclinométrie et analyse fractale, les ont confirmées de manière
approfondie et qui plus est avec une documentation détaillée. Les
enquêteurs s’avèrent être des experts reconnus dans leurs domaines avec
des qualifications solides tant au point de vue académique que
professionnel. Au cours de chaque test, les données se sont toujours
montrer en faveur de la thèse de l’origine artificielle au lieu d’une
origine naturelle. De plus, les tests divers qui ont été accomplis,
comprenaient aussi une évaluation anthropométrique et esthétique qui n’
ont fait que confirmer une fois de plus la thèse de l’origine
artificielle.
En septembre 1992, un nouveau vaisseau spatial – Mars Observer – a été
lancé. Aujourd’hui il est considéré comme perdu. Mars Observer
transportait une caméra capable de prendre des photographies en haute
résolution qui aurait sans doute régler la question de l’origine
artificielle. Mais la position de la NASA concernant la priorité assignée
aux photographies des formations au sol, a toujours été de résister à
toute considération sur une possible origine artificielle. Les
déclarations équivoques de la NASA sur le problème des priorités
indiquaient clairement que de nouvelles photographies sur les formations
suspectes ne seraient pas prises, ou ne seraient pas publiées si on
parvenait à les prendre.
Si la politique de la NASA concernant Mars Observer demeure inchangée,
les futures missions vers Mars n’intégreront probablement aucun effort
significatif pour régler la question de l’origine artificielle. La NASA
est entrain d’évaluer les options pour un nouveau lancement vers Mars à
partir d’octobre 1994. Alors que nous écrivons ce rapport, la sélection
du vaisseau et de l’instrumentation dans le cadre d’un nouveau lancement
sont encore à l’étude. Permettre que la politique citée précédemment
domine une nouvelle mission constituerait une abdication condamnable et
un manque total de responsabilité sociale.
Motivation possible de la NASA
En 1960, un rapport intitulé « Proposed Studies on the Implications of
Peaceful Space Activities for Human Affairs » (ndt : Etudes sur les
implications des activités spatiales pacifiques dans les affaires
humaines) a été remis au Président du Comité de le la NASA pour les
Etudes à Long Terme. Le rapport a été préparé sous contrat pour la NASA
par l’Institut Brookings à Washington, D.C. Le rapport souligne la
nécessité d’étudier les conséquences sociales possibles d’une découverte
extraterrestre et de voir si une telle découverte doit être « tenue à l’
écart du public » afin d’évider un changement politique et un possible
effet « dévastateur » sur les scientifiques eux-mêmes – puisque la
découverte ferait que bon nombre de leurs théories si chèrement défendues
ne seraient plus valables.
Le concept de la rétention de l’information quant à une possible
découverte extraterrestre se trouve en conflit avec une politique
implicite de la NASA dans la mesure où l’information sur une découverte d
’une intelligence extraterrestre vérifiée devrait être partagée avec
toute l’humanité. Un rapport sur les aspects culturels de la recherche d’
intelligence extraterrestre (SETI) est en cours de préparation pour être
publié par le Centre de Recherche Ames de la NASA. Dans ce rapport, la
position selon laquelle la NASA n’empêcherait pas le public de connaître
la vérité est pourtant énoncée clairement.
Le véritable comportement de la NASA dans le cas spécifique des objets
martiens, ne semble cependant pas être compatible avec cette politique.
La NASA a régulièrement publier des documents contenant des déclarations
entachées d’erreurs et de manquements quant à son évaluation du
« Visage » vis-à-vis des membres du Congrès et du public. L’absence d’une
évaluation scientifique légitime des formations suspectes par la NASA,
son ignorance de la recherche importante, ses avertissements apparemment
exagérés que de telles photographies seraient extrêmement difficiles à
obtenir, la possible séquestration des données sous les auspices d’un
contrat privé », et le langage ambigu utilisé par les officiels de la
NASA pour faire croire que le problème a déjà été réglé; tout montre que
l’on doit suspecter une motivation contraire à la politique affirmée.
Des affirmations trompeuses
Lorsque des demandes d’électeurs ont été transmises par les Sénateurs des
Etats-Unis et des Représentants de la Chambre, la NASA a toujours fourni
des réponses qui pouvaient apparaître comme plausibles à une personne non
avertie, mais ces réponses ne peuvent pas tenir face à un examen un temps
soi peu logique. Parmi les affirmations trompeuses données par la NASA,
on trouve celles qui concerne la politique de la NASA en matière de
publication des données produites par la Caméra de Mars Observer (MOC). A
la première mission vers Mars depuis 17 ans, avec un intérêt grandissant
du public pour l’hypothèse de l’origine artificielle et la ferme
résistance de la NASA à cette dernière, la NASA a radicalement changé la
manière de manipuler les données photographiques prises par le vaisseau
spatial. Contrairement aux précédentes missions, il n’y a pas eu de
transmission des données de la caméra vers le public dès qu’elles étaient
reçues et converties en images (ce qu’on appelle souvent la
retransmission en direct ou « live »). Au lieu de cela, les images de MOC
seraient sous le contrôle exclusif de l’entrepreneur privé pendant 6 mois
après la phase d’acquisition.
Ce même entrepreneur privé a reçu pleine autorité pour déterminer, non
seulement quelles images seraient publiées et quand, mais aussi quels
objets seraient photographiés par la caméra haute résolution. Cet
entrepreneur, le Dr Michael Malin, est catégoriquement opposé à la
possible hypothèse de l’origine artificielle. Les arguments du Dr Malin à
l’encontre de cette hypothèse sont carrément fallacieux. Ainsi, les
intérêts du public américain pour les données en provenance de MOC sont
effectivement mis de côté suite à des décisions préjudiciables d’un
unique individu.
Le manque de crédibilité de la NASA ne cesse de grandir en utilisant des
subtilités contractuelles, tout en insistant que les données de MOC ne
seraient « pas traitées différemment » par rapport au précédentes
missions. Et tout ceci en dépit du fait que le résultat final aurait été
radicalement différent si l’on avait pris en compte l’accès immédiat à l’
information par le public ainsi que sa responsabilité. Du seul point de
vue de la logique, il est impossible de ne pas se rendre compte que la
NASA fait tout pour changer de direction alors qu'elle affirme « que rien
n’a changé par rapport à la politique précédente ».
Face à un public de plus en plus mécontent, la NASA a aussi essayé de
donner des assurances que la « Région de Cydonia » où se trouvent les
formations suspectes serait photographiée par la caméra haute résolution.
La NASA a tenté délibérément de mettre le public à l’aise en laissant
croire que ces formations seraient photographiées sur le seul prétexte
que l’étude de cette « région » est intéressante sur le plan géologique.
Mais la région de Cydonia est très vaste, et des photographies en haute
résolution ne couvriraient qu’un très petit pourcentage de cette zone.
Aucune priorité spéciale pour les formations spécifiques en question n’a
été fixée. Selon la politique en vigueur, il y a fort à parier pour que
ces formations suspectes ne seront pas photographiées, malgré les
affirmations sur cette « région ».
Recommandations
Etant donné l’importance du sujet et la nécessité urgente d’entreprendre
une action, je propose les recommandations suivantes. Trois d’entre elles
concernent la mission Mars Observer dans l’hypothèse où le vaisseau est
retrouvé, et les autres concernent les missions futures et en particulier
une mission de remplacement de Mars Observer.
Puisque Mars Observer n’est pas récupéré, la NASA sélectionnera un
vaisseau de remplacement avec à son bord une instrumentation capable d’
acquérir des images en haute résolution de la surface martienne,
résolution au moins supérieure à celle des missions Viking de 1976, et
ayant le plus haut degré de flexibilité possible pour la caméra, avec des
possibilités de cadrage.
La NASA, et tout entrepreneur privé qui serait impliqué dans la mise en
image, sous contrat, assigneront un niveau de priorité pour les
formations suspectes afin de s’assurer de l’obtention de photographies en
haute résolution de ces formations, en utilisant tous les moyens mis à
leur disposition, sauf dans le cas d’incertitudes indépendantes de leur
contrôle. Ce niveau de priorité sera introduit dans la base de données
des cibles et sera pris en considération au fur et à mesure du
déroulement de la mission. Le but avoué de prendre de telles
photographies est bien sûr de prendre en compte une possible origine
artificielle.
L’opérateur de la caméra s’occupera de la planification et du lancement
des séquences d’imagerie haute résolution à chaque occasion (20 ou 30
fois dans le cas de Mars Observer) au cours du passage aérien du vaisseau
dans la région s’étendant entre 8° et 10° de longitude, de sorte que la
bande de l’image comprendra la zone entre 40.4° et 41.2° de latitude
Nord.
Toutes les images prises pendant les passages de la caméra au-dessus de
la région spécifiée ci-dessus seront placées dans la catégorie « digne d’
être étudier » et ne seront pas sujettes à des aspects de propriété de
l'entrepreneur en contrat avec la NASA. Cela comprend les données brutes
avant traitement, mais après séparation des données de la caméra et de
celles des autres instruments.
La communauté scientifique et le public seront prévenu, dans la mesure du
possible, du moment des passages afin de se préparer à recevoir les
données.
Les données brutes de la région en question seront délivrées aux
scientifiques et au public dès réception au JPL sans délai.
La conversion des données reçues en image vidéo sera dans le même temps
transmise sans interruption à NASA Select-TV, PBS, et à tous ceux qui le
souhaitent. La NASA sera tenu pour responsable de tout délai immodéré
entre le moment où les données brutes sont reçues et le moment de la
publication des images sous forme vidéo. Aucun autre délai ne devrait
avoir lieu sinon le minimum nécessaire pour que les ordinateurs puissent
convertir les données sous forme vidéo. La NASA devra fournir à l’avance
des détails techniques sur les procédures nécessaires à la conversion
ainsi que leur durée.
La conversion en vidéo de toutes les images provenant de la caméra haute
résolution, quelque soit l’endroit de la surface martienne, sera publiée
sans interruption à NASA Select-TV, PBS, ainsi qu'à tous ceux qui le
souhaitent pendant toute la durée de la mission. Vu l’importance extrême
de la publication de ces données, la NASA devra régulièrement modifier
son programme aussi longtemps que nécessaire pour atteindre l’objectif de
fournir au public un large accès à ces données qui peuvent régler la
question de l’origine artificielle.
Un comité interdisciplinaire spécial constitué de scientifiques
indépendants et d’autres individus sera formé pour enquêter sur les
circonstances entourant la conduite suspecte de la NASA quant aux
formations au sol suspectes, et quant au concept SETI (Recherche d’
Intelligence Extraterrestre) au sein du système solaire, et en
particulier sur Mars et sur la Lune. Le cahier des charges du comité
devra comprendre une évaluation scientifique objective des données déjà
rassemblées par les chercheurs indépendants. Un comité d’évaluation
supérieur devra vérifier la bonne application des recommandations par la
NASA. Parmi les membres de ce comité supérieur devraient se trouver des
chercheurs indépendants des trois approches fondamentales sur le sujet,
soient Vincent DiPietro, le Dr Mark Carlotto et Richard C. Hoagland. |
|
Et voici les martiens responsables du génocide ruandai:
Quote:
| Ruanda
Peu commune, l’aventure de Jean R.
En allant enquêter à son domicile, au fond d’une paisible vallée
neuchâteloise, le GREPI ne s’attendait pas à entendre ce récit, digne de
Bob Morane... ou de Gilles Novak!
Le cadre en est l’un des épisodes les plus tragiques de l’histoire
récente: le génocide ruandais, lors duquel des centaines de milliers,
voire près de deux millions de personnes, tutsies pour la plupart, furent
victimes de massacres aveugles que rien ne put contenir.
6 Avril 1994 vers 21 heures: le président Habyarimana trouve la mort dans
son avion qui explose en vol. C’est le signal, le génocide commence la
nuit même. Trois jours après, la haine meurtrière se déchaîne dans la
région ou habite la belle famille de Jean R. Les maisons des Tutsis sont
incendiées après pillages, les survivants de ces premiers massacres se
réfugient dans les lieux de vie collectifs (églises, dispensaires
paroissiaux, stades).
Ces refuges précaires sont systématiquement attaqués. Tout ceux qui y
sont réfugiés sont exterminés (plus de 90% des Tutsis du Ruanda selon l’
ONU). A Cyanika, 30'000 personnes seront assassinées dans la cathédrale
et les alentours entre le lever et le coucher du soleil. Ce genre de
massacre se répétera en des dizaines d’endroit dans tous le Ruanda.
Parallèlement au génocide, la guerre fait rage... Voyant la partie
perdue, les génocidaires, dont l’organisation et les membres les plus
importants se confondent avec les corps constitués de l’État ruandais,
contraignent à l’exil plus de 2 millions de personnes. Ils se réfugient
dans les pays voisins où ils se regroupent dans de gigantesques camps de
réfugiés. Les télévisions du monde entier ont montré, non sans mauvaise
foi, ces événements. Les images les plus nombreuses concernaient l’exode
des tueurs et des populations sous influence, oubliant que ces derniers
venaient d’exterminer au tournevis et à la machette près de 2 millions de
leurs compatriotes.
Pendant ce temps, Jean R. et son épouse Claire, comme tous les Tutsis,
étaient plongés dans le désespoir le plus total. Ils savaient, sans avoir
de nouvelles, que les chances de revoir vivants les leurs étaient ténues.
Un soir de fin juin, en regardant le journal de 20 heures sur Antenne 2,
l’incroyable se produit: là, devant elle, sur l’écran, Claire R.
reconnaît sa mère, de profil, qu’une caméra a saisie pendant quelques
fugaces secondes. Elle est vivante, il en reste au moins une, dans le
camps de Nyrushishi au sud du Ruanda, non loin de la ville zaïroise de
Bukavu. Jean R. décide sur-le-champ de partir pour ramener sa belle mère
en Suisse.
C’est ainsi que le mardi 20 juillet 1994, notre ami se retrouve à
Cyangugu, à l’extrême sud du Ruanda. Il accompagne un détachement de
légionnaires français (2ème REI, capitaine G. Ancel). C’est grâce au
contact qu’il a eu la précaution de prendre avant son départ que l’armée
française a accepté de l’aider dans sa tentative de sauvetage de ceux qui
restent. Jean parvient au camp de Nyarushishi, où il retrouve, avec
émotion, pas moins de onze membres de sa belle-famille! De là les
légionnaires les conduisent à Bukavu. Mais le plus dur reste à faire: la
ville-frontière est le théâtre d’un invraisemblable chaos, mêlant
quelques réfugiés tutsis, plusieurs centaines de milliers de Hutus et de
génocidaires en fuite, aux habitant de la ville.
C’est au prix d’une course effrénée dans cette poudrière, échappant
plusieurs fois à la mort de justesse, que Jean R. parviendra à trouver un
moyen de transport pour fuir avec les membres de sa famille et d’autres
Tutsis du voisinage, en tout une soixantaine de personnes, de cet enfer
où à chaque seconde la mort peut surgir.
Arrive alors l’étape cruciale de cette fuite vers la liberté, vers la
vie: lors du trajet de Bukavu à Bujumbura, au Burundi voisin, le minibus
loué par Jean doit nécessairement emprunter la piste de la corniche, sur
laquelle sont installés plusieurs check-points des tueurs ruandais. Ils
le savent, ils les ont vu passer, lourdement armés, à quelques mètres de
leur fragile refuge dans le courant de l’après-midi du vendredi 23.
Enfin, on n’a pas le choix. A la grâce de Dieu!
Et Jean n’en croit pas ses yeux. Tout au long des 25km de route sinueuse
où les barrages auraient dû se succéder, il lui semble que le bus se
déplace dans un tunnel de réalité différente: assis à l’avant, à côté du
chauffeur, il cesse de percevoir le murmure de la jungle, il ne sent plus
la moiteur de la nuit, la route paraît rectiligne... et pas un soldat
pour les arrêter! Il est entre 4 et 5 heures du matin, ce samedi 24
juillet. Jean est exténué, après des jours de marche à travers une ville
où la tension est permanente, et quelques rares moment de sommeil. Mais
pendant ce trajet, il reste sur un constant qui-vive, la main sur la
bonne poche, pour tendre tout de suite le bakchich qui pourrait se
révéler salvateur. Pour la seule fois de son périple, il fera des
économies! Et il s’est véritablement senti protégé par une force dont il
n’explique pas la nature.
Puis soudain tout redevient normal, les passagers à l’arrière du bus se
remettent à bouger, les enfants recommencent à pleurnicher, les senteurs
de la forêt équatoriale emplissent à nouveau la cabine, et le premier
point de contrôle se présente. C’est très tendu, les soldats zaïrois
parlent de liquider les occupants du bus qui sont selon eux responsable
de la mort du le président ruandais (ce sont des Tutsis), mais ils
arrivent à passer et déjà s’éloignent du périmètre mortel.
Apparemment Jean est le seul à avoir ressenti cette impression d’
irréalité. Son cousin Sylvain, participant à cette épopée, a vécu pour sa
part un trajet ordinaire. La responsabilité de Jean dans cette
entreprise, lui faisant sentir la charge d’une trentaine de personnes
entassées dans le véhicule, pourrait-elle être à l’origine de sa
perception différente? Sylvain confirme, cependant, le calme complet
régnant sur le bus pendant ce trajet (mais il l’attribue à l’état de
fatigue générale).
Jean aurait peut-être oublié cet épisode si, après son retour en Suisse,
suivant une thérapie pour une affection dont il souffrait antérieurement
à son expédition africaine, il n’avait reçu des informations pour le
moins étonnantes. Le biologiste qui traite son cas procède, dans le cadre
de cette thérapie, à l’examen microscopique d’un de ses cheveux: celui-ci
révèle des caractéristiques "non-humaines"!... Ce thérapeute, qui fait
montre de dons s’approchant de la voyance, lui déclara avant qu’il n’ait
pu ouvrir la bouche:
- Vous revenez d’un pays troublé... La Bosnie, peut-être? Et vous avez
été protégé! (Il décrit même cette protection comme la mise en œuvre d’un
moyen technique inconnu des humains qui rend invisible.)
- Ce n’était pas la Bosnie, mais le Ruanda... ?!... Et d’après vous, qu’y
a-t-il derrière ces massacres?
- Eh bien, je pense que ce sont les Petits Gris...
Les Petits Gris? Voilà une idée qui peut surprendre! Et pourtant... La
soudaineté de ces tueries, et la participation générale et immédiate de
quasi toute la population hutue, femmes et enfants compris (à de rares
exceptions près) à ce qui restera comme une des plus grandes boucheries
de ce siècle, tout cela paraît, aux yeux de Jean, tout à fait anormal, d’
autant plus que lors des discussions ultérieures avec ses beaux-parents
il ressort ce qui suit.
Ecoutons ce que raconte Sylvain, qui vécut dans les premiers jours du
génocide des moments véritablement infernaux, échappant par miracle (et
grâce à une présence d’esprit remarquable) à une mort atroce:
"Le 14 avril 1994, nous nous trouvions à une trentaine de minutes du camp
de Nyarushishi. La pluie tombait par averses intermittentes. Vers 21
heures, un objet s’approcha très lentement dans le ciel, projetant un
rayon de lumière vers nous. Les 5000 personnes qui se trouvaient là l’ont
vu. Nous pensions que c’était la télévision, pour nous filmer. Tout le
monde était content: si le monde savait, on viendrait à notre secours! L’
objet était triangulaire, et se déplaçait très doucement, la pointe vers
l’avant. Après être resté stationnaire, il est reparti de la même façon.
Il se trouvait à environ 20° sur l’horizon.
"Le même engin réapparut le 29 avril 1994. Après avoir tenté de nous
évader du stade de Cyangugu, pour échapper à une exécution qui nous
paraissait inéluctable, on nous y ramena et nous nous trouvâmes sous le
feu des roquettes jusqu’à six heures du soir. L’objet apparut à nouveau
vers 21 heures, au-dessus de la cathédrale, à l’ouest. Un projecteur
éclaira obliquement le stade, pendant ½ heure. Nous ne l’avons pas vu
arriver, ni repartir, trop occupés que nous étions à préserver nos vies.
"Le lendemain, RFI annonçait que 3000 personnes avaient été massacrées."
La Croix-Rouge ne put accéder au stade de Cyangugu que le 4 mai.
Les troupes de l’opération Turquoise, elles, n’y arrivèrent que le 20
juin 1994, à 18h30. |
|
Un super lien en passant: http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/indexa1.html
et encore un: http://membres.lycos.fr/frendelvel/plan/terremars.htm
Et pour finir, l'experience de philadelphie,
Quote:
| Le 13 janvier 1990, Le Dr Alfred Bielek physicien diplômé de Princeton et d' Harvard (fin des études en 1939) prétend, dans un livre (The Philadelphia experiment) et dans une conférence réalisée le 13 Janvier 1990, au Mufon Metroplex à Dallas dans l'Etat du Texas, avoir été avec son frère engagés dans la Marine américaine (La Navy) et avoir participé à différentes expériences destinées à rendre invisible divers objets. Certaines de ces expériences ont parfaitement réussi, mais d'autres ont été de vrais désastres avec mort du personnel et projection dans le temps, de certains expérimentateurs dont son frère et lui même personnellement. |
|
Je vais essayer de trouver quelque chose là dessus...........
___________________ "Waaaaaah, Lex, ce que tu en sais des choses..."
"Je sais, je sais..."
"Waaaaaah, ça aussi ?"
___________________
|