Dévoreur/Affinity Classic...
Je ne me suis pas trompé c'est bien un jeu Dévoreur, s'appuyant sur le dévoreur des jours, carte dégénéré de sombracier, comme l'un des kills du deck. Ce n'est donc pas un jeu ravager. La base du jeu Affinity classic est parfaite pour le dévoreur des jours il suffit de mettre un maximum de dégâts le plus vite possible et de kill l'adversaire, avec un dévoreur célérité inciblable, ou un monstre comme l'engeance des étoiles bien nourrit à l'artefact. Le deck fonctionne donc comme un deck affinity en un peu moins rapide, puisque toutes les cartes ne prévoient pas un jeu affinity. Les deux kills du deck sont le dévoreur des jours et l'engeance des étoiles. Face au bannissement de pincecrane le jeu se ralentie quelque peu laissant l'avantage à affinity classic face à ravager affinity. Le jeu que je présente est assez rapide et est compétitif en T2.
Fonctionnement du deck:
Le deck pour ne pas avoir des sorties trop aléatoire s'oriente principalement vers la pioche:
Soif de connaissance,
Adjuration des pensées,
Bombe à sortilèges d'Aether,
Visions nées du sérum, ainsi le jeu trouve un régime régulier dès le début du jeu, la pioche est un des facteurs de rapidité en affinity puisque on posera les sorts sans payer leurs coûts d'invocation la plupart du temps et le plus souvent possible. L'affinité pour les artefacts (ce sort coûte
de moins à jouer pour chaque artefact que vous contrôlez.) dans cette optique différente carte améliore le jeu: une base que on retrouve dans les decks affinity: 4
Ornithoptère, 4
Argousin myr, 4
Mitraine , ces créatures ont une grande interactivité dans le jeu les
ornithoptère artefact vol 0/2 pour
comme
les jarre à souder ne rendent le deck que plus rapide. Les
Engeances des étoiles sont les grosses méchantes du jeu affinité, en devenant immense dans les premiers tours de jeu. Mon deck se différencie des decks affinity classic par la présence du
dévoreur des jours , le jeu s'adapte parfaitement à sa présence comme kill du deck, partageant la vedette avec l'engeance des étoiles. Les 4
jambières d'éclairs sont principalement là pour équiper les deux kills du deck mais elles ne restent jamais morte dans leur utilité puisque la célérité peut servir à toutes les créatures
mitraine et
argousin par exemple, mais protègent bien aussi avec l'impossibilité de devenir cible... Ainsi le but de deck est de sortir le plus d'artefact possible pour faire une bonne
engeance des étoiles: principe du deck affinity.. Ou le second but est de descendre les points de vie adverse au
argousin et autre
mitraine et de finir avec le
dévoreur des jours: principe de ce que j'appelle dévoreur...
La réserve:
La réserve prend en compte le metagame surreprésenté actuel: les
disciples du caveau serviront contre les decks ravager/affinity et contre les decks verts qui détruisent et gèrent bien les artefacts, ce qui les fera hésiter. Je ne gèrent pas les enchantements de base une
adoration par exemple me posera de très très gros problème ou un contrôle trop présent comme
glissement astral ou
ride d'éclairs, c'est en réaction à ces types de cartes que 8 cartes de réserve y sont prévues.
Dissolution et
Naturalisation gèrent donc en grande partie les enchantements gênants mais aussi les artefact très présent actuelle en t2. Les
Rétractions sont là pour ne pas être trop surpris par une destruction massive tel que
colère de dieu ou autre
vengeance selon Akroma...
pour finir:
En conclusion on peut dire que le deck par d'un idée plutôt originale en incluant le
dévoreur des jours, mais il est toutefois très jouable et se fait une place dans le t2 actuel. La base d'un affinity classic lui donne un très gros avantage par sa vitesse de sortie. Le jeu n'est pas accès sur le contre mais plutôt sur la pioche et compte donc beaucoup sur la rapidité des affinity. le
dévoreur des jours et
l'engeance des étoiles sont les deux kills du deck ce qui rend le deck assez agressif et garde une certaine régularité de sortie. je laisse place à vos claviers pour vos commentaires en espérant qu'ils m 'aideront à améliorer mon deck...
Tchô magicien(ne)...