Analyse de la carte : Dosan la feuille tombante

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Date : 17/01/2005 à 00:00

Auteur : balothvorace

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Nombre de commentaire : 11

Bonjour !
Pour ma 5ème analyse, je vais m’intéresser à une créature légendaire (ma première !). Il s’agit de Dosan, la feuille tombante, sorti en Kamigawa, c’est-à-dire tout récemment. Mais tout d’abord quel genre de personnage est Dosan ? Son surnom est : la feuille tombante…On se dit qu’il ne doit plus être très vigoureux. Et n effet ce n’est plus un jeunot comme on peut le voir sur l’illustration. C’est un vieux…enfin un vieil homme, plutôt. Il est assez souvent cité dans les flavor text de Kamigawa :

Dosan demeura assis, immobile, pendant des heures sans faire le moindre bruit. C’est alors que la nature se révéla à lui.

« Nos propres actions nous emprisonnent. Nos mains ont été trop aventureuses et trop avides .»
-Dosan la feuille tombante

Quand des voyageurs entraient dans la forêt, à la recherche de la sagesse, Dosan attendait leur arrivée.

Voilà, Dosan est donc un seigneur de la forêt, un philosophe à qui on demande de l’aide pour trouver la sagesse. Dosan semble très contemplatif, et ça correspond bien avec sa capacité, qui est celle de la cité de solitude. On imagine très bien Dosan vivre dans une telle cité. Entrons maintenant dans le vif du sujet.

Voici les autorisations :

Type1 :autorisé
Type1.5: autorisé
Type étendu: autorisé
Type2:autorisé

Surtype : créature légendaire
Depuis Kamigawa, le fait d’être légendaire est maintenant un surtype. La règle des légendes aussi a changé : on peut maintenant jouer une légende s’il y en a déjà une en jeu. Par contre dès qu’il y en a plus d’une en jeu, les deux sont mises au cimetière. C’est donc un défaut mais pour Dosan ce n’est pas très gênant, car les capacités ne se cumulent pas, et un seul suffit pour bloquer un deck adverse.

Sous-types : humain et moine
Dosan a 2 sous-types : humain et moine. Commençons par le type humain. Bizarrement, c’est un type créé en Mirrodin, alors que les humains existaient depuis longtemps dans Magic (par exemple les flying men en arabian nights sont des flying men, et pas des human).
Le deuxième sous-type est moine. Ce n’est pas un type très courant, puisqu’il n’existe que depuis Kamigawa (les cartes qui s’appelaient moine comme le moine soltari n’étaient même pas moine mais clerc) où pas mal de moines ont été créés, tous en vert et tous humain en même temps. Il n’en existe que 6 pour l’instant, dont les plus connus sont azusa, égarée mais en quête), jardinier budoka et Dosan.
Les types de Dosan ne sont donc pas son point fort, on ne le verra pas dans un deck bête ou elfe. Par contre c’est logique qu’il soit moine étant donné son rôle dans la storyline.

Cout en mana---force/endurance :
Dosan coûte deux manas verts et un incolore à jouer, ce qui est raisonnable. C’est le même coût converti que la cité de solitude mais il y a un mana coloré en plus. Pour le jouer il faut donc avoir une bonne base de vert, et ça tombe bien le vert est assez joué en ce moment (tooth and nail, rude awakening, the rock…).
Pour ce prix-là on peut s’attendre à une 3/3 comme armodon dressé ou une 2/3 avec plein de capacités (mirri, cat warrior). Mais Dosan n’est que modeste 2/2. Ce n’est pas si mal vu sa capacité, mais d’un autre coté 2 en défense c’est fragile…Heureusement cette faiblesse est compensée par une capacité intéressante.

Capacité :
La capacité tient en une ligne :

Les joueurs ne peuvent pas jouer de sorts pendant le tour des autres joueurs.

C’est une capacité statique, qui est symétrique. Elle vous handicape donc aussi mais ce n’est pas très gênant, car le vert ne joue pas beaucoup d’éphémères et peut aussi les jouer en rituel (par exemple oxydation peut se jouer en rituel sans trop perdre de son intérêt, alors que ce n’est pas le cas pour échardes d’ailes)
Cette capacité empêche donc de jouer des éphémères pendant le tour des autres joueurs. Ca veut dire qu’on peut jouer tranquillement pendant son tour, en étant sûr de ne pas avoir de mauvaises surprises, la principale menace étant un contresort. Un deck contrôle sera donc bien handicapé si Dosan arrive en jeu: tous ses contresorts deviennent des cartes mortes! Avec le retour de contresorts potable comme obstacle ou dernier mot, c'est une capacité qui pourrait devenir très utile. Cela signifie aussi que votre phase d’attaque se déroulera sans que l’adversaire ne puisse réagir, avec uneécharde d’ailes, une humiliation, des blasts, des boosts pour ses créatures bloqueuses…Par contre vous pourrez toujours booster des créatures, ce qui est une spécialité du vert (puissance sauvage, puissance des chenaies…). Vous me direz qu’après ce sera la même chose pour la phase d’attaque adverse, avec les rôles inversés…Mais en général votre adversaire n’aura pas grand-chose à faire pendant sa phase d’attaque, sauf s’il joue vert, et dans ce cas vous ne jouerez pas Dosan dans votre deck.
Enfin si Dosan empêche de jouer des sorts, il ne limite pas les capacités, activées ou déclenchées. Un décret de justice peut donc se recycler en éphémère, et les capacités activées des permanents n’ont pas non plus de restrictions. Par exemple Ertai, expert sorcier pourra toujours contrer un éphémère, ou Thriss, primus nantuko pourra offrir des boosts pendant le tour adverse. Ca peut donc être un défaut, mais aussi un avantage.
Enfin Dosan bloque aussi la capacité du sceptre isochronique pendant le tour des autres joueurs. On peut bien copier le sort mais quand la capacité se résoudra on ne pourra pas lancer le sort. Donc Dosan bloque aussi les decks sceptre/cantique .

Jouer avec
Dosan ne se joue en général pas de base mais en réserve. En effet, sa capacité est utile surtout contre les decks contrôle, avec du bleu (les contres) ou du blanc (les anti-créatures). Par contre il ne servira à rien contre un deck agressif, par exemple modular, rouge, weenie white… Dans un deck combo par exemple, il est presque indispensable d’avoir une carte du genre de Dosan en réserve, pour éviter de se faire contrer les cartes de la combo (son tooth and nail ou mind's desire) par exemple. Il peut aussi se jouer dans des decks armageddon, car il joue le même rôle que le cantique.
Comment jouer avec une carte de réserve ? Et bien, en lui accordant quelques places dans sa réserve de 15 cartes et en le sidant pour les parties 2 et 3. Mais sinon il existe un moyen d’aller le chercher à n’importe quel moment, dès la partie 1 : le souhait vivant. Un seul exemplaire dans la réserve suffit pour le faire venir au bon moment ! Une autre bon tuteur est sorti en Kamigawa, vert en plus: temps du besoin. On peut donc en sider un seul et quand même avoir des chances d'en avoir un.
On peut aussi jouer Dosan avec insistance pour être sûr qu’il passe sans se faire contrer.

Jouer contre

### rouge ###

Commençons par le rouge. Un deck rouge pur n’aura en général pas jouer contre un Dosan, mais par contre ça peut être un splash d’un deck bleu, pour jouer feu/glace par exemple. Le rouge n’aura aucun mal à gérer un Dosan, avec son petit 2 en endurance. Les dégats directs n’en feront qu’une bouchée :jet de magma, choc, rayon glaciaire, salve de vapeur, pyroclasme, éruption violente, le feu de feu/glace…

### vert ###

Le vert aura très rarement à jouer contre Dosan. Il existe quand même des moyens de le gérer, avec la provocation par exemple ou willow satyr et quelque chose pour le sacrifier.

### blanc ###

Les anti-crétures classiques du blanc marchent très bien.

### noir ###

Le noir est la couleur par excellence des anti-créatures donc pas de problème pour gérer Dosan, surtout qu’il est non-noir, non-artefact, non-esprit.

.

### bleu ###

Voilà la couleur qui est le plus concerné par cette rubrique. Alors il y a bien sur les classiques contres, qui marchent très bien sur Dosan.

Mais il y aussi des dégats directs, ou plutôt un dégat direct. Si, si ça existe !

Sinon il y a le renvoi(chaine de vapeur, désinvocation, grand nettoyage), mais ça ne sert pas à grand-chose si on ne peut pas le contrer quand il sera réinvoqué.
Enfin la petite nouveauté apportée par les règles de Kamigawa : le bleu possède un anti-créture légendaire ! Mais pour 4 manas et en rituel !

Quand le clone arrive en jeu, choisissez Dosan. Une règle des légendes plus tard, le Dosan se retrouve au cimetière, ainsi que votre clone.
Et pour une fois, les contrôle magique et traitrise ne servent à rien, car la capacité s’appliquera toujours.

### artefact ###

Les artefacts peuvent gérer des petites créatures.

### terrain ###

Quelques terrains peuvent gérer les légendes.

Decks???Combos ???
Ben Dosan ne se joue pas dans les decks de base, mais seulement en réserve . Donc pas vraiment d’intérêt à mettre un deck dans cette analyse.
Pareil pour les combos : Dosan n’est pas une carte à combo.

La carte qui ressemble le plus à Dosan est une carte sortie en visions.

C’est exactement la même capacité pour le même coût converti, sauf que c’est un enchantement. Alors qu’est-ce qui est préférable ? Etre une créature 2/2, fragile mais qui pourra toujours attaquer ou bloquer, ou un enchantement, plus difficile à détruire, voire quasi-indestructible contre noir, bleu ou rouge ? Et bien c’est serré…De manière générale, l’enchantement est à préférer à la créature, trop fragile. Mais dans ce cas, si vous jouez contre un deck bleu pur, une 2/2 peut être très utile pour grignoter les points de vie, surtout que le bleu est à peu près aussi démuni face aux enchantements que face aux créatures une fois qu’ils sont en jeu. Donc une simple 2/2 peut lui poser des problèmes. Et puis Dosan a surtout l’énorme avantage d’être autorisé dans tous les types alors que la cité de solitude ne l’est qu’en type 1. Et aussi d'être tutorisable en vert, ce qui n'est pas le cas de la cité (il faut du blanc pour tutoriser les enchantements). Donc moi je préfère Dosan !

Une autre carte ressemble à Dosan, elle remplit un peu le même rôle (empêcher les contres) pour un seul tour mais avec un kick en plus et pour moins cher: cantique selon Orime.
D’autres cartes font cauchemarder les joueurs de bleu, mais elles sont moins radicales que Dosan ou la cité :

Enfin il y a aussi toutes les créatures qui ont la capacité d’un enchantement, bref tous les enchantements sur pattes :

La cote MC est de 5 € 50, ce qui est honnête. Ce n’est pas une carte très recherchée, vu qu’il ne se joue qu’en réserve. Ce sont donc surtout les joueurs de tournoi qui le recherchent. Sinon on peut toujours l’obtenir à l’échange, surtout si vous connaissez des gens qui ne jouent pas en tournoi, donc qui n’ont pas besoin de Dosan.

points forts

La capacité, cauchemar des decks contrôle
Rend inutile les contresorts
Autorisé dans tous les types
Peu cher en manas et en euros
Une 2/2, ça peut ennuyer un bleu pur
Peut se tutoriser au souhait vivant ou time of need

points faibles

fragile
lui est parfaitement contrable
utile qu’en réserve

Voilà pour cette analyse technique, passons maintenant à l’analyse extra.

Dosan est sorti en guerriers de Kamigawa, l’extension dédiée aux légendes. Elle introduit 3 nouvelles capacités : la transmigration (très bof pour l’instant), le bushido (pas très révolutionnaire, ça ressemble pas mal au débordement) et l’imprégnation d’arcane (le plus prometteur, mais un peu faible pour l’instant). Les explications de ces capacités sont ici. Qu’en est-il de la valeur de cette extension ? Difficile de se prononcer pour l’instant, mais c’est plutôt la déception…Peut-être est-ce à cause de la puissance du bloc Mirrodin, mais Kamigawa parait un peu faiblard pour l’instant. Les nouveaux mécanismes ne sont pas jouables, étant inférieurs à ceux de Mirrodin (affinité, modular…), et les légendes sont assez moyennes. Quelques bonnes cartes sortent malgré tout de la masse : extraction crânienne, sans doute la meilleure carte de l’extension, Kokusho, l’étoile du soir, Isamaru, hound of Konda, ancêtre de la trbu sakura.

Voici un petit bout de storyline qui fait intervenir Dosan. Malheureusement je n'ai pas trouvé d'épisode de la storyline sur Dosan, mais juste des passages où il intervenait, comme ici avec Suzue ou avec Iname. Merci à Sir Matteo pour ce passage, qui vient de son analyse.
Pendant des siècles, les humains crurent que les orochi n'étaient que de simples « serpents à pattes » - des tueurs dénués d'émotions et d'intelligence. En réalité, ils étaient d'humbles chasseurs, heureux de n'avoir aucun contact avec le monde extérieur. De tous les habitants de Kamigawa, ils étaient peut-être ceux qui vivaient le plus en harmonie avec les kami.
Au début de la grande Guerre, les orochi perdirent espoir. Au départ, ils refusèrent de prendre les armes contre les esprits de la nature qu'ils adoraient, préférant se faire massacrer. Ils ne comprenaient pas ce qui se passait ni pourquoi, mais ils savaient que la cause de ce mal résidait quelque part en dehors de leur forêt.
Une fière orochi appelée Suzue (Souzoué) fit tout changer . Enceinte, elle quitta la forêt de Jukai pour découvrir quelle était la raison de l'ire des kami. Elle se rendit au reliquaire d'Okina, où elle rencontra un vieux moine sage appelé Dosan et apprit à communiquer avec les humains. Pendant des mois, Suzue partagea son temps entre Okina et les coonies orochi. Elle donna naissance à un puissant mâle appelé Seshiro (Séshiro) qu'elle emmena à Okina pour étudier les arts martiaux avec les moines, pendant qu'elle et Dosan discutaient de la rage des kami.
Un an plus tard, Suzue, Seshiro et le vieux moine furent attaqués dans la forêt par un kami de putréfaction. Seshiro sauva la vie de Dosan, mais Suzue succomba à ses blessures. Le jeune guerrier retourna dans les colonies, jurant d'inciter son peuple à entrer en action. Il gravit les échelons de la hiérarchie orochi par combat rituel et devint le maître de la couvée, ainsi que l'avaient prédit les shamanes.
Les colonies prospérèrent sous sa tutelle, et elles entamèrent des échanges avec les humains de la forêt. Sosuke (Sozouké), le fils de Seshiro, devint le chef de la tribu Kashi et sa fille Sachi (Satchi), prit la tête de la tribu Sakura. Le courage de Suzue donna naissance à une dynastie qui transforma profondément les colonies orochi.

C’est une belle illustration, même si Mark Zug en a fait des plus jolies. Que voit-on ? Dosan sur une montagne (et pas dans la forêt, bizarrement), avec un coucher de soleil au fond. Dosan a l’air vraiment très vieux avec sa barbe et ses rides, mais en même temps noble avec son habit et son baton. Il a le regard perçant d'un sage aussi.

L’illustrateur est Mark Zug, qui n’est pas n’importe qui dans le monde des illustrateurs. Il a illustré de nombreuses cartes puissantes.
Voici sa biographie :
Le dessinateur Mark Zug dessine depuis aussi longtemps qu'il s'en souvient. Il a très tôt découvert le pouvoir du crayon et du papier, de faire vivre des choses inaccessibles à nos sens - des dinosaures, des super-héros, des sous-marins de Jules Vernes, des voitures imaginaires, des races d'anciens astronautes, des vaisseaux spatiaux inspirés du - alors récent - "Star Trek". En se tournant en permanence vers la fiction comme source d'inspiration, il découvrit Frank Herbert et Tolkien dans l'adolescence. Il fit ensuite une pause dans le dessin après le lycée, et il fit son chemin comme machiniste de classe A dans une usine proche, pendant qu'il flirtait avec une carrière musicale.

Il revint au dessin sous la fraîche inspiration de Frank Frazetta et des illustrateurs de l'école Brandywine, et entra dans une école de dessin, tout en faisant le nègre à faire des dessins de couverture de romans de western, et à côté de ça des planches de comic historique au crayon. Sa première grosse percée vint quand il illustra le scénario de "I, Robot", de Harlan Ellison, pour lequel il fit aussi 160 pages de comics entièrement peints. Il accomplit un rêve longtemps gardé, en illustrant l'univers de Dune de Frank Herbert - sous la forme du jeu de cartes à collectionner, qui s'avéra être un tremplin vers le monde naissant de l'illustration de jeu.

A ce jour, ses dessins sont apparus sur les couvertures des magazines "Popular Science," "Dragon," "Dungeon," "Duelist," "Inquest," "Star Wars Gamer," et "Amazing Stories" ; des romans de Tanith Lee, Diana Wynne-Jones, Hilari Bell, et la série Dragonlance ; et trop de livres et suppléments de jeu pour les citer - dans les éditions de Shadowrun, Battletech et Magic : the Gathering. Il a été nominé pour un prix Chesley, et il reçut le prix Jack Gaughan en 2001 comme meilleur nouveau dessinateur.

Ses ambitions sont de faire beaucoup plus de portraits privés ; de créer son propre monde futuriste top-secret à partir des trésors délaissés de la science-fiction et de la réalité ; et de continuer à se nourrir de son pinceau.

Voici quelques unes de ses plus belles illustrations. Il y aussi des croquis de ses dessins, juste au crayon, qui rendent pas mal du tout.

assassin royal

Tsabo Tavoc

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Tsabo Tavoc

(finalement une autre version a été préférée)

Takara’s torque

(quelqu'un connait cette carte??)

C'est bien joli tout ça, mais qu'est-ce qu'il donnerait au crayon, Mark? Bah c'est pas mal non plus. Voici un premier croquis pour l’arbitre silencieux :

Enfin un deuxième car l’équipe de création a fait la difficile : elle n’aimait pas les combattants (un moriok et un humain), car l'attention se portait moins sur l'arbitre...Alors Mark les a remplacés par des petites balances.

Et la version finale en couleurs, la plus jolie des trois forcément :

Un autre exemple de dessin au crayon, avec Chaines, maitre des démences:

Et la version colorisée :

Voilà ce qu’a donné ma traduction :
« Chaque nuit, alors que Dosan prie pour les kamis, la haine qu’il reçoit en retour dessèche un peu plus encore son corps. Bien que les kamis le tuent à petit feu, il continue ses prières. »
-Journal de méditation d’un jeune budoka
On peut penser que c'est un disciple de Dosan qui parle, et qui est en admiration devant la ténacité de son maitre.

Voilà pour cette analyse extra, et pour cette analyse tout court!

@++ pour ma prochaine